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sous Ia chaire de vérité et donnant, à l’approche de la
police, des signes de la plus grande terreur.
Il eutbien d’abord quelques velléités de résistance dé-
sespérée, mais se ravisa devant la force du nombre et
tendit ses mains aux menottes. Interrogé sur son iden-
tité, cet individu déclara se nommer Constant Hubert
Kums, âgé de 45 ans. Son passé ne plaidait guère en
sa faveur .'il avait déjà subi différentes comdamnations
tant dans la vie civiie que dans la carrière militaire
qu’il avait suivie pendant quelques années. Récem-
ment encore il venait d’être expulsé de France et se
trouvait, pour le moment, en état de vagabondage.
Quant au mobile de son crime, il a raconté que, dé-
sirant se défaire d’un couteau-poigaard.il avait résolu
de l’offrir en vente au premier venu et, irrité par
le refus du prêtre qui ne voulait pas de son arme, il
s’était oublié jusqu’à l’en frapper, sans le moindre mo-
tif de haine pour M. Van A... ni sans aucune pré-
méditation !
Ce scélérat a été conduit immédiatement en prison
en attendant que la justice s’occupe de son affaire.
Une arrestation entre militaires vient d’avoir les
plus terribles conséquences.
Samedi dernier, sept soldats de la compagnie de
correction étaient parvenus à s’évader de fort n° 5.
Poursuivis immédiatement, trois de ces échappés
furent bientôt repris et réintégrés. Restaient les qua-
tre autres, dont le soldat Colard, qu’on avait égale-
ment rétrouvé, mais qui se défendait de son mieux
contre le sergent De Wilde chargé d’opérer son ar-
restation.
Colard, armé d’une paire de sabots, essaya d’asséner
quelques coups sur la tête de ce sous-omcier ; mais
celui-ci, s’emportant dans cette lutte contre un indis-
cipliné, tira son sabre et frappa Colard d’un coup si
violent qu’il ouvrit le crâne à ce malheureux, qui ex-
pma quelques moments après...
Cette avant-midi, vers 10 1/2 heures, nous vîmes pas-
ser dans la rue de l’Amman un groupe d’au moins 150
ouvriers chantant à tue-tête et précédés d’un écriteau
où se lisait : 150 man. Geld of geen werk. Ce groupe
défilait paisiblement.
Informations prises, nous savons que ce sont des
ouvriers d’un atelier de construction au Dam, qui di-
sent ne pas avoir été payés lors de la dernière solde et
usent de là grève en attendant.
Jusqu’ici rien de repréhensible que nous sachions
n’a été commis de la part de ces grévistes.
Garde civique d’Anvers. — MM. les officiers, sous-
officiers, caporaux, brigadiers et gardes des divers
corps de la légion qui désirent prendre part au grand
concours de Tir international de Gand, du 16 au 30
septembre prochain et du tir de Louvain, du l1' sep-
tembre, peuvent se faire inscrire journellement de
11 heures du matin à 1 heure, au bureau de l’état-
major.
Le colonel commandant,
Jos. David.
— Société royale d’Harmonie d’Anvers. — De-
main vendredi, à 7 heures, répétition pour l’orchestre
de symphonie.
Dimanche prochain, 25 courant, pour la clôture de
la kermesse d’Anvers, il y aura grand concert de
symphonie et illumination du jardin.
' — Cercle artistique.—Les membres de la section
de musique sont informés que les répétitions sont sus-
pendues jusqu’à nouvel ordre.
Renseignements météorologiques transmis par
V Observatoire de Paris.
Matinée du 22 août.
Petites ou jolies brises d’entre N. et S.-E. Ciel cou-
vert ou pluvieux.
758 Bruxelles ; 760 Palerme ; 762 Groningue, Havre,
Naples ; 764 Scarboro, Bordeaux ; 766 Bayonne ; 767
Thurso.
FAITS I>rVKI*K.
remise de iHVAPE Vix. — Hier matin a eu lieu au château
de Lâeken, avec toute la solennité que comportait cette
cérémonie militaire, la remise des drapeaux aux trois régi-
ments d’infanterie légère, 1er (carabiniers), 2e et 3e chasseurs
à pied.
A onze heures les députations des trois régiments, com-
posées des MM. les colonels Libert, Braoormior et Dema-
sière, accompagnés des officiers porte-drapeaux et des
sous-officiers, ont été reçues par le Roi, à Laeken, où se
trouvaient réunis les aides-de-eamp de Sa Majesté, les offi-
ciers d’ordonnance, le ministre de la guerre, lieutenant-
général Guillaume ; M. le baron Chazal, lieutenant-général,
gouverneur de la résidence royale ; M. le lieutenant-général
Gôethals, adjudant général, diefde la maison militaire du
Roi; M. le général Schlobas, commandant, la brigade
d’infanterie; MM. les colonels des divers régiments delà
garnison de Bruxelles, le commandant d’armes, etc.
A midi, il y a eu déjeuner intime offert par le Roi aux
députations’et aux notabilités militaires conviées à la cé-
rémonie,
A une heure trois quarts un demi-bataillon avec la mu-
sique du régiment des carabiniers était réuni dans la ca-
serne de Laeken, tandis que les députations des 2» et 3«
chasseurs à pied, après avoir reçu leur drapeau, s’en re-
tournaient vers Bruxelles, pour de là se rendre à Mons et
à Tournai, dans leur garnison respective.
Le détachement de carabiniers, musique en tête,est venu
se ranger devant le perron du château.
Le Roi, en grand uniforme de général en chef et revêtu
de tous ses insignes,a remis devant le front de la troupe,le
drapeau des carabiniers, à M. le colonel Libert, avec le cé-
rémonial d’usage, puis S. M. a passé l’escorte en revue. En
ce moment la musique fit, entendre l’air national.
Après le défilé, le detachement de carabiniers est retourné
à Bruxelles à la caserne du Petit-Château, et là le drapeau
a été présenté solennellement au régiment. Ensuite l’em-
blême patriotique a été conduit suivant toutes les prescrip-
tions reglementaires à la demeure de M. le colonel comman-
dant Libert.
La cérémonie s’est terminée vers trois heures.
cowgrè:s rniÉiusTORiQijE. — C'est après-demain jeudi que
s’ouvrira, à Bruxelles, le congrès international d’anthropo-
logie et d’archéologie préhistorique. Les membres se réu-
niront à midi à l'hotel-de-ville, où l’administration leur
souhaitera la bienvenue et leur offrira une collation avec
le vin d’honneur.
Le comité d’organisation a déjà reçu près de six cents
adhésions, et le nombre des participants aux excursions
est déjà si considérable que pour n’en pas compromettre le
succès, surtout de celle des cavernes de la Lesse, il est
question de clore les listes d’inscription.
J Le gouvernement fait frapper une médaille commémora-
tive pour le congrès.
Dans les listes des savants étrangers attendus pour les’
délibérations du congrès, nous remarquons les noms des
notabilités suivantes : Géologues : Prestwich (Londres),
Belgrand et Hébert (Paris), Capellini, de Dücker, Gosselet
(Lille).
Paléontologistes : MM. Owen (Londres), Deshayes, Ger-
vais et Albert Gaudry (Paris), Fraas (Stuttgart). Dawkins
(Gloucester).
Anthropologistes : MM. de Quatrefages, Broca (Paris),
Virchow (Berlin), Schaffausen (Bonn).
Ethnographes : MM. de Mortillet, abbé Bourgeois, mar-
quis de Vibraye, général Faidherbe, Garrigon (France) ;
Lubbock, Franks (Londres), Desor (Suisse) et les fonda-
teurs de l’archéologiepréhistoriqueduNord : Nilson.Steen-
strup, Worsae.
Archéologues : MM. Lindenschmit (Mayence), Hilde-
brandt (Stockholm), Conestabile (Pérouse), Gozzadini (Bo-
logne), Alex. Bertrand (Saint-Germain).
