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PAYS-BAS.
La Haye, 15 juillet. J
C’est mercredi prochain, 17 Juillet, qu’aura lieu à Utrecht ;
1’assemblée générale des comités qui se sont occupés du ;
témoignage de reconnaissance que le pays veut élever à :
Thorbecke, en mémoire des services, que ce grand homme j
d’Etat a rendus aux Pays-Bas.
Un certain nombre de projets seront soumis àlaréunion. j
Le premier consiste dans une statue qui serait élevée au :
regretté ministre ; le second dans une plaque commémora-
tive appliquée sur la maison de Zwolle, où le grand homme j
est né ; le troisième dans un monument avec inscription
élevé sur sa tombe ; et enfin le quatrième dans l’achat de
la maison, où Thorbecke habitait avec sa famille, et dans
le don de cette maison aux enfants de l’éminent défunt.
C’est en honorant la mémoire de ses grands hommes,
dit à ce propos le Vaderland, de La Haye, qu’un pays
prouve la reconnaissance que lui inspirent les nobles
vertus et les loyaux services de ses enfants illustres,
et donne, à ceux qui les suivent dans la carrière politique,
le désir de s’illustrer à leur tour. Nous ne pouvons done
qu’applaudir à ces justes et honorables manifestations,
dont, â l’étranger, on comprendra d’autant mieux l’imppr-
tance qu’elles n’ont rien d'officiel, mais au contraire
qu’elles ont un caractère absolument volontaire et privé.
Certains journaux réactionnaires ont profité de cette
■ ouscription publique, qui les tourmente et les contrarie
plus qu’on ne saurait dire, et aussi du projet de loi qui
alloue aux fillesde Thorbecke une pension de quatre mille
florins, pour prétendre que notre grand ministre, qui est
mort dans une honorable pauvreté, avait de son vivant
touché au budget des sommes assez importantes pour qu on
ne songeât pas à donner à ses enfants de nouvelles of-
frandes pécuniaires.
Or M. Thorbecke, pendant les vingt-quatre ans quila
été aux affaires, a louché, ce sont ces mêmes journaux qui
le disent, cent quatre-vingt-dix huit mille florins, c est-a-
un peu plus de huit mille florins par an et il leur semble
que ces cent quatre-vingt-dix mille florins « dont le grand
homme a joui, constituent un témoignage suflîsant de re-
connaissance. » ,J
Les gens, qui écrivent ces lignes, oublient que cet argent,
■dont iis font si grand fracas, n’est pas un témoignage de
reconnaissance du pays, mais tout simplement les appoin-
tements qui étaient dus à M. Thorbecke, pour les fonctions
qu’il remplissait dans le gouvernement. Tous les ministres,
grands ou petits, bons ou mauvais, ont touché et toucheront
pendant le temps qu’ils seront aux affaires, des appointe-
ments identiques. Et nous ne croyons pas que le parti
réactionnaire, quand il accepte les portefeuilles, refuse
les émoluments. Seulement il est des ministres qui sont
adroits et s’arrangent de façon à ne pas quitter le minis-
tère avec des poches absolument vides ; ceux là n ont pas
besoin de nouvelles offrandes pécunaires, mais on ne leur
élève ni statues, ni monuments.
C’est égal, à l’étranger on en rira bien. Avoir eu un
grand ministre,un grand homme d’Etat, un honnête homme
à la tête de son gouvernement et regretter, après sa mort
les dix sept mille francs dont on rénumérait ses services;
vrai, c’est raide. Les autres Etats de l’Europe ne sont point
habitués à des prix aussi doux; et nous sommes certains,
qu’ils consentiraient volontiers à ce que le parti, qui re-
grette ainsi son argent, exportât chez eux quelques-uns de
ces grands citoyens, qu’on n’hésiterait pas à rémunérer un
peu plus largement, sans songera leur reprocher plus tard
leur traitement en le déguisant sous le nom de témoignage
de reconnaissance.Mais pour exporter des grands hommes
d’Etat, des profonds politiques et des ministres remarqua-
bles il faudrait que le parti réactionnaire en comptât, quel-
ques-uns dans ses rangs, et c’est justement ce qui lui
manque.
Voici une anecdote relative au nouveau ministre de la
guerre hollandais, et qui prouve qu’on peut être un excel-
lent soldat, appartenir à une des premières familles du
pays, occuper un des premiers postes de l’Etat sans cesser
d’être simple et de détester le bruit inutile.
C’est une vieille habitude adoptée dans tous les minis-
tères, que chaque fois que le ministre arrive, le portier
sonne à grande volée une grosse cloche, qui apprend à tout
l’hôtel, personnel, employés, domestiques que son Excel-
lence est arrivée. Il y a quelques jours, y. E. le ministre
de la guerre, rentrant de courses, s’approche du suisse qui
remplissait son emploi en assourdissant tout l’hôtel.
— Cessez, lui dit-il, cessez tout ce vacarme.
— Mais Excellence, objecta le portier, c’est l’usage et
vos prédécesseurs.. . . .
— Mes prédécesseurs avaient leurs raisons et moi j ai
les miennes. ....
— Mais je croirais manquer a ce que je dois a votre
Excellence, si je n’annonçais pas sa venue, commeje le
faisais pour les Excellences qui l’ont précédée au ministère.
—Vous oubliez.réponditle général, que les ministres, dont
vous parlez, n’avaient pas comme moi une jambe de bois.
Croyez-moi, cette jambe fait assez de bruit, sans que vous
ayez besoin d’y ajouter le tapage de votre cloche. J’annonce
moi-même mon arrivée, cela fait compensation.
BELGIQUE.
ANVERS, 18 Jxxillet-
Les audiences de la Chambre des Vacations du tri-
bunal de première instance d’Anvers pour les vacances
de l’année judiciaire 1871-1872 sont fixées comme suit:
Audiences civiles ; 23 et 26 août; 6, 9, 20 et 23 sep-
tembre ; 4 et 7 octobre.
Audiences correctionnelles : 24 et 27 août ; 7, 10, 21
et 24 septembre ; 5 et 8 octobre.
Ces audiences commenceront à 10 heures du matin.
Le président de la Chambre des Vacations siégera
en matière de référé les jours fixés pour les audiences
civiles, à 9 heures du matin.
La Chambre des Vacations sera composée pour le
Erëmier mois de MM. Van Cutsem, vice-président. De
ray et N..... juges, Lize, juge suppléant, Wouters,
substitut du procureur du roi, et pour le second mois
de MM. Smekens, président, Boonen et Liebrechts,
juges, Van den Peerenboom, substitut du procureur
du roi.
GARDE CIVIQUE D’ANVERS. — ORDRE DU JOUR.
Service obligatoire pour toute la garde.
Dimanche prochain, 21 juillet, grande revue annuelle
pour tous les officiers, sous-officiers, caporaux et gardes
des 4 bataillons infanterie et des trois corps spéciaux, à
l’occasion de l’anniversaire de l’Auguste Fondateur de la
Dynastie Nationale.
A 8 heures précises du matin, réunion en grande tenue,
chaque bataillon à son lieu ordinaire.
lrbataillon, Grand’Plaee.
2* « Longue rue Neuve vis-à-vis la Banque.
3« » Piace do Meir vis-à-vis le Palais.
