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parlas habitants do ces contrées an généra! qui commandiil J!a cava-
lerie â Waterloo A deux cents yards environ au-dessous do ce noble
monument, et tout près d’une petite église isolée, se montrait la
pointe d’un tout petit obélisque en pierre de taille, construit par les
ouvriers de la tour sur laquelle nous étions, comme un modeste mais
touchant tribut à la mémoire de cinq eu de six de leurs compagnons,
tués pendant le cours des travaux du pont Britannia.
Au Midi, l’horizon était borné par cette Chaîne de montagnes,
d’environ quarante milles de longueur,qui porte le nom de Snow-
don et au milieu desquelles s’élève le patriarche bien connu de ce
groupe. Entre le pied de ces montagnes et le détroit, on voyait la
petite ville de bois habitée par une partie de la colonie ouvrière, et
dont les toits en ardoise et les murailles blanchies à la chaux offraient
un vif contraste de couleurs. Près de là s’agitait, par masses et par
groupes, la foule que. nous venions de traverser et qui, courant d’un
spectacle à un autre, semblait, comme un essaim d’abeilles, ne se dis-
perser que pour se réunir de nouveau.
Enfin, tout près du rivage, sur leur plate forme en charpente, d’où
celte foule avait été rigoureusement exclue, s’allongeaient, pres-
que côte à côte, les deux séries de tubes creux , au nombre de
quatre en tout, qui devaient former )a galerie aérienne pour le
passage du détroit par les trains d’aller et de retour. Ces tu-
bes. ayant 472 pieds de long et la hauteur d’une maison ordinaire,
à deux étages, présentaient dans leur ensemble l’aspect d’une rue,
ou plutôt de longues rangées de maisons sans cheminées, d’un demi-
mille de long, construites au bord de l’eau : si (’ôn eût peint dessus
des portes et des fenêtres, la ressemblance aurait été parfaite. De ces
quatre grandes travées, trois avaient reçu un première couche en
rouge; la dernière, qui allait être dans quelques heures, amenée au
pied de la tour sur laquelle nous étions,avait été terminée couleur de
pierre. .
Nous aurions voulu, pour compléter ce panorama, décrire l'aspect
des eaux qui coulaient au pied delà tour Britannia; mais, nous étant
approché du bord pour regarder, nous devons avouer qu’il nous fut
impossible de supporter ce spectacle sans un vertige-
En descendant de cette hauteur, nous nous arrêtâmes à 50 pieds
du sommet pour examiner la machine à vapeur et la chaudière qu’on
avait installées à cet endroit, dans le but d’agir s»r doux presses hy-
drauliques dont nous parlerons tout à l'heure. A 107 pieds du som-
met, et à 103 de l’eau, nous fîmes une nouvelle pause de quelques mi-
nutes, pour entrer dans l’immense passage ménagé à travers la tour
Britannia, et par lequel doivent se croiser les convois allant et ve-
nant. Les extrémités des tubes, qui reposent en ce moment sur le rj-
vage, se concentrant en ce point sur d’immenses plaques en fontes
scellées à dessein dans la maçonnerie pour assurer une égale pres-
sion, doivent être non seulement fermement reliées ensemble, mais
assujetties d’une manière solide et en quelque 'sorte incorporées à la
construction. Aux extrémités opposées de ces mêmes tubes, doivent
se souder de la même manière ceux qujs’étendent des levées aux deux
tours d’Anglesey et de Carnarvon ; au moyen de quoi chacune des
deux galeries aériennes se trouvera former un seul tube de 1 513 pieds
de long surpassant en grandeur toute construction en fer qui ait ja-
mais été établie, et pesant 5,000 tonnes, c’est à dire presqu’aulanl
que deux vaisseaux de cent vingt canons, avec leur chargement au
grand complet.
Afin de donner à cette immense masse de fer toute la force dont
elle est susceptible avec un tel développement, M. Slephenson a vou-
lu que, quand les différentes parties des deux tubes parallèles auront
été solidement rivées ensemble, de manière à ne former qu’un seul
tube continu, les extrémités de ce grand tube soient baissées d’en-
viron quinze pouces, en enlevant les fausses quilles ou fondations sur
lesquelles elles avaient été élevées à dessein lors de leur construction.
On estime que, par cette simple opération, le tube recevra une force
de 50 pour cent, en sus de celle qu'il avait par portions séparées et
sans la somme de tension calculée avec une si rigoureuse précision.
La longueur totale du pont, ainsi définitivement achevé, ne sera pas
moindre de 1,841 pieds.
Enfin, pour donner à cet énorme assemblage de feuilles de fer (qui
doit être,ainsi que nous l’avons dit,solidement fixé par le milieu dans
la lour Britannia) la faculté de se dilater et de se contracter selon les
variations de la température, faculté dont le libre exercice exige un
espace d’environ douze pouces, une quantité de rouleaux en fonte et
de boulets en métal à canon, tous d un diamètre de six pouces, ont
été placés sur d’immenses châssis en fonte, établis sur les deux tours
du rivage et sur les culées en maçonnerie qui forment l’extrémité des
levées, en sorte que les ;ubes, comme la marée qui passe au-dessous
d’eux, pussent librement se mouvoir en sens opposés, conformément
aux lois de celui qui a créé toutes choses.
En nous éloignant de la tour Britannia, nous eûmes une vue com-
plète de l’ensemble des travaux de maçonnerie qui font partie de cette
gigantesque construction et qui n’ont pas absorbé moins de 1,500,000
pieds cultes de pierre. Mais comme ces détails n’auraient ici qu’un
intérêt secondaire, nous nous bornerons à dire que les tours, ainsi
que les eulées, sont revêtues à l’extérieur en marbre gris d’Anglesey
grossièrement façonné; que les tours du rivage,qui reposent sur des
massifs semblables à celui qui forme la base de la tour Britannia,
s’élèvent à 198 pieds au-dessus de l’eau, et contiennent chacune 210
tonnes de traverses et de poutres en fonte.