M. Oppert, auteur de célèbres recherches sur TAbissinie,
s’y est également fait annoncer.
têtes a gand. — Voici le programme des fêtes qui
auront lieu à Gand, les 15,16,17 et 18 du moisprochain :
Dimanche 15. — Réception des tireurs étrangers. — A
midi, les tireurs étrangers se réuniront à la place delà
Station du chemin de fer de l’Etat et se rendront de là à
'hôtelde ville, où ils seront reçus par l’autorité com-
munale. — Remise d’une médaille commémorative.
Festival de musique. — A3 heures de relevée, au Marché-
àux-Grains, festival pour les corps de musique des gardes
civiques du royaume.
Concert populaire. —A 8 heures du soir, à la place d’Ar-
mes, concert populaire par la Société royale des Mélo-
manes, avec le concours du corps de musique du régiment'
des guides.
lundi, 16 septembre. — Arrivée de S. M. le Roi et de
S. A. R. le comte de Flandre. — Revue des tireurs étran-
gers et de la garde civique.— Tir à la Cible. — A deux
heures de relevée, ouverture solennelle du tir à là cible,
au boulevard de laBiloque.
Banquet royal. — A 3 heures de relevée, banquet offert
A S. M. le Roi et aux tireurs étrangers dans les salles du
Casino. ■
Concert gala. — A heures du soir, au Grand-Théâtre,
concert gala avec le concours do la Société royale des
Chœurs.
Société royale les Mélomanes. — A 9 heures du soir,
fêle offerte aux tireurs étrangers parla Société royale des
Mélomanes dans son local, rue Savaan.
Bal populaire. — A10 heures du soir, la place d’Armes
sera brillamment illuminée.
Un orchestre y exécutera des airs de danse.
Illumination générale. — A neuf heures du soir, les édi-
fices publics seront illuminés. — Les habitants sont invités
à illuminer également les façades de leurs maisons.
Mardi, 17 septembre, — Concours d'escrime. — A 9 heures
du matin, la Société Saint-Michèl donnera un concours
d’escrime au local de la Société royale des Chœurs, rue
fies Bagnettes.
Concert ou Jardin Zoologique. — A ( heures du soir,
concert au Jardin Zoologique par le corps du régiment des
guides.
Fête vénitienne. — A 9 heures du soir, la Société du
Club nautique gantois partira , avec ses embarcations
brillamment, pavoisées et illuminées, du pont Pain-Perdu,
près do la Coupure, pour traverser la ville et se rendre au
Dok.
Mercredi 18 septembre. — Fête gymnastique. — A 2 1 -2
heures de relevée, à la plaine St-Pierre, fête gymnastique
par la Sôciété gantoise de gymnastique.
Fête au Casino. — A 7 heures flu soir, concert par le
corjfs de musique du régiment dés guides/ "
Bal et illumination générale du jardin. .
— A propos de ces l’êtes, voici ce que dit le Journal de
Gand :
« Nous constatons avec plaisir que les travaux du tir à
la cible avancent rapidement, grâce aux excellentes me-
sures prises par la direction des travaux. Les buttes et le
bâtiment du tir seront achevés à l’époque fixée.
„ Nous apprenons qu’un prix sera offert aux tireurs au
nom des dames de la ville de Gand.
» Le corps consulaire se propose également, nous dit-on,
d’offrir un prix. Enfin, on nous assure que diverses sociétés
veulent imiter cet excellent exemple. »
ee crime de vierset. — Dimanche, vers six heures du
matin, une femme qui longeait la lisière du bois Philippe,
! situé à proximité du village de Vierset près de Liège,
j aperçut, couehé près du bois, un individu qui ne donnait
i plus signe de vie.
Cette femme, effrayée, n’osa s’approcher du cadavre ;
elle courut appeler un cultivateur qui travaillait dans un
champ à proximité et Ton constata bientôt que le mal heu-
reux qui avait été victime d’un horrible attentat, était le
nommé Charles Gilon, garde particulier deM. le comte de
Meroy-Argenteau et domicilié à Vierset. “Ce garde avait
reçu im coup de feu en pleine poitrine ; quinze gros plombs
avaient perforé le eœur et les poumons et causé instanta-
nément la mort; le cadavre était couché sur le dos; la
victime tenait encore son fusil sous le bras ; ce fusil n’était
pas armé.
Ce malheureux était sorti de sa maison, entre 4 h. 1/2 et
5 h. du matin, pour faire sa tournée dans les propriétés de
M. le comte de Mercy. La position du cadavre et l’état de
l’arme semblent démontrer qu’il a été victime d’un odieux
guèt-apens, et que ce niest pas en couchant en joue l’hom •
me qui l’avait frappé qu’il a été tué.
Les soupçons, recueillis par les autorités locales, ne
tardèrent pas à se porter sur un individu de Vierset, le
nommé J. W..., âgé de 23 ans, braconnier de profession.
On apprit que cet individu travaillait depuis quelques jours
dans une papeterie de Huy. La gendarmerie s’y rendit hier
matin, mais elle ne l’y trouva pas. J. W .. était renseigné
comme absent, et on avait même indiqué sur le tableau des
absences que cet ouvrier ne s’était pas rendu hier à son tra-
vail parce qu’il avait manifesté l’intention de se noyer.
L ne jeune fille, ouvrière papetière, avec laquelle'cet in-
dividu s’était rendu la veille à un bal à Vierset, avait don-
né ce renseignement. Interrogée aussitôt par la gendar-
merie, cette jeune fille déclara que dimanche soir elle
avait vuJ. W. au bal, et comme il lui paraissait extrême-
ment soucieux et préoccupé, elle avait voulu en connaître
la cause. Comme il ne répondait rien, elle lui dit tout à
coup :« Mais ne seriez-vous pas l’auteur du crime qui a été
commis ce malin sur le garde Gilon ? — Taisez-vous, lui
répondit M'.: oui, c’est moi qui ai tué Gilon ; il fallait qu’un
de nous deux y passât ; il ne me reste plus qu’à en finir
avec la vio. Repoussé avec indignation par la jeune ou-
vrière à laquelle il venait d’avouer son crime, W. retourna
chez son père où il fit, paraît-il, le même aveu. Son père le
ehassa-ft'sen tour et, depuis lors, cef individu n>’a plus re-
paru. * .
Un mandat d’amener a été aussitôt lancé contre le sieur
W.S
L’enf erremenf. du malheureux Gilon a eu lieu lundi, à
cinq heures du soir, à Vierset, où ce crime a causé une
profonde émotion. Ce gardeétait un brave père de famille,
estimé de toute la commune. Ce crime paraît être le résul-
tat d’une vengeance particulière; mais jusqu’à présent, il
ne semble pas que l’on ait 'recueilli aucun renseignement
précis à ce sujet. - - {Meuse.)
e’assaet de mal vkiosqee. — Une scène comme on n’en
voit guère, une scène vraiment homérique, a eu lieu di-
manche à Gerpinnes lez-Liége, sous prétexte de festival.
Il avait été décidé que les sociétés de musique joueraient
à tour de rôle, et la musique du Mambourg était inscrite
pour jouer à la fin de la séance. Or, il arriva que les numé-
ros de 2 à 6 faisant défaut, et cette musique désirant partir
de bonne heure, elle voulut aborder lé kiosque. Vive oppo-
sition de la part de la musique d’Acoz qui avait le numero
7 et qui prétendait jouer avant elle. La musique du Mam-
bourg, de son côté, persistant dans sa prétention, le kiosque
fut littéralement enlevé pap la musique d’Acoz, renforcée
par d’autres sociétés.