4» » Boulevard des Arts vis-à-vis la statue du Roi.,
Les chasseurs-éclaireurs Place Verte.
L’artillerie Marché aux Grains.
La cavalerie Place St-Georges.
MM. les rapporteurs, quartier-maîtres et docteurs Place
de Meir.
Le présent avis tiendra lieu de billet de convocation.
Aucune exemption ne sera accordée aux officiers ou
gardes.
L’appel sera fait à l’heure juste, les absents seront rigou-
reusement poursuivis devant le conseil de discipline et rap-
pelés jusqu à ce qu'ils aient fait leur service.
Le rappel sera battu à 6 heures. Il ne sera pas battu, si
le service est contremandé.
A 11 3/4 heures du matin réunion du corps d’officiers
Hôtel-de-Ville, bureau de l’état-major, à l’effet de se rendre
au TeDeum qui sera célébré ledit jour à la Cathédrale.
Anvers, le 18 juillet. Le colonel-commandant,
JOSETH DAVID.
Les médecins de service siégeront la veille de midi à
une heure, au bureau de l’état-major.
Nous apprenons par Y Indépendant, d’Arlon, que
le conseil communal de cette ville a nommé M.’üau-
riac, d’Anvers, directeur de l’école industrielle et de
l’Académie de dessin, qui vont être fondées dans le
chef-lieu du Luxembourg.
Nous applaudissons à ce choix que le talent très-
estimé de M. Dauriac justifie parfaitement. Notre
concitoyen rendra des services sérieux à l’enseigne-
ment qu’il s’agit de fonder. Les vœux des nombreux
amis qu’il compte à Anvers le suivront dans sa nou-
velle carrière.
Ligue des Gueux. — Ce soir, à 8 1/2 heures, réunion
de la direction au Lion d’Or, rue Haute.
Le corps des pontonniers est parti ce matin pour
St-Bernard afin d’y construire sur le Ruppel un pont
nouveau système. M. le ministre de la guerre et plu-
sieurs officiers supérieurs s’y sont rendus également.
— Ce matin est arrivée en notre rade la corvette de
guerre américaine Wachusett, commandant Swan,
venant de Southampton.
Ce bâtiment porte 9 pièces de canon et 183 hommes
d’équipage dont 24 officiers. Il jauge 1575 tonneaux.
A son bord se trouve le contre-amiral américain
James Alden.
— La police a arrêté un ouvrier de la 5e section
pour vol d’habillement, ainsi qu’un déserteur du 12°
régiment de ligne pour le même délit au détriment de
son capitaine.
— Hier soir, vers 10 1/2 heures, un incendie a réduit
en cendres la ferme et 1a. grange du cultivateur J.-B.
Van Loo, à Deurne. Tout le mobilier, les récoltes et les
harnachements de cheval sont restés dans les
flammes. Les causes du sinistre sont inconnues et les ;
pertes s’en évaluent à fr. 4,000, couvertes par Ï'A. G.
de Bruxelles pour fr. 8.0C0.
— On nous écrit de Boom ; « Samedi soir, le cultiva- I
teur PaplemoHt, âgé de 64 ans, a été attaqué sur la
chaussée de Boom à Rumpst par un individu qui lui a
enlevé une bourse contenant 100 francs et qui, le coup
fait, a pris la fuite. Mais dimanche après-midi, M. le
commissaire de police Meyer, de Boom, a arrêté le
coupable au moment où celui-ci enterrait le produit
de son vol dans un four. Ce détrousseur de grand che-
min est un nommé François Andries, soldat et déser-
teur aux carabiniers. Il a été mis entre les mains de
l’autorité militaire.
FAI-TS DIVERS.
grève du borinage. — Les journaux de Mous nous appor-
tent les renseignements suivants sur la grève du Borinage,
faire dérailler un train dans la tranchée de Rang.il avait jeté
en travers de la voie un tronc de pin mesurant 2 m. 40 de
longueur, sur un diamètre de O.m. 15 centimètres, et il
l’avait, en outre, calé avec cinq grosses pierres. Le train
de voyageurs de Belfort arriva sur l'obstacle à toute va-
peur. Le chasse-pierres enleva les moellons, et là ,löcoöiö-
tive coupa l’arbrè en deux eomthe un fétu de paille. Les
voyageurs n’éprouvèrent pas la moindre secousse,
un fait d’actives recherches poàr découvrir le coupable.
Chronique judiciaire.
M. Maudoux négociant, à Villers-le-Gambon, comparais-
sait, il y a quelques mois, devant le tribunal correctionnel
de Dînant, comme prévenu de diffamation envers un sieur
New-York, 17 juillet.
Le corps de musique français a été reçu publiquement à hect" formanf
Chicago. j d’Odessa. On n'
GRAINES GRASSES. — Une affaire importante a été conclue
à l’occasion de laquelle l’autorité aura pour devoir de faire ; Bouiliet,instituteuràVillers-le-Gambah,àquiilavaitrépro-
respeeter la liberté du travail par tous les moyens en son j ché publiquement de se livrer, dans son école-, à des atten-
pouvoir, mais en agissant avec le calme et la modération ; tats à la pudeur sur son enfant âgée de dix ans-
qui ont distingué les troupes envoyées il y a quelque temps ! Le prévenu, s’appuyant sur l'article 447 du Code pénal,
dans le bassin de Charleroi, sous le commandement du gé- demanda au tribunal d’être admis à prouver le fait, objet
le bassin de Charleroi, sous le commandemënt du gé
néral Simons.
Nous lisons d’ahord dans VOrgane :
« La grève persiste, s’étend, et devient menaçante ; car
les grévistes ne se contentent plus de chômer, ils veulent
forcer les ouvriers qui travaillent encore à les imiter et à
quitter les fosses. ,
» Mardi matin des faits regrettables ont été commis à
Boussu. Les ouvriers de la fosse Sentinelle se sont dirigés
en grand nombre sur la fosse Vedette et ont fait remonter
leurs camarades ; ils se sont ensuite dirigés sur la lusse
Saint-Antoine dans le même but et y ont commis le même
acte de violence. — La gendarmerie de Dour, arrivée sur
les lieux, a dispersé les groupes, qui se montraient mena-
çants, et des troupes ont été mandées à Mons.
.. Vers quatre h rares un train spécial a emporté vers
Boussu et Dour un bataillon du 3* chasseurs â pied, et à la
même heure un escadron de lanciers est parti pour Wasmes
et Pâturages. En cette dernière localité, les ouvriers sont
très excités. , ,
»» Mardi, dans l’après-midi,deux grévistes ont été arrêtés
à Hornu et amenés vers le Soir à Mons, par là gendarme-
rie. fis ont été ëcroués à la maison d’ârrêt. Oh attend des
renforts de gendarmerie. »
La Gazette, de son côté, publie ce qui suit :
» C’est, nous assure-t-on, sous la menace de couper les
traits que les grévistes ont réussi à faire abandonner leur
besogne aux ouvriers qui travaillaient.
» Prévenue de ce qui se passait au Bois de Boussu, la
gendarmerie de Dour est accourue sur les lieux, mais pas
assez à temps pour empêcher les grévistes de mettre à
exécuiion leurs projets.
»» Les gendarmes— au nombrede cinq — résolurent alors
de disperser les ouvriers, mais ils furent accueillis à coups
de pierres.
