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Études des notaires VAN DE N WYNGAERT et
BELLOY, à Anvers, rue aux Lits, 12, et rue St-Paul, 4.
RESULTAT de l’adjudication provisoire
d’une belle
MAISON DE COMMERCE
A ANVERS,
Marché au Blé de Zélande, sect. 1, n° ", ayant vue sur l'Escaut,
et vis-à-vis de l’entrée des Bassins. Cette maison se compose de
différentes belles chambres, tant aurez de-chaussée qu’aux etages
beaux greniers, cave voûtée sous toute la surface du bâtiment,
eour, ap-et dépendances, d’une contenance de 107 mètres carrés.
Mise à prix...................Fr. «1,000
L’adjudication définitive reste fixée au Samedi 20 Juillet 1872
à 3 heures Je relevée, en la salle de ventes par Notaires, rue du
Prince, 14, à Anvers. i
Ladite maison est grevée d’une rente au capital de fr. ■ t'232.80,
<2000 florins Pays-Bas), que l’acquéreur peut prendre à sa charge
en déduction de”son prix d’acquisition. . .
La maison est à l’inspection des amateurs les 3 premiers jours
de la semaine, de 3 à 5 heures.
Entrée en jouissance au 1 Octobre prochain. 24*4
VESTE F UlTi IQüI
DU
CHATEAU DI liSIMIL
situé près de Malines, sur les limites dé Vt avre
St-Ca\hérine et Waelhem, à proximité de ce
dernier village, contre la chaussée d’Anvers, à
so minutes de la station de Wavte, et à 50 minutes de celle de
Duffel. Le parc entouré de murs et de fossés alimentés par la
Nèthe, et renfermant d’anciennes et magnifiques plantations, com-
prend 13 hectares et demi et forme le 1er lot. Les terres et prairies,
formant bloc et contenant 14 hectares et demi, «ont divisées en
plusieurs lots, indiqués au plan. Les amateurs pourront visiter le
«bâteau les quatre premiers jours de la semaine, de 12 à 5 heures
en se munissant d’un permis.
L’adjudication provisoire aura lieu le mardi 6 août 1872, à 2
heures, en la salle des Ventes par notaires à Malines. Pour plans,
renseignements et permis, s’adresser en l’étude du notaire !>e>
Keersmaecker, à Malines. 2416
ATTENTION.
Le sous-igné H. iValon fils, commissionnaire-expédi-
! leur, a liionnéur de prévenir sa clientèle qu’à dater du 8 cou-
rant son bureau d’expédition est transféré rue Voke, 14/16, et qu’il
1 n’accepte aucune responsabilité des marchandises ou autres re-
! mises, rue des Menuisiers, 21, ce bureau étant totalement sup-
] primé pour sa maison. SI '’W/alon 111s. 2389
H.....WALÖN FILS
BUREAU SERVICE IUÉGULiEti
D’EXPÉDITIONS
PRISE A DOMICILE Bruxelles, Paris
Recouvrement, la hollande.
Le bureau est actuellement rue VeWe, 14 16.
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D’UNE JOLIB
Maison ^ Campagne
avec écurie et remise, très beau jardin planté d’arbres fruitiers,
de 43 ares, sise au centre du village de waelhem, près de Malines
contre la chaussée d’Anvers.
Adjudication provisoire, le 8 Août 1872.
S’adresser en l’étude du notaire De Keersmaecker,
àMalines. 2469
AfrikaanscheHandels-Vereenigiiig’
Op den 19 Julij e. k. des middags, ten 12 uren, zullen ten hare
kantore, bij INSCHRIJVING, ter verkoop worden aangeboden :
Circa ISO tons GROND1VOTE1V (gepeld),
te ontvangen van boord Lodewijh, binnen van Banana.
Circa 400 à tSOO tons PALMPITTEIH,
te leveren na behouden arrivement van Banana, uit schip of sche-
pen binnen twee maanden verwacht. Alles op da gewono condi-
ties. — Nadere informatiënzijnte bekomen bij de makt
2458
i makelaars
Monlauban van Swyndregt.
FAILLITE
de la Compagnie d’Assurances LA CONCORDIA,
A AMSTERDAM.
La délibération suç Ie concordat proposé au nom des Action-
naires de la cotvconnia aura lieu Mardi !e HSeptembre 1872
à 10 1/2-heures du matin, au Palais de Justice d'Amsterdam ’
MM. les créanciers sont prévenus que dans cotte assemblée ils
auront encore la faculté de faire admettre des créances à la niasse.
Amsterdam le 15 Juillet 1872,
Les syndics :
E. N. RAHUSEN,
H. N. TEDING VAN "BERKHOUT.
Café Restaurant STRÖÖMBERG
À ROTTERDAM, WESTNIEUWLAND, N° 26.
