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minutes, puis un ■
trente minutes e,
pendant un quart
séchage des objets.
• C :ndaat
ri ,'uaud
rt1 oaercr lo
•iit‘*ment doit être
ictliêre. ayant sur-
, use de propaga-
Ii va de soi qu uf* ‘ • - .t -
soumis à une régleur .tior
tout pour but qu i! ne tievier.
tion des maladies transmissi
La séparation estdonc absolue entre la partie destinee
à recevoir les objets infeetés et celle qui reçoit les ob-
jets avant subi la désinfection. Reste le personnel. - Les
nommes, dit le réglement, chargés du service de la
désinfection sont avertis qu’ils se trouvent en presence
d’objets dont le contact et le maniement peuvent pro-
pager des maladies ; le danger existe aussi bien pour
eux que pour leur famille et pour leurs amis, une fois
qu’ils sont sortis de l’établissement . » Et il leur est
recommandé d’observer non seulement la plus grande
propreté corporelle, mais de soigner leurs vetements
et leurs nourriture. Ils ne doivent jamais pénétrer
dans les chambres de désinfection ou dans les magasins
avec leurs vêtements du dehors, et ils doivent, aussitôt
leur entrée dans l’établissement, se débarrasser desdits
vêtements, les placer dans des pièces disposées ad hoc
et complètement isolées, avant de revêtir les vetements
de service fournis par le surveillant. Leur journée ter-
minée, ils reprendront leurs vetements de ville, les
vêtements de service restant dans 1 établissement ou
on les désinfecte et où on les entretient.
Lorsque le désinfecteur va chercher les objets qui
doivent être soumis à la désinfection.il reçoit, en outre,
nri manteau qui, après chaque manœuvre, est enduit
d’acids ohénique et humidifié a 1 aide d une brosse Ce
manteau ne doit être porté que dans la maison conta-
mirtée et, avant de quitter celle-ci, on en fait un paquet
spécial que l’on place dans nn sac particulier Tous les
soirs, à la fin de la journée de travail, les désinfecteurs
prennent un bain de nettoyage *, on leur fait laver tout
spécialement la barbe et le? cheveux.
Les repas ne doivent ir • a s etre pris dans les salles
de désinfection ou dan.: r magasins. Avant de se ren-
dre dans la sali: débitée p;.nr les repas, ils so lavent
les mains et le é/eau enaure 3 savon.
Pour Témper ' etage des objet: rffir - :-nt etre désin-
fectés et transportés à rétamicoemcn. (•• ; dçsinfectenrs
doivent porter un masque. Ce
après l’opération; l’ouate^ -,o îs remplis est retirée,
brûlée et remplacée par delà nouvelle. a
Lorsque les vapeurs du caloro uoivent etre dégagées
dans les chambres,, les désimecoeurs doivent, protéger
leurs organes respiratoires au moyen d éponges îmbi-
^K^rboi^mmoniwm aû dissous
Hans un demi-litre d eau) eu dno cs aïeux nquiae
/20 grammes dans un dsmi-lïtre d’eau), ils sont enfl-
chargés S nettoyer l’établissement journellement, en
nrpnant soin d’arroser les murailles et le plancher. La
paille. le papier et autres détritus ne doivent pas etre
rénandus dans la cour, on les orale dans la chaudière
dtWibliSMment. öure
‘*‘c“Plti!SSmX»m3 Kflwdaisa»très
Rerhnnne'somme de 150,000 francs. Son budget annuel
^ « KOOMhancs, mais ce crédit ne suffira pas bien
des opérations soient soumises à une
d é’ever à bref délai un second établissement semblable
dans un autre quarüer de la viLe.
AVIS — Les bureaux de mm. »e brcyn d pe kom.
courtiers et agents d’assurances ^nt transférés du n 19
au n° 26 de la Longue rue de 1 hôpital. 119
flironiqne théAtraïe»
THEATRE ROYAL. — On devait donner ce soir
i? Vovo'/e m Chine, mais par suite d une indispo-
sition de M Mailland, premier ténor léger, il a fallu
changer le spectacle. On jouera la MascoUe.
l’accident est arrivé — se sont précipités vers les gale-
ries principales, vers l’accrochage. On les a remontés
aussi rapidement qu’il a été possible. Mais beaucoup
étaient tellem-nt terrifiés qu’ils se sont enfuis dès qu’ils
ont été au jour. .
Pendant que j’écoutais les renseignements que me
donnaient ces malheureux houilleurs, la cage du fond
remontait, amenant encore une des victimes de cette
lamentable catastrophe : un jeune homme, Jules Meu-
nier, de Dour. Son père se trouvait parmi les assistants.
Le cadavre, porté par quelques-uns des houilleurs occu-
pés au sauvetage,'était dans un état affreux : la face à
moitié carbonisée, les mains portant des traces de
brûlures. , , , 3 .