I Les quatre statues colossales de lions, placées par couples aux
abords des culées en maçonnerie, du côlé des levées qui viennent y
aboutir, sont du même marbre que les tours. Ces nobles animaux,
auxquels on a donné l’antique forme égyptienne, au lieu de la vraie
forme du lion de Mumidie, ont, quoique couchés, 12 pieds de haut sur
2b de long, et pèsent trente tonnes. Leur aspect est grave, imposant
et grandiose, la position qu’ils occupent étant à 180 pieds en avant
de l’entrée qui ressemble tellement à celle d’une forteresse par un
pont-levis, qu’on lève presque involontairement les yeux pour cher-
cher la herse.
L’échafaudage de près de cent pieds de haut, sur lequel avaient
été construits, il’une manière définitive, les tubes communiquant de
la culée de l’ile d’Anglesey à la tour du rivage du même côlé, et qui
«e composait de pièces de charpente de 12 à 16 pouces d’équarissage,
sur 40 à 60 pieds de longueur, habilement agencées, offrait un coup-
d’œil extrêmement pittoresque.
Dès que nous eûmes pied à terre, nous nous dirigeâmes naturelle-
ment vers les longues lignes de tubes, ou rues en fer, dont nous avons
parlé.
Voici, en peu de mots, quelles étaient les dispositions prises par
M. Stephenson pour mettre à flot le premier de ces tubes :
Quand celte portion de la galerie fut terminée, les étais qui la sou-
tenaient au-dessus de la plate-forme en bois, à une hauteur suffisan-
te pour permettre aux ouvriers de travailler et de circuler en-des-
sous, furent enlevés, de sorte qu’elle ne reposa plus que sur ses deux
extrémités. Le résultat de cette épreuve démontra la justesse des
calculs d’après lesquels on avait donné au tube une cambrure d’envi-
ron neuf pouces à la partie inférieure, afin nu’une foisen place il prît
de lui-même une position parfaitement droite, ce qui eut effective-
ment iieu.
Pendant l’établissement même du tube, une portion de la plate-
forme, à chacune de ses extrémités, fut enlevée, et on creusa le roc,
en dessous, jusqu’à ce qu’on eût formé, de chaque côlé, un bassin as-
sez grand pour recevoir quatre pontons, ayant chacun 98 pieds de
long sur 25 de large et 11 de profondeur. Lorsque ces bassins furent
achevés, les huit pontons, inunis à leur partie inférieure de soupapes
à l’aide desquelles l’eau pouvait y être introduite ou en être exclue à
Volonté, furent amenés à leur poste ; et quoique leur force réunie de
flottaison fût de 8,200 tonnes, tandis que le poids du tube et de sês
accessoires n’était que de 1.800 tonnes, cependant, les soupapes ayant
élé laissées ouvertes de manière à permettre à la marée d’entrer et
dé sortir librement, ils reposaient sur leurs fonds, comme des navi-
res coulés, n’attendant que le signal convenu pour accomplir la tâche
qui leur était dévolue.
Indépendamment de ces dispositions, et conformément à un plan
arrêté d’avance par écrit, M Stephenson avait fait établir sur les ri-
vages d’Anglesey et de Carnarvon, ainsi que sur des plates-formes
construites sur pilotis au pied de la tour Britannia, une série deca-
bestants communiquant avec les pontons par un système de corda-
ges et d’aussières de plus de deux milles de développement : les prin-
cipales étaieul deux aussières de quatre pouces de diamètre, espèces
de lisières entre lesquelles le tube devait être maintenu et conduit en
sûreté de son berceau au pied des tours d’Anglesey et Britannia.
[La suite prochainement.)
Nouvelles nia main.
LES DANSES A PARIS.
La fin de cette maussade année 1849 aura vu naître une chose
agréable. Je veux parler d’une nouvelle danse d’un gpùt charmant,
d’une grâce et d’une légôreîé -exquise, animée et décent,e, dont la
mère pourra permettre impunément l’usage à sa fille. /Comme tou-
jours, ce nouveau pas, d’importation étrangère, passe parle bal pu-
blic avant d’arriver au salon. Il est bon que de pareilles expériences
se fassent, je ne dirai pas in anima vili, Dieu m’en préserve, mais
par des danseuses capables de braver les murmures ou les applau-
dissements d’une galerie. Il y a trois ou quatre ans, quelle est la
jeune fille bien élevée qui se fût permis de polker, de mazurker, de
renower dans le monde? La moindre ondulation delà taille, le moin-
dre mouvement de la tête ou du cou faisaient frémir nos sages douai-
rières. On craignait à chaque balancement nouveau voir s’envoler
un mari.
Le seul passe-temps admis par la tolérance maternelle était le qua-
drille, si savamment nommé contredanse, parce que réellement par
ses figures insipides, par sa raideur disgrâcieuse, par ses entrelace-
ments monotones, c’est tout l’opposé de la danse. Mais comme tous
les excès sont presque toujours suivis d’un excès contraire, une nou-
velle danse est alors venge, danse échevelée, furieuse, déhanchée,
turbulente, dont le nom ne doit pas trouver place dans la lapgue des
honnêtes gens, et qui a rendu nécessaire la présence des gardes na-
lionaux et des sergents de ville dans les allées de nos jardins publies,
et dans tous les grands bazars consacrés aux ébats de Terpsycliore.
Le salon s'est défendu tant qu’il a pu contre l’invasion de ees
ignobles gestes, de ces trémoussements scandaleux, de pe honteux
vertige. Mais tel est le danger de la contagion et la puissance du
mauvais génie, que,sans passer précisément les bornes de la décence
et de l’honnêteté, on commençait déjà un peu à s’agiter plus que de
coutume. Les pères complaisants disaient à leurs fils après souper :
— Voyons, raontre-nous comme on danse à Mahille. Et les fils ne se
le faisaient pas dire deux fois. Et ils se mettaient à cane... (voilà que
j’allais prononcer ce vilain mol) avec la permission et l’agrément
des supérieurs. — Fi ! l’horreur ! s’écriaient les mères en riant.—
C’est affreux ! répétaient en rougissant les demoiselles, et elles con-
trefaisaient de leur mieux le pas défendu.