» Une charge eut alors lieu : les mineurs s’enfuirent
tribunal
de la diffamation.
Le tribunal rendit unjugement autorisant cotte preuve.
M. Maudoux fit-entendre un grand nombre de témoins,
parmi lesquels ne purent figurer ni son enfant, ni personne
de sa famille, à cause de la parenté avec le prévenu.
Le tribunal, en suite dé ces enquêtes, rendit un jugement
par lequel il reconnaît comme catégoriquement établi le fait
d’attentats à la pudeur, non sur l’enfant du prévenu, mais
sur une toute autre enfant âgée de huit ans, et par lequel
il acquitte M.Maudoux-, du chefde la diffamation, en procla-
mant que, si le fait n’est suffisamment prouvé quant à i’efi-
fant du prévenu, il Test péremptoirement quant à l’autre
enfant, et que, dans ces conditions», où a surgi positivement
une victime de ces attentats, peu importe l’individualité de
de cette dernière-, l’élément diffamatoire du reproche publi-
quement articulé par M. Maudoux disparaît etcelui-ci doit
être renvoyé des poursuites.
Le sieur Bouillet, qui s’était constitué partie civile, appela
de ce jugement.
La cour d’appel de Liège vient de décider que si, d’un
côté, le fait d’attentats à la pudeur n’a pas été suffisamment
établi quant à l’enfant du prévenu, et si, d’un autre côté,
le fait d’attentats à la pudeur,nui a été formellement établi
quant à l’autre enfant,sortait au cercle de la preuve offerte
en première instance par le prévenu,toutes les circonstan-
ces acquises en la cause n’attestent pas moins l’entière
bonne foi de M. Maudoux et doivent donc faire maintenir
son acquittement prononôé par le tribunal correctionnel,
avec frais et dépéris des deux instances à charge de la par-
tie civile.
Cet acquittement de M. Maudoux implique nécessaire-
ment la culpabilité du sieur Bouillet;
Le droit de la presse est d’appeler, à cet égard, l’atten-
tion de qui de droit.
Lors des plaidoiries de cette affaire et de la lecture du
’ fait préalablement l’un de MM. leâ eonsei'
J&ERftKESUS aussi SB 15.
Versailles, 18 juillet.
De nouvelles réunions parlementaires ont été tenues
dans la matinée pour examiner la conduite à suivre.
La droite parait ne pas vouloir poser la question de
confiance et il n’est pas probable qu’elle reprenne ait-
iour.d’hui l’ordre du jour proposant l'ajournement de
la discussion qu’elle avait déposé liier et qu’elle a re-
tiré ensuite. On espère que la séance d’aujourd’hui
sera calnie et roulera uniquement sur des questions
financières et économiques.Les délégués lyonnais agis- Juillet.
sent activement pour empêcher le vote de l’impôt sur è^Ln:,
les matières premières. Contrairement à des bruits ~ " ' -
répandus, l’époque et les conditions de l’emprunt ne
sont pas encore fixées.
Madrid, 17 juillet.
Une circulaire de M. JZorilla, à l’occasion des pro-
chaines élections, dit qu’il est nécessaire que les suf-
frages soient parfaitement libres; il recommande aux
fonctionnaires de ne pas intervenir dans les élections
et de s’abstenir abs'blùment de mettre au service d’au-
cun .parti l’influence du gouvernement. Ii n’y a pas de
Candidats officiels ; au parti radical appartient ie soin
de désigner librement les candidats qui seconderaient
la politique du gouvernement
New-York, 17 juillet,
M. Boutwell a prononcé tin discours dans une réu-
nion dans la Caroline du Nord ; il a dit que la récttn- ! * v - , «vjd mois
ciliation entre le Nord et le Sud est incomplète tant ! wU*--•
que la majorité des hommes du Sud ne tecônnâissnht ’i*u ...... '
pas les droits égaux de tous Tés habitants ; parlant de i ^
la réduction des impôts et des dépenses ainsi que le : DÉPÊCHE?
retour le plus prochain possible au paiementenespèces, -
liront la prospérité du pays; il a annoncé que ia vente !
d or continuera modérément; il a engagé les assistants
à avoir confiance dans le président Grant qui est le
sauveur du pays et de la Constitution.
Londres, 18 juillet.
La Banque a élevé son taux d'escompte à 3 i/2 0/0.
aujourd’hui en graine de ravison ; elle comporte un bloede 10,000*'»
’ • -* '■---1 le chargement attendu par steamer John David
a pas fait connaître le prix payé,
lia régné une active demande aujourd’hui pour cet
article, pour lequel la tendance est --------* *•—
a vendu, en somme, 1800 balles laie
PETROLE RAFFINE.
Disponible blanc...............
Selon nuance et Quantité.
Par nav. dans le port..........
Janvier........................
EivjÜJr........................
Mars...........................
Avril.........................••
Mai............................
Octobre...................... * -• - 4SI* . ~ _
Novsüibr?.................... - --------- IT--------_
Décembre...................... • - *------ 471/2 » - _
4 derniers mois............... 47 -- »----- 47 — » —
3 derniers mois............... 47 — »» 471/2 471/2 » — - -
6 derniers mois.....................»------ — — —
Parnuvqes en charge.................»---------- —»-------
Marché trés ferme.
. SAINDOUX. — Mardi»4 sans changement pour.le saiifdouj
d'Amérique. La marqué ll'ifroifc disponible reste tenue â fi.24pat
5'kiLos, et ne provkii s que quelques petites demandes de détail
Sur terme, on a vendu 50 (créons Wikox, déiivraisou septembre,
a fl. 2.11/8 par 50 kilos.
SALAISON*. Le marché pour le lard salé sec d’Amérique
est fermement s .utara aux prix de hier. Les short middles, est
valu fr. 93 à0.31/2 entrepôt *t restent encore tenus à ces pris
Pour long middles on demande fr. 90 entrepôt par 100 kilos.
SUCRE4 BRUTS INDIGENES. - Oncote :
Sucre a 88 degrés, disponible............ tr.------ a -—
* mois ï’iwbïbro....... • 63 75 «---»
COMMERCIALES.
R.)-FARINES: 8 marqu:
Bulletin des Bourses.
danstoutes les directions et se cachèrent dans les champs rapport qu’en afait préalablement Pt
de blé levant de temps en temps la tète pour voir où se 1ers, les marques d'indignation de la cour étaient visibles.
M. Sacré, inspecteur île l’enseignement,'était présenta
la lecture de ce rapport et aux débats .
Nul doute que, dans Tintérèt de la morale publique et de
la dignité de l’enseignement laïque, ce haut fonctionnaire
ne prenne, au plus tôt,un parti contre un instituteur qu’une
instruction judiciaire a signalé comme une brebis galeuse,
AFFAIRE VICTOR TES CH CONTRE KtASDEL.
Le tribunal de Bruxelles (29 chambre), après plusieurs
jugements rendus sur incidents, vient de statuer définitive-
ment dans cette cause. Le défendeur Mandei ni son avoué
n’ayant pas comparu, le tribunal a débouté l’opposant au
jugement rendu par défaut le 4 j uin dernier. Le tribunal dit
pue ce jugement sortira ses pleins et èntiers effets, et con-
damne le défendeur aux dépens. Le jugement est déclaré
exécutoire nonobstant appel et sous caution.