On l’a porté à bras jusqu a la morgue dont je vous
parlais tantôt. On l’a déshabillé. Et le corps nu a été
lavé, suivant le procédé que i’on emploie dans le Bori-
nage à chaque accident de mine occasionnant mort
d’homme. Le cadavre est placé d’abord sur un chaudron
rempli d’eau bouillante ; puis les gens qui s’occupent de
la dernière toilette d’un de leurs compagnons, le net-
toient des pieds à la tête, lui mettent une chemise et
des vêtements propres et attendent que la famille vienne
réclamer le mort.
Les morts retirés de la fosse jusqu a ce moment ont
tous été transportés chez eux. L’administration du
charbonnage fournit le cercueil et paye les funérailles.
Elles se feront sans grand apparat, m’assure-t-on, les
victimes habitant des localités différentes : Wasmes,
Dour, Hornu, Wàrquignies, Pâturages.
Pendant que j’assistais à la triste toilette du mórt
qui venait d’être remonté, M. le'gouverneur du Hal-
naut, accompagné de MM. les ingénieurs De Jaer et
Augustin Gobert, de M. Julius, inspecteur des mins:,
s’ôtait fait descendre dans la fosse, vêtu, comme pour
toute expédition de ce genre, du costume de mineur :
blouse bleue, chapeau de cuir.il s’est rendu compte des
travaux de sauvetage organisés par les ingénieurs des
mines, aidés d’ouvriers et de porions de i’Escouffiaux
et de travailleurs envoyés par tous les charbonnages
des environs.
La catastrophe, eomme nous le disions hier, est due
à une explosion de grisou suivie aussitôt d’un éboule-
mentdutoit de la «coupure-. Les malheureux qui
n’ont pas été tués par l’explosion ont été ensevelis sous
l’éboulement, dont on ne peut que supposer l’impor-
tance. Pour retrouver les cadavres — car on a la cer-
titude que pas un des onvriers ne sortira vivant de la
fosse — il faut établir des soutiens au plafond de la
bure, créer une ventilation à l'aide de tuyaux intro-
duits dans les masses éboulées.
M. le duc d’Ursel a inspecté tous les travaux de sau-
vetage et. devant lui, on a trouvé une des victimes-
WiJLfrid Mourv, surveillant du fond. La montre du mal-
heureux s’était arrêté à huit heures cinquante-cinq.
J’ai vu remonter au jour ce Mcury. ; son frère, oui
est garde-chambre à v-rru, attendait aussi l’arrivée 'du
cadavre.
Le pauvre tomme pleurait.
A une heure, sortait du puits le corps de Juvénal
Boucher, de Wasmes, un homme robuste, dont le ccrps
était déjà rigide -, les jambes et les bras écartés, il ser-
blaitavoir vou'-i lutter contre la mort.
Dans l’aprèc midi peu de personnes sont venues à
l’Eseoufllaux. 11 restait là quelques houilleurs du voisi-
nage, les ingénieurs qui ont organisé avec tant c'.e
dévouement le sauvetage, MM. Meres, Gobert, Dejaer,
Demaret, etc.; MM. les docteurs Hat et François, de
Dour, le directeur-gérant, M. Hardy, le commandant de
gendarmerie Delà Collette, le commissaire de pjlice
Dumont qui ont organisé depuis hier, avec une grande
intelligence, le service d’ordre.
Mais dans tout le pays, chacun était atterré de la
mort de l’ingénieur, M. Louis François, de Boussu. Le
malheureux n’était âgé que de 23 ans. On a retrouvé sa
casquette dans la veine. Il était occupé, au moment de
la catastrophe, à prendre des mesures. On le retrouvera,
suppose-t-on. prés des eorps du marqueur Laurent
Harmigmes et du porion Auguste Sauvin. C’était un
jeune homme aimé et estimé de tous. On eroit que son
cadavre sera ramené au jour cette nuit.
Il reste maintenant quatorze cadavres à retrouver.
Mais les travaux de sauvetage peuvent enoore durer
plusieurs jours. L'éboulementest encore d’une cinquan-
taine de mètres.
D’après les premiers renseignements, la catastrophe
FArrè IMVEJÏ*»
rmin de erlsou à Hornu. — 84 victixnes. —
Onécnt de Wàrquignies, 5 janvier, à la Gazelle :
t a houillère n° l de l’Escoufflaüx. où s'est produite
Cette: fois, le doute n’était plus possible. Retirer le
cercueil, aller' chercher le maire, tout cela demanda un
certain temps. Enfin, on souleva le couvercle, mais-
probablement sans précautions nécessaires en pareil
cas, car on n’eut qu’à constater l’asphyxie de ce pauvre
malheureux, enterré vivant, la chaleur du corps ne
pouvant laisser aucun doute à cet égard.
Sinistre maritime. — Le vapeur anglais Connaught
s’est brisé totalement sur l’île Galite, dans les eaux
tunisiennes, à la eote nord de la régence. Yingt-trois
hommes d’équipage ont été sauvés par un vapeur fran-
çais, qui les a ramenés à la Goulette, où le consul
anglais leur a donné tous les secours nécessaires.
Le Connaught se rendait à Boston, chargé de mar-
chandises diverses. II jaugeait 1069 tonneaux.
La neige. — Les dépêches de ce matin annoncent que
la neige est tombée sur presque tous les points de la
France.
