Ut. . ES | + à : FA Des couvents de femmes il ne reste plus que les Thérésjennes, dont nous.yenpns de parler,-les Bé- guines , les Ursulines, les Orphelines, les Sœurs noires et les Sœurs grises. On comptait autrefois les Sœurs blanches, les Annonciades, les Chanoi- nesses de St-Augustin, les Capucines, les Carmé- lites chaussées et déchaussées , les Claires riches, les Claires pauvres, les Dominicaines, les Hospita- lières, ét les Chanoinesses de Prémontré. Anvers possède trois hôpitaux ; celui de Sainte- Élisabeth, fondé en1460, pour toute espèce de maladies; l'hôpital militaire ; celui de Saint-Julien, institué en 4303 pour les malades qui revenaient de la terre sainte, et où l’on reçoit encore les pauvres voyageurs pour une nuil. L'atelier de charité, situé rue des Aveugles, et fondé en 1804 , occupe trois cents pauvres des deux sexes et de tout âge. Les aveugles et les in- firmes font de l’étoupe avec de vieilles cordes, pour calfater les vaisseaux. Les autres sont employés à une manufacture de tapis dont les produits sont très-recherchés à l'étranger. Tous ces établissements sont soutenus par des donations ou des contributions volontaires.