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Le Fréccfsenr.
har- tes, les pols. Il affectionnait le vin du Rhin, d’une ma-
juge iière toute particulière, et buvait souvent, dans ses
jette entières années, sa bouteille de Bordeaux,
lieux Kant, mort eu 1801, comptait jusque dans les der-
icres années de sa vie, au nombre de ses mets favoris,
"mes me purée de lentilles, une purée de panais préparée au
ren- anl, un pudding au lard à la pnminérameune. un pud-
ler- iug de pois secs aux pieds de pores, des fruits séchés
eurs u four de Pominéranie. — Il restait ordinairement <i
eues ablc d’une,heure à quatre.
por- Schiller, mort ctf 180.5, aimait dans sa jeunesse, le
Rué, ambon d’uue manière toute particulière. — Nous
vous sous nos yeux une note étendue des dépenses fai-
nner espar 11. Schiller, en 1783, pour ses soupers chez un
lies- allergiste de Slullgardt. Un y trouve chaque jour du
ipro- ainboii et une quantité minime de vin du pays,
iront Wielaud, à l'exemple des Athcuiiiis, affectionnait
'une manière toute p irtieulière les gâteaux et les mets
ivcr- uirs au four. Lorsqu’il savait que sa femme avait dans
An* es armoires quelque chose de semblable . il se levait
le la omoni encore après minuit pour lui dérorer la petite
i de 'randise et la manger tranquillement dans son lit. Vers
vaut 1774,il avait à souper tous les dimanches une l'atsche,
ires- iiileau assez renommé que l’on mange à Bilerach. I.es
l’a- cuites des Alpes, tirées des vallées du Ziller, lui parais-
,lient tellement succulentes qu'il lui arrivait souvent
nent e parler deux années d’un repas ou ces poissons avaient
es y guré, Dans sa vieillesse il aimait à prendre un verre
mdi- l’eau de cérises.
Jl.unisson a lui-même raconté qu’il préférait à tout
brée les pois , des haricots secs et de la viande noueanée.
rec- ha biographie d’Alexandre l’ope , mort en 1744 a
cou- îenlionné que rien n'était pl us cher au poêlequ’un me ni
ans- hand et bien composé, cl celui de Goethe , que son
gui- lOiineiir affectionnait particulièrement le Champagne,
il ce Iy a de lbr.es présomptions pour croire qu’il eu est
insi de tous les poêles; nous le croirons du moins jus-
u’;i preuve contraire.
Nous terminons ces notices gastronomiques parquel-
pies indications sur les changements inirodu ts dans
?ües ,,s jlu„,es ,ie, repas. Nous ferons d’abord observer com-
licn il est impropre d’appeler en a.Iemand repas de mt-
enir tt, le principal repas du jour, que les Romains;nom-
des beul la mena. les Français le dîner, les Anglais le dm-
lai- ner, mois divers par lesquels ou désigne le repas auquel
h et pu consacre le plus long espace de temps, auquel ou
des jrenil part avec le plus de plaisir et qui fait éprouver
ina- e plus de jouissance, et après lequel on se livre à des
l’art heures de récréation un de douce somnolence. A la porte
vait Me la salle à manger de Pacca, secrétaire du sénat, ou
jus- lisait dans la seconde moine du xvt» siècle l'inscription
liée- suivante : Pransurus auto X ne ceuito, post X no ttia-
loin- neto : ne venez diner ni avant m après dix heures,
udes Eu 154a, les élud ants nobles do Toulouse dînaient
ante à 10 heures et soupaient à B heures,
neut hors du mariage du prince de J allers, célébré à Dns-
que. keidorf. on se mit à table entre 5 et 6 heures pour pren-
sur- dre le souper.
ap* Il était d'habitude jusqu'en 1606, dans le chapitre de
îubinguc, de biner à 0 heures du matin. Un n'y déjeu-
>46 , liait jamais.
Les comtes d’Erbacb (limaient, en 1627, à 9 heures
irant lu malin.