Le kiosque ne présente bientôt plus que l’aspect d’une
citadelle prise d’assaut. Les trombônnes, les bugles, les
clarinettes, les ophicléides, les saxophones résonnent.
sur les crânes des combattants et volent en éclats de toutes
parts. Ce fut un magnifique et terrible moment que celui
où Ton vit. en même temps sept drapeaux flotter sur le
kiosque où ils avaient été glorieusement plantés par leurs
sociétés triomphâmes. Au nombre de ces derniers, on cite
celui 'le la Lyre ouvrière de Charleroi, nous le disons à son
éternel honneur. Pour défendre la musique du Mambourg,
la musique de la garde-civique de Philippeville voulait met-
tre fl amberge au vent; toutefois, cette Société dut se re-
plier.
Après la mêlée on a naturellement relevé les morts et les
blessés. Parmi ces derniers nous citerons un infortuné cla-
rinettiste à qui on avait enfoncé Son instrument dans la
gorge, de telle façon qu’on ne pouvait plus le retirer. M. le
chef de musique du Mambourg a aussi beaucoup souffert
ainsi que son chapeau. Pauvre Mambourg! il n’a vraiment
pas de chances cette année !
incendie a waltzing. — Nous lisons dans l'Echo du
Luxembourg, du 20 : » Un effroyable incendie a réduit en
cendres la moitié du village de Waltzing. Hier, vers 7 1/4 h.
du soir, le feu se déclarait dans une petite maison d’arti-
san; avant 7 1/2 heures le foyer se développait, sur douze
maisons; avant 8 heures, dix-neuf maisons flambaient, je-
tant dans les airs la sinistre clarté qui ne tarda pas à ré-
pandre l’épouvante dans toutes les localités des environs,
et à amener sur les lieux les pompiers de la ville d’Arlon,
la troupe et toute une population dévouée.
» Malheureusement, l’élément destructeur avait déjà fait
d’épouvantables ravages et Ton ne put guère employer les
efforts qu’à protéger la partie du village non encore at-
teinte.
» Malheureusement encore, l’eau faisait presque complè-
tement défaut ; les puits étaient desséchés et l’on dut se
borner à recourir à quelques sources qui n’offraient qu’un
maigre filet d’eau. Quoi qu’il en soit, on parvint à arrêter
les progrès de la flamme qu’alimentaient pourtant les abon-
dantes moissons déjà engrangées et que favorisait un vent
d!une certaine violence.
» Quelques-uns des malheureux incendiés seulement sont
parvenus à sauver une partie de leur mobilier, grâce au
dévouement de cinq ou six habitants d’Arlon qui, se trou-
vant dans les environs, sont arrivés sur les lieux dès le
commencement de l’incendie. Leurs efforts ne purent ce-
pendant lutter contre la rapidité de l’élément destructeur
et l’impuissance du pet it nombre. Ils parvinrent néanmoins
à faire évacuer les etables, après avoir fait mettre à l’abri
les vieillards et les enfants qui fuyaient éperdus et épou-
vantés.
» Plusieurs enfants n’ont échappé au feu que par miracle,
tant la flamme dévorait rapidement les habitations presque
toutes couvertes de chaume.
» A huit heures et demie, pompiers, soldats etbourgeois
s'unirent pour concentrer le feu dans son immense et hor-
rible foyer. Ils yréussirenten travaillant jusque bienavant
dans la nuit.
». Il ne nous reste plus qu’à connaître les détails de ce
sinistre et l’importance des dégâts qu’il a causés. »
le boa devin. — La ménagerie des reptilesdu Jardin des
Plantes de Paris vient de recevoir un nouvel hôte du genre
le plus distingué et qui occupe la première place dans
Tordre des serpents ; un boa dit devin.
H est, parmi les serpents, ce qu’est l’éléphant ou le lion
parmi les quadrupèdes.Il surpasse les animaux de son ordre
par sa grandeur et par sa force, mais il ne contient aucun
venin. La nature lui a donné la grandeur, l’agilité, la force
et la beauté, mais elle lui a refusé ce ftmeste poison qu’elle
a départiaux petites espèces de serpents.
C’est à l’espèce dont nous nous occupons qu’appartenait
ce serpent énorme dont Pline a parlé, serpent qui arrêta
l’armée de Régulus sur les côtes septentrionales de l’Afri-
que. Sans doute, il y a de l’exagération dans la longueur at-
tribuée à ce monstrueux animal ; il n’a vait certainement pas
120 pieds de long, mais on est obligé d’admettre que c’était
un reptile gigantesque, puisque le général romain ne par-
vint à le mettre à mort qu’aprês une attaque régulière qui
coûta la v.e à plusieurs soldats.
Les boas se trouvent en Afrique, en Asie et en Amérique.
Celui dont vient de s’enrichir le Muséum vient de l’Amé-
rique du Sud ; il mesure 3 métrés de long et pèsô'15 kîlqgr.
C’est un individu jeune encore, dont Tospèee atteint, en
Afrique surtout, une longueur de près de 10 mètres. Mais,
dans les contres américaines, il n’est pas rare d’en rencon-
trer qui mesurent 25 à 30 mètres. A l’hacienda de San
Gérommo (nord de la Sonora) il s’en trouve un, empaillé,
qui n’a pas moins de 90 pieds de longueur.
Quand on considère la taille démesurée du boa, on ne
peut être étonné de la force prodigieuse dont il jouit. 11
étouffe et écrase les plus gros quadrupèdes dans,les replis
multipliés de son corps, dont tous les points agissent et
dont tous les contours saisissent la proie, s’appliquent inti-
mement à sa surface et. en suivent toutes les irrégularités.
La grande puissance de cet animal, sa force redoutable,
sa longueur gigantesque, l’éclat de ses écailles, la beaute
de ses couleurs, ont inspiré une sorte d’admiration mêlée
d’effroi à plusieurs peuplades sauvages. Chez les anciens
liabitantsdu Mexique,le serpent, devin à été un objetd’ado-
ration.
C’est surtout dans les déserts brûlants de l’Afrique , que,
exerçant une domination peu troublée, le devin devient vé-
ritablement monstrueux.
On frémit quand on lit les récits des voyageurs qui ont
pénétré dans l’intérieur de cette partie du monde, sur la
manière dont l’énorme serpent devin s’avance au milieu des
herbes hautes et des broussailles, semblable à une immense
poutre flexible qu’on pousserait avec vitesse. Sur son pas-
sage tout s’incline. Un large sillon se dessine sous les ondu-
lations de son corps.
On voit fuir devant lui les troupeaux de gazelles et d'au-
tres animaux dont il fait sa proie, et le seul parti qui reste
à prendre dans ces solitudes immenses pour se garantir
de sa dent meurtrière est.de mettre le feu aux herbes.
Comme particularité, nous ajouterons que de tous les
habitants des bois, le plus antipathique au devin est le
singe. Bar analogie, il convoite aussi les nègres, qu’il
poursuitavec animosité et qu’il engloutit’ tout entiers.
Mais cèux-ci, qui sont très-friands de la jjjliair du reptile,
lui font une guerre achernée et létaeni aisément pendant
lie sommeilde la digestion.
Jérusalem. — U résulte d’un rapport du consul anglais
à Jérusalem, analysé par la Pull Mail Gazette, que la
population de Jénisalem est actuellement’ de LSrOOO.habj-
tants, dont 5Ô00 Mahométans,” 8 à 9000 Juifs et le reste
Chrétiens de diverses croyances.
L’industrie principale de la ville est celle du savon et
. des objets ^bénits, chapelets, crucifix, etc., qui se vendent
| aux 6 à 8000 pèlerins qui visitent annuellement la ville. *
| Il y ailes mines abondantes de soufrq, de bitume et de
sel de roche sur les rives de la Mer Morte, mais les capi-
taux et la sécurité font défaut.
Les routes se trouventldans un état pitoyable et si elles
étaient suffisantes, bien entretenues et sûres, les vastes
et fertiles plaines du pays pourraient fournir le bien être
à une population nombreuse.
DERNIERES NOUVELLES.
