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sence de bonnes terres argileuses sont cause que les Chaldéens
et les Assyriens employaient, pour leurs constructions, la
pierre artificielle ou la brique cuite. Les temples de l’Inde ont
eu sans doute pour germe les antres naturels que l’on y ren-
contre en abondance dans les montagnes et qui très probable-
ment servaient d’asiles aux premières créatures humaines.
Chez les Chinois, la simple tente des peuples bergers et pa-
triarches, a été le prototype de leur architecture à toits en
forme de tentes.
Les monuments ou tas de pierres brutes et informes des
Aztèques et des Celtes ont tous plus ou moins dépendus du
climat, du sol et des matériaux.
Les bâtisses en terrasses qui caractérisent l’ancienne archi-
tecture orientale n’auraient jamais pu seproduire dans un climat
pluvieux; même en Grèce on couvrait les temples d’une toi-
tuie légèrement inclinée pour conduire les eaux du ciel.
Cette courte considération nous montre la diversité et la
complication des lois auxquelles les travaux architectoniques
sont soumis. Des quelques exemples historiques cités plus
haut, il résulte combien il est instructif d’étudier les ouvrages de
l’ancien Orient, l’art classique et le moyen âge. Une étude ap-
piofondie en devient de plus en plus nécessaire pour l’archi-
tecte. La quantité de monuments relevés et dessinés, ou les
fragments qui en restent, les nombreuses découvertes archéo-
logiques faites par les hommes les plus célèbres et publiées
ensuite facilitent considérablement reite étnrin
A ce point de vue, notre époque se trouve dans des circon-
stances beaucoup plus favorables que Ja renaissance du
xve siècle. L existence de ces belles créations grecques étaii
complètement inconnue à un Brunelleschi, un Bramante, un
Vignole, qui croyaient voir tout l’art classique dans le souvenii
d une époque de décadence de l’empire romain et dans quel-
ques beaux exemples corinthiens.
Les deux ordres grecs si distingués : le dorique si puissant
et si fier, 1 ionique si attrayant, sortaient de leurs mains tels
que les écrits de Vilruve le leur avaient enseignés. Que n’au-
raient pu produire ces maîtres qui, malgré l’imperfection des
sources où ils puisaient, ont néanmoins produit plusieurs chefs-
d’œuvre, s’ils avaient pu puiser à la source pure!
Si la renaissance du xvc siècle n’était, à vrai dire, qu’un re-
tour de lart abâtardi des Romains, le xixe siècle sait et doit
produire mieux. Pour cela qu’il se garde d’imitations serviles
d ouvrages existants, qu il tâche plutôt d’en comprendre l’es-
prit, qu il prenne des monuments anciens, encore en partie de-
bout, la grande idée qui les a fait concevoir.
A ce point de vue surtout, l’étude de l’art ancien est impor-
tante pour le jeune architecte, et lorsqu’il aura compris les dif-
ferentes pensées que nous offrent les anciens monuments la
valeur de ses propres créations s’en ressentira infailliblement.
La mélancolie saisissante que reflètent les anciens temples
indiens; ce sentiment de stabilité, ces pensées sérieuses et
elevees de l’art égyptien; les simples et attrayantes conceptions
dans lesquelles l’artiste helléniquevoulutexprimer lebeau idéal-
le penchant outré vers le luxe et la volupté que montrent les
monuments romains; la richesse, la bizarrerie qu’affiche ce
fantastique art mauresque; la lourdeur de l’architecture
romane; l’élévation passionnée des monuments gothiques, tout
cela forme un trésor d’idées différemment interprétées dans
lequel l’architecte peut puiser à cœur joie.
Si donc 1 architecte est bien pénétré de ces arts anciens il
verra qu’ils nous offrent bien des motifs qu’il pourra appliquer
sans crainte, après les avoir modifiés quelque peu; mais pour
cela il est nécessaire de comprendre ces monuments et de con-
naître les influences qui se rapportaient à leur création.
Cette ignorance est cause que dans toute l’Europe, de Paris
jusqu a Rome, l’on a élevé dans un soi-disant stvle ne'o-grec
néo-romain ou autres fantaisies, des constructions qui feraient
liie les anciens Grecs ctRomains et qui jurent avec nos mœurs
et notre climat.
Ine maison pompéienne, par exemple, peut être charmante
sous un ciel de Naples, pour un peuple d’il y a deux mille ans
et ne point convenir à notre climat et à notre temps Les mai-
sons du moyen âge, malgré toutes les convenances dans le
sens de l’epoque, ne sauraient être appropriées ni à nos be-
soins sociaux ni à l’esprit d’aujourd’hui. Cependant, il est cer-
tain que notre siècle a produit plusieurs œuvres, tant dans le
sens classique que dans d’autres, qui sont dignes d’attention.