Il D’après les réglement d’intérieur du duc Ernest de
por- Gutha «le 1648. ou mangeait chez lui eu eteel en hiver,
>ntu- à dix heures trois quarts du matin et à cinq heures trois
ns et quarts du soir.
udu• Le roi Georges Ier d’Ang’eterre, mort en 1727,
lieu- mangeait apres deux heures et les tinsses distinguées
Les je Londres ne dînaient, en 1769, qu’à quatre heurts,
itdu Georges NI dimit, en opposition avec les mœurs
erait anglai es, à une heure après midi elsoupailà dix heures
du soir.
Philippe V d’Espagne, mort en 1746. dinait à midi.
11 en fut de même de Gharles III . mort en 1788 ; un
avait alors la coutume de montrer au roi et à ses cou-
vives ceni plats différents dont une quarantaine seule-
jmenl étaient posés sur table.
Entre 1769 et 1770, les doges et sénateurs ileVeui e.
ainsi que la classe ouvrière. (Huaient à midi précis y
ouïes les classes de la sociélé eu faisaient de même à
Batavia et dans la ville du Cap. Eu 1798, un diuail aux
■abies d’hùle de Florence à trois et quatre heures.
La classe distinguée de Berlin dînait en 1778, à deux
heures et soupail a neuf hcuies.
Catherine 11 et l’empereur Paul dînaient ha bit nel le-
ent à une heure; Alexandre au contraire, dînait à
l’anglaise, entre quatre et cinq heures.
L’heure des repas ii’élail pas fixée chez Joseph II. Il
dînait à trois heures, à quatre heures. à cinq heures.
Bu 1806, au jour de l'an, l’empereur Franco s donna
liicore un grand dîner à midi.
Eu 1786, le bourgeois de Paris mangeait à deux heu-
’cs, le marchand.à trois, le noble à quatre heures.
En 1806 les Français, appartenant à la classe élevée.
Huaient au Canada à quatre heures, opération qui, cin-
quante ans pluslôt, s’exécutait à midi.
, les
ir. Il
man-
l pas
fa vo-
mie,
rait,
maie
der-
éfié,
, par
r les
aient
onné
étés,
ruite
légu-
uroü,
deux
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létrer
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x sont
>il-ilf
écilli-
le est
ne de
Il ai-
lle sa
l’avei
Hydcr-AIi, mort en 1782, dinait à dix heures du ma-
lin.
L'empereur de la Chine qui régnait en 1773, dînait
à huit heures du malin et soupail à deux heures après-
midi.
Les repas de la classe distinguée sc prennent, comme
ou sait, eu ce momenl, à Paris cl à Londres, cuire six
et huit heures du soir: ce sont là les homes extrêmes.
Depuis que les soupers oui été de nouveau introduits
dans les d IT renls lieux, il esl arrivé de voir ce dernier
ouvrir la journée suivante, de manière que l’un soupe-
rail, du moins en hiver, très souvent à l’heure où l'ha-
bitant des campagnes prend en été son repas du matin.
I.cdiuer,à des heures avancées.ne veut point prendre
racine dans les petites villes d'Allemagne. Rais aussi
long-temps que I Allemand n'arrangera pas son princi-
pal repas de manière à clore à l’aise avec lui sa journée
de travail, aussi long-temps qu'il n'emploiera pas à se
récréer en société l’espace de temps qui s’écoule entre
l'heure où il dine et l’heure où il se couche, il restera
toujours un profane en gastronomie moderne.
ACTES OFFICIELS.
DÉPARTEMENT DE LA GUERRE.
Des arrêtés royaux, en date (lu 5 de ce mois, contiennent les
dispositions suivi)nies :
l" Le sous-lieutenant Nadaii a été déchargé de ses fonc-
tions d’adjudaul-majiir au 2" lance rs
2° Le capitaine Schenacrls, du 12ede ligne; les lieutenants
Maille), du 7e de ligue: Cosler. du 12" id ; Glesse, du i"
chasseurs a pied, oui clé niis en non-activité.