Certains villages d’Auvergne sont complètement ense-
velis sous la neige.
Dans le Jura, toutes les communications sont inter-
rompues.
En Allemagne, de véritables avalanches de neige sont
tombées depuis deux jours.
L’Espagne même n’a pas été épargnée; la Yieüle-Cas-
tille est ensevelis sous 1a neige.
A Burgos, la température est descendue à 18 degrés
au-dessous de zéro.
A Madrid, 3000 personnes sont actuellement malades
par suite des rigueurs de la saison. ,
. En Angleterre on compte que 70 0/0 de toutes les
lignes télégraphiques du Royaume-Uni ont été détruites
par le vent et les tempêtes de neige de ces derniers
jours. Il faudra plus de trois mois et des sommes énor-
mes pour remettre toutes ces lignes en état.
Philadelphie. 3 janvier. — Un temps extrêmement
froid accompagné par des neiges sévit dans les Etats du
Nord-Est depuis vendredi. Les railways sont bloqués
et on signale plusieurs ' désastres. Le mercure a des-
cendu jusqu’à 3G degrés au-dessous de zéro à St-Paûl
(Minnesota.)
Une Bagarre. — On mande de Lyon, 3 janvier ;
Dans la.nuit de samedi à dimanche, à Saint-Fons. une
rixe meurtrière a éclaté entre ouvriers français et pié-
montais. La querelle a pris naissance dans le café
Surier où étaient attablés une cinquantaine d’Italiens
et autant d’ouvriers français. *
Le patron de l’établissement réussit à mettre dehors
tous les consommateurs.
Dans la rue, une véritable bataille eut lieu. Divisés en
deux camps, Piémontais et Fr: nçais s’armèrent de cou-
teaux et de revol vers. Les ouvriers français voulaient
saisir le nommé Bruno, meneur des Italiens, principal
in'sulteur, et qui s’était caché chez un compatriote.
Plus de cent coup: de feu furent tirés,
tous les comba ants disparurent quand le garde
champêtre et de: citoyens dévoués accoururent.
Sept blessés, dont cinq grièvement, furent relevés,
r. e nombre des blessés dépasse le chiffre de sept; mais
les autres avaient pu fuir.
T a ger vannerie est sur les lieux, car on redoute de
nou eaux incidents. »
Une municipalité rnm aimée. —- Si cela continue,
dit 1’ talie, on ne trouvera ( lus un homme es bonne
volonté qui veuille assumer les fonctions de maire de
la : etite ville d’Artena.
Artena est le nom que l’on a donné depuis quelques
années à une petiteiville de la province de Ro'me que
l’on appelait jadis Montefortino . Les habitants d’Artena
ou de I lontefortino se distinguent a jourd’hui entre
les habitants de toutes les petites villes de la province
de Rome par une férocité sauvage oui n’aipas d ezem-
pie dans les annales de la province rom&i:. e. Cett<
érocité semble s’être tournée tout spécialement contré
i es autorités locales.
A chaque instant, on reçoit la nouvelle de quelrue
attentat contre le maire ou les adjoints faisant fonc-
tions de maire.
En 1879 fut assassiné le maire, M. Tommassin;
quelque temps après, on attenta à la vie de M. Mucidi,
qui remplissait les fonctions de syndic. Le 21 juin de
l’année verni ère, M. Manucci, prosyndic, fut victime
d’une agression à main armée qui l’obligea à garder le
Lit rendant trois mois,»
Le prosyndic actuel, M. Duigi Ranzoni, s’attendait,
fait quinze veuves et enlève leur père à plus de qaa-1 -- . ... . ... - .. „ , „ , ... -
onfnnta B comme les autres, a etre rictime dé quelque agression,
ranie eniauui. , H La chose n’a pas manqué. S’il a été assez heureux pour
• - B s’en tirer à bon marché, c’est à son cheval et à la ma-
Sera ce une série ? — demande un journal : H ladresse de ceux qui ont attenté à sa vie qu’il le doit.
On annonce de Liègequ'uneexplosion dejçrisou s’est g ^ Vaîmohtonef où" U dirai!
■___________ i terri » s’étendant
ance. Près d’elle se
nnnvi’ps maisons. des cabarets-cantl- ,
meures de houilleurs L’ensemble, en ce'moment sur
tout produit une sinistre impression. .
safont^S'lesfroutestvfotures'deméifèctna^’ingénieurs,
SSisgad
retiré de la fosse. On me dit qu il est sain
Tînt, Le médèdn croit pouvoir répondre de sa vie
Vais ü lai est interdit de parler * ^ Au
Méss « mi i» case de la fosse l’a remonté au jour, il a
figure caG^t® ‘frè^g^ffiouilleurs, les larmes
aprésleur dKavelleïde «a qui sont la
aux maih#»nrAux sont dans uii (éicit qui l&it
>«2LSH3ÎVpnïieïïàtre M wr,»(o«»W« partir.
