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dessus, communique , au moyen de deux ouvertures ,
l'une a, autre b, avec les bouts d’une anse de tuyau
qui peut prendre toutes sortes de circonvolutions. Il
suffit qu'une des branches de l’'anse, celle de départ « ,
s’ouvre dans la chaudière à un niveau plus élevé que
celui auquel s’ouvre dans la même chaudière l’autre
branche celle de retour b. L’eau se répand d’«
en cec, par toutes les circonvolutions, jusqu’à b,
pour rentrer dans la chaudière. El en résulte que
l'agitation de l’eau, par la chaleur qui sans cesse la
repousse hors du voisinage decontact du brasier , éta-
blit un courant dans les tuyaux de communication.
Els sont alors un moyen certain de distribution de la
chaleur là où ils vont s’étendre. On ouvre sur la chau-
dière ou sur des tuyaux pris à un niveau où ils ne
soient pas parfaitement pleins, quelques petits trous
pour laisser échapper de la vapeur d’eau et produire
une atmosphère humide.
Les dessins des Planches E à IV, jointes à ce mé-
moire, sont tous réduits d’égale proportion, d’après
les échelles communes , en mètres et pieds de Bel-
œique, qui se voient à la planche IV.
Nous allâmes visiter aux environs de Gand deux
jardins, l’un de M. Hendricks ; l’autre, celui de
M. Huyten Vantinghen.
lampe de charlatanisme ; tant on se plie difficilement à re-
connaître une supériorité de mérite, si vraie qu’elle soit.
On ne se rend qu'à une aristocratie, celle des faits, sou-
venttrop tardivement accomplis. |