3" Le capitaine Oelpoite, du 2»de ligue, a été mis au trai-
tement de reforme.
4» Le lieutenant Dehaull, les sous-lieutenants Debeck.
Grimtn rls et Dubru, appartenant à l'infanterie, ont obtenu
la démission de l -ur grade et de leur emploi dans l’armée.
5" Le li«tilenant-rü!one. Guc Ion. commandant de la place
de Menin, a obtenu sa [ eu-iuii île retraite.
CHEMIN! D2 PER. ȕ SKCXSLLSS AUX FRON-
TIÈRES JOE TPHAVee.
( Loi du 1er niai 1834. )
Adjudication publique de ta fourniture de 8,009 mè-
tres cubes de sable dest nés a l'établissement du rail,
ivay sur la section île Foi est à Tubise.
Le ministre des travaux publics fait connaître que, le mer-
credi 30 janvier 1839. a onze heures du malin, il sera procé-
dé. au local du gouvernement provincial, rue du Chêne . à
Biuxcllcs. par-devant :e gouverneur, assisté de l’in-perlcur
des pouls et chaussées, directeur des travaux de constructimi
du chemin de fer du Haitiaul, a l’adjudicalion publique de la
foui ni t tire de huit mille inèires Co b'1 S de sable de.-tutés à la
fondation (iu rail-way sur la section de Forest a Tubise
ü-s exemplaires du cahier des charges sont déposés dans
les bureaux de M VI les gouverneurs et ingénieurs en chef
des provinces au ministère des Iravaqx public- chez M fin-
specleurdes ponts cl chaussées de Vloor. où l’un pourra s'a-
dresser pour le- plus amp e- rciiscLnt}ineiits
L'adjudication aura lieu par des soumissions cachetées .
rédigées conformément au modèle juinlau cah.erdes charges
et souscrites pardeux caillions solidaires.
Le ministre des travaux publics se reserve de faire choix
de l'entrepreneur parmi les Soumissionnaires, et rte l'agrcer
en celle qualité, sous la garantie de ses cautions, sans être
tenu de motiver son choix.
il po ria de plus ne donner aucune suite à l'adjudication
e; en ordonner une nouvelle.
Bruxelles, le 8 janvier 1839
Le ministre des travaux publics,
Nothomb.
COMMENCE.
PLACE D’ilïVEBS , DU 10 JANVIER.
CAFÉ. — La demande semble se ranimer pour celle Té e
C' les cours continuent a bien se maintenir On a de noiive u
trailé environ 400 billes Batavia de 32 a 33 cents, et 3ü0
balles St-Domingue de 29 !|4 à 30 l|4 cents.
COTON — Ce lainage se maintient en faveur et donne
1 eu journellement à quelques affaires. Il s'est encore tracé
une centaine de bal.es de Géorgie à prix qu’oit tient secret.
Les autres articles n’ont rien offert de saillant.
MARCHÉS
NiNOVE. 8 janvier —Toii.es de lin : Malgré le mauvais
temp- le marché a été un peu mieux pourvu que la semaine
précédente; les bonnes tuiles se sont vendues a des prix mo-
dérés, et relies de mauvaise q lé n’ont pas trouvé â se placer.
LIVERI’OOL. 5 janvier. — Cotons: Depuis nos derniers
avis, le marché aux cotons a été très ferme: cependant les
ventes de ces jours derniers n.onl été que peu extensives. Les
Sea lsiand se maintiennent a de pleins prix Les Egypte ne
jouissent que d'une demande modérée. En Brésil, les ventes
ont été peu saillantes; mais se sont contractées a de bons prix.
Les Surate, en bonne demande ; mais peu d'affaires.
Les transactions de la huitaine écoulée consistent en 20.590
balles, parmi lesquelles 7,500 Amérique, ton Babia, 1,100
Cariliagèue et 300 Surate pour la spéculation.
