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œuvre d’un grand mérite artistique du talent d’un éminent
architecte, etc., etc. ,, (col. 48). Et cet enthousiasme, écrit
en six lignes, était d’autant plus flatteur pour celui qui en fut
l’objet, qu’il est précisément connu pour un des promoteurs
de cette architecture sans grandeur.
Je termine, Monsieur le rédacteur, car je crains d’outre-
passer les limites de votre hospitalité, et recommande les
quelques questions précitées à votre bienveillance habituelle.
Ignotus.
Avant de répondre à notre estimable correspondant, nous
devons lui faire part de l’étonnement que nous avons éprouvé
quand, après avoir dit : Je me sens même quelque peu
tremblant, alors que je vous invoque au nom de la vérité
(ce qui contient une injure, pour votre gouverne, trop aimable
Ignotus), vous affirmez, parlant de l'Émulation, que ses
jugements peuvent paraître sévères, mais le public n'en
suspecte point la sincérité, etc.
C’est absolument comme si, parlant de vous qui me parais-
sez hanté, quoi que vous en disiez, par les souvenirs des chefs-
d’œuvre d'Euripide, de Polybe, de Pline ou de Pausanias,
je disais :
Vous avez trop connu les Grecs, cher et très-honoré
Ignotus, on en garde toujours quelque chose, et, immédia-
tement après m’exclamais : Ignotus est le plus honnête, le
plus intègre, le plus vertueux des hommes, le seul dont le
caractère nous rappelle les sages de l’antiquité.
Mais, vous vous êtes sans doute trop longtemps arrêté au
Cyclope de l’un de vos auteurs, et l’on ne voit pas bien que
d’un œil; vous avez trop médité les Commentaires de la
tactique pour ne pas connaître les avantages de l’attaque.
Votre amour pour les fleurs... même de rhétorique, vous
vient sans doute d’un trop long commerce avec les médita-
tions du grand naturaliste véronais et, comme l’homo-
nyme du célèbre général de Sparte, vous avez fait votre
petit voyage en Grèce.
Heureux, trois fois heureux êtes-vous, ô Ignotus, qui
avez pu vous réchauffer au soleil de l’Attique et promener,
digne émule de Volney, votre rêverie dans les ruines de
Paleopoli, évoquer la grande ombre d’Épaminondas, puis,
pénétrant dans la Laconie, contempler ce que le prince de
Rimini fit de Lacédémone, de là passer entre le Péloponèse et
l’île d’Eubée et, dédaignant la plaine, vous élever au plus
haut sommet de l’Acropolis. .
C’est sans doute dans la patrie de Périclès que vous avez
trouvé legoût pur, et c’est en évoquant le souvenir du célèbre
auteur des Philippiques jusqu’au milieu des ruines du célèbre
Agora, où il assistait aux leçons de Thucydide.
*
**
Eh bien ! dussè-je même éprouver le réveil aussi brutal
que certain dont vous me prévenez si charitablement, il me
serait doux de pouvoir marcher sur vos traces, aller aux
lieux où vous avez puisé les grandes et profondes leçons.
Je ne serais point surpris d’y voir l’Agora devenu Univer-
sité, pas plus que ne m’étonnerait votre Zoïle vendant au
British Museum les frises de Phidias, car, à côté de ces
frises, je trouve dans le célèbre musée de Londres un
nombre considérable d’objets d’art vendus à vil prix par les
colléges fabriciens de notre chère Belgique. Oui, cher Igno-
tus, suivant la voie légèrement esquissée dans votre lettre,
je m’assurerais pi, quelque construction importante s’élevant
sur les ruines déblayées du Parthénon, l’architecte grec s’in-
spire de ce que l’art ancien a donné de chefs-d’œuvre à sa patrie.
Et, comme vous, je ne suppose pas qu’il serait question de
l'édifier en style grec. Fi donc !
L’architecte ferait de la Renaissance flamande, cher
Ignotus.