C’est un sps®
1 °Aa»- moment,'on avait retiré
“tfA été reconnu dan«
avait le haut du corps dans un état affreux ; il«Ö
absolument méconnaissable et on n a pu le reconnaît) e , la
lu’à ses vêtements. On l’avait déjà surnoimn
décapité » dans le pays.
produite lundi à 8 heures du matin au charbonnage des
Awirs. Sept hommes ont reçu des brûlures plus ou
moins graves,
De Londres on télégraphie qu’uii coup de grisou a
éclaté hier matin au charbonnage de Welcougssy à
Douvres. On a remonté 6 cadavre et 4 blessés. Il y
avait dans le puits 100 ouvriers.
On ne sait pas ce que sont devenus les autres ou-
vriers qui sont restés au fond. On craint de ne pas les
retrouver vivants.
Caissier infidèle — La poliee a procédé lundi à l’ar-
restation d’un sieur Caulier, habitant le faubourg Mo-
relie, près Tournai. Cette individu, outre ses occupa-
tions habituelles — il tenait les livres dans un grand
établissement industriel de la ville — était le caissier
particulier de sept ou huit sociétés ouvrières d’épargne
de cette ville. Il gaspilla les fonds confiés à sa garae,
dans des spéculation malheureuses à la bourse, croit-
on. Toujours est-il qùe ne pouvant faire face a
certaines échéances menaçantes de fin d’année, il prit
la fuite en déclarant à sa femme * qu’il était désormais
! sur la paille ».
Arrestation d’un employé des postes. — On a arrêté
le même jour un sieur P..., surnuméraire à l'adminis-
tration des postes, qui est accusé de vol et détourne-
ment. Il à, paraît-il, pris des lettres chargées dont il a
versé à son profjt le montant à la caisse d’épargne de
l’Etat. Ces économies étant peu en rapport avec les
ressources de P..., on lui a oémandé des explications
qu’il n’a pu donner.
A.oc-tde^t. — Un bien tristo accident s’est produit
sur la ligne du cheminde fer entreHavinneset Béchers:
le garde d’un des sémaphores de la gare retournait
chez lui — il habite Béchers — quand il eut la funeste
idée de sauter du train à proximité de sa demeure, ba
chute fut malheureuse ; l’infortuné fut grièvement
blessé et oii 'dut Ile transporter d’urgence a 1 hôpital.
Cn assureq ue son état est très grave,
-cendic d'une église. — L’église catholique do
Saint-Thomas, à Saint-Léonard, dans le duché de
Jussex, a été complètement détruite, lundi matin, par
un incendie. .
L'éviise avait été splendidement décorée à l'occasion
de la Noël, et l’on suppose que le désastre doit son
origine au feu communiqué par quelque cierge aux
ornements de l’autel.
Les voisins se sont aperçus des premières lueurs de
l’incendie à 7 heures dû matin et en ont immédiatement
averti le prêtre. Celui-ci arriva en toute hâte, mais déjà
il ne lai fut plus possible de pénétrer dans l’église qui,
en quelques instants, avait été envahie d’un bout à
l’autre par les flammes.
Peu après le feu perçait le dôme du temple et rem-
plissait l’air de flammèches qui jaillissaient eomme
d’un brasier. Les pompes à incendie qui étaient accou-
ues au premier signal furent impuissantes à conjurer
■ - -ation ; il ne reste du temple que les murs
Tmlq Pea cadavres ont été remontés au jour dans la
Jrée et dans la nuit d’hier. On les a provisoirement
ôènosés dans une petite salle attenant a la salle des
portons .dans 1m bâtiment qui se trouve a quelques
ouvres ont été réclamés par
. ^ familles Et à mon arrivée à l’Escoufflaux, deux
^ulSt reposaient encore dans cette morgue impro-
visée Celui du décapité était caché sous une toile,
tUOn1Wait7ITvoix basse des incidents de la catas-
SœasKiœ
bures. .
Les sauveteurs.
ce matin, l’avaient aperçu et le
Eh! là d’sous\ une phrase
on?
croyaient tué. Il s’était écrit-^ote me Veut
^ Tules^sfmo'n &de \Vafmesi avait été atteint alors qu'il
iefosaitlmè rame un convoi de wagonnets. Il avait
conWrL deSosion. étéjetêàbas de sa rame.
^trouvé près de lui un cheval, une de ces pauvres
Et on a trouY, s . ^ (jes fosses sans jamais revoir
betes qui uvffltau îona aes m ivanJt encore. Oh
lVfr?îi1Æ%™lPgaértrim»lS WM-
matin.
L’église de Saint-Thomas n’existait fjue.4f|W IS|?U
L’incendie a dévoré un nouvel orgue qulatait coûte
10 mille francs ; un tableau ancien évalué 12,500 francs,
un groupe représentant « le Christ mort », dos .de la
duchesse de Leeds, qui avait coûté 7 mille 500 francs
et un grand nombre d’autres objets prppieux.
Le four Radçlet. — On écrit de Vervlel’S, ‘1© 5
janvier :
L’administration des chemins de fer de l’Etat vient de
faire établir dans la gare de l’Ouest un four du système
Radelet pour un nouveau système de chauffage des
trains, dont on avait fait de petits essais l’hiver dernier
sur la ligne du Luxembourg, ........