On télégraphie de New-York, que Te jury chargé de ju-
ger Stokes, l’assassin du fameux Fisk, na pu s’entendre sur
son verdict. En conséquence, l’accusé a été acquitté, bien
qu’il ait été pris en quelque sorte en flagrant délit.
trouvaient les gendarmes.
» Dans cette collision il y eut des blessés de part et
d’autre : un gendarme eut le doigt littéralement écrasé
d’un coup de pierre et un ou deux ouvriers reçurent des
coups de sabre.
- Les puits du Bois de Boussu furent ensuite occupés par
la gendarmerie.
» A la suite de cette collision, et les grévistes ayant ma-
nifesté l’intention de faire abandonner le travail dans les
fosses environnantes,main-forte a été demandée à la garni-
son de Mons.
» Jusqu’ici aucune arrestation n’a été opérée.
» La nuit s’est passée tranquillement.
» Les charbonnages menacés sont occupés, tant par la
gendarmerie que par l’armée.
» Ce matin on travaille au Grand-Hornu et aux Quatre
Vanneaux, à Wasmes, où Ton craignait de voir la grève
s’étendre aujourd’hui. »
TERRiBi.F, accident. — L’avant dernière nuit, vers une
heure du matin, un déplorable accident est arrivé près du
quai du Sas, à Gand. Marie Van Hove, âgée de 60 ans, mar-
chande de moules, arrivait en ville étant assise avec son
fils, âgé de 29 ans, sur une charrette chargée de moules et
attelée de deux chiens.
Les animaux abandonnés à leur instinct suivaient un
chemin qui leur était bien connu, lorsque arrivés à l’extré-
mité du petit Marais, trompés probablement par l’obscu-
rité, au lieu de prendre le pont du Péage, ils descendirent
le talus entraînant la charrette avec toute sa charge.
Marie Vanhove et son fils périrent malgré les secours qui
furent immédiatement organisés et ne furent retirés du
canal que deux heures après. Les chiens en furent retirés
à l’état de cadavres.
l’hospitalité belge. — Des voyageurs, arrivés de Rome,
assurent qu’il court là-bas le bruit sérieux que le Pape se-
rait fortement tenté de partir.
Le souverain Pontife viendrait en Belgique, où Mgr de
Mérode aurait mis un château à sa disposition, — dans les
environs de Bruxelles.
Au fait. Pie IX doit être tenté de venir retrouver ses
chers amis les Jésuites.
Ceux-ci chez Mgr d’Arenberg.
Le Saint-Père chez Mgr de Mérode.
La Belgique sera complète, — et il n’y aura certainement
que les Bohémiens qui réclameront. (La Gazette.)
coxcours agricole. — Le Journal de la Société Agri-
cole de l’Est de la Belgique publie le programme détaillé
du grand concours qui sera organisé à Liege, au Pare pu-
blic de la Boverie, les 5, 6,7 et 8 juillet 1873. Ce programme
est extrêmement détaillé et ne prend pas moins de trois
pages du journal ; il sera imprime en brochure et distribué
a toutes les Sociétés agricoles dé Belgique et des pays
voisins.
Les concours comprendront :
1° L’essai et l’exposition des instruments et machines
agricoles d’extérieur, y compris la charrue à vapeur.
2° L’essai et l'exposition des instruments et machines
d’intérieur des fermes.
3° Exposition et concours de bétail de toute espèce et
d’animaux de basse-cour.
4° Exposiiion et concours de graines et plantes.
5° Exposition et concours de plans de fermes et de cartes
agronomiques.
6° Un concours des bons et longs services pour les ser-
viteurs et servantes de ferme.
Un très-grand nombrede prix seront donnés aux con-
currents On en jugera par ce relevé.
Pour la première, section (animaux dômes (ta »,
aura 51 concours,comprenant chacun 3,4 ou5 nJ\V
de 10 à 590 fr., et des médailles en brora -ta 1
en vermeil. ' 1 ' en arSent
concours compâmant <ch^n^0^u<^' ^Hx^èt^conrista leux
^dâJlgsdebUe.d’ar^K dS
concours com^f»^0 \eclinn (instruments et machines), 33
C0T^pu>ônant, chacun de deux à quatre prix, mé-
pÔp ta somm.es d’argent de 10 à 150 francs.
-f la quatrième section (graines et plantes), deux con
u,<irs, et pour la cinquième (plans et cartes), deux con-
.Cours.
f1 y aur? ,en tout 90 concours, avec près de 350 prix.
La Société Agricole a donc fait grandement les choses,
et 1 on ne peut douter que nous assisterons Tan prochain à
une véritable solennité de l’agriculture.
FETE a liège. — Le 41« anniversaire de l’inauguration du
premier Roi des Belges sera fêté à Liège.
M. le colonel commandant le 12e régiment de ligne a or-
ganise pouriundi prochain, dans les casernes de St-Laurent
et de la Citadelle, des jeux et des réjouissances.
U y aura des jeux de balles, de quilles, de boules, courses
dans les sacs, tir au pistolet, tir a la carabine. Les deux
derniers divertissements sont réservés aux sous-officiers.
Divers prix consistant en magnifiques pipes,porte-cigares
porte-monnaie, blagues à tabac, etc. seront décernes aux
vainqueurs.
La caserne St-Laurent, n’offrant pas assez d’espace poul-
ie jeu déballés et les courses dans les sacs, ces concours
auront lieu à la Citadelle.
Des officiers et sous-officiers sont désignés par le chefde
corps pour être experts et arbitres.
au camp. — Mardi, M. le général Thibaut a passé en
revue les differents régiments qui sont au camp deBeverloo.
Plusieurs officiers étrangers (prussiens, anglais, hol-
landais) sont arrivés au camp pour assister aux grandes
manoeuvres.
le feu a Marseille. - - Un incendie qui en quelques in-
stants a pris de terribles proportions, s’est déclaré diman-
che dernier, à onze heures du soir, dans la fabrique d’huile
de graines, appartenant à MM. Tschiffelli frères et située
rue Fontaine St-Lazare, à Marseille.
Les sapeurs-pompiers des postes de la Plaine, de St-Vic-
tor, de la place Pentagone, du Mont-de-Piété, de laJoliette,
sous la conduite de M. Genty, lieutenant,! et Aragon, sous-
lieutenant, se sont empresses d’accourir sur le théâtre du
sinistre et ont vigoureusement attaqué le feu. Ce n’est qu’a-
près des efforts prodigieux et au milieu de sérieux dangers
que les sapeurs-pompiers ont pu circonscrire le feu et s’en
rendre maîtres. Ceux-ci ont été admirablement secondés
par les voisins, par les employés de la gare qui avaient
amene avec eux plusieurs pompes et un nombreux person-
nel, ainsi que par l’équipage du bateau Oncle-Joseph, de la
Compagnie Valéry,et l’équipage du Poitou, de la Société
generale des Transports Maritimes.
Les maisons portant les numéros 22, 24,26 et 28 de la rue
Hoche ont été sérieusement atteintes par le feu ; mais
grâce à l’intrépidité et au dévouement des travailleurs
elles n’ont pas tardé à être complètement isolées du foyer
de l’incendie.