* *
Ce n’est pas à Athènes seulement que nous voyons s’élever
des maisons européennes ; il en est de même au Caire, à
Alexandrie, à Alger, etc.
Cela ne peut avoir pour cause que les études faites par les
nationaux de ces contrées lointaines dans les écoles d’art de
Vienne, de Berlin, de Paris et de Bruxelles ou d’Anvers.
*
**
Mais l’architecte grec en reviendra à l’art grec ou romain,
non parcequ’il est grec, selon votre théorie, mais parcequ’ii
y reconnaîtra un art plus grand, plus noble. N’aura-t-il
pas, comme nous, parcouru les contrées qui, seules, ont
connu les splendeurs de l’art à son apogée. Quittant l’Académie
royale des Beaux-Arts de Bruxelles, connaissant bien nos
monuments, il se sera rendu à Gênes, ne fût-ce que pour
vérifier les appréciations de Rubens et étudier son influence
en Belgique.
Devenu enthousiaste de l’École du Nord de I'ltalie, c’est,
son bagage artistique allégé de ce qu’on lui avait chargé de
Renaissance flamande et enrichi des monuments de Gênes,
qu’il se rendra à Rome.
Quel éblouissement, quelle grandeur et quelle pureté de
forme, dira-t-il ; et dans les colonades grandioses, les fron-
tons aux tympans ornés, il retrouvera comme une lueur de
ce qu’il a vu dans le Nord.
Peut-être, dans son esprit, aura-t-il déjà compris les liens
qui rattachent ce qu il a vu en Flandre, ce qu’il a admiré à
Gênes à l’art classique des Romains.
Il passera à Pæstum : le temple dorique l’étonne par la
grandeur du caractère; c’est toujours du classique, mais
quelle expression puissante !
Qu’il rentre en Grèce, cher Ignotus, il en reviendra aux
grandes traditions du Partliénon et de l’Erechteïon.
Parce qu’enfin il aura, de réflexions en déductions, fini
par reconnaître que classique romain, renaissance flamande,
française ou allemande, sont toutes transformations d’un
art qui avait eu son apogée et auquel les grands artistes
grecs avaient su donner l’unité.
Il reconnaîtra que la suite des transformations sont des
conséquences d’une décadence que rien n’a pu arrêter, de
Périclès à Charlemagne, et qui, avec la Renaissance, reprend
la marche lente qui nous a conduit à un franc retour vers la
tradition grecque.
*
Est-ce à dire -qu’il ne faut faire que cela ?
J’ai dit quelque part (je n’irai point comme vous, Ignotus,
citer les numéros et les lignes) que l’architecture nationale
pour nous, peuples de l’Occident, c’est l’art ogival, car c’est
le seul qui se soit inspiré (jusque dans la flore de sa décora-
tion) du sol où il est né.
C’est une architecture nationale, parce que c’est celle d’une
race, et non celle de quelques millions d’individus, jetés par
les hasards de la politique dans l’enclos fictif de frontières
aussi naturelles que fragiles.
Il peut paraître étrange que l’on se serve tant, depuis une
dizaine d’années, de cette expression : architecture natio-
nale. En effet, dans presque toutes les autres manifestations
de l’intelligence humaine, on semble s’écarter absolument de
cette idée de classification des individus par nationalités. Les
savants ont étudié les éléments originels qui ont engendré les
divers peuples modernes, et c’est un fait acquis aujourd’hui
que la nationalité couvre de son pavillon un mélange des
races les plus diverses, les plus opposées comme tempéra-
ment et comme esprit.
Les immenses progrès de l’imprimerie ont, en outre,
amené une telle diffusion des idées, que les caractères mêmes
originels, dans le mouvement irrésistible qui nous entraîne
depuis un demi-siècle, perdent insensiblement leurs côtés
saillants et typiques et accusent de plus en plus la forme
cosmopolite.