Les courtiers viennent de publier leur relevé annuel des
existences de coton dans le port de Liverpoul, le 31 décem-
bre 1838 Nous en donnons ci-après l'analyse.
Le montant des cotons importés à Livcrpooi, dans les (rois
dernières années, est le suivant :
En 1836.............. 1.922,500 baltes.
1837................ 1,036.205
1833... ............ 1,328,637
Montrant ainsi un accroissement pour l’année dernière,
comparée avec la précédente de 292,442 balles, et comparée
avec 1836 de 3i)6 057 ba les.
Le relevé ei-atirés présente la comparaison des importations
dans les ports de Liverpoul. Londres et Glasgow.
1836.
t.022.590
107 551
70.017
1837.
i.036.205
65'.696
74,270
1838.
1,328.647
43.570
58.560
Livcrpooi...........
Londr-s...............
Glasgow.............
Total . . ,,.... t.200. î 58 1.176.171 1.428,777
C'est ainsi un accroissement dans la totalité des importa-
tions. en 183 -'.cornpgré a I837.de 252.606.et a 1836 de22S.6I9
Les exportations de coton des ports de Livcrpooi . Londres
et Glasgow dans les trois dernières années , donnent les ré-
sultats suivants :
1836. 1837. 1838.
Liverpoul........... 46,900 73 080 60.500
Londres................. 6U.300 51.400 40.900
Glascow.................... 699 500 970
Total.......... 107.899 124 980 102.370
Voici le relevé comparatif des stocks dans les ports de
Liverp ol Londres et Glascow. au 31 décembre, pour les
Iruis deruéires années :
1836.
Livcrpooi............. 204.590
Londres................. 60.820
Glascow................. 23,590
1837.
170.820
64,150
24.370
1833.
248.340
64.450
26 300
Total.......... 289,000 259.340 339.090
Les 248 340 balles formant l’approvisionnement de Lirer-
poot. se composent de :
3 220 balles Sea-lsiand , 1.330 Stained , 68 860 Upiand.
98.050 New-Orléans, 17.640 M b'Ie. 11.720 Kernambuuc.
8,230 Bahia 9050 .Mai aguan. 180 Minas. 5.320 Egypte. 640
Demerary. 250 Guayra . 840 Pérou. 4640 Carlhagéne, 130
Barbades. 20 Bahaïua, 80 des Indes Occidentales 16.510 Su
rate. 400 Madras. 5-ni Bengale, 700 Smyrne. 39 Manille.
Les livraisons de eut un pour ia consommation intérieure,
ont été en (838 de t,258.457.
C'est 24 20! balles par semaine.
NEW-YORK-, 16 décembre. — Coton : Les avis du sud
des Etats-Unis, reçus par e Rhône, annoncent généralement
des prix plus élèves pour les entons sur tous les marchés. par
Suite des bruits qui prenaient plus de consistance sur une as-
sez forte diminution dans tes récoltes celte année. Cependant
bien des personnes différent encore entre elles dans leurs es-
timations. et beauroup de g iis persistent a croire que tous
ces bruits ne sont pas mis en avant que pour ma nlenir l'arti-
cle a prix élevés pendant les premiers mois de la campagne.
Il y a des estimations qui portent les récoltes à 1,350.000
balles, d’antres à 1.500.000. d’au res p ersistent dans le eh (Tre
de Ifi a 1.650.000 balles Comme la saison écoulée a étégpué-
ralemenl favorable aux récoltes, on ne peut croire qu’eu dé-
Boitive elles n'atteignent pas à peu près lechiffiede 1,600.000
billes.
A New-Orléans, le 8 décembre, les cours «e raisonnaient
de 10 a 16 cents, ce dernier prix maintenu pour les choix, le
fair valait 13 à 13 Ij2. Le fair gond (4 1,2.