La chaufferette nouvelle presente a 1 extérieur le
même aspect que l’ancienne bouillotte ; toutefois l’inté-
rieur diffère essentiellement et est formé par une
double paroi métallique ; le vide laissé entre ces deux
parois est rempli au moyen de sable quartseux ; dans
la gaine centrale se place une barre en fer de cinquante
centimètres de longueur et préalablement chaufîee à
blanc ; le sablé s’échauffe au contact de cette barre
rougie et conserve sa chaleür pendant au moins huit
heures. Avec ce nouveau système, les chaufferettes
placées dans le train àVerviers iront à Bruxelles et en
reviendront avec une température très suffisante. On
évitepa ainsi les nombreuses manutentions nécessitées
par le changement des chaufferettes à Liège, Landen et
Louvain. IVici à quelques jours, le nouveau système
sera mis en usage.
prendre le train pour Rome. H avait avec lui un garni»
de douze ans, qui devait ramener à Artena la voiture1.
Lorsque M. Ranzoni fut arrivé dans la localité con-
nue sous le nom de la Torretta, une détonation d’arme
à feu se fit tout à coup entendre et une balle siffla pari-
dessus la tête de M. Ranzoni. Un second coup de fusil
fut tiré aussitôt après,.maissans résultat;ce que voyant
le prosyndic fouetta à double tour de bras soncheva)
pour se mettre hors de portée d’un troisième coup de
M. Ranzoni put continuer sa course sans encombre
jusqu’à la gare de Valmontone, d’où il télégraphia à
Artena la nouvelle de cet attentat. Il télégraphia en
même temps au sous-préfet de Velletri.
^Explosion de çaz dans une caserne, .plusieurs
Dimapehn dernier, vers 9 heures du soir,
une formidable explosion «Jeté l’épouvante dans les
environs des casernes de Cambi-;as„. i
C’était une explosion de gaz qui avait éclaté dans le
quartier occupé par le 2* bataillon dp régiment de
Worcestershire. . ,
Après l’organisation de prompts secours, on parvint
à retirer des ruines des parties effondrées quatre
cadavres et un grand nombre de blessés. .
' On a malheureusement la certitude que plusieurs
soldats sont ensenvelis sous les décombres. Les blessés
ont été transportés à l’hôpital dé Portsea.
Mise t pied. — L’administration des mjnè3 en Saie
a décidé de cesser l’exploitation des deux mines d'argent
Churprinz et Beihulfe, près de Freiberg.où 1 on travafle
depuis des siècles. Par suite de cette mesure, environ
400 ouvriers mineurs se trouveront sans occupation.
X,<s d» monde. — Le journal Quting, qui pe
publie à New-York, a des collaborateurs vraiment et:
prenants. L’un d’eux accomplit, en ce moment, le tmr
du monde en vélocipède et voici qu’un autre, le cen-
taine Cloudman, va faire la même petite promenade
sur un bateau microscopique.
Ce qui est â remarquer, c est que le capitaine Gioia-
man n’est pas un coureur d’aventures, inconscienaiu
danger, risquant le tout potir le tout, sans se rentre
bien compte des difficultés de l’entreprise, comme cbx
qui opt déjà tenté des tours de force de ce genre. !
C’est un' homme dans Ja force de l’âge, qui a dératé
comme simple matelot, a conquis tous ses grades a rqce
de travail, et a déjà fait trois fois le tour du monde
On le représenté pomme un l'omipe froid, tranquile,
avisé,' et, en s’embarquant pour ce voyage d’aventufs,
il a conscience des dangers qu’il va courir et des dlli-
cultés de toutes sortes qui le menacent. A ce pointde
vue. l’expérience est intéressante et donnera la me! re
de ce que peut faire sur mernn homme absolurent
isolé, obligé de tenir la barre, rte faire la manœu re,
de préparer ses aliments et de trouver ié temps m es-
sairé au soméaeil. , .
Nous suivrons donc avec intérêt le correspondan au
Outing dans l’accomplissement de cette tâche que >us
avons considérée jusqu’ici comme au-dessus des ffces
d’un homme. . „ ,L„
: L'embarcation, qui portera ie nom qe O^Ung,
de longueur, 3“05 de haut et un tirant d'eau ddraoO
environ. Son gréement se compose d'une grande bue,
un foc, une flèche et, pour le beau temps, d’un spinbKer
et d’un foo-ballon. Il a en outre, pour les gros mps,
une voile de pape et un petit foc. Toutes les manc yres
sont installées de telle sorte qu’ûn puj^e gou -
tout en onCn^flûa voiles. l ,,i .
Le capitaine Cloudman emporte tout un petit a) mai ■
un fusil à répétition, un fusil à deux coups deus
revolvers de gros calibre, deux revolvers plus c jts et
un petit canon de yacht sur le pont. ‘ ,.