On a malheureusement à déplorer un accident. Le nommé
Jean-Baptiste Bonnicar, âgé de7o ans, a été blessé par un
sommier qui a été jeté d’une fenêtre. »
On remarquait sur les lieux du sinistre M. de Kérntry, M
le Maire, M. le Procureur de la République, M. Vidal, com-
missaire central, et plusieurs commissaires de police qui,
dès le début, avaient pris toutes les mesures d’ordre com-
mandées par les circonstances. Plusieurs brigades de gen-
darmerie, commandées par le capitaine Massonnet, et de
nombreux détachements de la garnison, sous les ordres de
M.Perceva.-Duchêne,colonel du 55e de ligne,contenaient la
foule considérable de curieux accourus de tous ies points de
la ville.
Les pertes, qui sont considérables, n’ont pu encore être
évaluées. MM. Tschiffeli frères sont assurés, dit-on pour la
somme de 400,000 fr.
UN ACTE DE chenapan. — La Gazette de la Franche
Micrologie.
L’enterrement de M. Corneille Andriessens, major
de la garde-civique, dont nous avons annoncé la mort
avant-hier, a eu lieu'aujourd’hui au milieu! d’un grand
concours de monde. ’
Outre le grade qu’il occupait dans la milice citoyenne*
le défunt était chevalier de l’Ordre de Léopold, décoré
de la médaille (2e classe) de courage et de dévouement,
et membre de la Société royale des Sauveteurs.
La levée du corps a eu lied Quai Plantyn, vers 10
heures. A sa sortie de la maison mortuaire, la garde
civique sous les armes lui a rendu les honneurs mili
taire3 prescrits à cet effet et le cortège s’êst acheminé
vers l’église St-Aildréet delà au cimetière St-Laurent.
Portaient les coins du poêle, MM. Josson, comman-
dant le corps d’artillerie de la garde-civique ; M. Van
den Gehuchte.commandantla compagnie de chasseurs-
éclaireurs ; M. le président de la Société des Sauve-
teurs; M. Monu, major ; M. Joosteus, lieutenant de J
la garde à cheval, et M. Sinck, capitaine ff. de major, j
Le cercueil précédé de ia musique de la garde- j
AMSTERDAM, 17juillet. — Les fonds hollandais 4 0/0 ont rétro-
gradé de 1/2 0/0; les2 1/20/0, par contre, se sout assez fermement
tenus. En actions de la Société de commerce ies ordres d’achata
ont continué et par suite les cours sont en nouvelle hausse
de 1/2 0/0.
Les fonds Espagnols, par suite do fortes Ventés effectuées dans
lesextér., sont très dépréciés-, Les Autrichiens, Portugais et
Russes sont calmes*
LONDRES, 17 juillet, 2 1/2 h. — Les fonds anglais sont faibles à
une baisse do 1/8 sur les cours antérieurs ; Consolidés 92 Ù8 à 1,4
au compt. et 92 1/4a 3/8 à terme ;3 0/(1 nouv. et réduit 92 1/Ta 38
Dans les fonds étrangers de fortes ventes ont été faites en Hon-
duras de 39 ï/2 en baisse â 35 et en Paraguay de 74 1/2 en baisse
â70 1/4.
JS julll. - (H
les 159 k. ose. l/ï 0/9). S
Courant du mois......... *.. *.. 35.28
Août____........................ TP.-
4 derniers Üiôis................ 62.—
HUILE tfe colza les 100 kil. (hors barrière es
Courant......................... f9.25
Août............................ 90.—
4 ilorciers mois................... 91.75
4 yvetuiers mois................... (-3.—
HUILE de lin les 100 kil. entrepôt. (Esc.
Courant du mois................. 101.50
Août..........»................. 98.50
4 derniers mois................. 96.—
ESPRIT : 3/6 Nord fin (l’hect. 90 degrés, entr.
Courant du mois................. 51 —
Août............................ ri 75
i derniers mois.................... 53.75
4 premiers mois.................... 55,50
SUCRES brais (les 100 kil. bonne ta u°
Disp, et courant du mois (ils deg.i. 69.—
Blanc 3° disp................... 80 —
Raffiné » (2 prix extrêmes' ... 1Ü7/158
50.75
51.50
53 50
55.25
64 75
79 25
157.-
KSêj >éehe» téï éj/çi-ap h ! «g tiea.
BRUXELLES, «juillet.
(Cours d’ouverture)
Métalliques......
Piastres.........
Turcs............
Empirant IS"i____
Rente............
Ville de Paris....
Nouvel emprunt .
PARIS, 18 juillet.
Emprunt 1871......j 84 65
Rente 3 0/0 à terme 54 17
Crédit mob. fraiit,-.
Emprunt italien..
Consol. Turcs 5 0/0
Ch.de ferÀutrich.
Ch. de fer Loinb...
60/0 Àmér. 1882....
84 57
150
: .
.31 90
756 —
477 -
I VIENNE, l7 juillet. Calme
I (Cours d’ouverturô).
[crédit mob. Aut.i M 80
fLots de 1558.....i--------
5 » » 1800.........j 104 —
1864.....! 144 30
poléona d’or... J 8 85
E, rente pap...j 64 20
f Lombard s.......’ — —
-{Conré d’ouverture).
ttAVK®. IT'jnHÎ. - (H.-B.-R.) - Clôturé. — COTONS :
Ventes 200 halles. Les prix restent sans changement sur le dis-
poilible et mus.-fermes juif jù ternie; cntOu Louisiane â livrer
âoftt-sépt. fr. 127; fe/det. Ir. 127.59 lés TÖ kïiog.
ES”
llraml
S3 0/0 Espag. intér.. I 24 11/16
£3 0/0 » 1869...! 281/2
i&îorgan.,...... I — —
|V il Ve de Paris. 1871---
ILots Turcà.......j-------
|7 0/0 égyptiens.. >. j — —
|Résultat souscrip. ; 1 10
(Futur emprunt : * "
LONDRES 18 juillet. — (Cours d’ouverture).
50/0Améric. 1871.
Pérou..........
Rente
« P?-P.......
Chemins de fer :
Rotterd.-Anvers,
Luxembourg.....
Lombards.......
891/8 a 89 3/8
191,2 » 193/
1658 » 167;
185/8 . 183/
8 1/2 » 55,
Consolidés angl.. I 923/8 â
5/20 b. Amér. 1882. 911/8 » 913/8
Ch.déferHlm.act.-------»-------
» Erie . I 41 l/g» 41M
Fini r. Turc 5 0.9.1 503/4 - 51 —
s Oitôm. 1869 611/4 « 61
Espagnols30/0... j 281/8 » 283/8
Italiens 5 0/0..! 653/4 » 65 —
Emp. franc. 1871. 17,8» 21/8;Varna.
FRANCFORT, 18juillet. — (Cours d’ötiverture). Ferme.
Autr. rente arg..l 645/8 iCrid.mobil.Autr.! 347 —
« » paîta.l 58 — iBons Amer. 1882. ’ 901/8
Lots d Autr.1860.. I 941/4 ICh. de fer Autr... 3521/2
Turcs............1507/8 f Lombards........ 2191/2
MADRID, 17 juillet. — 30/0 Espagnol intérieur 26.60:30/0dit
Spécialité de bljöux pôùr deuil.