La question d’une langue universelle n’a-t-elle pas préoc-
cupé même des esprits très-sérieux !
Le moment nous paraît donc mal venu de parler d’archi-
tecture nationale d’une façon aussi précise, en y ajoutant un
tel esprit de classement, d’opposition.
★
* *
Cette thèse nous semble erronée dès son origine et nous la
croyons aussi fâcheuse que la théorie de l’emploi des maté-
riaux nationaux.
Il ne faut pas restreindre le champ dans lequel se meut
l’artiste, et surtout l’architecte et il n’est pas possible que,
sous prétexte d’architecture nationale, on nous oblige à tom-
ber tous dans un genre, un style unique, sorte d’église en
dehors de laquelle il n’y aurait pas de salut.
Et, logiquement, si l’on pouvait exiger cela des architectes,
il faudra répudier tout peintre qui ne reproduirait, constam-
ment, sur ses toiles,
Et nos prairies et nos campagnes,
Et nos bergers et nos montagnes.
Flamand vous êtes, flamands vous devez rester, dites-vous.
Cela serait peut-être vrai, (passons), si tous les Belges
étaient flamands, d’abord, et si en nous, pendant trois ou
quatre siècles, ne s’était infusé du sang espagnol, du sang
allemand et du sang français.
Il faut bien laisser aux artistes la liberté de concevoir selon
leur tempérament.
L’art ne peut vivre sans la liberté : il ne peut en avoir
sans indépendance.
C’est pourquoi nous ne saurions admettre aucune formule,
aucune règle absolue.
Or, il n’y a pas plus de liberté dans cette théorie : faire de
l’architecture nationale que dans celle : il faut s’en tenir à
l’art classique ; l’esthétique des Grecs et des Romains conte-
nant seule, la formule du beau.
Et nous constaterons ici que ceux-là même que l’on dit
faire de la renaissance flamande, se défendent de tout abso-
lutisme dans l’exécution par rapport à la tradition.
Leurs œuvres sont belles, et nous y constatons « Xorigina-
lité, Ximagination, la science, qualités saillantes d'œuvres
d’un grand mérite et du talent d!éminents architectes, »
précisément parceque nous y avons trouvé l’ardente préoccu-
pation de corriger tout ce que l’art flamand du XVIIe siècle
avait de lourd, de disgracieux et d'anti-architectural.
Nous y avons vu la volonté d’arriver à la silhouette vraie
et pittoresque, la recherche de l’unité dans la variété des élé-
ments et des masses ; l’amour de la simplicité et la crainte de
la bizarrerie.
Dans une prochaine étude nous développerons ces idées,
et nous tâcherons de condenser ce que nous pensons de l’ar-
chitecture moderne.
Que M. Ignotus, notre honorable correspondant, veuille
bien nous suivre. Ernal.
NOS PLANCHES
Nous publions (planches 1 à 4), les plans de la maison de
campagne de M. C., à Grœnendaal. Ce chalet se trouve tout
à côté du chemin de fer, en allant vers Namur, un peu passé
la station de Grœnendaal.
Situé au haut d’un léger pli de terrain ayant pour fond de
tableau la forêt de Soignes, il présente un coup d’œil très-
agréable. Il est conçu dans un style rustique éminemment
pittoresque. Le perron, de dimensions vastes, mène à une
terrasse précédant la salle à manger, d’où la vue s’étend sur
toute la propriété.
Ce perron, la terrasse, ainsi que le balcon qui le surmonte,
sont abrités par une forte saillie de la toiture formant pignon
de ce côté. La façade en matériaux apparents, briques et
pierres blanches, avec balcon en bois de chêne chanfrené,
forment un ensemble s’harmonisant parfaitement avec la
nature un peu sauvage des environs.
Les dispositions du rez-de-chaussée et de l’étage sont bien
étudiées et présentent un aménagement où s’unissent agréa-
blement les habitudes de comfort de l’habitation de ville et
les agréments de la campagne.