A Mobile, le 9 décembre, on cotait de 10 à 15. Le fuir va-
lait de 12 i|2 à 12 ;i|4 ; fipryio / 13 t|4à 13 t|2 Une restait
que tes trois nav ires connus en charge pour le Hav re.
A Chail alun et Savannah. les 9 et 10 décembre, les prix
roulaient de 9 à 14 Fuir 12 à 12 l|2: ÿomI fol 13 cents.
Trois nouveaux navires sont annoncés à Charleston pour
le Hav re. Fret 7|8 e.
PARTIE MARITIME.
( EXTRAIT DES REGISTRES DU LLOYD-BELGE. J
SIMSTHE.
OSTENDE. 9 janvier. — Noire bateau pilote a dû quit-
ter sa station hier au soir et rentrer au port par suite d'une
forte voie d'eau et la perle d’une partie de son bastingage em-
portée par la violence des coups de mer.
Le brick anglais Léonidas. cap. Adamson allant de Snnder-
larnl à Southamptmi avec un chargement de chai bous. esl
v enu s’échouer hier au soir à 8 heures a l'O. de notre port,
par un fort ventile N. O.
Vers le 9 l|2 heures, la mer baissant peu et craignant que
le navire aurait pu se (iriser avant la basse marée, les marins
sauveteurs de la station d'Oslende ont immédiatement lancé
eur canut.et a force de ranu s. ils sont arrivés sous le vent du
navire en moins d'une demi-heure, ilsont réussi a sauver tout
l’équipage qui était exténué de fatigue et de froid Les soins
les plus empressés lui ont été prodigués au Pavillon Royal
établi sur la digue de mer. Le navire se trouve rempli d’eau
et dans un mauvais état.
RAMSGATE. 4 janvier — Le navire Mungo Park.rap.
Anderson, all.de Sbiclils à Malte est arrivé,bier dans le port et
doit débarquer une partie de sa cargaison pour étancher une
voie d'eau.
WYCK, 27 déc. — La tablette d'un navire, portant le nom
d'Augusia en lettres d'or, a Clé trouvée à la côte de l’ile dé
Sylt Un bloc de bois d'acajou de 24 pieds cube, avec les mar-
ques PL AS. N: 6 et sur le côté le n» 1604, est venu échouer
a la côté de l’ile Franco.
M1LFORD, 2 janvier. — Le corps d'un homme a été ra-
massé à la côte ; on a trouvé sur lui une montre en or el
28 souverains : on présume que c'est le capitaine d'un navire
français qui s'est perdu à l’entrée du port daus le dernier
ouragan. .
LISBONNE. 29 décembre. — Entré pnur voie d’eau . le
brick suédois Agnes, allant de Granville a Oran ; 10 jours de
mer
RIO-JANEIRO 22 nov. — Entré en relâche forcée: le
n i vire Judith, ven.de Valparaiso. en destination de Liver-
pool. ayant à bord 250.000 piastres: ce navire relâche poux
rétablir quelques avaries souffertes durant la traversée.
— Le navire Tva Broder, c. Andersson. est entré en relâ-
che forcée a Rasvaag, dans son voyage de sortie de Calmar à
Marseille.
— Le nuire Happe!, c, Terkenbnrg. parti de Rotterdam
pour Borgo. se trouve échoué près de Rasvaag. D’après des:
lettres de Arenshurg, du 24 décembre, le.navire sera perdu.
NOUVELLES DE MER.
OSTENDE, 9 janvier, vent N O fort. — La malle an-
glaise qui aurait dû entrer hier après midi, n’est arrivée que
ce malin par suite du gros temps qui continue encore.
10 t|2 heures du malin. — Rien en vue.
LONDRES. 5j nvier. — Arriv. : Anna Polowna,c. May;
Darl. c Haacks, d’Oslende.
Déclaré à la sortie, le 7 janvier: le pleyt belge Eclipse, cap.
Muyclleart. p. O-temie.
M v R GATE. 4 janvier. — Au large du North-Foreland : la
3. le navire Maria, c. Ituylçr, de Triuidad a Brème.