HAVRE, ST Julll. - (J. Mc L.) — Clôture. - COTONS :
Marché excessivement calme ; prix faiblissant graduellement
pour disponible. Très ord. Louisiane fr. 133; bon ord. Oomra-
wuttee fr. 94.
HÂVttE, 17 Juillet, — soir.-LAINES : Nos grandes
enchères se sont ouvertes cette après midi en présence d’un nom-
breux concours (L'ai-heteurs. Ces ventes doivent durer trois
séances.pendant lesquelles il sera offert.
7852 balles Buenos-Aÿres ;
908 » Montevideo :
278 » Espàgira i
203 v, CbiiT;
110 « Levant.
A la première séance,- quia eu lieu cetto après midi, il a été
offert 2250 balles laine de la Plats, dont 1700 balles ont eu ache-
teurs, aux pleins prix dés enchères déniai et parfois même m
peu au delà.
LONDRES, â» Juin. — H.-B.-R. — CEREALES :
Cargaisons de. blés arrivée? —.
:___:i j Cargaisons da oies â vciidi’e i i.
---- ! as Julll. - (H.-B.-R.: — (Ouverture .
----, COTONS : Ventes probab. 8,000 b. Marché sans changement.
Importations do ce imir ()0û0 balle? dont 40Q6b. d'Amérique et
SHe„^aJt.luilLl,ar, u?e,“breuse affluence , Véritables jais anglais .et, français ; modèles nouveaux,
d’amis et de camarades du défunt
A l’arrivée au cimetière et au moment de l’enterre-
ment, M. J. David, colonel-commandant la garde-
civique, a prononcé les paroles suivantes :
Messieurs,
La mort inexorable vient de frapper à un âge où il pôuvait
espérer de rester encore longtemps parmi nous, un de nos
meilleurs camarades ; aussi est-ce le cceiir doulq',;-reuse-
■ue des Douze Mois ;
toujours en gran.d assortiment.
Maison le lorrain ; Anvers, 9,
Bruxelles, 51, rue de l’Ecuyer ;
Liège, 87, rue de la Cathédrale.
Pilule^ oîluwaÿ. — Le tejnjjs vâri
teiul ioS nerfs de l'homme faible.et décrépit, et cet état tourne en
maladie à moins qu’un, féSlauvat-lf, comme ces pilules dépura-
tives-,.ôp viertné corrige? ies tendances da désordre. La méd-
5000 b. du Brésil, — Beau temps
liâVEïkPÔoL, ièjnÜL — ;J. Me L.) - {Ouverture;.
— COTONS : Ventes probables 8,090 b. Importations du Jour
9000 balles. Marché lourd. .
Recettes du jour à New-York,,- ,- balles.
LSTERPOOL, 18 julll. - (J. Mc L.) - (Clôture du
marché). — COTONS : Marché lourd, Ventes 8,000 balles, dent
1000 bal. pour la spéculation et l’exportation.
On cote : Upland 10 5/8 à 10 ll/lbd.; Orléans 10 15/16 à Ud.
RËLFA8T, tr Jtaht. — C-t. Me L.) — LINS • Le toi
générai du marché est languissant et les opérations locales
b out été ni nombreuses ni extensives ; demande anglaise, écos-
saisse et continentale a été excessivement calme ; stocks conti-
nuent à augmenter ; la tendance des prix est toujours vers la
baisse
TOILES brunc-s tissées à la main
! et les stocks s
rk’ble de ce c-iimat
ment, affecté que ie nrends ici !» iwmin i, - rives-, ne vienne corriger ies tendances «e aesorare. La méd- -
d’officiers de fa ffàrJe-civim.fl , Ôn é i d« corps ci ne d’Holloway donne du ton au système nerveux qui est la
nous dénlornns a,f:-dSgeT à I MSI dont « Source de tous les mouvements vitaux, et dirige chaque action
no^ttn ^nug-aatdH, , , ; maintient le développement et le bien-être du corps. Nul
peut trop appre
-.—...... y— -„..'ta,ah modeste- il nèiisnnitte aninnr. M®» développés ni la facilité avec laquelle cos pilules atteignent
d’hui pour toujours ta”.:?" a^fr dibnemen^noîeonra sâ eo rés,ütat- ™es s01lt lfls Hn[ 1 lote3 <»Wa Ies indigestions, circu-
camôre, au.rr , ô.gneinent paicom u sa îations irrégulières, palpitations, mal de tête et constipation, les
ie travail „ An r de conquérir par 1 ordre et ; plus infaillibles qui aient jamais été inventés, et qui, pour ceth*
Nér. .«ne Belle pôwttota dans le monde. ' - ■ • ‘ ...... -
d>. „ «s’tahlR intègre, citoyen dévoué et courageux, esclave
.ata voir, il resta toute sa vie fidèle à ses convictions, fut
un homme de progrès et ne connut jamais de transaction
dans la voie de l’honneur.
Entré dans la garde-civique en 1848, lors de sa réorgani*
sation, il fut éiu caporal le 31 juillet 1848, sous-lieutenant
le 7 mars 1850, capitaine le 26 juillet, 1853 et vit son mand it
cqnûrme aux élections quinqüennales de 1858,1863 et 1868.
Ces divers grades ii les occupa tous dans la2e compagnie du
4e bataillon. Ses gardes avaient pour lui une profonde es-
time et une symiratbie marquée, dont ils lui avaient donné
une preuve éclatante en lui remettant un sabre d’honneur.
Aussi lorsque le major Panis fut promu au grade do lieu-
tenant colonel, ce fut à son dévouement que s’adressa la
confiance des officiers du 4e bataillon qui perd aujourd’hui,
après quatre années de commandement, un major dévoué,
zeie et sympathique à tous.
Sa Majesté le Roi, appréciant ses 22 années de bons et
loyaux services, le nomma Chevalier de l'Ordre de Léopold
le 7 septembre 1868, et la légion d’Anvers ainsi que le 4°
bataillon furent heureux et fiers de voir briller sur sa poi-
trine l’étoile de l’honneur à côté de la médaille de courage
et de dévouement qui lui avait été décernée pour avoir ... . .
sauvé, au péril de sa vie, un enfant qui se noyait dans le 1 • 50 ; parterre, fr. 1 ; galerie, 50 cent
canal St-Jean i Mea kan kaarten bekomen aan het bureel van het Theatre,
Mais, hélas ! déjà miné par la maladie qui vient de nous alle da£rfin van 10 tot 3 nrfi’
1 enlever, il ne devait pas jouir longtemps deices récom-
penses méritées; fl eu:; années desouffrances continues sup- --------------r
SSÏÏJSF16 «*“ «"«.wra partie 0 o m m e r c r i . e
i CiFES *?»—«*■;.*• >*«■“?•
AcemonientsiiDrêraft.Anrtvi«ss,ns „„„wI //{■',/,/ta)’Autre///,Vi//,
'tafésHaïti sont encore en négociation en ce moment.
CEREALES. — Le marché reste très ferme pour froment, prin-
cipalement pour les belles qualités du Nord de l’Europe, qui sont
tres rares. On atraité du roux danois, disp. àfr. 35.50; du bigarré
de Dantzig disp., de fr. 34 à 34.50, et du froment Polish Odessa,
flottant par Julia David, à fr. 32.50 par 100 kilos.