Ouverture du Restaurant de 9 heures du matin jusqu’à mi-nuit
Dîners de 2 à 6 heures. Vins exquis. Service prompt et net. Dis-
ponioiliiê d appartements pour sociétés. 2321
XJn illustre chimiste, Raspail, dans son Manuel de la Santé,page
118, dit que le gou iron embaume la circulation dusang et il le con-
seille dans une foule de cas, Bouchardat, dans son Traité de thé-
rapeutique, année 1866, page 92, dit à propos d’une affection qui
avait résisté à tous les autres traitements: après quelques jours
de traitement par le goudron, l’eczéma avait disparu et les fu-
roncles avaient cessé de se reproduire. Le même résultat a été
constaté chez d’autres malades et ces di vers faits sont venus ainsi
constater l’efficacité du goudron comme moyen d’empêcher la
reproduction des furoncles.
Dans VAnnaire de thérapeutique pour 1869, page 83, il est dit :
1 usage habituel et quotidien du goudron est très-recommandé chez
les convalescents et les personnes faibles; il constitue un excel-
lent préservatif contre un grand nombre de maladies, surtout'
contre les maladies épidémiques.
Le docteur Jozan, dans son Traité pratique des maladies des
voies urinaires, dit l’avoir ordonné avec succès dans les catarrhes
as la vessie et les rétrécissements de l’urètre.
Mais où le goudron est d’une efficacité supérieure à tout autre
médicament, c’est contre l’asthme, les rhumes négligés, les bron-
chites chroniques, la phthisie et les rhumatismes.
Dans l’asthme, la respiration est difficile et laborieuse, à cause,
de 1 occlusion incomplète des bronches ; quintes violentes de toux,
qui se terminent par des expectorations compactes, grisâtres
grumelées. fades et nauséabondes ; boufflsures de la face, et sou-
vent de toutes les autres parties ducorps ; étouffements fréquents.
Le froid empire tous ces symptômes, parce que le froid paralysant
les fonctions des muqueuses rend les produits de leurs sécrétions
plus concrets et moins facile à se détacher. Une ou deux capsules
de goudron tous les soirs, avant le dernier repas, suffisent pour
dissiper tous ces symptômes, amener un soulagement immédiat
«t bientôt une guérison complète.
Un rhum négligé ou mal traité finit par amener b marasme,
fiuand il ne se transforme pas en phthisie pulmonaire ; parfois les
quintes finissent par devenir si fréquente s et si violentes, que toute
la constitution en est ébranlée : le sommeil en est à chaque instant
trouble ; les pommettes rougissent et les joues pâlissent ; le pouls
est fébrile et rapide. La moindre impression de froid redouble
toutes les souffrances ; plus tard, il se forme des tubercules, nui
se multipliant, obstruent les capillaires et paralysent ainsi l’oxy-
génation du sang ; lorsqu’ils viennent à suppurer, ils sont le foyer
de la désorganisation des cellules du poumon,et y occasionnent les
larges pertes de substance,que l’on désigne sous le nom ôccavernes
Le malade est pris d’une langueur sans souffrances, d’une mélan-
colie sans ennui ; ses crachats,d’abord blancs, spumeux et nacrés,
virent de plus en plus vers une une coloration de mauvais augure et
a la dernière période, ils sont d’un vert herbacé. Le dévoiement le
prend au début et ne fait ensuite que s’accroît re.Son existence n’est
plus qu une lente agonie,sans remords et sans regrets, et il s’éteint
en pleine connaissance, soit à l’époque où la nature se réveille
soit, à celle eù elle s’endort.
. Une ou deux capsules de goudron, tous les soirs, avant le der-
nier repas, suffisent pour guérir en peu de temps le rhume le plus
opiniâtre, la bronchite la plus invétérée : pour enrayer et guérir
en peu de temps la phthisie, même assez avancée ; dans ce der-
nier cas, le goudron empêche la décomposition des tubercules et
ta nature aidant, la guérison est souvent très-rapide.
Il est inutile de faire l’éloge du goudron, les médecins le pres-
crivent journellement à leurs malades ; seulement, le goudron
liquide répugné, et beaucoup de personnes se refusent à le prendre,
tandis que nos capsules se mettent sur la langue et sont avalées
au moyen d une gorgee d’eau sans laisser le moindre arrière-goùt
Ces capsulescontiennent le goudron de Pin Sylvestre Maritime;
goudron rectifié et le seul d'une efficacité toujours invariable
ime seule capsule contient environ trois ou quatre litres d'eau de
goudron ordinaire.