Heureusement, la polka, la mazurka, la redowa ont tranché le
nœud d’une manière équitable. Ni trop, ni trop peu, vqilà la suprême
sagesse. Il ne faut ni se raidir comme des statues, ni se déméner
comme des bacchautes. Vous avez trouvé dans nos précédentes cau-
series le nom, la description et l’histoire de chacun de ces pas nou-
veaux, avant même qu’on ne se doutât de leur existence dans les
cercles les plus élégants: Nous ne prétendons pas avoir inventé la
Méditerrannée; mais en notre qualité de voyageur, nous avions vu
polker à Naples, redowerà Bade et mazurker à Francfort. Toutes les
danses polonaises, russes, hongrois, valaques, moldaves, algériennes
et mauresques nous sont connues; nous ne désespérons pas de les
voir adppter, avec le temps, l’une après l’autre. En attendant, nous
vous anuonçonsla schotisch qui sedanse déjà partout en Angleterre,
et que la reine Victoria elle-même, dans les rares intervalles quelui
laisse sa position constamment délicate, exécute avec une grâce
extrême et un goût parfait.
Qu’est-ce que la schotischl C’est un extrait de walse, de polka et
de redowa ; c’est quelque choses d’entrainant d’abord, de langou-
reux, de contenu dans le second temps ; c’est un balancement très-
doux, alterné de mouvement et de repos, de pirouettes et de glissa-
des ; c'est moins fougueux que la walse, plus animé que la polka,
plus gràcieux que la redowa : c’est, en un mot, simple et charmant.
RECETTE POUR SE RENDRE POPULAIRE.
Vous attaquez tous les impôts les uns après les autres, sans indi-
quer le moyen de les remplacer, vous criez sur la misère du peuple,
en sortant de faire un bon déjeûner, vous entrelardez le tout (^in-
jures adressées à desgens plus honorables que vous, et vous servèz
chaud. '{
v caret poisson d’avril
Le tribunal a accordé jusqu’au 1“ avril au citoyen Cabel, pour se
justifier des petits tours socialistes dont on l’accuse. Ce jour est,
comme on sait, la grande fête des poissons; on y joue à grandorches-
tre l’air connu :
« Va-t-en voir s’ils viennent Jean I
» Va-t en voir s’ils viennent ! »
En attendant, et sans avoir besoin de jugement, tout le monde re-
connaîtra volontiers que le ciloyen Cabet est le plus honnête des
socialistes, — n’est-ce pas? Au moins il n’attrapera plus personne.
LA FOLIE MONTAGNRADE.
Quand, loin de flagorner le tigre populaire,
De calme et de raison la droite veut parier.
Messieurs les montagnards se mettant à hurler
Ainsi que desÿeus fous... trépignent de cplère.
Terrain privé, bien cultivé ;
Bien de main morte très peu rapporte;
Bien communal, cultivé mal ;
Bien sans clôture, veine pâture :
Bien de l’Etat, affreux dégât !
AUX ROUGES.
Certes c’est à tort qu’on s’écrie :
i Leur république est Belzèbut I »
Elle est bien plutôt le Messie ;
Sa mort sera notre salut.
Actes officiels consentant l’armée.
Nominations et changement de position.
Par arrêté royal du 14 décembre 1840, sont nommés au corps du
génie :
Lieutenant, à l’ancienneté, le sous-lieutenant L.-E.-J. Delannoy,
du régiment, et au choix, le sous-lieutenant E.-E -J. Thimister, ad-
joint au commandant du génie au camp de Bcverloo.
Par arrêté royal du 19 décembre 1849, le sous-lieutenant J.-P. Vo-
gley, classé provisoirement dans l’infanterie est nommé sous-lieule
nanl de cavalerie.
Par arrêté de la même date, le sous-lieutenant A.-J. Berger, élève
à l’école d’application à l’école militaire, est classé définitivement
dans la cavalerie.
Par arrêté royal du 21 décembre 1849, l’adjudant 30us-offieier C.-J
Van Campenhout, du 5e régiment de ligue, est nommé sous-lieutenant
officier payeur.
Par arrêlé royal de la même date, sont nommés sous-lieutenants
à l’école militaire les élèves delà deuxième division dont les noms
suivent : ,
E. H. J. Adan; F. G. Boyaert; J. J. B. Carette; Gustave Genis;F.
Mullendorff; A. P. Sçhorn; J. J. A. Carbonelle; A. S. J. Houba; C. Wil-
verlli; P. J. J. Henrard; J. J. Theunis; F. A. D. Degheselle.
Sont nommés sous-lieutenants dans l’infanleriç, les élèves :
C. C. J. B. Tilmon; A. J' C- Fischer; F. J. Wendeien; J. De Prêter.
Le sous-lieulenant Fischer sera admis, lorsque les cadres de la ca
Valérie présenteront des vacances, à solliciter son passage dans cette
arme, en conservant son ancienneté.
Par arrêlé royal du 22 décembre 1849, sont nommés sous-lieute-
nants, les élèves à l’école militaire dont les noms suivent.
Dans l’infanterie : G. Streitz, L. G. A. D’Hennin, B. F. L. Farnier,
L. Donor, E. J. T F. Verel, C. E. Verdyen, Z. J. M. Timmermans,
L. E. Midavaine, D. E. Fourcault.
Dans la cavalerie ; E. J. Champeaux, G. H. H. Stevens, A. P. P.
Dupont.
Los 1980 prix restant consistent en 20 à fl. 100, 60 à fl. 65, et 1900
à fl. 55, tous payables le 15 juin 1850.
Lots d’Esterhazy de 40 il.