Si plusieurs de ces monuments, malgré toute leur beauté'
ne sont pas exempts de quelque servilité ou fanatisme dans
d autres, au contraire, nous remarquons avec satisfaction que
l auteur ne s’en lient pas à une école limitée, mais qu’il a
tache de s’inspirer des vrais principes du beau, du vrai et du
bon. D.
(Traduit du De Opmerker, par F. V.)
Laissant à l’auteur de cet article extrait du journal hollan-
dais De Opmerker, toute l’intégralité de ses dissertations, le
traducteur a cherché à conserver autant qu’il était possible la
forme originale et parfois bizarre de certaines phrases ;__nous
avons cru utile de faire connaître à nos lecteurs que certaines
idées de rationalisme en architecture sont partagées par nos
confrères de Hollande. 1
L'art officiel et les finances
Nous trouvons, sous ce titre, dans un journal bruxellois
ici Gazette, un article dans lequel l’auteur, M. L. Solvay’
indique, comme l’un des moyens de combler les déficits du
Iresor public, une réforme radicale de l’enseignement officiel
des beaux-arts.
Gomme toujours, il n’est question que de peintres et de
sculpteurs; nous constatons ce fait et nous en déduisons la
conclusion logique que les architectes ne sont pas rangés
encore dans la catégorie des budgétivores.
*
G est, certes, une idée originale que celle que nous rappe-
lons ci-dessus, et nous pensons que nos concitoyens (nous ne
parlons pas des intéressés) la repousseront tous d’un accord
unanime.
La Belgique a un renom artistique incontesté; c’est un
devoir pour ses gouvernants de le soutenir (noblesse oblige)
et nous pourrions, en cherchant quelque peu, trouver Lies
moyens plus vrais d’une économie bien entendue.
* *
M. Solvay lui-même, en relisant son article, trouvera, dans
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son argumentation, la preuve que, pour le moment, il n’est
pas possible de réduire au budget les sommes affectées à l’en-
couragement officiel.
En effet, que Ion encourage moins, mais que l’on encourage
mieux, dit-il. — La quantité n’importe guère, c’est la qua-
lité qui importe.
Quant a cela, nous sommes du même avis; mais quant à
due que un peu de découragement même ne ferait pas mal
nous ne voyons là qu’une fantaisie paradoxale ; à moins que
U uteur de 1 article cité plus haut n’entrevoie toute une géné-
ration d artistes bien rentés et qu’il n’ait reconnu l’absence
totale de sens artistique à tous ceux dont les auteurs n’ont
pas trouve un Pactole dans l’art de pétrir ce que l’on nous
vend pour du pain sur le comptoir du marchand, épicier,
tailleur ou cordonnier.
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L’article qui nous occupe contient quelques... vivacités,
telles que . I Etat n est pas un bureau de mendicité, l’entre-
tien des ouvriers de la brosse et de l’ébauchoir.
Les gios mots, pas plus que les... vivacités, ne prouvent
absolument rien. S’il y a des abus, et nous pensons qu’il s’en
présente, attaquez-les donc hardiment, citez-les, précisez
mais ne faites pas peser sur la généralité des artistes une
humiliante suspicion.
¥ ¥
Nous avions pensé trouver, à la fin de cet article, l’indica-
tion d’un moyen pratique qui permettrait de supprimer radica-
lement les allocations du budget des beaux-arts, sans nuire au
mouvement artistique belge.
Heureusement, son auteur na rien encore d’un dictateur et
il ne pourra décréter que :
« Toute œuvre remarquable d’un artiste belge appartient de
« droit au pays. Il lui sera remboursé les dépenses faites pour
« cadre, toile, couleurs, pinceaux et modèles, s’il est peintre -
« terre, plâtre, ébauchoirs et tabourets, s’il est sculpteur. En
« plus, il lui sera accordé une indemnité équivalente à ce que
« peut gagner un homme fort et vigoureux en pesant du sucre
« du café, en aunant des étoffes ou enfin en travaillant au
« pétrin. »
¥ ¥
L’article se termine par une conclusion tout inattendue :
« Voilà pourquoi nous avons combattu et nous combattons
l’idée saugrenue d’un Panthéon qu’on a voulu, qu’on veut
peut-être encore élever à Koekelberg et qui n’aurait d’autre
utilité pratique que celle de servir de pâture à tous les appé-
tits en éveil. » (Textuel.)
Utilité pratique!
Nous avouons être assez peinés d’entendre un critique d’art
Parler d’utilité pratique à propos d’un Panthéon; si la colonne
du Congrès n était qua I état de projet, on se demanderait
aussi quelle en serait l'utilité pratique, sans doute.
Hélas! que cela devient terre à terre, et que'ce langage
sied peu aux gens qui parlent d’art.
Utilité pratique! le monument du Roi?