Les autres grains sont par continuation calmes et sans chan-
gements sur ies prix.
~0n a offert en vente publique, cette après-
midi, 25 balles chanvre avarié de Livourne, provenant d’impor-
---------»---------------- -- —,-j qui, pou. «h.
raison, ont atteint, non seulement un grand débit, mais encore la
plus grande renommée.
S*a»tî!iéai digestives «ife Bnrin dij BulMon.
Les pastilles contiennent le lact vtf, de soude de magnésie
qui est le médicament prescrit par l’élite des médecins de Paris
contre le dérangement des fonctions digestives de l’estomac et
des intestins, tels que: Gastrites. Gastralgies, Gonflement de
l'estomac. Pituites, Aigreurs, .Bernois, de 'gaz, Vomissements
après les repas, digestions longues et douloureuses et tes manié
de tète qui en résultent.
A Paris, à la pharmacie, 7. rue de la Feuillade ; à Anvers, chez
M. DEBETJL, pharmacien, Longue rue Neuve, 57, et à la PHAR-
MACIE-DROGUERIE. nie Klapdorp, 49. 9472
theatb.es, oonoerts, etc.
Théâtre de» Variétés van Amsterdam ;Ge-
meenteplaats, Antwerpen), — Directie van Victor Driesséils,
Donderdag 18 juli. zeker laatste voorstelling vande : 3Hoeden,
oorspronkelijk kluchtspel in 3 bedrijven.
Vrijdag 17 juli), zeker laatste voorstelling van : De Avonturen
van Pepérman óf een plezierreisje naar Spa, groot beroemd
tooneelspel in 4 bedrijven.
Aanvang 8 1/2 ure.
Prijzen der plaatsen: Stalles, fr.2.50; eerste rang, fr. 2; par-
Ë7* Incessamment clôture définitive.
it reconnaissant qui
un chef, mais encore un ami désolé
t’adresse ces dernières paroles.
Tu avais toute ma confiance,toute mon estime,toute mon
amitte; aussi jamais ie n’oublierai ton dévouement et tes
efforts pour soutenir l’état-major dans sa tâche ingrate et
Adieu. Andriessens, pour toujours !
Adieu ! au nom de la garde civique toute entière, à la-
quelle tu t étais dévoué.
Adieu ! au nom de l’amitié que tous nous t’avions vouée
et que tu nous rendais si bien.
Adieu ! au nom de tous les gens de cœur et de progrès
qui ont tenu à te conduire à ta dernière demeure comme
preuve suprême d’estime. Ton souvenir vivra parmi nous.
. Ce discours, dit d’une voix émue, à fait une grande
impression sur l’assistance.
Là cérémonie était terminée à il heures.
BEBNIEEE8 NOUVELLES,
AGENCE HAVAS-BULLIER-REUTER.
Versailles, 17 juillet.
M. Thiers a réuni hier chez lui les chefs de service du
ministère des ffriances et a longuement discuté avec eux.
La decision definitive sur la date de l’emprunt ne serait
prise que jeudi, et si la date est fixée au 27, l'affichage aura
lieu immédiatement dans toutes les communes de France
Financièrement et matériellement tout est prêt. ’
Aix, 17 juillet.
Affaire de la Taille. — Gai’barino et Gaietto ont été con-
damnes à mort ; Trinchieri à dix ans de réclusion ; Bellora
et Montegazza à vingt ans de travaux forcés ; Montalbette
a 5 ans de prison ; la femme Areso aux travaux forcés à
perpétuité.
Le reste a été acquitté.
_ Londres, 17 juillet.
Un télégramme de l’ambassade britannique à Saint-
Petersbourg annonce que le choléra a fait son apparition
dans cette ville. Les douaniers des ports de l’Angleterre et
de 1 Irlande ont reçu des instructions pour prendra les
mesures de précautions et pour mettre à exécution les rè-
glements relatifs à une stricte quarantaine.
New-York, 17 juillet.
La direction du chemin de fer de l’Ené a décidé de faire
aux con
tation en droiture. Les prix d'adjudication ont roulé de fr
par 100 kilos, eu égard au mérita de la marchandise.
LUI Rb. — On a vendu aujourd’hui les quantités suivantes :
CUIRS SECS DE BUBNOS-AYRES.
Du no 127.. 100 b/fs et v/s, 11 9/10 k., p. Clara, à fr. 138.
Du n“ 167.. 300 » •> 11 3/4 k..,p.Emma ParkerAtr. 138.
N°19o...... 190 » mat., 135/8 k, p. A. Evans, à fr. 1461/2.
..... 500 v/s, » 26 63/lOOft esp.. i>..4s.s?oita(,à fr. 154.
Du n» 48... ■ 300b/fs,Ros., 14 k.,p. Donati, à fr. 130.
CUIRS SECS DE MONTEVIDEO.
Solde n“ 107 145 v/s et b/fs, 9 2/5 k., F: Bellagamba, à fr. 135.
CUIRS SALÉS DE BUENOS-AYRES.
Du n» 278.. 300 v/s, (Pat.), 13/20 k., p. Besset, à fr. 81.
N°280...... 16b/fs, » mat., 25/40 k., par dito, à fr. 76;
" CUIRS SALÉS DE MONTE-VIDEO ET DE L’URUGUAY.
N°269...... 36b/fs,av., 2) k., par Halley, â fr. 77.
ono m‘ 23 4/5’k., par L. Graaf van Limburg
-entes n’ont été que
peu importantes et les stocks sont toujours bien maintenus. Pour
iawns, drills et drapera peu de demande et prix presque nomi-
naux ; foutes les autres qtés ont été bien demandées. Tissées à la
vapeur à l'exception de drills-, toiles medium et lourdes qui sa
Sê.ndàient lfijremént; ladëmaujé a été d’un caractère compara-
nvenieüt c-alràa : les fioufs élevés retenaient les acheteurs : cepen-
dant des prix réduits furent acceptés poiir quelques qualités.
Toiles blanchies opérations locales et anglaises modérées ;
demandé américaine et continentale geaermemCi* languissante:
stocks stationnaires et prix sans changements.
ES /A M ÏÏO 8/2A-G, A"S Jisîîf eiu - CEREALES : Froment
pat 2090 A Ho!l. nifc bco: 198 C0/ sur juiilet-âoQf, 159 00/ s/sept.-
oetôb. et 156 ( 0/ s/oct.-nov. Seigle par 200a 6 Holl. mk bco : if)
sur juillet/août, 98 00/ sur sept./oct. et 98 00/ s/oct.-nov.
HUILE de navets : Disp. 24 00/; sur ont. 24 1/2.
CAFES Très ferme. On a vendu 3000 b.
(H.-è.-it.) — pàr-
flfï.
24 3.4
•”1 I
221/4
G! -
0:îtl
1 55
173/4
a-:
231/2
221/4
22 —
t’0 -
8:9)
« Stand, White àPhiladelp.
MAIS.....................'......
FARINE...........................
FROMENT roux du printemps........
CAFE Rio....................:....
SUCRE Havalis «o 12..............
SAINDOUX :Wücox...........
LARD 1/2 short 1/2 long mid......
Changes : -Sur Londres 30 jours..
* Sur Paris (par $ en or).
( Plus haut........
Cours de l’OR : Plus bas.........