Au 26 tirage qui a eu lieu à Vienne le 17 courant, sont sortis les 20
principaux prix ci-après
N» 156036
148302
93847
77205 I
85444)
fl. 40000 N" 61130j
8000
3000
1500
82588(
1282127
174607 )
500
N° 29233'
37014
37016)400
145663
167661
N»55817\
78465 J
893891
129305 / 200
144123!
153728;
Etat elvil. - DÉCLARATIONS DE DÉCÈS DU 22 DÉC.
Sexe masculin.
J. D. Cristens, capitaine de navire, 66 ans, veuf de %. T. Martin.
2 enfants au-dessous de 7 ans.
Sexe féminin.
G. Vanden Dorpel,64 ans époux de M. Tliys,
Décès.
Sexe masculin. . .
Sexe féminin. . .
T liai. . .
ülalasanees.
Sexe masculin........... 1
Sexe féminin............3
Total.
4
Théâtre Royal.
Mardi, 25 décembre 1849.
Les Diamants de la Couronne, opéra-comique en 3 actes.
Première représentation de : Passe-temps de Duchesse, comédie
en un acte.
On commencera à 6 1/2 heures.
Théâtre des Variétés.
SOCIETE DRAMATIQUE DE HOOP.
Lundi, 24 décembre 1849.
Siska van Roosemael, blyspel in 2 bedryven.
De twee Echtscheidingen, blyspel in 1 bedryf.
De Geitenmelk, vervlaemst blyspel in 1 bedryf.
Les personnes qui désirent avoir des cartes de dames, peuvent se
les procurer au prix d’un franc, chez M. Verhaegen, président de la
Société, Bempart des Tailleurs de Pierres, et chez M. L. Butin, rue
des Peignes.
SOCIÉTÉ dramatique jong en leerzuchtig.
Mercredi, 26 décembre 1849.
Polder of de beul van Amsterdam, tooneelspel in 3 bedryven.
De Klompmakers ofhetwolfyser, zangspel in 1 bedryf.
On pourra se procurer à l’avance des cartes chez M. Hermans, pré-
sident de la Société, Canal de l’Ancre, et chez M. Rosaux, rue des
Peignes.
PARTIE COMMERCIALE-
Place d’Asrre'stisf dut S4 décembre.
CAFE. — Marché par continuation très ferme, il s’est fait en re-
vente environ 800 balles Brésil et 300 balles Batavia.
ROTTiNGS. — Des achats importants et qu’on estime de 25 à
30,000 kil. ont été faits aujourd’hui pout coriipte anglais à fl. 10 con-
sommation. A partir du ir janvier cet article peut être expédié vers
l’Angleterre.
SUCRE BRUT. — On a réalisé environ 400 caisses Havane blond.
ÜIAMUES.
HaEEélt, 31 ilpcPiitôt-P. - Froment, i’hect., ff. 16-00
baisse fr. 0 00 ; seigle, 9-90, hausse fr. 0-00; orge, 9-00; sarrasin,
8-10 ; avoine. 5 40 ; genièvre de 10 degrés, 52 00.
Rohm, SI iJecettjftre.-Froment, première qualité, l’hec-
tolitre, fr. 15-64, baisse fr. 0-00; seigle, id., 8 85, baisse fr. 0 OO;
escourgeon, 9 36, baisse 00 c. ; avoine 5-10, baisse 00 e.
Tournay, SS décembre — Le froment n’a pas varié
de prix, le seigle a fléchi de 28 et l’avoine de 38 centimes.
La moyenne donne les résultals suivants :
Froment blanc, par h. fr.16 62 Seigle.......... fr. 9 04
» roux......... 15 49 Avoine................ 4 87
Méteil............ 12 50
Namur,SS décembre.— Froment (prix moyen),par 100
kil. fr. 21-00, baisse fr. 0-00 ; id. nouveau, fr. Î9-50, haussé de fr.
0-00 ; seigle, par 95 kilog., fr. 11-00, baisse fr. 0-00 ; avoine, par
14 kilog., fr. 1-50 ; orge, par 30 litres, fr. 0-00 : escourgeon, id..
fr. 0-00.
Poperiiijçhe, 31 décembre. — Froment (prix moyen)
par hect., fr. 15-95 ; seigle fr. 10-00 ; avoine fr. 6-00.
Le houblon nouveau s’esi vcndudc95 à 100 fr. Ies50kilogrammes.
liiverpool, SI décembre — Coton : Il y a plus de
fermeté dans les prix mais elle atteint à peine une quotatÇon. La con-
fiance dans l’activité des affaires à Manchestre et la consommation
en Europe contribuent davantage à la bonne tenue du marché que les
variations dans l’estimation de la récolte aux Etats-Unis. Les sortes
d’Amérique ont seules éprouvé de la hausse. Les transactions de la
semaine sont de 28,340 balles, dont 6.560 Amérique, 370 Fernamboue
et 1300 Bahia par spéculation et 150 Amérique et 100 Surate pour
l’exportation. On cote fair Opland 6 1/4, Mobile 6 3/8 eti Orléans
6 5/8 d.
Huiles.
88 —
94 —
82 50
86 50
84 75
l’hect.
82 75
GRAINES.l’heCt.
23 — 26
21 50
21 -
20 —
9 -
22 50
24 -
22 —
14 -
Tourt.
11 25
10 -
14 50
12 —
10 —
l’hect.
12 —
11 —
16 —
10 -
ILtlie, SS dec.
Colza..............
Idem épurée........
OUietle rousse.....
Lin................
Caméline...........
Chanvre............
Paris, SS décembre. — Halle aux blés de samedi. -
Il ne se vend guère de farines disponibles. Pour trouver preneurs, il
faut vendre, à livrer pour 5 ou 6 mois, de 40 à 45 fr. les 157 kil. sui-
vant la marque et la provenance. On a vendu des Chartres à 43 fr.,
des Picardie à 41 fr. Quelques achats se sont faits par des négociants
du Nord. On croit ces farines destinées à l’exportation en Augleterre.