Cette œuvre sans prétention et caractérisant bien l’habita-
tion champêtre d’un bourgeois riche, fait honneur à son
auteur, M. Buyschaert, à l’obligeance duquel nous devons
ces dessins.
La nouvelle œuvre de M. l’architecte De Curte, l’église de
Saint-Mard, à Vieux-Virton (planches 5 à 8), que nous pré-
sentons à nos abonnés est très-remarquable. S’il n’est pas
difficile de donner du caractère à une église de village ou de
petite commune, combien ne l’est-il pas d’arriver à ce carac-
tère sans tomber dans quelque redite.
C’est, malheureusement, ce qui se passe pour nos églises de
campagne récemment construites ; elles semblent toutes
copiées sur un même poncif.
Pour l’église Saint-Mard, M. l’architecte De Curte a adopté
le style roman. On sait que, dans le Luxembourg, il existe
de nombreux vestiges de l’art du XIIe et du XIIIe siècle ; il
semblait donc tout naturel d’adopter le style dé cette époque
et il faut en savoir gré à l’éminent architecte.
Nos lecteurs remarqueront la beauté des masses et des
proportions générales ainsi que le caractère. La tour et la
flèche, acostés de deux avant-corps contenant les escaliers du
jubé, ont surtout une grande vigueur de silhouette et de
caractère.
Nous donnons aussi dans cette 6me année (planches 10 à 12)
le projet primé au concours ouvert en 1879, par la Société
centrale d'Architecture.
Le Programme demandait le projet d’un Campo-Santo,
avec chapelle et galeries funéraires. Le terrain était d’un
hectare et demi et le style laissé au choix des concurrents.
M. Lecloux fut classé premier et nous ne pouvons qu’applau-
dir à cette décision du jury. Ce projet est bien étudié, présente
une disposition heureuse et le style de tradition romane,
choisi par l’auteur est bien le plus convenable, croyons-nous,
pour un monument de ce genre.
A propos de ces concours, nous émettons l’avis qu’on
ferait bien, à la Société centrale d’Architecture, de choisir
des Programmes plus simples et moins grandioses ; ces Con-
cours ont été institués, si nous avons bonne mémoire, pour
réagir un peu contre le système de nos académies, où l’on
demande presque constamment des projets de monuments
couvrant plusieurs hectares, alors qu’il est bien plus utile aux
jeunes architectes d’étudier des plans d’édifices de moindre
importance et mieux encore de petits hôtels, de maisons de
ville ou de campagne. Or, si nous tombons dans le même tra-
vers, je ne vois plus de raison à ces Concours.
Nons donnons ci-après le Programme du Concours de cette
année qui, nous semble-t-il, mérite la même critique que son
prédécesseur.
Nous nous réservons de traiter plus longuement ce sujet
dans un prochain article.
Société centrale d’Architecture de Belgique
CONCOURS DE 1880
PRIX
1er Prix : 200 francs et un diplôme
2e ,, 100 ,, ,,
3e ,, une mention et un diplôme
1. Sont exclusivement admis au concours les membres
effectifs correspondants ou honoraires de la Société centrale
d’Architecture.
2. Les envois seront adressés, sous cachet, au président de
la Société, rue de la Concorde, 27, à Ixelles. Ils devront être
rendus, au plus tard, le 2 août 1880, à 8 heures du soir.
Les ouvrages remis après cette date seront irrévocablement
exclus du concours, quel que soit le motif de ce retard.
3. Le président donnera reçu des projets qui lui seront
remis.
4. L’ouverture des projets se fera devant la Commission
administrative, la veillle du jour fixé pour l’exposition.
5. Les dessins porteront une devise ou une marque. Une
circulaire fera connaître aux membres les devises ou les
marques qui auront été primées ; les auteurs des projets por-
tant ces devises ou ces marques seront priés de se faire con-
naître.