AGENCE HAVAS-BULLIER-REUTKR.
Genève, 21 août.
Il y a eu conférence de midi à 4 heures : on suppose qu’elle
a été importante.
Rien ne transpire au sujet des délibérations ; le tribunal
s’est ajourné à vendredi.
Rome, 21 août.
I L'Italia dit que des lettres d’Athènes et de Paris affirment
; qu’il est inexact que M. Ferry ait reconnu que l’affaire dû
j Laurium relève des tribunaux helléniques.Un accord eom-
! plet à ce sujet continue à régner entre la France et TIt alie
1 et leurs représentants à Athènes.
L'Opinione donne les hases probables du projet minis-
tériel concernant les corporations religieuses; la loi ac-
tuelle de suppression serait appliquée dans la province de
Rome, la personnalité civile serait enlevée aux corpora-
1 ions dans la ville de Rome.
Leurs biens seraient convertis en rentes applicables au
même but qu’actuellement, et sans qu’il en soit fait une
opération financière profitable au gouvernement. — Re-
lativeni. ”' •»» '2 maisons de généralats le ministère a
l'intention lie les conserver comme elles sont, mais en
leur enlevant totalement la faculté d’acquérir ; leurs
propriétés seraient également converties en rentes.
liOpinionc dit que ce projet n’est cependant pas définit if.
Madrid, 20 août.
Le Roi ira de la Corogne à Santander. S. M. y arrivera
jeudi et reviendra ensuite directement à Madrid.
La frégate de guerre espagnole Numancia est arrivée de
New-York ; 32 cas de fièvre jaune ont été constatés à bord.
Huit matelots sont morts pendant la traversée.
Constantinople, 20 août.
Le gouvernement a fait saisir une brochure sur le droit
de succession au trône de Turquîe, laquelle a paru derniè-
rement chez l’éditeur Amyot.
DERIVIKRK IIIIUIIK,
Londres, 22 août.
Le prince de Galles est parti pour une excursion en
yacht sur les côtes de France ; il visitera en premier
lieu Dieppe, puis probablement Trouville et les autres
ports de la Manche.
A Belfast l’état était un peu plus satisfaisant hier
les rixes entre les habitants avaient cessé mais le
pillage des maisons continue ; des familles entières
quittent la ville, les classes ouvrières blâment haute-
ment le manque de fermeté des magistrats.
Toronto, 21 août.
Le gouvernement a reçu l'avis que des individus
avaient l’intention de faire une expédition contre le
gouvernement espagnol de Cuba.
Le gouverneur général a publié une proclamation
leur rappelant les conséquences résultant de la viola-
tion de la neutralité.
nouveauté en biscuits. — La vogue maintenant à Londres
dans labonne société est d’offrir aux visiteurs en guise de lunch
des Biscuits de Revalenta Arabica, fabriqués par ia maison I)u
Barry et O ; pour les personnes en voyage, et pour celles qui
n’ont pas de cuisine ils sont d’une utilité 'incontestable.
Ces biscuits se mangent en tous temps, soit à sec ou trempés
dansjde l’eau, du lait. café, chocolat, thé, viu. etc. ils rafraîehjs^
sent -la bouche et. l'estomac, enlèvent les nausées et- Vomisse-
ments, même en grossesse ou en mer, ainsique toute irritation et
toute odeur fiévreuse en se levn.Æa ou après certains pflats eom-
| prometants, teignons, ail. etc., qu boissons aleoofcaues, même
| après le tabac. Améliorant .(e/soirmeil, l'appétit et ta digestion,
■ ils Nourrissent, en même tempk.mleux que la viaudè/Motnierif fth
; sang pur et des chairs fermes et fortifient les personnes les plus
i atïaibliies.— En boites de fer-blanc de 4 et de 7 fr.
i LA REVALENT A CHOCOLATEE. - Dix fois plus nourissant
qné le chocolat ordinaire, cet aliment exquis purifie le sang, for-
j tifie et tranquillise les nerls et le cerveau, et rend les chairs
fermes. Purifié par des machines spéciales de tout ce qui échauffe
i dans le cacao ee chocolat convient aux personnes les plus déli-
| cates et aux enfants de faible complexfon : il rend l’appétit,bonne
1 digestion et sommeil refraîcliissant aux plus affaiblis, même à
ceux qui ne peuvent pas digérer le chocolat ordinaire.
1 En boîtes en pondre et eu tablettes pour faire§!2 tasses, fr.2.25;
' de 24 tasses. 4 l’r.; de 48 tasses. 7 fr.; de 120 tasses. 16 fr ; de 288
j tasses,32fr.;de576 tasses, 60 fr., soit environ 10 centimes la
i tasse dans ces grandes boîtes.
N.-B. — Dés ce jour une minuit suffira pour cuire la Revalenta,
i car moyennant un procédé bréveté nous avons réussi à la cuire à
i sec.
j Envoi contre bon de poste. — Dépôt à Anvers : Waersegers,
I Lauwers, Linzen-Clessens, Bischops-Jânseu, Van Reetli. i.ambo-
; Berkens, et chez les pharmaciens et épiciers. IGnnv nu
: ÏUmiv A 0.12. rite de4’ErnpMwiv. Bruxelles
Bulletin des Bourses.
Amsterdam, 21 août. — La Bourse a encore été en général
beaucoup plus calme que ces jours derniers. Les fonds liollan
dais se sont soutenus eu valeur, par contre la plupart des fonds
étrangers sont dépréciés.
caris, 21 août. — On a détaché aujourd’hui un coupon sur le
5 0/9 1871 qui resté hier à 86.65.se cotait85.40ex-coupon à l’ouvev-
tme du parquet. L’ancien 5 0/0 et l’Emprunt nouveau se tenaient,
le 3 0/0 à 55.20 et le 5 00 1872, à 88.45. Le 3 0/0 est remonté de55.20
à 55.40, le 50/0 1871 à 85.65, et l’Emprunt nouveau à 88.65.
Les actions des grands établissements de crédit et de nos prin-
cipales lignes de chemins de fer, demeurent complètement sta-
tionnaires. Le Crédit foncier fait 920 au comptant, la Banque de
Paris et des Pays-Bas 1322.50 et la Société générale 592.50.Parmi
les obligations, on tient les Foncière» 4 0/0 à 455. les 1863 à 443.75
et les Communales 3 0/0 à 358.75. l.es Lyon (fusion, font 282.25 er
les Nord 296.
Le 5 0/0 italien, après avoir débuté à 08.50. a repris à 68.70 ; le
Dollar est assez ferme de 100 â 106 1/4. ainsi que l’Extérienre es-
pagnole à 30 fr. Le Crédit foncier d’Autriche fait 947.50 et les Do-
maniales se négocient facilement à 274.25...
Londres, 21 août. — Les fonds anglais n’ont pas su se maiute-
nir ; on cote les consolidés 925/8 à 3/4 au eompt. et 92 3/4 à 7/8 sur
terme etles3p. c. nouv. et réduit 92 3/4 à 7 8. Le» fonds étrangers
sont sans changements.
Uëpécliea lèlégraphiqiiea.
BRUXELLES, 22 août.
(Cours d’ouverture)
Métalliques____
Piastres.......
Turcs..........
Ville de Paris..
Emprunt 1871..
. 1872..
603/4
VIENNE, 21 août.
(Cours de clôture).
Crédit mob. Aut. 341 10
Lots de 1860.... 103
» » 1864.....; 147 50
Napoléons d’or... j 8 73
Aut. rente pap... 66 30
88 60 Lombards....... ; - -
PARIS, 22 août. — (Cours d’ouverture!.
Emprunt. 1871.... 85 70 3 0/0 Espag. intér.. |---
Rente 3 0/0a terme 53 50 ?) 3 0/0 • 1869...-----
Crédit mob. franç.------ Morgan........................