Blés: Hausse, par heet. : St Dié 20 c. — Baisse : Beaumont-sur-
Oise 33 e.; Châteaudun 49 c.; Coulommiers 80 c.; Houilan 35 à 37 c.;
Lille 22 c.; Nangis 1-70; Sentis 55 c.; Vilry-le Français. — Calme !
Bar-sur-Ornain, Pornic, Rouen, Grenoble, St-Arnoult. — Fermeté :
Chàlon-sur-Sâone, Raon. —Sans variation : Bray-sur-Seine, Epinal
Tulle, Valençay.
Havre , SI décembre. — Revue hebdomadaire. —
Coton: La demande est restée fort languissante pendant ces huit der-
niers jours. La consommation, qui a encore quelques provisions, n’a
passé que des ordres insignifiants, et la spéculation se tient sur la ré-
serve, en attendant une évaluation plus certaine de la récolte aux
Etats-Unis. Par suite, les ventes de la semaine n’ont atteint que le
chiffre de 2,512 halles ensemble, avec des prix faibles et irréguliers.
Le très ordinaire Nevv-Orleans s’est établi, dès les premiers jours,
autour de fr. 90 à 91, soit de fr. 1 à 2 au-dessous de la cote précé-
dente. Depuis mercredi, toutefois, bien que les affaires n’aient pas eu
pour cela plus d’activité, les meilleurs avis de Liverpool, d’une part,
et de l’autre le peu de renforts qui nous sont annoncés des Etats-Unis
ont soutenu les cours à la parité établie.
Les courtiers en arrêtant la cote, ce matin, l’ont baissée générale-
ment de fr. 1 pour toutes sortes et désignations ; le bas Georgië et
le petit courant, ont même subi une réduction de fr. 2 Le bas New-
Orieans ressort ainsi à fr. 85, et le très ordinaire à fr. 91; il faut plu-
tôt les voir, à la clôture dumarché, à fr. 84 et 90, la cote ayant paru
un peu élevée.
Toutes les ventes à livrer, notées plus haut, datent de vendredi et
samedi derniers ; elles ont été faites, pour la plupart, sur désigna-
tion de good\middling, tant en New-Orléans que Mobile. Depuis
lundi, on n’a plus coté aucune affaire par navires attendus.
Les lettres d’Amérique, reçues celle semaine par le steamer hebdo-
madaire Cale do nia, sont en date de New-York, 4 décembre. Elles
annoncent un nouveau mouvement de hausse sur ce marché.
Nous n’avons appris, par cette voie, aucun nouvel affrètement
pour le Havre. Déduction faite des arrivages de la huitaine, il n’est
donc plus attendu, actuellement, que dix-neuf navires de tous les
porls de l’Union; sept, expédiés aux dernières dates, n’imporleronl
pas plus de 11,500 balles. Notre stock, par suite de l’arrivée de cinq
navires cotonniers, celte semaine, se trouve porté à 41.000 balles
il était de 16,500 l’an dernier, à pareille époque, et de 41,500 en
1847. -
Cafés : Le chiffre réduit de notre stock a maintenu les affaires plus
calmes, cette semaine, majeure partie des détenteurs restant, d’ail-
leurs, en dehors du marché. Les cours, toutefois, sont toujours très
ermes à la dernière hausse obtenue, et tendent plutôt encore à mon
ter. Les ventes, tant en marchandise disponible qu’à livrer, vont à
environ 5,000 balles.
Dans 1rs 11 ûii, qui forment le principal aliment de la semaine, il
s’est traité : 1,630 sacs disponible de fr. 65 à 64, et 322 sacs dito très
ordinaire de fr. 62 à 62-25. Le cours de fr. 63 tend à s'établir pour la
marchandise régulière. — A livrer, on a pris 1,500 sacs attendus par
Créole et John-Cockrill à fr. 61 ; on n’avait obtenu, la semaine der-
nière, que fr. 60 par le dernier navire. —Pour cause d’avaries, il a
été adjugé, en outre diverses parties ex-Duchesse-Anne, venant de
Marseille, et ex-Marie-Caroline et Frederick, des Gonaïves, soit en-
semble 572 sacs de fr. 113 à 115 les 50 kil., acq. Ces prix constatent,
comme pour la marchandise saine, une excellente tenue.
En Rio, on ne cite qu’une seule vente de gré à gré, soit 185 sacs à
fr. 57 50, entr. ; pour cause d’avaries, 58 sacs ont passé aux enchè-
res, de fr. 106 à 109 les 50 kil., acq. — La Ville-de-Paris, entré
hier, venant de Rio, importe un renfort de 2,848 sacs.
Les cafés de l’Inde n’ont provoqué aucune affaire de gré à gré. Pour
réduction de droits, il a élé vendu, par contre, 800 sacs Java, ava-
riés ex Valentine, de fr. H5 à 120, et 125 sacs dito, d’importation
indirecte, par Louis-Marie, de fr. lit à 115
Avec le chargement de la Ville-de-Paris, relaté plus haut, les im-
portations de la semaine se bornent à 142 sacs et 118 quarts de la Mar-
tinique par Pauline, 1 quart Guadeloupe en transbordement, par Po-
muna, et 140 sacs voie de Bordeaux.
Les avis de Rio du 2 novembre, par Ville-de-Paris annoncent une
nouvelle hausse sur l’article.
Cuirs et peaux : Les cuirs se maintiennent fermes, mais la de-
mande est pssez calme pour le moment. On n’a cité, depuis vendredi
qu’une seule vente de 2.000 Buenos-Ayres salés verts à fr. 54, les 50
kilog. acq.
Rien à signaler en peaux.
Nous avons reçu, celte semaine : 437 paquets salés de New-Or-
leans, par Ch Bill-, 207 Guadeloupe secs, par Railleur-, 46 secs et
25 salés de la Martinique, par Pauline-, 5,439 secs de Rio, par Ville-
de-Paris, et 910 paquets salés 93 secs par cabotage de Londres et
Rotterdam.
