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dessus ou le toit de la serre, sont à bascule, au moyen
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d’un axe transversal à leur milieu. Et dès qu’on sou-
lève l’un d’eux par le bas, il donne ouverture à lair,
en même temps que son sommet, abaissé dans linté-
rieur de la serre, donne aussi une ouverture (Voyez
PL 5, fig. 2).
Une ceinture de châssis verticaux sur la banquette
ou mur de soutien de la charpente, s’enlève à vo-
lonté, et ces châssis sont ensuite placés en bas contre Ne
&- ce mur, ne dérangeant rien et n’obstruant aucun
passage.
Le chauffage de cette serre a lieu de la manière
suivante :
Une chaudière 4) de fer ou de cuivre, fermée en
none ilihsrngenes ne pente
(1) Ce mode de chauffage a été décrit par M. Poiteau, dans }
les Annales de la Société d’Horticulture , tome, 7 p. 114;
et par M. Philippar , dans les Annales de l'Institut Horti-
cole de Fromont, tome 3, p. 97.
Feu Bonnemain, mécanicien , qui ayait ses ateliers à Nan-
terre, près Paris, était inventeur de ce chauffage , et n’était
2 cons perens
| guère regardé que comme un homme à projets , quand il
exécutait ses appareils avec un grand succès.
Le même chauffage est revenu, plus tard, d'Angleterre
en France, et a été admis sous Le nom de thermosiphon.
(Voyez la Revue Horticole , par M. Poiteau, tome 2, p. 157).
J'ai été témoin, il y a longtemps, d’une autre invention,
celle du thermolampe de le Bon. Elle a eu besoin d’être
changée , d'éclairage au gaz tiré du bois qu’elle était, en
éclairage par la houille, pour avoir été enfin admise. Une
grande masse de personnes traitaient , au début, le thermo= |