Emprunt italien.. 08 70 Ville de Paris, 18711 ---------
Consol. Turcs 5 0/0----- Lots Turcs............|-------
Cb.deferAutrich. 796 — 7 0/0 égyptiens— -----
Ch.deferLomb... 495 — Emprunt 1871.............:------
6 0/0 A mér. 1882.... -- »• 1872....; 88 72
LONDRES 22 août. — (Cours d’ouverture;
923/4 a 927/8 50/0Améric. 1871.) 893/4 a 90
921/2 . 923/4 Pérou.......... — - * -
411/2.42- » pap........I ----. -
521/2 « 525/8 Chemins de fer :
641/4 » 641/2 Rotterd.-Anvers.
291/2 »-----; Luxembourg.....
671/8 . 673/8 Lombards..?.... 191/4 » 191/2
21/4- 21/2 Varna ~
4 - ». 41/4
(Cours d’ouverture). — Ferme
iCréd.mobil.Autr.l 3601/2
Bons Amér. 1882. 96 U/16
Ch. de fer Autr... 309 —
C .ü-'lidée auû'l .
5,20 b. Amér. 1882.
Ch.de fer lllin.act.
» Erie .
Kmpr. Turc 5 0/0.
. Ottom.1869
Espagnols 3 0,4)...
italiens 5 0/0..
Emp. franç. 1871.
Emprunt 1872____
FRANCFORT, 22 août.
Autr. rente arg..| 657/8
- « pap.. 6015/16
Lotsd’Autr.1860.. 941/4
23 - »
Turcs.
511/4
Lombard».,
2251/2
l .otw rie Hongrie à fl. ÎOO de 1870,
Au 9e tirage au sort, qui a eu lieu le 14 août à Pesth, 1
18 séries suivantes, de 50 pièces chacune, sont sorties :
432 1138 1369 1845 2502 2983 4414 5040 5610
769 1288 1557 2106 2521 3900 4670 5329 5745
Les principaux prix sont échus aux numéros suivants :
Série -2983N»38..
» 769 . 37....
« 1557 » 42....
» 2106-30....
» .2502 » 48___
» 2521 » 14....
» 2983» 34....
» 769 » 27....
' »» 1288 » 33.::.’
» 1369-22....
» 1369-31.,..
» 1369-82....
fl. 150000
15000
5000
1000
1000
1000
1000
500
500
500
500
500
500
Série 1845 N° 15.
2502 » 1...
2a02 - 5*..
2502 - 14...
2521 - 33...
2983 » 45...
3900 »» 14...
4670 » 15...
5040 » 6. .
5329 - 22...
5610 - 10...
5745 » 21.,.
fl. 500
.» 500
- 300
» 500
» 500
» 500
» 500
- 500
- 500
- 500
- 500
- 500
Les autres numéros eompris dans les séries ei-dessus sont
remboursables par 112 fl., à partir du 15 février 1873.
Spécialité de bijoux pour deuil.
Véritables jais anglais et français ; modèles nouveaux,
toujours en grand assortiment. *
Maison le lorrain ; Anvers, 9, rue des Douze Mois ;
Bruxelles, 51, rue de l’Ecuyer ;
Liège, 87, rue de la Cathédrale.
t
Le service funèbre suivi de l'inhumation, de dame Mncie
Catherine Meeuweno, épouse de M- «loseph Ce-
ve.au. décédée à Ostendo, rue de l’Est, 37. à 1 âge de 33 ans.
6 mois et 9 jours, aura lieu vendredi 23 couraiit.a 0 heures du
matin, en l’église paroissiale des SS. Pierre et Paul.
Les amis et connaissances qui. par oubli, n’auraient pas reçu
de carte de faire part, sont priés de considérer le présent avis
(■•mime en tenant lieu. 2001
THEATRES, CONCERTS, ETC.
Cercle art isf Ique, 111 iérnire *-t sclenfiliqiie —
Vendredi 23 août. & H 12 heures du soir, concert, donné par
le corps de musique du 5» régiment de ligne, sous la directiOude
Antoine.
PROGRAMME : ]. Marche des soldats de Faust 'Gonnoil . «
2. Le Voyage en Chiné,ouverture Ba/.iu . 3. Les Diamants île
la Couronne, fantaisie avec variations (Auber). — 4. Varsovie,
polonaise concertante (Duyck). — 5. Une Folie à Rome, introduc-
tion et valse F. Ricci). — 6. La Muette de Portiez, fantaisie sur
les principaux motifs de l’opéra 'Auber . — 7. Les Bébés, polka
imitative (Julien).
coton Santos, disponibles par Vidar, a fr. 115 par ;
CUIRS. —.On a vendu aujourd’hui les quantités s
PARTIE COMMERCIALE
Place d’Anver» dn 2S Août.
MBOI.S DE TEINTURES. — Nous connaissons la vente de 30.000
kilos eampêche Haïti de Port-au-Prince, en débarquement par
Aline Emma.
BOIS D KBENISTERIE. — H s’est vendu aujourd’hui 42 hlocs
bois d’acajou Tonala (Mexique) ex-Leif.
CAFES. —Le marché pour cet article reste maintenu en très
bonne position, mais les hauts prix demandés par les détenteurs
entravent les affaires. Les transactions en cafés Haïti, dont nous
avons parlé hier.comportaient 1,610 sacs Gonaïves par Johannes,
2060 sacs Aux-Cayes par Catherine et Mary et environ 4u0 sacs
en revente.
CEREALES. — Le marché pour froment est calmé et les prix
sont moins fermes. On a seulement cité quelques petites ventes
de detail en froment roux danois à fr. 35.25 par 100 kilos. Les
autres grains sont négligés.
COTONS. — On nous a fait connaître la vente de 650 balles
"" ' ' " 50 kilos
suivantes
coins SECS DE BUENOS-.VYRKS.
— ...... 200 b,ts, mat., 15 1/2 k., p. La Place, à fr. 150.
CUIRS SALÉS SECS DE BAH IA.
Du r» 61... 280 cuirs, 13 1/5 k„ p. Helene, à fr. 110.
CUIRS SALÉS DE MON’TE-VIDEO ET DE I.’URUOUAV.
Solde n“ 355 500 Urug., h/fs. 25/30k., p. Aurélie, ;ï fr. 85.
Du no 314.. 500 » « 25/32 k., p. Criterion, â fr. 84 1/2.
On a vendu sous voiles par Soli de B.-A., connaissements
12 juillet. 2249 sa lad. b/fs 66 88/1006 e»p.,à fr. 86 et par Ocea-
nita et Rosita, dans le port, tous les b/fs île 28 kilos et plus, à
fr. 84, à provenir (les 2800 salad. Galeguay b/fs 61 85/1008
à bord de ce navire.
FRUITS. — I.escorinthes de Céplialonie ont donné lieu, au-
jourd’hui, â la vente de 300 barils, récolte de 1871, aux environs
de fl. 12 1/4 entrepôt par 50 kilos.
LAINES. — Marché ferme. On a vendu aujourd’hui 89 balles
Plata suint; 49 balles-Piata lavée â fond et 26 balles Afrique
suint.
PETROLE RAFFINE. Payes. Vendeur.-.
Disponible blanc............. 46 — à 47 — 471/2 i 48 —
Salon nuauee et quantité.
Par nav. dans le port..............»--------------------
Jauvior...........................................•-----
Février...........................---------------•------
Mars......................... - _ .----------- - -------
Avril...............................-------------.------
Mai................................. -
Juin...............................•------ -------------
Juillet............................. — — ■ *----
Août .......................... 46 — . — — 461/2------
Septembre.................... 40 — »------ 461 2 -------
Octobre...................... ..... .-------- 47 «----
Novembre..................... ......---------47 1/2 •---
Décembre..................... - - •-------48--.---------
4 derniers mois................ 46 1/2 •--461/2---------
3 derniers mois.............. •-----------47 _
5 derniers mois.............. - — •-------461*2---------
Par navires en charge..............