Potasses et perlasses : Les acheteurs n’ayant pas voulu payer la
hausse demandée par les détenteurs, ou n’a fait, celte semaine, que
15 barils potasse d’Amérique, 1« sorte, au dernier prix obtenu de fr.
5650 les 50 kil., acq. — Le paquebot Connecticut, venant de New-
York, portait un renfort de 557 barils.
La perlasse a fléchi également : 13 barils ont d’abord élé traités
au cours précédent de fr. 52 , mais ce soir on vient de céder 50 barils,
à fr. 51 25. Re Connecticut en portait 41 barils.
Riz : L’article reste faible en présence des nouveaux arrivages:
nous avons reçu cette semaine, 461 lierçons de New-York, par Con-
necticut, 425 lierçons 8 demi tieïkons de Charleston, par Noemi et
Rlizab.-Bruce, et 1,320 sacs de Calcutta, par V Artilleur.
Pour toute affaire, on n’a cité que 54 lierçons Caroline, au prix de
fr. 25 75, qui marque plutôt une nouvelle baisse.
Suifs et saindoux : Les suifs de Russie disponibles, après s’être re-
levés au commencement de la semaine à fr. 56 25 les 50 kil., acq .,
sont de nouveau plus faibles, et ont fléchi successivement, depuis
deux jours, à fr. 56, fr. 55-75 et fr. 55 50, acq. Les ventes de la hui-
taine vont ainsi à 125 fûts, à divers prix, suivant la date.
Ou n’arien ditauxsuifs d’autres provenances. —548 caisses étaient
à bord de la Ville-de-Paris, venu de Rio-Janeiro.
Les saindoux ont aussi progressivement fléchi, cette semaine, et de
fr. 53 lesqualités courantes en saindoux à bouche sont tombées à fr.
50 50, acq. Les affaires, toutefois, ont été assez suivies, à l’aide de
la baisse, et l’on a coté ensemble 713 barils d’Amérique. Il s’est fait,
en outre 125 fréquius à fr. 58 acq. — Le Connecticut importe 200
barils de New-York.
Huiles: L’huile de baleine disponible reste tenue ferme à fr. 50,
mais sans affaires connues, vu le chiffre réduit de notre stock, a li-
vrer, les cours sont également tendus: on a fait 37,500 kilog., par
Elisa A sia et Nancy, de fr. 42 75 à 43 50.
En huile de palme , nous avons reçu Les Amis, de la côte d’Afri-
que, avec 87 fûts.
L’huile de morue est tenue en hausse de fr. 52 à 53, acq.
Fanons de baleine : Nous mentionnons cet article seulement pour
j mémoire il n’a été marqué, cette semaine, par aucune affaire ni au-
cun arrivage, et les cours restent purement nominaux.
Hambourg, SI dec. — Revue hebdomadaire. — Café :
Les affaires ont de nouveau été très animées à des prix en hausse
Les avis de l’Amérique du Nord, de Java et de Hollande excitent de
plus en plus la spéculation,et raffermissent les détenteurs dans leurs
prétentions. Les transactions du jeudi au jeudi, s’élèvent en mar-
chandise sur place à 51,000 halles Brésil de 4 1/2 pour ord. à 6 pour
fin ord.; 1500 St Domingue de 5 5/8 à 5 3/4 pour bon ord.; 2,200 La-
guayra de 4 3 4 à 6 1/4 ; à livrer on a fait en outre 3500 balles Brésil
à 5 5/4; 4,000 Sl-Domingue à 5 1/2, et 500,000 liv. Portorico à 6 1/4.
Aujourd’hui ou a fait 4000 balles Brésil à la cote extrême de la se-
maine; bon ord. 5 11/16 à 5 5/4.Les détenteurs se montrent très diffi-
ciles à aborder.
Sucre brut a repris faveur. Depuis huit jours on a fait à prix fer-
mes 500 caisses Bahia brun à 13 3/8; 90 d° ord. blanc à 15 1/8, 600
Havane brun de|13 11/16 à 14 3/8, blond de 15 1/8 à 17 5,16 et 400
canaslres Java biane a prix non cités.
Raffines .- Il s’est traité 15,000 pains Mélis à vapeur à prix non
sans variations.
Riz : Les Caroline et les sortes des Indes ont encore eu peu d’ani-
mation celte semaine. Toutefois les prix se soutiennent. Les avis fa-
vorables d’Angleterre et de hausse de Java fixent l’attention. Lo
stock en première et seconde main s’élève à 1,000 tierçons Caioliue
et 40,000 balles des Indes.
Poivre : Les avis d’Angleterre ont amené des prétentions plus éle-
vées de la part des détenteurs et les affaires ont eu peu d’importance.
Cacao : On a encore fait des affaires importante» en Guayaquit à
des prix en hausse; on a payé pour ia belle qualité, par partie 3 7/16.
Huiles : De navets faible au début delà semaine et en baisse de 8 s.
pour les époques prochaines, quelques expéditions ont de nouveau
raffermi les prix depuis deux jours ; déc. 24, janv. 24 1/4, fév. 24 1/2,
mai 24 1/2 et oct. 23 5/8 pap. et arg. Hier on était en faveur, déc.
24 1/4 fait, janv. 24 5/8, mai 24 5,8, oct. 23 1/2 pap. et arg. Aujour-
d’hui fermeté ; déc. avec beaucoup d’affaires de 24 1/2 à 25, janv. 25
à 25 1/4, mai 24 3/4, oct. 23 1/2 pap. et arg.
De un offerte à 20. — De palme 22 1/4 demandée.— Du sud tenue
à 48. — Tourteaux de lin longs sur place 75 à 95, dans la Baltique
60 à 61 ; De navets long sur place 55 à 56 ; dans la Baltique 40 à 41.
Potasse: Casan vendeurs à 191/2, on refuse fe» offres de 19 1/4.
Grains : Calmes et sans affaires; les prix sont néanmoins fermes
et à quelques thalers au-dessous de la cele, il y aurait acheteurs mais
peu de vendeurs.