DEAL, 4 janvier. V. O.-S-O. grand frais, variable au
N.-O. avec p uie.
RAMSGATE . 7 janvier. — Durant la nuit il a violemment
vente du S -S -E variable au O N.-O. Au jour les vents se
sont modérés de cette, dernière partie.
RADE DE PORTLAND. 2 janvier. V. N. O. - Arrivé au
mouillage pour vents contraires : le brick hanibourg. Elvitta,
c. VoUerlsoti, allant de Hambourg a Rio Janeiro.
DOUVRES. 6 janvier V. O. grand frais. — Entré en re-
lâche: le pleyt belge Twee Gebroeders, c. Rieke , allaut
d’Anvers a Cork.
Au large le 7 : le navire Erstalning, c. Nielsen, allant da
Cette â Anvers.
DARTMOUTH .5 janvier. V. O.-N-O. Entrés. Ie3 ,
Robert Biamli. c. tlolslein. allant d'Amsterdam à St-Ubes ;
le 5, le navire Helcna-Jacoba, c. Zelling, allant de Rotter-
dam à Livcrpooi.
— \u large du Goodwin Sind. le 5 janvier: le brick Maria
Sophie, c Bergman, allant de Guteubourg à Jersey.
POKTSMOUTH, 7 janvier — Arriv : le navire de S. M.
britannique Electra , paru le 22 novembre de Rio-Janeiro,
ayant a bord ,5.uu0 livres de valeur cil espèces. -
PLY.MOUTH. 5 janvier. V. O. pluvieux. - Entré : la
navire Suelbeid, c. Delmare, ali.d'Amsterdam aux Co on es.
Au large : le navire Galalea , c. Johnson, de Hambourg à
Valparaiso : lü jours de mer.
M \RSE1LLE. 30 déc. — Déclaré à la sortie : Johanna, c.
Akrens, p. Anvers-
GIBRALTAR. 23 décembre. — Au large : Anna, c. Lagona,
p Anvers.
LISBONNE. 3| déc. — Le trois-mâts hol. Calharina. cap.
Rielineyer. ayant effectué ses réparations, a fait voile le 26
courant pour Batavia.
Navires dans le port : le brick danois Odin. c. Jebuson. les
bricks hambourgeois Vesia.c. penolir, et A,wma. c. Simson;
le br. hul. Zwaan, c Haasnoot, et les koffs Johanna Jaeoba,
c. Schaap. VVilhelminv Maria, c Alkes. Banca. c. Hem.
Ailolph Geston c. Duot el Vnmw Mnrrtje. e. Po'.devaarl: I s
bru-ks uorw. Reynbaeti, c. Holdl, el Vaudriugsiiianden. cap.
Rosslen.
L1VERPOOL. 4 janvier. — Déclarés à la sortie: St-Anto-
nia. c. ... p. Anvers: le 5. la goélette belge Industrie, c. Zel-
Len; le 7. ie brick belge Alexandre, c Pisser, p. Oslende.
CO WES. 6 janvier. - Arriv :Triton. c. Telerson de Ham-
bourg: Slag c Burnham. de Batavia; le 7, vent de O. va
riable au Q N-O. avec pluie.
EXMOUTH, 1 janvier. — Arriv. : Marshall, c. Marshall,
d'Oslende.
— Navires hélés: le 7 déc., en lot. 10" 42 N. et 26» 37
long O., le 3 mats holl. [le|ena. c. Blom. ail d’Amsterdam
à Batavia; le 23 octobre, en lat. 5" N. el 25" 20. le 3 mâts
français Surprise, c .... ail. de la Martinique à Montevideo :
le 23 décembre, en lat. 45" 36' et II" long O , le navire
Avenir c. Beauvais, ali. de la Rochelle a Ncwyork: Ie3mâls
am. Mason Barney. c Budd, ali. d’Amsterdam à Newyork,
enTal. 45“ et long. 36», ayant 30 jours de mer.