Marché calme.
RIZ. — Les riz pelés des Indes Orientales restent maintenus
sans changements dans les prix. H s’en est de nouveau vendu
aujourd’hui 800 balles Nécransie nouveau.
SAINDOUX. — Marché sans changements dans les prix et à
peu près sans affaires. La marque Wilco.v. disponible reste en-
core toujours tenueà fl. 2512 par 50kilos,
SUCREs BRUTS INDIGENES. - Ou cote :
Sucre à 88 degrés, disponible........... fr. - i--------
*•- - « sur juin................. - ......----
• - - sur 4 mois d’octobre....... 63 — - -- -
- blanc n» 3. disponffiie............ • ----- -....
Mélasse indigène de betterave........... . g 50 «-------
SALAISONS.— Nous avons une forte hausse h renseigner
aujourd'hui sur le lard salé sec d’Amériqu,'. sous l’influence de
l’active demande qui a régné pour la consommation et pour
l’exportation. On a vendu, eu diverses parties, 350 caisses
long middles. disp., de fr. 95 1/2 en hausse (iiaque fr. 97 entrepôt :
400 caisses short middles, disponibles de fr. 10,* en hausse jusque
l’r. 107 1/3 entrepôt; 100 caisses tong et short middles, disp., à fr.
102 entrepôt et 200 caisses long middles, â livrer, embarquement
août, a fr. 97entrepôt par 100 kilos,
DÉPÊCHES COMMERCIALES,
août.- (H.-B.-R.) — FARINES : s marque»,
les 159 k. esc. 1/2 0/0). **i. S».
Courant du mois............... 65.75 65.50
Sept.-oct................... 60 25 00.
4 mois novembre............... 59.25 59.—
HUILE de colza les 100 kil. (hors barrière esc. 1 0/0).
Courant..................... 89. — 89.25
Sept. -oct.................... 89.50 89 50
4 derniers mois............. 90 50 90.75
4 prftxnip.rs inriî 3........ 91.50 92. -
HUILE de lin les 100 kil. entrepôt. (Esc. 2 0/0).
Courant du mois.............. 102.75 102.50
Sept......................... 101.- 99.75
4 derniers rooi»............. !»t.— Sff. —
ESPRIT : 3/6 Nord fin (i'heeî. 90 dsgrés, entr. Esc. 1 0/0).
Courant du mois.............. 49.50 49.50
Sent.-oçt................... 50.50 50 25
4 derniers mois............... 51.— 51.—
4 premiers mois............... 53.— 53.—
SUCRES bruts (les 100 kil. bonne 4e n° 12;.
Disp, et courant du mois (88 deg.). 09.— 69.—
Blanc 3» disp................ 78.50 78.—
Raffiné - (2 prix extrêmes)... 156/157 156/157
HAVRE, «I août. - (H.-B.-R.) - Clôture. - COTONS :
Ventes 1100 bail. Demande régulière, prix fermes et bien tenus.
Louisiane disp. fr. 125â 126: àterme ferme; vendeurs rare». I(es
cotons Surate sont soutenus aux cours précédents,
LONDRES, S» août. - (H.-B.-R.) — CEREALES :
Cargaisons de blés arrivées 4.
Cargaisons de blés à vendre 6.
L1VERPOOL, août. - (H.-B.-R.) - (Ouverture».
COTONS : Ventes probab. 10,000 b. Marché ferme. Importations
de ce ionr 20,000 balles dont2000 b. des Indes et- 6000 b. du Brésil.
Beau temps.
LIVERPOOL, S» août — (H.-B.-R). — Clôture. —
COTONS : Ventes 12,000 balles', dont 2000 b. nous» la spéculation
et l'exportation. Marché ferme.
On cote ; Middling Uplaiid 9 15/16d.: dito Orléans 10 l'4d.
GLASGOW, «1 août. — FONTES : Marché très
calme. Oa a pavé 127s. eompt. sur vendredi. On clôture avec
vendeurs à ce prix et vendeurs â 6d. de moins.
HAMHOUHG.Slaoût.- CEREALES : Froment par
20008 Holl. mk bco : 153 00/ s/sept.-octobre; 150(4)/ s/oct.-nov. et
148 00/sur nov.-déc. Seigle par 20038 Holl. mk bco : 96 00; sur
sept./oct., 97 00/ s/oct.-nov. et 97 00/ sur nov. -déc.
HÜ ILE de navets : Disp. 23 00/; sur oct. 93 00/: sup mai 23 1/2.
CAFES Ferme et sans changement- On a vendu guOO h.
ALEX4KDIRIE. 1») «mit — CEREALES : Froment,
de Saïda, 36s Ou. Behera,36s. 6d. Maïs, 24s. 6il. par quarter.
Frets : Par steamer pour I.iverpool, 3s. par quarter.
AEU’.YOUK.Ï I nom.-(H.-B.-R.) - Par câble rr^n»
*f». *ïl.
COTONS : Middling Upland....... 218/4 217 >
DCTU/.I TT» . r- GH ^..
IMEPWASIG, i (t «tout —(soir). ETAIN *35.85. — POlVm.»
noir 12.00 : s poivre blanc 23.00 s. - NOIX deVmiseade liiu
la 8, 74 s. - SUCRES : De Penang N»>2 s-; dito deBaX?
n° 2. — $. — PEAUX : de buffles s 8.75; dito de vaches» |fi 6
TAPIOCA ; S4.70. - MACIS : s 105.
Changes : Traites de Banque sur Londres 4s. 6 1/2-1.
Frets : Poûr Londres 75s,
TRI.KfiRAMMKI» RT AVI»» DARTICLLIRIU
i COLA H, St» nniïl. Voici les prix du marché •
Ft om.,100 litr,-,fr. 29 - h. 2 00 i Fèves à chcv.. fr. 18 — h. (j'i
Pol< 1res
Seigle......
Sarrasin........
Avoine, 1 1/2 sac
Orge d'hiver...
» d’été.......
Fèves â pigeon?
00 i Fèves à chcv.. fr. 18 — h. Oui
o. I 00 Graine de lin.....25 — i, o nu
b. 109 j Pois.,..,..,,.... 17 - h. oixî
2i:
13
18 50 b. 0 50 j Lin, les 3 kilos .. 6 20 h. fl »
12 50 b. 1 00 Pommes de terre 6=60 b. o ùï
13 50 h. 0 00 Beurre le kilog... 3 20 h. 0 S!
U 50 h. 0 10 ! Foin. 100 bus.... 31 — b oui
16 h. 0(0 i Œufs, les 25 . 2 26 b! 0 01
BRUXELLES, S* août. - GRAINS marchands :
" indigènes: | Orge nouv. (5 k. fl. 7 07 à 7)0
Froment,80 k., fi. 15 16 a 15 18
* nouv. » » 14 08 - 15 01
Seigle... 75 - - 7 10 » 714
- nouv. •> » 7 08 - 7 14
Orged'hiv65 » - 7 12 - 7 14
- d’été.. - » 6 66 - 0 12
Le marché aux grains avait un approvisionnement de 24
kilos de diverses céréales vendus aux prix suivants :
WIOk... fr. 17
Grains étrangers par 100 kil
Froment.....'.fr. 33 50 a 37'.
» blanc .... 35 50 » 36 -
Orge du Danube.. 17 - . 17 =
- de Frise..---------- _ .
Prix moyens officie!.; ;
FromentlOO Kil.fr. 31 16 b. t ,»»
Seigle, 100 » « 17,80 b. 9 0,!
Avoine, 100 •• » 16 24 h. 1) 00
Colza, 103 - - 36 — b. n 00
Prix du marché :
FromentU10kil.fr. 30 — a 34 —
Seigle, 100 « - 17 75 - 18 —
Avoine, 100 •• - 15 50 » 18 25
Colza. ICO - .. 36 — -------
FARINES : On cote la qualité superfinedîspun. fr. 4: _
à livrer sur septembre fr. 41 à 42. les 1(H) kilo».