Stettin, SW décembre. — Grains : Froment sur place
tenu de 48 à 54. — Seigle sur place 26 1/2 à 271/2; sous voiles 87 liv.
28 fait; printemps 861.29 fait. —Orge 22 à 25 vendeurs; de Poméranie
253/4 fait. — Avoine 15 1,2 à 19 vendeurs; sous voiles 16 1/4; au
printemps 52 liv. mark 16 1/2 fait.
Huiles : De navets, sur place 13 1/4 fait, janv.-fév. 13 1/6 arg.,
fév.-mars 12 11/12 fait. — Délia, 11 3/4 pap. — De palme, plus
calme; Liverpool première qualité 12 1/16fait. — Du sud, 12 fait.
— De foie de morue de Bergen, brune 23 2/3 blanche 26.
Suif : De Russie jaune première qualité 125,6 à 13; à savon 12 2/3.
Graine de lin a semer : Pernau uouv. sur place 11 pap; Riga nouv.
à livrer tepue de 10 5 4 à'11.
St-Pétesbourg, 13 décembre. — On a fait peu d’af-
faires en produits indigènes et les opérations avec l’intérieur sont pa-
ralysées par les rigueurs de la saison.
Suif : Sur contrai, on a cité quelques affaires; aujourd’hui l'on est
plus faible et Pou pourrait acheter à 114 R. avec avance pour août ;
ia dernière cote de Londres 38 s. 6 d., équivaut à 107 R. ici.
Lin : Toujours sans affaires. A en juger par les prix payés à Riga
sur contrat, on devrait acheter ici à 90, 80 ei 70 R les trois qualités ;
toutefois les vendeurs parlent de prétentions plus élevées.
Chanvre : Sans variation ; h; net sur place s’obtiendrait de 80 à 84
R. suivant qualité ; à livrer l’année prochaine 78 à 80 R. avec le tout
avance; l’outschot et le mi net se cotent dans la même parité avec
une réduction de 5 R. pour chaque espèce.
Huile de chanvre : Calme ; on a payé 98 R. avec une avance et il
reste vendeurs à ce prix.
Chemin de fer.
DEPARTS D’ANVERS.
A 7 h., 10 h. 50 du matin.
A4 h. du soir.
DEPARTS DE GAND.
A 6 h. 50, 10 h. 20 du matin.
A 3 h. 50 du soir.
Bourse d’Anvers du 34 iiéeeiubre.
Ville d’Anvers detteact. 5
dito dito.............4
dito différée..........
Emp. de- !a province41/2
BW^/«/ae.C.delabq.R.21/2
Cert.delasoc.-g. R *21/2
Emprunt 1858.......5
dito 1856..........4
dite 1844..........41/2
dito 1840..........5
dito 1842..........5
dilo 1848..........5
Act. Ch.de fer de Col. .5
Sacré Madame.........5
Uollande. Dette act. .2 1/2
Autriche. Métalliques ...5
Lots de fl . 250 emp. 1830
dito de fl. 500........
Pologne. Lots de fl. 300 ..
dilo de fl. 500.........
99 1/2
90
93
£.0
88 1/8
96
91 1/2 a
85 !/4
6 <5
420
30 '» </2
Bade. Lots de fl. 50 1840.
dito 1845 ...........
//esse. Dito de fl. 25 1835
Nassau. Dito de fl .25 1837
Hesse Elect. Act.de 40 th.
Brésil. Emp. à Lood. 1824
dito dito 1845.......5
Espagne. Emprunt 1834 5
dette différée 1831...
dito passive 1834--
Russie .Emp A Ams.H.C.5
dito dito nouvel....5
Danemark.Ep .a L 1822 5
dito chez Noltebohm.. 4
dito a Londres.......3
Prusse. Ditol. à Berl.l832
Naples. Gert Falconet
Sardaigne. Oblig. de f. 56
Etat-Rom. do 1832à 1857.5
Cert.rom. à Anv. 1835.£
114 1/2
67 1/2
60
54 i/î
124
12 9/16
32 1/2
78
Résumé de la bourse du décembre.
2 heures.
La bourse de ce jour était très calmes — Belges sans changement.
— Romains et métalliques soutenus. — Espagnols stationnaires :
Belges 5 p. c. 96 P.; do 4 1/2 p. c. 881/4 P.; do 2 4/2 p. c.49 3/4 A,
et 30 P.; d° emprunt 1848, coupures de f* 1000 94 1/2 A.; d° pe-
tites coupures 94 3/8 P. — Obligations Métalliques 3 p. c. 83
1/4 ù 83 3,8 cours ; d° romaines 77 3/4 A. et 77 7/8 P. ; d° coupons
f. 20 30 A..— Ponds espagnols Arduin 3 p. c. 12 9/16 fait et restent
A.; d® 3 p. c. dette intérieure 29 1/16 A. et 29 1/8 P.
ChHHKO d’Anvers du 24 décembre.
) parf.100 ( c.js
Amsterdam > des < 2'm
) Pays-Bas ( 5/m
!lc - is
dito < 2/m
(3/m
\ ( c js
Paris.....} p.100 fr < 2/m
J (3/m
) par (c.js
Londres... > i livre < 2/m
; sterling ( 3/m
i( c.js
p.iOOth { 2/m
( 5/m
Hambourg. | p. m/bç. | c.js
Francs
pair a
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25.47 lia a
m
Hambourg
1 par marc j 2/m
) baneo. \ 5/m
i pariOOl. ( c.iSj
Francfort.. \ au pied < 2/m
) dé f. 24 ( 3/m
Vienne
dito
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{2/m
(3/m
Trieste
••••}
..„I
Pruxelles...........(
Gand ................{c.js
Liège...............(
Escompte.................
Bons du trésor au pair.....
3/ni
c.js
2/m
3/m
Paris.......2/m
* court jours
Bordeaux... 2/m
Madrid......5/m
Cadix....... »
Séville..... »
Bilbao...... »
Change d'Amsterilam du 24 décembre.