L’itinéraire que doit suivre le Outing est le sirant.
de New-York, R descendra les côtes américaint tou-
chant aux îles Baharaa ; de là, il se rendra à Cœn où
le bateau sera mis à terre et. traversera l istlinae «r un
vfagon du chemin de fer ; remis à l’eau a Panaa,' H
remontera la côte de Californie jusqu’à Sau-Franpço ;
de là, si la saison est favorable, .il gagnera 4 Asua,
traversera l’archipel des iies Aleoutiennes, et aivera
à Yokohama en suivant les côtes du KamtschatV.
De Yokohama le Outing abordera la Corée,- ha de
là Shanghaï, Hcng-Kong. doublera la presqub Ma-
lacca et arrivera à Calcutta ; ensuite il ira a Ijnbay,
puis à l’isthme de Suez-et à Gibraltar. L .
De Gibraltar pour revenir en Amérique, le /Attaine
Cloudman montera les côtes d’Espagne, dé fY106’
d’Irlande et d’Ecosse et passera en Islande, toueufe au
Groenland, au Labrador et enfin rentrera au \. i ue
New-York, où il compte, dit-il, « célébrer en fard s la
Christmas de 1889.
Comme nous l’avons dit,l’attitudede l’inculpée a été à
l’audience ce qu’elle avait été pendant toute l’instruction.
Nous avons mentionné sa réponse typique à l’une des
questions que lui posait le président « Que voulez-
vous 1 il faut bien amorcer les gens d’une façon ou d’une
autre ! »
M. le président lui demande ce qu’elle a fait de l’ar-
gent qui lui a été confié.
Elle réplique imperturbablement : « Je l’ai dépensé
en majeure paitie, en bonnes œuvres. >-
D, Non, vous l’avez dépensé en bombances.
R. Si on peut dire': Il faut bien se payer de temps en
temps une petite réfection.
En sa qualité de tireuse de cartes, ayant exercé pen-
dant de longues années, Mishen devait bien connaître
son monde et l’énorme sottise de bien des gens.
Les personnes qui ont défilé à l’audience ne sont pas,
tant s’en faut, les seules dupes de cet escroc en jupons.
On n’en saura probablement jamais le nombre exact.
Et puis, faute d’éléments d’instruction suffisants, le
parquet n’a pu poursuivre pour tous les faits qui sont
venus à sa connaissance.
C’est ainsi qu’on nous a rapporté l’histoire d’un jeune
homme qui s’était adressé à Mieken pour lui trouver
une compagne de son choix. Mieken, qui s’occupait de
tout, avait accepté la mission de lui dénicher un merle
blanc, et persuada à son client que le meilleur moyen
de lier connaissance c’était la correspondance. Elle lui
t écrire une belle lettre. On lui répondit de façon à
encourager ses espérances. Dès lors une correspon-
dance régulière s’établit. Elle dura. — non, c’est inouï !
— elle dura pendant septa.vs il — et ce n’est qu’au bout
de ce temps que le jeune homme découvrit que toutes
les lettres qu'il avait reçues de sa belle in spe étaient
apocryphes !
A toutes les demandes du juge d’instruction, le jeune
homme dont il s’agit a répondu qu’il n’avait rien payé
à la cartomancière, et il a maintenu mordicus ceLe
déclaration. Dans ces conditions, on n’a pas poursuivi.
Mentionnons brièvement les témoignages qui se sont
produits à l’ajudience.
Ÿan Geertbergen est allé chez Mieken pour se
faire tirer son horoscope. Elle lui a alors demandé de
l’argent, disant qu’elle avait besoin de capitaux pour
une grande entreprise, donnant des bénéfices assurés.
Le témoin lui a porté en tout 24,000 Ir. Elle lui en a
rende 40® fr.
Rondoy a confié 2000 fr. à l’inculpée. Elle avait fait
accroire au témoin qu’elle était asSociéedansune grande
entreprise avec MM. Victor Lynen et, Huger. (Excusez
du peu I) Elle promettait 10 p. e. d’intérêt par mois.
Mathilde Borée,ayantouï dire que l’on pouvait placer
de Targent à gros intérêt chez l’inculpée, et que cer-
taines gens » -pouvaient vivre en rentier, » rien qu’avec
ces intérêts, a confié des fonds à Mieken. Celle-ci. lui
ayant appris qu’elle était associée avec MM. Meyle-
mans, Vaa Loock et Verhagen pour de grandes entre-
prises ën tabac, et qu’elle était riche de fr. 60,000, le
témoin lai a porté uno somme totale de 300 fr.
D. Et vous avez cru à tous ces racontars ?
R. J’avais confiance.
L’inculpée avait du reste montré au témoin un enga-
gement signé V» Sverts. Celle-ci est également citée.
Anne Rothier, qui connaissait depuis longtemps
l’inculpée comme tireuse de cartes,est allée la consulter
pour savoir où son mari passait son temps.
- D. Et vous vous figuriez sérieusement que la tireuse
de cartes pouvait vous dire cela ?
R. Dame ! je croyais qu’elle pouvait voir cela dans
des cartes...
C’est dans cette entrevue que l’inculpée a demandé
de l’argent au témoin, mais elle n’a pas parlé d’intérêt
à ce moment. Ce n’est que plus tard qu’elle a entendu
que cet argent devait rapporter 10 f/o au mois, et que
Mieken était l’agent de grands négociants en pays
étranger (!) Le témoin a confié en tout 2400 fr. à la
prévenue.