MOUVEMENT DU PORT D’ANVERS.
DÉPARTS DU 10 JANVIER.
Matin.— Le bat. à vap. Bruges. c.Woudiuff. p. Londres,ch-
Le koffbamb. Edouard, c. Sneider, p. Hambourg, ch.
PORTS ETRANGERS
LONDRES.
t janv Margma, c Boer,
Jeune Adèle, c. Dupuy,
f Stanislas, c Roux,
Hebg. c Robinson,
Mathilde, c Perkins,
ALOEBURGH
7 Commerce, c, Partant,
Frederick en Willem, c. Spurling.
CARDIFF.
I Dorolhea, c. Boer.
4 Ida Iferendina, c. Hensima,
liUi.L.
6 Princes» Victoria, c. Muoy,
rennnt de
Amsterda rn
Bordeaux
allant à
Rotterdam
ait i ni à
Amsterdam
punit
rennnt de
Amers
ad ml n
Dunkerque
* Swift, c. Wilson,
5 Anl. c Ultipg, —
UIVERPUOL. venant de
4 Venelia, c.... Rotterdam
Johanna, —
5 Warsaw, c Foiger, Charleston
I Anna-Agatha, Rotterdam
expedik. pour
I Strattmmre. c. Gore, Marseille
maldon. ajiaut «
t Calbartna, c. Jansen, Rotterdam
RAMSGATE. allant à
t Verv.nviBiug. e. Llndegaard, Amsterdam
YaRMOUTII. allant à
3 M illiimi. c Soanes, Rotterdam
5 Etnrraid. c. Jcnuiiigs, —
HAVRE. venant de
6 janv. Mogol, c. Beaudrier, en relâche pour la
Pointe--)-Pitre
BORDEAUX rennnt de
5 Hélène;Marie, c. Cornillot, Dunkerque
ENTltK EN RIVIERE, venant de
Frederick. e. Gorce, Bormeo
BxYÜNNE venant (te
2 Eugénie, e Ardcvin, Dunkdque
GIBRALTAR n-nu utile
16 déc, Flora, c. Wolff, Hambourg
2ti Jonge Goibrandi, c. Ncpcns, Amsterdam
I.XPI DIKS pnur
12 Vr Johanna, c. Admiraal, Rotterdam
25 Anna-M ria. c. Tortorici, —
NEW-YORK venant de
16 dec Villedr Lyon. c.Staddard, Havre
Congress. c. ilastie, Hambourg
18 Ut'Cii. c. Pell, Havre
EXUF.DIÉ. pour
18 Agenoria, c. VanderkolT, Rotterdam
NEW-ORLEANS. venant de
10 déc. Jeune Edouard, c. Gabriel, Marseille
expédiés, pour
10 Dalmatia, c; Winsor, Havre
Géaéta) Foy, c. Beaumont, Vers-Cruz
SAVANNAH. allant à
10 dée. Swilzeriand, c. Ilunt, Havre
HAVANE. tenant de
17 nov Modesla, Havre
PORT-AU PRINCE. venant de
15 oçl. Normand, e. Flanibart, Havre
RIO-JANEIRO, ' rennnt rte
6 nov. Maria, e Bahr, Hambourg
St -THOMAS rennnt de
|7 nov Culutnbiatn. c. Dureau, Nantes
24 Aulrodas. c Brown, La Rochelle
Sie HELENE. allant à
19 nov. Jeune Ertza Marseille
20 Broedertrouw. Durdiecht
METEOROLOGIE.
Thermomètre. — 0.
Baromètre. — Beau-temps.
Etat du ciel. — Nébuleux.
Vent. — O.
Haute mer. — midi l|4.
Basse met. — 61|2 h. du soir.
Lever du soleil. — 8 h. 02 m. du matin.
Coucher du soleil. — 4 h. 14 in. du soir.
Lever de la lurte. — 3 h 08 m matin. ,
Coucher de la lune. — 11 h 46 m. matin.