Francs. $
210 a
1/8 p. A
3 a 4 %
56 1/4 a
56 5 8 *
55 7/8 A
24(5,
246 a
244 a
245
Lisbonne,. 3/m
Oporto .... »
Gênes.....2*
ivourne.. »
iNapIes.... »
[Vienne .... 6/s*
Augsbourg »
42 a
42 A
45 a
38 i a a
8l 1/4 A
31 5/4 p
35 l/a h
Francfort. , 6/s.
Londres.... 2/m
» court jours
Hambourg.. 2/m
» court jours
Pétersbourg 2/m
ftott.c.j.p.fl.ioo
99
H,95
12 A
34 3/4 A
3415/1«a
186
1/8
Fruncfort S fl déc.
Métalliques... .5
» ....4
» 41/2
» 2 t/2
Banque..........
Emp. 1854 fl.500
» 1839*8.251
Hollandais. .21/2
Belges......41/2
84 1/2
66 i 2
75 5, s
44 1/4
-.280
158
95 i/2
55
89 3/8.A
Berlin dée.
[Emp. volontaire
Obligation 5 1/2.
illusses (Piotbs.).
|Ch.de fer rhénan
Aix à Maest.
Obl.de la S.C.M
Banq.de Prusse
106 5 4 p
87 7/8
110 3/4 p
101 1/4 a
Vienne «O déc.
Métalliques . ..5
* ___4
» .4 1/2
„ -2 1/2
Emprunt 1834..
» 1859..
Ch. defer Milan.
» Nord.
Act .de la banque
94
75
491/4
83 3/4
176
J 061/2
82
1091/8
li86
Mourse de Paris du 2 9 décembre.
o p.c. au compt
» fin courant
Emprunt 1847
» fin courant
5 p. c. au compt
3 » fin courant
Banq. de Frange
Caiss.GouinlOOO
Belg.5 p.c. 1840
» 5 p.c. 1842
» 4 1/2. 1844
» 3 p.c.1838
» 2 t/2. 104;
56 25
56 25
91 65
9l 65
2445
96 1/4
5)6 1/4
Banq. belge 5835
» » 1641
Société générale
Esp. dettoactive
- différée ...
nouv.5p.c.
dette inlér.
dette pass.
Naplesö p. c...
Emp rom.Sp.o.
Métal, aul.5p.c.
Oblig piéin.1834
Portugais 5 p.c
38 1/2
30
83 1/2
Chemins de Fer.
Paris St-Germ».
» Vers. r.dr.
» » r.gche
» Orléans ...
» Rouen ...
» Strasbourg
» Nord......
Anvers-Gand ...
Charleroi- Erq..
Zinc Vieille Mon
» Nouv. Mon
Gharb. belges..
206 25
760
542 50
358 75
458 75
Ilourse de Londres do 21 décembre.
Consolidés....
Beiges........
4 p. c. hollandais
2 1/2 p. c. dito ..
Péruviens........
4p. c. portugais
Brésiliens ...
Argent, P a pic .
5)6 1,8
88
8.5
56 1/2
Detteactiveesp.5
dito 3 p. c...
lito différée..
dito passive .
Mexique.......
Russie ........
Danemark....
Argent.
i9
58 1/4
5 3 4
28 3/4
109
Papier.
19 1/2
38.3/4
4
29 1/4
111
74
Change de Berlin du décembre.
Amsterdam.c.j..
dito 2/m.
Hambourg..c.j..
dito ,.2/m.
Londres----3/m.
paris......2/m.
Vienne 20kr.2/m.
Papier, j Argent. I
145 i/2
142 5/8
151
550 1/4
6 26 6 25 1/4
8t 1/12
80 7/8 90 5/8
Augsbourg.. 2/m.
Breslau......2/m.
Leipsic.....8/j..
dito ..2,m
Francfort... .2/m.
StPétorsbourg6/s.
Papeir. | Argent.
102 l 8 101 7/S
' 99 1/4
99 5/6 99 2/3
99 1/6
5G 22
107 1/2
Change de Londres du S fl décembre.
Amsterdam.. .3/m
dito ...c.j.
Rotterdam ... .3/m
Anvers........»
Bruxelles....*
Hambourg....»
Altona....... ».
paris......
dito......
Marseille....»
Francfort....»
St- pétersb.p.R »
Vienne........»
Trieste.......»
Madrid.......
.c j.
.3/m
Papier. Argent
12 2
12 0
12
25 65
25 65
15 11 3/4
13 M 3/4
25 42 1/2
25 57 1/2
25 G0
121 7/8
i l 30
11 50
49 1/2
Cadix........3/m
Bilbao......»
Barcelone... »
Gibraltar.... a
Livourne.... »
Gênes....... »
Venise......»
Venise......»
Naples...... »
palerme.....»
Messine.....»
Lisbonne----90j.
Oporto...... »
New-York — tiOj
Rio Janeiro.. »
Papier.
49 5/8
49 1/2
31 40
26 45
40 7/8
121 1/2
$21 3/4
53 1/4
53 1/4
27
Argent.
49 1,2
49 1/4
35 05
26 55
40 5 4
120 1/4
121 1 2
53 1/8
53 1/8
26 3/4
Change de Paris du Xt décembre.
Amsterdam..
Anvers......
Hambourg...
Berlin.....
Londres.....
Madrid......
Cadix.......
Bilbao......
Lisbonne, eff.
Porto eff'....
Gènes.......
Livourno....
Naples......
211 3/4 A
1/8 A
184 7,8 a
25 43 1/2
550 a
550
2 5/4
82 3/4 A
436 1/2
90 jours.
2l0 1/4
i %
183 3,4
365
25 30
525
525
562 1/2
562 1/2
3 3/4
82
,433 1/2
Trieste ....
Vienne......
Milan.......
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Francfort....
pétersbourg .
Messine.....
palerme.....
Lyon........
Bordeaux. ...
Marseille....
Montpellier..
20
90 jours.
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