Dans notre conviction profonde, ce goudron est un préservatif
certain contre la variole, le choléra, la fièvre typhoïde, etc., etc.
an prenant une simple capsule de goudron tous' les j ours, on peut
impunément aller soigner les malades atteints décès maladies •
toutes les personnes qui les ont employées pendant l'épidémie va-
riolique qui a dernièrement sévi à Paris avec tant d’intensité s’en
sont bien trouvées et aucune d’elles n’a éprouvé les atteintes du
Uéau.
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i Par le placement prudent de ses capitaux ;
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ments en s’adressant au directeur de la succur-
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étant louée pour le lr Octobre prochain, porte à la connaissance
du public, qu’elle a encore une quantité de bonnes et excellentes
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Il peut être employé avec succès pour toutes cultures.
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plomb dont un double est déposé au greffe ,du tribunal de
commerce d’Anvers. ■
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rue des Peignes, 54, pour les conditions et les rapports ainsi
que pour les analyses chimiques de MM. Dr r. fresemus,
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sont conservés pour les com-
mandes supplémentaires.
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taires, dans une foulé de cas, la véritable eau niiné-
rale tie Cnrlsbod se trouve au premier rang de
toutes les eaux minérales médicinales.On l’emploie parti-
culièrement. dans les maladies de l’estomac.des intestins,
du foie, de la rate, des reins, des voies Urinaires, de
la prostate, de Sa diabète? de la goutte et des affections
chroniques de la matrice.
On prend l’eau de Carlebad chez soi de la
même manière qu’aux sources. La dose ordinaire est
chaque matin d’une bouteille, qu’on boit à l’état chaud
ou froid, par intervalles de 20 minutes, si possible pen-
dant une promenade en plein air, ou bien aussi à la
maison ou au lit. Pour augmenter l’action purgative de
l’eau de üarlsbad on y ajoute une cuillère à thé
de sel uninéi*»l.
L’eau minérale de Carlsbad, a un effet
plus dissolvant prise à l’état froid qu’à l’état chaud.
LIMON DË MARAIS.
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salins, dont la matière est emprunté aux marais et
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sont excellents pour compresses et remplacent avec
avantage les bains de limon déf marais ferrugineux. Ils
sont aussi très efficaces dans les appauvrissements et
pertes de sang, dans ta dépressions desorganes et tissus
et l’énervement, la lassitude dans les fonctions animales
qui en s'ont la cause ou les suites.
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■duit s au prix uniforme de £ 85 pour tous les poits, soit : Bailla, Hio-Janel-
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et le Dui'fiiiéhe malin, auasi uC Couvres le Dimanche matin et le
Dimanche soir, le double service journalier entre Sa Belgique et
l’Angietcrre se trouve complété.
I.e* dépari» ont lieu d’Ostende A IO h. du matin et Si h. dsi soir»
c» » de Douvres à 9h. Atii » fOSi. 40 »
bïimédlalomcnl après les arrivées des convois postes des deux
côtés savoir s
5*üur Ee déj» irî «S’Ostende par le bateau de josir l’arrivée do
convoi partant de Cologne is Î0.30 soir et Bruxelles à y.SJJ du ni.
S -«r te b a teass do nu! f, selle du convoi partant de Cologne à 11.^3 O-
<îii isiatia ? - 5 s;gï*isx«dk‘« »» 1». du sois*.
*»o-.«c i«i départ de Douvres par le bateau de Josir l'arrivée du
ivinvoî i..::s-îuïit d«^ Lomïrcs à î-40 du matin.
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S’adresser par lettres affranchies, avec références, à Mr Louis
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Réponse affranchie, sous les ini-
tiales V. C.,;au bureau général
d’annonces de Nijgh & van Dit-
mar, à Rotterdam. 2467
demande pour une mai-
son d’expéd. un com-
»___mis-appventi etun
teneur delivres. K’adr.
par écrit sous les initiales D. F.,
au bureau du journal. 2473
(fs-av demande un jeune
3 G US commis ayant déjà
UU quelques notions du tra-
vail de bureau. Appointements
selon mérite. — S’adresser au
bureau du j., init. E.V. H. 2453
Pour le lr Sept, on demande
une femme «le cham-
bre, devant soigner les en-
tants, et un domestique
«le ménage. — S’adresser
au bureau du journal. 2442
demande un sous-abon-
nement au journal Le
Times. S’adresser au bu-
-eau du journal. ,
Avis aux jeunes geos
À! emiiids.
On demande des pensionnaires
et demi-pensionnaires, dans une
famille des plus honorables. —
Beau quartier, salon, piano et
jardin en commun. — Situation
magnifique. — Cours de français
graf iis. — Pour ceux de ces
Messieurs qui désireraient sui-
vre un cours de français sans
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Prendre l'adresse au bureau du
journal. 2356
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sire contracter un arrangement
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d Anvers, pour lui acheter, à des
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à ses opérations. — S’adresser
par lettre, sous les initiales W.