HUILES ; Marché calme. De colza, disp., fi. 58 1/2. s les 4 djj.
niera mois fl. 58 1/2. les 1.20 kil. : celle du lin fl. 65(Ki/. les 1»2 ki!
TOURTEAUX : l)e colza fr. 17 50 à 18, de lin fr. 21 50 à 25 u
100 kilos.
GRAINES : De colza fr.38â 3S» .70. de lin |r.36â36-50. les 100 kil.
Voici les prix du marché :
KTOUPES ou déch. de lin ;
U quai., 100 k., fr. 53 — a C0 -
2« »• 33 - » *1 ..
> - 26 - - 32 _
4® - 18 — - 22 -,
TOILES : Marché calme et p'j-lx
m
Oublient et pilule» «l'Ilollowsiv. - Aide efficace.
— Daiis le cours ennuyeux d’une maladie, il'est agréable d'ap-
prendre qu'il existe un remède pour la guérison et qu’on peut se 1
le procurer à bas prix. Les pilules d’Holloway sont précieuses 1
pour soulager les peines, diminuer les inflammations et rétablir I
la marche des fonctions dérangées. Elles ne peuvent jamais être i
employées à tort, et dans aucun cas, elles ne peuvent nuire. I
Prises en doses appropriées, elles sont un bienfait pour le riche
qui souffre d’une indigestion, de la goutte, de maladies de peau, i
etc., et un sauveur pour le pauvre qu'une maladie a renversé. I
La médecine d’Holloway devrait être en la possession des soldats, '
dns marins, et des émigrants qui seraient, aiusi à même de sou-
lager eux-mêmes lenrsdoulenrs et. de guérir leurs maladies, lors- i
que l'assistance médicale leur fait défaut.
PETROLE : Raffiné a New York...... 22 i 2
w Staaft, white APhiladelp. 22 — 2134
MAIS............................... 61 - 60 -
FAIUNE............................ 7.20 7.15
FROMENT roux du printemps......... I 50 1 50
CAFE Rio.......................... 163 1 103,4
SUCRE Havane n» 12................ 912 9 1,2
SAINDOUX : Wilcox................. 95.8 9 ! 2
l.ARD 1/2 short 1/2 long mid.......... 8 — 8 ,
Changes : Sur Londres 30 jours.... las 7.3 1,9 • -
Snr Paris (par t en or». 5.2719 5.27 1.2
( Fias haut......... 114 14 lit
Cour» da l’OR : Plus bas......... 1133/4 11378
I Cours de clôture 11114 114
Bon» américains 5/20 (1885 ....... 116 1 4 116 —
• • <1871 ........ 1123/4 112 1-2
Chemin de fer Illinois............ 130 — 130 —
• • Erie................ 46 — 493 4
• « Chicago............. 8312 SJ 12
• » Centrai Pacific..... 915 4 913,4
Actious Union Pacific............. -- — -- —
(i 0/0 Gold bonds................................ —
7 0.0 Land granî hondR................ — — — —
COTONS ; Recettes de ce jour dans tous Ma ports - balles.
F-.'eiv • Peur I .iverpoel. cetnn H • cirkslei, 00/d. p.ir hnshel
SsT.VG 16 août, fsoirl. - POIVRE: Blanc de
Rliio $ 22; noir de Singapore $ 12 1/6 leiden! ,,60 k. 453 gr.»
CAFÉ Bontyne : U 1/2*. — ÖAMBIER : Ordinaire *4.25 le pic.
- ETAIN Malacca : * 37.75; FARINE de sagou : * 2.45. -
S.VGOU perlé : s 2.97 1/2.
Changes : Sur Londres, à 0 mois, 4s. 0 194.
Frets : .Pour Loodres gamhierOOs. 0,1. par fou.
UEWZE, «I août.
From., l’hect., fr. — — à — —
Seigle.............>■ — —
Pommes de terre 0 — - 7 —
Beurre, le kilo... 2 45 - 3 —
Œufs, les 25....... V 89 * 2 07
RE1VA1X, VI août. ____ .. , .
sans changements. -46 pièces de toiles ont été exposées eu vent*
et 26 en ont été vendues aux prix suivants :
4/4 on 70 à 73 centim. fr. 0 45 à 0 30 le mètre.
4'4 1.2 on 84 à 87 centim.. >• 0 50 » 115 -
LIN : Marché peu fourni et prix irréguliers.
ETOUPES et DECHETS : Marché nul.
GRAINS : "Voici l'es prix moyens du marché de ce joui»;
Frórn.,Thect., fr. 24 50 b. 2 01 ; Féveroles 100 k.. — — h y w
- roux.....24 - h. 1 50 ( Or. de lin 70 kil..-b. 0 uû
Méteil....... 16 00 h. 1 tO i P.de terre 100 k.. 0 50 h. 1 5g
Seigle......... 12 50 b. 0 5) Beurre le kil. 2 60 b. 0 lu
Avoine......... 7 — b. 0 ( 8 ‘ Œufs, les 25. 2 10 b. 0*
SOTTEOHEM, 90 août . -- Voici les prix parlOOkil •
Froment....fr. 35 — a 37 , Fèves........ 20 50 à 21 ài
Méteil....... 22 75 » 23 75 ! Beurre par kilo.. 2 25 » 2 63
Seigle........ 16 — - 17 , Œufs, par 25. 2 - •’ ly
Avoine......... 14 50 - 15 50 I/in par 3 kilos... 3 90 » 45,,
ST-TIkO!AïI>. VI «oui. — On a payé les prix suivants
Froment lüü k. fr. 30 80 h. 0 (k) [ Orge. 100 k... .fr. 10 50 li. h ni
Seigle......... 17 50 b. 0 00 I Avoine ... 14 25 h. ûûj
.%MH ri-:tui6 VAS. VI août. — TABACS : Sur place ou
àv»ndu24 boue. Maryland, par Industrie, et à Rotterdam lu
P au. Java, marqué Kediris,P, par IL W. M.
EPICES : On a vendu par inscription 13 e s 4 bqs noix de om
eade et i c/se macis, par II. W. M.
CEREALES: Froment sans variation ; big. do Pui, fl. 395 jo
mois avec 1 0/0 esc. et par‘2400 k. — Seigle disp, soutenu ; Prusse
fl. — ; Amérique fl. — : Pétersb. nnuv. il. — ; dito suranné fl. Ip.
Galatz nouv. fl.— ; dito vieux fl. —; Odessa vieux II. — ; Ta-’
ganrog échauffé ti. 152: dito moindre ti. — : Oenetschek fl -•
le tout au compt. sans esc. et par 2100 kil. A livrer en légère
haussé; octobre fl. 177 176; mars fl. 184.183.
GRAINES ; De colza en hausse de 4 fl.; Waard et Groet fl - »
sur 800 kil. huile disp. fl. — ; en octobre fl. 3(1.3 ; nov. fi, —. puh)
sen disp. II. —. De lin en même position ; U3/4 a Kertch fl. Sfi
HUILES: De colza disp, sans variation: s/auumme un r,ei
plus ferme; 46 sem. par 100 k. fl.41 1/4; disp. (i. 40; envilliV'B
— : Bombay II. — ; sept, et oct. fl. 397-»8 i 40 ; nov. et déc. n m
à 40 1/4 ; s/mai 1873 fl. 41 a 41 i/4. De lin disp, ferme : à livrer en
hausse: 4 6sew. parlOOkil. fl. 433,4: disp. 11. 42 1/2; sent t:
417/8à 42 ; oct. fl.41; nov. fl. 39 3/4; déc. fl. 39; mars, avril «
mai 1873fl. 38 1/2 à 38 3/4. De cbaur-e à 6 sem. fi. —: disn fl
TOURTEAUX: Decolzatl. S2à88.De lin fl. 12414 ' ' ’
PETROLE raffiné : Par 100 kil. en cons. fl. 24 1/2 aeq.