I Cours ds clôtura...
Bons américains 5/20 (1883)......
« * . .11871)..
Chemin de fer Iüinoië.....-i.
» • Erie................
» » Chicago.............
» » Central Pacific.......
Actions Union Pacific..............................
6 0/0 Gold bonds....................................
7 0/0 Land gl’ant hond*.......... ..................
COTONS : Recettes de ce jour dans tous les ports —balles.
Frets : Pour Liverpool, coton —d. ; céréales 91/2J. par bushel.
N’HW-VOSîK. if julll. (soir).— (J. Mc L.)—COTONS:
Middling Upiand 23 1/2 cents.
Le coton low-middling Louisiane à New-Orleaus, rendu au
Havre par 50 kil., so cote fr. 133 50.
. Recettes dé 5 jours dans tous les ports du Sud 2,000 balles.
Expéditions pour l'Europe (Angleterre, France et. le reste du
continent) 4,000 balles. Stock dans tous ies ports 130.000 balles.—
Stock dans l’intérieur —balles.
Change : Sur Franco fr. 4.55 1/8. — Prime sur l’or 1145/S.
TÉLÊGRAH9IRB ET AVâ* PART»<C.ÜÏ.IKÜS •
1141/2
116 ii
1133/4
137 1/2
ho a.
91 i 4
92 1/4
17 â 4
91/2
9 -
27-?
108 3/4
5.20 -
114 5/8
U4 1/2
1145/8
1.83,8
1133/4
1371/2
«fi
92 1/2
From.,106 litr.,fr. 30 35 h. Ö 75
» Poldres.. 26 50 h. 1 00
Seigle........... 15 — h. 0 50
Sarrasin......... 18 — h. 0 00
Avoine, 11/2 sac.. 13 — h. 0 50
Orge d’hiver..... 12 50 b. 0 ('0
» d’été........ 11 50 h. 0 50
Fèves â pigeons.. 15 — h. i 00
BRIJXELI
Grains indigènes.
Froment, 80 k., fl. 15 05 â
* nouv. » a 14 14 »
Seigle... 75 » » 7 Î4 »
Orged'hiv65 » » 7 12 -
.—Voiciles prix du marché:
Fèves à chev.. fr. 17 — h. 0 (ri
Graine de lin..— — b. 0 00
Pois,.......... 17 — h. 0 50
Lin, les 3 kiios .. 5 70 h. 0 00
Pommes de terre 7 — b. 0 00
Beurre le kilog... 2 23 h. 0 00
Foin, 100 bus.... 31 — b. I 00’
Œufs, les 25... 2 14 h. 0 00
JT Juin. — GRAINS marchands :
08
Grains étran g ers par 100 kil.
Froment....'.fr. 32 — à 36 —
Froment.
» blanc .... 34 50-35-
Orgedu Danube..
« de Frise..
Avoiue de Suède.
» Russie...
17
» 17
Du n» 286.
Styrv.m. à fr. 83,
350 Urug., b/fs, 20/28k.,
par Rovoena, à fr, 841/2.
CUIRS SALÉS DE RIO-GRANDE.
•Du n» 242.. 500b/fa,25/32 k., par Watertily, à fr. 81.
On a traité sous voiles, au prix de fr. 81 :
7i)0B.-A., (Galeguay) saiadéros v/s, 511/2 U esp., attendus de
Galeguay par Oceanita et Rosita ;
95 dito dito, 5347/100 fi esp. et 721 dito dito, 51 62/100 S esp at-
tendus de Galeguay par Margheritàt.
PEAUX SALÉS DE CHEVAUX.
Du no 20... 100 Urug., 13 1/3 k. ,p. Quail, à fr. 136.
— ....... 72 M.-V., av.. 31S esp., p. Panchilo, à fr. 107.
lia été tenu, cette après-midi, une vente publique de <•">■<•*
secs et salés divers et à laquelle on a du offrir ’
suivantes :
465 cuirs secs de Buenos-Ayres ;
232 » » du Mexique ;
289 - salés secs du Cap de Bonne Espérance ;
4758 » - de Buenos-Ayres ;
1109 « » de Montevideo;
55 » » du Cap do B. E.;
886 peaux sèches de chevaux ;
259 - salées de chevaux ; •
393 •* sèches de gnous. '
8417 pièces ensemble.
Nous publierons demain le résultat de cette enchère.
les quantités
7 16
, d’été. » » 6 — » 6 08
Avoine ..100 » fr. 16 — » 17 50
j FARINES : Bien tenues.
I HUILES : Marché calme. De colza, disp., fl. 58 1/2, s/les 4. der
1 uiers mois fl. 58 1/2, les 120 kil. : celle de lm H. 63(ri/, les 122 xil.
TOURTEAUX : De colza fr. 18 à —, de lin fr. 24 à -, las 100 kil.
! GRAINES : De colza fr. 37 à -, de lin fr. 37 il -, les 100 kif.
I IFKVrvZE, JT Julll. — Voici les prix du marché :
T From., l’hect., fr.-à-----ETOÜPES ou déch. de lin :
: Seigle............. »------ Ie quai., 100k., fr. 55 — à 60 —
i Pommes de terre 7 — - 8 — 2° ...........35 — " 3s —
Beurre, le kilo... 2 25 - 2 65 3« — ” 30 “
Œufs, les 25.. 1 89 - 2 07 4“ - 18 — - 22 -
i SkEIVAI/X, 17 Julll. — TOILES : Marché peu fourni et
: prix sans changement. 86 pièces de toiles ont été exposées en
! vente et 41 en ont été vendues .aux prix suivants :
4/4bu 70 à 73 centim. fr- 0 45 à 0 50 le mètre.
4/4 1/2 ou 84 à 87 centim.. « 0 50 - 1 15 -
I LIN : Marché peu fourni et prix en légère baisse,
j ETOUPES et DECHETS : Marché nul. .
I GRAINS : Voici les prix moyais du marché de ce jour:
; From., l’hect., fr. 26 — h. 0 5» : Féverotés 100 k..-b. 0 j»
I » roux........ 24 50 ii. 0 90 ! Or. de lin 70 kil.. — — >■ 0 W
j Méteil........ 18 50 h. 0 50 j! P-de terre 100 k.. 10 — b. 1 -
Seigle......... 11 — b. 0 00 1 Beurre le lui. 2 4r> b. 0 W
Avoine.......... 6 75" b. Ö t CEufs, les 25. 2 — Ji. v u*>
WAVRE, 1T Juin. - Fov'ù les prix du marché :
Froment 100k.fr. 35 - b. 0 00 , P* mm. «e terre.. -- - h. 0 w
Seigle.......... H 50 b, 1 50 ! l?«v m 12 kilo.. 0 |l - 0 16
Avoine......... 14 *5 b. 0 25 OSm les ...... 1 “■ u
„ 8T-TROND, B T iuîll.-Ofi à, payé h» prix suivants :
Froment 100k.fr. 33 25 fi! 0 46 LOrg< K»k....ir. }a. ™ »•
oeitfle........ oq \h o 10 i Avoiôi ......... 70 ~
AM8TV , ». .-v miitef CEREALES: Froment
208 ; Pétersb.
-arc fl UIO*^ dè° e
COTONS : Mi-ldlmg Upland....
PETROLE : Raffine à New York |