Ah ! Messieurs, parlez donc d'utilité pratique quand il s’agira
de buen retiro, de cabines pour stations d’omnibus) etc. Mais
tâchons d’élever notre esprit à un ordre d’idées’ supérieur
quand il s’agira de monuments tels que le Panthéon, lors même
que ce serait pour en combattre l’idée.
il ne sert à rien de crier avec les aveugles pour nier la
lumière. Ernal.
Le nouvel Hôtel-de-Ville de Paris
Au moment où le nouvel Hôtel-de-Ville va être inauguré
quelques rapides indications sur le monument qu’il remplace
seront sans doute intéressantes.
On avait attribué l’Hôtel-de-Viilc au Roccador et à Domi-
nique de Cortone.
La critique contemporaine a établi d’une façon indiscutable
que le véritable auteur de l’Hôte!-de-Ville de 1533 fut Pierre
Chambiges, « maistre des œuvres de maçonnerye de la ville
de Paris et du roy. »
Dominique de Cortone avait seulement construit une pre-
mière façade à la maison de ville.
On sait que la galerie des fêtes contenait des peintures de
Delacroix, Lehman, Schôffer, Laurent Jau, Cabanel, Gosse
Benouville, Horace Vernet, Ingres, Riesener, Millier, etc.
Ce furent là, malheureusement, des pertes irréparables On
regrettera toujours aussi la perte des archives et de la biblio-
thèque, anéanties dans l’incendie de 1871.
Cest le 23 juillet 1872 que le concours pour la reconstruc-
tion de l’HôteJ-de-Ville fut ouvert. Soixante-six projets furent
alors présentés. On sait que le projet qui obtint la préférence
fut celui de MM. Ballu et de Perthes.
Cest celui qui, exécuté, va être inauguré le 14 juillet
Le Monument
On a pu se demander pourquoi le nouvel Hôtel-de-Ville,
dont l’entrée principale est dans l’axe de l’avenue Victoria, n’a
pas été reconstruit perpendiculaire à cette avenue.
La réponse est simple :
, pe fêtait pas à 1 Hôtel-de-Ville à se mettre perpendiculaire
a 1 avenue Victoria; cétait, au contraire, l’avenue Victoria
venue longtemps après l’édifice municipal, qui aurait dû sé
mettre dans l’axe en question. La reconstruction de l’Hôtel-
de-Vilie, commencée en 1873, ne sera entièrement terminée
qu’en 1884.
Actuellement, les bâtiments de UHôtel-de-VilIe occupent
une surface de 8,500 mètres carrés. Ils contiennent 368 salles
de dimensions très diverses. La surface consacrée aux services
est de 25,454 mètres carrés. Cette surface est encore trop
petite, et le conseil municipal a dû voter dernièrement l’an-
nexion de la caserne Lobau à l’Hôtel-de-Ville. L’insuffisance
des locaux provient notamment du développement qu’a pris le
service de renseignement primaire, par suite de la création de
nouvelles écoles et de la laïcisation de celles qui existaient.
La salle Saint-Jean, beaucoup plus large que l’ancienne a
été pourvue d’une loggia ou galerie qui lui servira pour ainsi
dire de ceinture, et ses deux rangées de colonnes, au lieu de
reposer sur le parquet, comme autrefois, sont montées sur
piédestal, ce qui donne à la salle un aspect plus gracieux et
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plus élégant. Une loggia semblable entoure également la
grande salle des fêtes, située directement au-dessus.
Au premier et au deuxième étage, on a ménagé une large
galerie qui contourne tout le palais, mettant en communication
les différents services de chaque étage, de telle sorte qu’il ne
sera plus nécessaire, pour aller d’une aile dans une autre, do
descendre un escalier et d’en monter un second; celte heu-
reuse modification sera très appréciée par les personnes ayant
affaire dans les bureaux. Mentionnons encore, au rez-de-
chaussée, une magnifique galerie vestibule qui n’existait pas
Précédemment. Elle est éclairée d’un côté par des baies don-
nant sur la place, et de l’autre par trois grandes ouvertures
taisant face a la cour Louis XIV. Son plafond cintré, tout en
pierre, et les douze colonnes de six mètres de hauteur en
piene de la Côte-dOr, aussi belle que le marbre, en feront,
une pièce d’une extrême magnificence et de tout point remar-
quable.
La Décoration
Les statues qui décorent extérieurement l’Hôtel-de-Ville
sont toutes des statues de Parisiens. On a considéré qu’il ne
fallait pas convertir la maison municipale en une sorte de
Panthéon français et y faire figurer toutes les grandes renom-
mées du pays, quel que fût leur lieu d’origine.
A elle seule la statuaire a absorbé, dans le devis du nouvel
Hôtel-de-Ville, une somme de 1,213,660 francs.
Le grand motif de l’horloge est une des parties les plus
importantes dé la décoration extérieure du monument.