6. Les dessins envoyés au concours seront exposés publique-
ment un jour férié avant le jugement et quinze jours après.
La Commission s’engage à rechercher une salle convenable
pour cette exposition.
7. Sur la présentation du reçu que leur aura délivré le
président à la réception de leur œuvre, les concurrents pour-
ront la réclamer pendant les trois mois qui suivront la
clôture de l’exposition.
Après cette date, les projets non réclamés appartiendront
de droit à la Société.
8. Le jury se composera de sept membres. Les cinq archi-
tectes qui ont donné un programme, MM. Beyaert, Jamar,
Laureys, Janlet et Van Ysendyck, plus deux autres archi-
tectes désignés par les concurrents.
A cet effet, ils enverront à M. le président un billet indi-
quant les noms des deux architectes qu’ils désirent voir parmi
les membres du jury. Ce billet portera pour suscription la
devise ou la marque de leur projet.
En cas de parité de voix, le sort décidera.
9. La Société ne prend à sa charge aucun frais de transport.
10. Les ouvrages qui ne rempliront pas les conditions du
concours seront irrévocablement exclus.
Le jury veillera à la stricte exécution du programme. Il
donnera au procès-verbal motion de ses délibérations.
11. La Société n’est pas responsable des dégâts qui pour-
ront arriver aux œuvres exposées.
Un Hôtel de Ville pour une population de 60,000 habitants.
Cet édifice, dont la façade principale occupera l’un des
côtés d’une Grand’Place, sera entièrement isolé de toute autre
construction. Il sera composé d’un rez-de-chaussée, d’un
premier et d’un second étage.
Le rez-de-chaussée contiendra les bureaux de 4 divisions
administratives, savoir :
1° l’Etat-civil ;
2° les Travaux communaux ;
3° les Finances ;
4° la Police.
Pour l’état-civil, il y aura : un grand bureau pour 6 em-
ployés; un petit bureau pour 2 employés; un cabinet pour le
chef de service; une salle d’attente ou d’huissiers.
Pour les travaux, il faut : un grand bureau des dessina-
teurs ; un cabinet de l’inspecteur un cabinet de l’architecte ;
une anti-chambre ou salle d’huissiers.
Pour les finances, il y aura : la caisse communale (5 em-
ployés) ; cabinet du receveur; cabinet de sûreté; cabinet de
répartiteur; salle d’huissiers.
Pour la police, il faut : un bureau central, avec cabinet de
commissaire ; cabinet de l’inspecteur ; salle de réunion des
agents ; 4 géoles.
Outre ces locaux, le rez-de-chaussée contiendra : une
grande salle destinée aux opérations de recrutement (tirage
au sort, conseil de révision), ainsi qu’aux élections et adjudi-
cations publiques ; un logement de concierge ; un corps de
garde de pompiers ; des vestibules et dégagements et des cours.
Un grand escalier et plusieurs escaliers secondaires met-
tront le rez-de-chaussée en communication avec le 1er étage,
qui contiendra :
La salle des séances publiques du Conseil communal (com-
posé de 27 membres) ; la salle des comités secrets ; 4 salles de
sections (avec chacune un cabinet) ; le cabinet du bourg-
mestre ; le secrétariat, ayant un bureau pour 4 employés et
un bureau particulier pour le secrétaire; la salle des
mariages; une grande salle de fêtes; des antichambres,
salles d’huissiers, vestibules et dégagements.
Le second étage contiendra les archives communales.
La façade principale aura une tour de 50 mètres de hauteur
au moins.
Le style architectural est laissé au choix des concurrents.
Le terrain occupé par l’édifice n’excèdera pas 8,000 mètres
carrés (1).
On demande le plan du rez-de-chaussée ; celui du 1er étage ;
la façade principale, une façade latérale ; une coupe princi-
pale de l’édifice, à l’échelle de 0,005 m. par m.
(1) ...!? (Note de la Rédaction.) |