B., au bur. du journal. 1911
ON
cherche un commis*
g g fil apprenti. S’adresser
.Lil au bur. du journal. 2474
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CONTRE INCENDIE.
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des agents, pour la banlieue
d'Anvers.— Ecrire franco init.
A. B. C., au bureau de cette
feuille. 2344
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On off re 1000 fr. à la personne
jui pourrait s’engagera appren-
’ ’ parier à un“ garçon de 8
ans, qui n’est ni sourd nf muet.
S’adresser au bureau du journal
initiale ' ~ ~
ïïf
initiales A. B. C. 2419
jeune homme allemand
désire entrer comme
volontaire dans une bnns
maison de commerce. Ecrire feo
sous les initiales A. B. au bureau
du journal. 2449
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avec jardin, n° 73-71-69 ; pr fr. 850,:
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levard Léopold, 139, ou Canal
des Récollets, 62 . 2219 ;
nvj cherche à louer de grandes
üil caves, — S’adresser au
bureau du journal.
mj demande à louer, au centre
UH de la ville, un i*ez*de»
clianssée, composé de trois
pièces pour bureaux. S’adresser
an bureau du journal, sons les
initiales R. P. 1437
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tu
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abondent, c’est un signe
certain de la chute des
cheveux. Employez vite vite
l’huile Dalmine, si vous vou-
iez les conserver.
Par suite de son applica-
tion. les cheveux cessent do
tomber et les têtes les plus
chauves so couvrent d'un
léger duvet qui tombe, re-
pousse et finit par se trans-
jforraer on uno abondante
chevelure.
Cette (utile dispense de
et ne tache pas.
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Berlin, 12 oàobre l87L
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d’une bronchite aiguë. Je ne manquerai pas de recommander vos précieix produits à
chaque occasion. - . À „ • ,
» vo\ des» iiEYT. ex-mmi«tre d Etat. »
_ « Bruxelles, le lrJ(nvier 1872.
» Je tiens à déclarer qti’atteint depuis plus de trois ans de MAUX DE P0IJRINE, qui me
causaient des douleurs atroces, j’eus recours à votre excellent Extrait de Malt (bière de
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etc. etc. - u. iiERTEi.s, rue œ la Poste, 32.
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d’Argiîe.72. _____________L 1439
rsuad
:;o
cbrochure
ijnoüons d’hygi
veiure.
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Cal t tw , pharmacien
a v 1 ; n u e Q u i n ti n M n s s y *i. 1
ei si la pnAHMA«'.iK-nno<
isîr, Klapdorp. 4s», el 1
t. or bpvl, pharm.. Loi
rue Neuve, 57.
«ntiies i
la chu- i
Par ce remède unique les obstructions de toutes sortes, soit celles des junes personnes
soi) celles des femmes à l’âge critique, peuvent être radicalement guéies. Les jeunes
personnes pâles et maladives seront rendues à la fleur de la santé par ^merveilleuses
pilules, qui purifient le sang et chassent du système toutes les grosses et apures humeur.
Aucune médecine n’améliorera aussi efficacement le ton de l’estomaikme ces pilules ;
elles chassent toute acidité causée par intempérance ou mauvaise nurriture. Elles
parviennent au foie et l’amènent à une saine action ; elles sont merveilmsement effi-
caces dans le cas de spasmes, et elles ne manquent jamais de guérir torsies désordres
du foie et de l’estomac. Quand le système est affaibli et que les nerfs son) relâchés, la
maladie peut devenir imminente, à moins d’employer ce remède purifiantjet fortifiant,
afin de détourner le mal qui menace. Pour tous ces cas, aucun traitemsni n’est égal à
ces excellentes pilules.
IOT HOS,LOUW.
Cot Onguent développe ses pouvoirs curatifs rapidement, sainement ctsans souf-
irance. Les simples éruptions, les plaies ouvertes, les tumeurs dures, le affections
scrofuleuses do toutes sorte, les abcès, vieilles blessures, ainsique toirtóspece u’inflam-
mations ou de suppurations, soitde la peau, delà chair, des glandeçou des muscles,
-peuvent être radicalement guéries avec cot incomparable Onguent, j
Dans plusieurs hôpitaux d'Europe, on se sert de ce célèbre remède)pur la guérison
des* vieux ulcères.
Des.instructions détaiUées entourent chaque beto et pot.
«$)- vendent riiez les Miarmaciena î fr. îîO e., 3 fr. Tl e. et (1 Rt*. le
«»(« En Lois*-. I1-...».- lu vente es» gros s’adresser cleSE le proprié-
taire, le- professeur HOLLOWAY, 833, Oxford afeet, Lindon.
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ENTRE
2 1.5- |