D. Q. le 7 janv. à 9 h. 22 m du soir.
N. L. le 15. à 3 h. 11 m. du soir.
P. Q. le 22, à 1 t.h. 35 m. du mafia.
P. L. le 29, à 3 h. 58 m- du soir.
PORTES XPÎ3 LA VILLE,
Oevektuue : 5 heures du matin.
Feumetuiie : 10 » dusoir.
» i t i/» » lesjoursdespectacie.
CHEMIN BE FEB, — UFURKS des départs.
DK BKUXEU.ES POUK AK VE n s : à 7 h. 30 m.. 9 h.
30 m . 11 h. 30 tn. du matin; I h. 45 in. et 5 b.
du soir. - /
Passage a Malines : è 8 h., 10 b..midi, 2 h. 15m.
et 5 h 30 m.
de bhuxeli.es p. ans : 7 h 45 ni.du m.et 2h rel.
Passage à Malines : a 8 h 15 m. el 2 h. 30 m.
» » Louvain : à 9 h et 3 h 15 m.
n » Tirlemont • 9 h 45 ut et 4 h
» » Waremnie : 10 h.4i) m. et 4 h. 50 m.
DE BRUXELLES P. TIRLEMONT : 5 11. de rel.
Passa geii Malines : 5h 3»m. - A Loti vain :6h. 10m.
de Bruxelles p. ostende : 7 h 30 m. du malin.
Passage à Malines : S h.
» « Termonde : 8 h. 55m.
r » Gand : 10 h,
» » Bruges : 11 h. 25 m.
de Bruxelles p. gand : 11 b. 30 m. du matin et
4 h. 30 m. du soir.
Passage à Malines : midi et 5 h.
» » Termonde : midi 55 tn. et 5 h. 55 m.
D’ANVERS P. BRUXELLES : 7 h. 20,9 h.20 m.,1 Ih.
20 tn. du matin; I h.45 ni.,et 4 h. 15 m.du soir.
Passage à Malines: 8 b., 10 h., 12 h., 2 b. 25 m.
et 4 b. 55 m.
(En coïncidence à Malines avec les convois par-
tant de Bruxelles.)
d’anvers p ans : 7 h 20 du m. et 1 h 15 m.de r.
» p. ostende : 7 h. 20 m. d'.’ matin.
D P. LOUVAIN ET TIRLEMONT 4hl5m. T.
» p. gand ; Il b. 20 m. du n «lit.et 4 b.
15 m. du soir.
d'ans p. Bruxelles et Anvers : 8 h. 30 m. du
matin el 2 h. 45 m. de relevée.
Passage à Waremme ; 9 11. et 3 b. 15 m.
» » Tirlemont : 9 h. 45 m. et 4 11.
» » Louvain : 10 b. 20 m. et 4 h. 35 m.
DE TIRLEMONT P- BRUXELLES, ANVERS KT OSTEX-
de : 6 h 45 m. du matin.
Passage à Louvain : 7 h. 10 m.
D'OSTENDE P BRUXELLESET ANVERS ; 8 h du m.
DE BRUGES P. BRUXELLES ET ANVERS t 8 b. 35 m.
du matin.
Passage à Gand : 10 h. du matin.
» » Termonde : 10 h. 50 m.
d'ostfnde p. g AND : 1 ! h. du matin et 3 h 30 de r.
de BitUGESP- gand : 11 h.35 m dum.et 4 h.5 m.r.
DKGANDP.BRUXELLES ET ANVERS: 8 b. du malin
el 3 h. 15 m. dusoir.
Passage à Termonde : 8 h. 50 m. el 4 h. 05 m.
DE GAND P. TIRLEMONT ET LOUVAIN ; 3 h. 15m. T,
s P. BRUGES ET OSTENDE : 7 b. 15 m. du
malin et 4 h. 15 m. du soir.
de bruges p. ostende : 6 b. 30 m. du m, et 5 b,
80 m. du soif. |