ROTTERDAM, VI «out. CAFES : Voici le résui,
tat de la vente publique des 83.603saus café Java, Monado et l’a
dang. tenue par la Société de Commerce, 4 Rotterdam, le »2i
août) 1872 :
DESCRIPTION.
Déposé à Rotterdam.
Java.Pékalongan pâle verd.,
un peu bigarré.........
» Pékalongan pâle verd.
un peu bigarré .......
» Solo vert, a/p. grisâtre,..
- Solo verd, hig,. u/p. gris.
47 -
40 1 v
>6 1 2
U
5712 •
5534 -
50 - - 51 -
431'J - 48 9
U 1/2
- 481.'
321
Déposé à Amsterdam.
Java,Préanger brun,u/p.cend. 59- 4 — — . -,8 ] -
» Préang.bean jaune foncé. 157 I (2
» Préanger bon jaune......155 —
» Préanger bon blanc......j 40 —
- g« Préanger. hl.,u/p big. |48 12
*> gre Préanger. blanc jau-J
nâtre, un peu cendré...1491,2
» Pékalongan pâle verd.J
un peu bigarré.........'47 —
« Pékalongan pâle »
un peu bigarre......
- blanc, un peu jaun-, u/p. j
. cendré, qques fev. ava'r.. 48 - -
» bon hlaac, u/p. big. qq.j
fèves avariées.........|48 — »
- blanc, n/p big..qq. f.av. j-48 - -
- blanc cendré moisi, avec;
des fèves avariées.....|4i —»
>• Malatig vert, quelques,
fèves rousses et mortes. '4612 »
» Malang vert gris foncé..
moisi quelq. fèv. noires.. |4û — »--- —
Ménado.jaun., qo. fàv. aval»...'55 U2 •• —'58 -
» jaune,qques fèv, aval'.-,.-57 — » — —[583*1
» blanc, qqijes fèv. avar... 157 1 '2 » — 57 1 4
« blanc, un peu big., u/p.i
moisi, qques fèv. aval»... '3812 » — —1503'4
Pays-Haut jaune
-----!48 -
46;
Padang.dn Pavs-Haut
hig,.ii/p. cendré,qq. f.av.
» diiPays-Hautblanc.jaim.
big., qques fèv. avar_
» du Pays-Haut blanc big..
quelques fèves avariée»
i4714 » 4712
47 H
471/2 » - '17 ! 4
Déposé à Middolbourg.
Il 8429i Java, blanc jaunâtre, qq, lèves! i
-J , - J et, «variées...Us ],2 ... .. ' w _ 431
~ I'?! * JW u/p hig qq.f.m.etav. 491,2 - - -I.48U2 - 4S3
3! 641| » blanc, u/p. big., qq.f.av.*471/2 » - -
Déposé à Dordrecht.
1473/4 .
2705
Java.Tagai bon verdâtre aveel
des fèves blanclios ... 461/2 •> —
» Ta gai boa verdâtre, avec j
des fèves blanches.....j47 — - — ■
- Tagal verd., un peu pâle)461'2 ~ -
Déposé à Schiedam.
Java,Malang bon verd,,qq.fèv.
rousses...... ..
» Mal,vert, qq. f.rous.et bl.
» Mal. pâle verd.,qq.f.rous,
» Maiang vert gris foncé.
463/4
461/2 »-------463/4 » 47 -
47------------[47----------
46 12 -- 47 - ...- -
44 - »-------451'4 »• 4512
46 —........- 46 1:4 » 461'-'
«il« »--------4612 40 S 4
moisi, av.des lé
Tenger verd., u/p. 1
Bang. bon verd.,u/p.
TOUT VENDU.
êCHIEDAM, ai noilt. - SPIRITUEUX: Moutwyu
fl. 16.25 : genièvre fl. 21.75. et. preuve d'Amsterdam fl. 23 OU.
CEREALES : On a fait du seigle nouveau de France par '/loi
kil. a fl. 194 à 6 sem,, fl. 195à 3 meis, et de l’orge de Liban par
1950 kil. à fl. 1Ö2 eompt,
LILLE, 191 aoiM. - SPIRITUEUX : 3/6 fin disp, fr.49. â
—, courant du mois fr. 48.75 A 49 ; de betterave disp. fi». —
â — : do mélasse disp. fr. 50.— à —, 1 heet. 90 depris.
SUCRES indigènes 88 degrés fr. -à —7 à 9 fr.73.-
à —. — ; pain, 6 kilos, n° 1 fr. 163.-
HUILES, l’hect.:
Colza indigène... 84 50 è
» épurée....100 50 •
Œillette rousse.. —, — .
Lin indigène,,
a étrangère.
Chanvre.......
Cameiine___
GRAINES, par hectolitre :
Colza indigène... 15 — a 27
Lin indigène...27 — â 28
» étrangère... 26 — » 27 -
Chanvre........ 16 — • • -
C-amélino......20 — - 12 -
TOURTEAUX, par lUïkil.:
Colza.......... 16 — à 18 -
(Eillette...... là — • -
Un i ndigôue..... 25 — » 2Ö -
» étrangère... £2 - . 23 I
Chanvre .. .................
Cameiine....... 17 70 » 18
tltRAH, StOaiiui. Voici les prix du marche
ni.-* ".»»’. HUILES:
Œil!, supei'fi .!ï».m
» a froid..... -
Colza dispon____m -
» qtlinqueu,..------
Mo.............. 96 -
Carnélina....... s; ■
TOURTEAUX :
(Fillette. 104 kil.. 14 5»
Colza........... 17 2Ï
Lin...................
Caméline..............
CEREALE.'
Blé hlanc...fr. -24 — à -26
» roux....... 21 — » 24
Seigle......... 10 50 » 12
Escourgeon..... 9 - » 13
Avoine.......... 6 — » 7
Orge.......................
GRAINES :
Œillette....... 32 75 â 83
Colza.......... 25 — » 27.
Caméline....... ....» - ••
Lin ........... 26 25 » 27
PARU», îfl muii. - FARINES : La journée commenM
avec des prix soutenus, mais des affaires un peu restreintes. Le»
huit marques en courant da mois ont débute â i'r. ('5.7.0. puis se
sont acheminées lentement vers le prix de 65.75 : on a terminé »
la réunion de midi à66. Le livrable sur septembre et octobre est
ferme à 61.25; !et 4 mois de septembre fr. 00.25. puis 60 70: 1,H
4 mois de novembre â fr. 59.50.
L'aprés midi, il s’est fait peu d’affaires et les cours sont molli»
bien (émis. Ou termine la journée beaucoup plus lourdement
En huit marques; Le disponible fr. 66 .50; courant de moi» h».
65 a 65.25 ; septembre et octobre fr. 00.CO: 4 mois de septembre
fr. 60 a 60 25; 4 mois de novembre lï». 597.9.25. En farines su-
périeures : Le disponible Ir. GG à 06.50; courant, de mois fr. 65.2»
a 65 74) ; 4 mois do septembre fr. 7,7.50 ; 4 mois de novembre n-
76.7,0. Le sac de 159 k.. toile perdue, eu entrepôt, au comp-
tant, avec esc. 1,2 0/0.
Les farines de consommation ont toujours une vente facile,
grâce au dégarnisseroentde la boulangerie qui attend apres les
marchandises quelle achète au jour le jour: ainsi la inarqu»;
Darblay vaut 68 f:».: les premières marques du rayon de 68ét*
I'r.: les farines premières de tous pays de 65 à 67' fr. la sac (de U'
k. Toile à rendre, franco au domicile des acheteurs, au comp-
tant, avec esc de i/2 (l/û on â 3Ö jours saus esc..
ANATION j PRIX
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4 » 47 1.2
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