D. Quel intérêt vous a-t-on payé ?
R. Rien, je suis rentrée à peu prè3 dans mes fonds.
Pauline Rothier est allée consulter aussi la tireuse
de cartes, et, a payé 20 centimes cette consultation,-Elle
a confié 1300 fr. à l’inculpée, croyant celle-ci l'agent de
gros négociants.
Philomène Rothier fait une déposition du même
genre.
Brabander étant allé consulter la tireuse de cartes,
s’est laissé amorcer par ses beaux discours sur les
affaires splendides en primes {sic) qu’elle faisait miroi-
ter à ses yeux.
Ce témoin dit que l’inculpée ne lui avait pas spécifié
le montant du bénéfice qu’il retirerait.
Ne voyant rien venir, le témoin est allé réclamer un
jour ces bénéfices. Mieken lui a répondu que le navire
(avec les primes ou l’argent?) n’était pas encore arrivé.
Cath. Theunis a été amorcée par l’appat des lo 0/0
d’intérêt.JSlle. a donné 145 fr. Elle a touché deux fois
10 fr., et une autre fois 15 fr. d’intérêt.
Colette Wastyn, V* pompon. -- Grandes opérations
commerciales_____ 10 0/0 d’intérêt___ Toujours même
histoire. A ce témoin, l’inculpée disait qu’on pouvait
aller aux renseignements au liandelshlad. En présence
de cet argument capital, le témoin a versé 1800francs.
Elle a récupéré 1300 francs.
D. Et vous ne vous imaginiez pas une seule fois que
tout cela n’avait pas le sens commun, qu’il est impos-
sible d’avoir 10 0/0 de son argent.
R, Que youlez-vous que je comprenne ? monsieur ; je
ne suis pas instruite, moi. (Que repondre à de pareilles
naïvetés ?)
La Ve Swerts. — A ce témoin, l’inoulpée avait parlé de
grandes entreprises pour la fourniture de plumes (sic)
èt qu’elle pouvait gagner 30,000 frs dans ces entreprises.
Le témoin a remis plusieurs centaines de francs en
eayoï-ca U aca maivûùndises (.üaüuieiuüiHsi pour plus de
5,000 francs.
Ces marchandises, l’inculpée, en voiture, — elle
roulait toute la journée en fiacre, — venait les chercher
au fur et à mesure de ses besoins, o’est-à-dire de la
« société » dont elle faisait partie.
D. (à l’inculpée). Que faisiez-vous de tous ces vête-
ments ?
L’inculpée (imperturbablement). Je vous l’ai dit,
Monsieur, je les distribuais aux pauvres,
D, (au témoin), L’inpulpée vous a tait signer une
pièce ?
R. Oui. Elle disait que c’était un testament.
D. Singulier testament ! Le voici :
« Je reconnais avoir reçu la somme de 22,000 fr. que
je m’engage à restituer, moi ou mes héritiers, à pre-
mière réquisition, etc. swebts »
Cette pièce avait été présentée au témoin écrite au
crayon, et le témoin, de confiance, avait reproduit à la
plume les lettres tracées au crayon !
Voici le bouquet.
f Tack, batelier, était incommodé par les souris. Ne
sachant comment en débarrasser son bateau, il était
allé consulter la tireuse de cartes. Elle l’a aidé.
D. Comment vous a-t-elle aidé ?
R. En me donnant un moyen, donc !
D. Quel moyen ? Que vous a-t-elle fait faire?
R. Une « mission » (des prières) ; je devais réciter
journellement des patenôtres. (Hilarité.)
M, le président. Vous auriez mieux faitde mettre «n
bon chat sur votre bateau, (Explosion d’hilarité).
Ce pauvre d’esprit, est-ce étonnant,s’est laissé prendre
comme tous les autres aux belles promessesde l'escroc :
11 lui a confié toutes ses épargnes : 8 lots de ville — qui
sont partis pour les montagrje h.leue3, mais par com-
. pensatipn les souris lui restent....
N’est-ce pas que c’est un joli chapitre à ajouter à
l’histoire, du plus sot animal de la création, que cette
canse.
Sera-t elle au moins d’un salutaire exemple
Les gens crédules se tiendront-ils sur leur, garde, une
autre fois ? .
C'est'mal connaître le monde que de lo supposer.
Mundus vult. decipi.
D’autres aventuriers trouveront le même nombre de
dupes.
Ainsi que nous l’avons dit hier, lg tribunal a retenu
10 faits d'escroquerie à charge de Mieken.
' 8 dè ces fàits lui ont valu chacun une année d’em-
prisonnement et 26 fr. d’amende, et les deux autres
3 mois et 26 fr.
Le cocher est condamné à 50 fr. d’amende, et au
payement de la somme de 250 fr, de dommages intérêts
envers la partie civile,
grave affaire corRectionnaiisès. — Une grave
affaire vient d’être jugée.
