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couvrant le sable. Cette plante y était plus qu’à demi-
enfouie , comme celles des déserts , et répandait abon-
damment des graines noires plus grosses que ne sont
celles des Arenaria en général. Je visitai un cabinet
curieux d'histoire naturelle, principalement z0olo-
gique.
Le fondateur et propriétaire de cet établissement ,
M. Paret, me montra une racine de Peuplier d’Etalie,
de Reubeck , aux environs , où elle a été déterrée,
et longue de 69 pieds, ce qui me rappela que j'avais
quelquefois parcouru des vallées de sable au travers
desquelles se trouvaient tendues comme des cordes,
des racines de Tumarix, très-longuement filées jus-
qu’à plus de 60 pieds.
Le Glaux maritima, petite plante, croît en abon-
dance sur le talus des Jetées près de la mer.
GAND.
Dans la ville de Gand , au jardin botanique, j’ob-
servai les plantes suivantes :
ÎNepenthes distillatoria.
Oncidium flexuosum.
bien dû à Paris, quand nous leur avons écrit, et quand nous
nous sommes présentés chez eux, un des fils de M. Debal et
moi, au nom de M. Debal père, avoir effectué si peu que
possible de leurs promesses passées. On sait ce que c’est
que de frapper aux hôtels ; nous n’y pénétrâmes que diffici-
lement.
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RME. |