Cest à peu près le motif de l’horloge de l’ancien Hôtel-de-
Ville. En effet, la condition prescrite aux architectes, de
reproduire la façade du Boccador, entraînait celle de restituer,
dans la mesure du possible, les sculptures qui venaient autre-
fois s’étayer à la partie centrale du monument. Deux figures
ailées couronnent le fronton supérieur de l’horloge; elles' sont
dues a M. Charles Gauthier.
Au-dessous, la statue assise, représentant la ville de Paris
est de M. Gautherin.
De chaque côté du cadran, deux figures couchées sur des
demi-frontons, représentent la Seine à gauche et la Marne à
droite. Ces figures sont l’œuvre de M. Aimé Millet.
Enfin, une double composition encadre le cadran à droite
et a gauche. D’un côté le Travail, de l’autre la Science, avec
entants et attributs divers. Auteur : M. Miolle.
Ces deux statues ont remplacé celles qui s’appuyaient autre-
fois sur le cadran de l’horloge, et qui représentaient la Justice
et la Force terrassant des esclaves. Au lieu du glaive, on a
voulu mettre au fronton du palais municipal le livre et l’outil
Le grand motif de l’horloge coûte 60,000 francs.
Statistique des Dépenses
Un peu de statistique maintenant sur les dépenses de recon-
struction. On sait que 21 millions avaient été affectés à cette
œuvre; 19 millions ont déjà été dépensés.
Ces dépenses se répartissent ainsi :
Maçonnerie, terrasse, égouts, 12,851,242 francs; char
pente, 678,366 francs; serrurerie, quincaillerie, 2,233,567
francs; couverture et plomberie d’art, 857,658 francs; plom-
bene des eaux et du gaz, 264,761 francs; menuiserie,
1,014,111 francs; menuiserie décorative, 158,246 francs-
fumisterie, 13,970 francs; chauffage et ventilation, 1,090 299
francs; sculpture d’ornement, 1,318,504 francs;’ pavage
asphalte, gianit, 96,982 francs; peinture, vitrerie, tenture
643,406 francs; peinture décorative, 228,028 francs ; dorure,’
177,149 francs; miroiterie, 13,689 francs; marbrerie et
stucs, 518,656 francs; régie, 587,075 francs; honoraires et
frais d’agence, 1,013,511 francs.
Incendies des Théâtres
Depuis l’effroyable incendie du théâtre de Vienne, on est
evenu plus vigilant. Plusieurs journaux ont recommandé
quelques soins a prendre, en attendant mieux.
En Plusse, le chanceilier de Bismarck a admis la manière
de voir de VAcadémie d’architecture, qui ordonne :
1° Grande distance entre les théâtres et les constructions
voisines ;
2° De gros murs, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur et des
toits en fer; rendre incombustibles les bois qui sont inévi-
tables;
° Séparation de la scène, tant de l’espace occupé par les
spectateurs que de celui occupée par les employés du théâtre
par de bons murs et des portes de fer se fermant automati-
Cj U G 111 G111 *
4 Le rideau de fer, qui a rendu d’incontestables services
dans les derniers temps, quoique l’utilité en soit contestée,
sera maintenu. Il empêche le passage de la fumée et des gaz
nuisibles dans la salle et diminue l’effroi des spectateurs lors-
que le feu éclate sur la scène;
5 Les escaliers doivent être droits et sur voûtes et. comme
es ordonnances de Paris le prescrivent; ils auront lm50 de
largeur à l’étage supérieur et deviendront plus larges en des-
cendant, suivant les exigences de la sécurité;
6° La largeur des couloirs sera déterminée suivant le
nombre des places ;
7° Pour l’ensemble des sorties vers la rue, il faut compter
sur un minimum de 6 mètres pour 1,000 personnes et sur un
élargissement de 0m60 par centaine en plus;
8° Point de vestiaires dans les couloirs ;
9° Les escaliers seront autant que possible éloia-nés de la
scène ; 0
10" Des échelles de fer seront attachées aux façades ;
I l Les tuyaux à gaz seront de fer et se diviseront en
trois systèmes entre eux : a) pour la salle; b) pour la scène, et
c) pour le départ du personnel;
12 Dans toutes les parties du bâtiment il y aura une cana-
lisation d eau a forte pression, et si celle-ci devient insuffisante
aux étages supérieurs, il convient d’établir des réservoirs sous
les combles ;
UT’ Point de poêles; un chauffage central ;
14° Dans tous les théâtres existants, le courant d’air de la
scène est conduit vers la salle, où le lustre avec l’ouverture
qui lui est résevée dans le grenier attirent tout l’air; la flamm e
et la fumée sont de la sorte appelées vers les spectateurs, et on
conduit ainsi l’air par une direction contraire, vers le toit en
conséquence. Remplacer le gaz par la lumière électrique. |