Un nommé Van den Broeck, campagnard, retournait
chez lui avec sa charrette par la chaussée de Lierre à
Bouchout. A la hauteur de l’auberge la Petite Rose, la
route est obstruée par deux autres véhicules. Discus-
sion, puis rixe entre les trois paysans. A un moment
donne Van den Eroeck tire son couteau et en frappe
ses deux adversaires.
L’un de ces derniers est mort des suites de ses
blessures.
M° Rolin a plaidé pour Van den Broeck, un vieillard
de 62 ans, qui n’a jamais été condamné. Il résulte des
débats qu’il a été provoqué. Il a obtenu des circonstances
largement atténuantes, et n’a été condamné qu’à 6 moi s
et 15 jours d’emprisonnement.
contrat par ' téléphOhe. — La cour d’appel de
l’Etat de Missouri, vient d’affirmer la validité d un con-
trat fait par téléphone.Dans l’opinion des juges l’em-
ploi du téléphone est d’une si grande facilité pour les
transactions commerciales que la Cour causerait un
préjudice sérieux aux intérêts du public en décidant
que les affaires traitées par le' téléphone seraient
sujettes à une confirmation écrite.
1748720
69i569
996157
16C5555
1473058
604782
586888
f120880
1268927
66!023
370394
$98154
1611126
1591962
1392776
) n°- suivants sont remboursables par ic00 ftti
150277b
2371V5
112936
1268347
933974
354915 1
3503c ;
257455
lSs».- ,i 1
522627
385836
34867*
1686705
736376
3451 9.
1338416
1794036
r;0371
y ■ . : s !,693
lö;;64S5 116CU42
795817 1755416
1218466 6S2611
015712
149969
1670795
é'U75
166Ï000
89669
! z 414
J .'8942
647002
1043978
623966
474084
709220
1128959
79069S
150147
à 3 0/0
29564 294299
764260 190294
80415 280882
400222 406208
612015 60283i
«lo»vocation» et Informaiitsu»;
Société « Hulp Kr’ns het An! or». — Les membres
sont priés d'enlever leurs bons de pains au local Kal-
koenschen Eaan, avant le 15 courant.
Société Van Mons. — Exercice 1887. — Tableau des
Conférences publiques et gratuites qui seront données
par le professeur Léopold De Haes.
Culture maraîchère, à 9 1/2 h. les dimanches sui-
vants :
9 janvier. — Plan, 'préparation et répartition du
jardin potager.
23 janvier. — Engrais divers et alternation de la
culture.
6 février. — Semences et semailles.
20 février. Culture des choux et ses variétés.
6 mara. — Culture des légumes à racines.
20 mars. — Culture des légumes à fruit.
3 avril. — Culture dés légumes persistants.
24 avril. — Cultore du melon et des concombres.
1 mai. — Culture des légumes à épices.
15 mai. — Culture intermédiaire et successive en
général.
Arboriculture fruitière, à 10 1/2 h. les dimanches
suivants :
9 janvier. — Organographie et anatomie végétales.
23 janvier. — Physiologie végétale. Fleurs et fruits.
6 février. — Multiplication et plantation des arbres
fruitiers.
20 février. — Culture et taille de la vigne, du gro-
seller. du framboisier, du noisettier, etc.
6 mars. — Les différentes opérations de la taille
d’hiver.
30 mars. — Culture et taille du poirier en général.
2 avril. — Culture du poirier en espalier et contre-
espalier.
24 avril. — Culture du poirier et du pommier en
haut-vent du pommier dans les jardins.
ÉTAT-CIVIL.
Déclarations des décès du 5 janvier.
SEXE MASCULIN.
4 enfants au-dessous de 7 ans. l mort né.
SEXE FÉMININ.
M. C. Bemers, 64, ans, épouse de H. Bellens, ulace
de l’Ancien Canal. — L. V. Somers, cabaretière. 64
ans, veuve de A. De Bàclier, longue rue de Tournai
— M. J. Van de Sâiide, 62 ans. épouse de C. Van dèn
Wyngaert, rue Rouge. — M. Hendrickx, sans prof.,
73 ans, veuve de J. J. De Winter, rue de la Pelisse.
— R. Corthout, 28 ans. épouse de J. B. De Lathouwer,
rue de Deurne. — A. Van Aerden. journalière, 22 ans,
chaussée d’Eeckeren. — J. M. De P.oeck, sans prof., -
ans, veuve de P. F. Vos, rüe Lozane.
3 enfants au-dessous de 7 ans, 0 mort-née.
868492
15460.:
15173.
Au 10e tirage des où
de 1885, les primes c. :
K° 519938....Fr. 1- i . ■ ff ...... Fi». 5000
» 388482..... » 25(i0-> - : .... « 5000
» 263456,.... - 50'. i -• 7 ...... n 5000
» 272089.... » 5000 ! •- > ■ 50C0
Voici les 45 numéros remb^. :par 1000 fr. :
309381 115215 302136 940270 ..... 329390 339.
ÏSS 444489 86001 818972 742378
556470 482483 150869 445613 131411
136945 77522 193982 479585 775267
768872 704792 766686 231634 410988
764186 383214 454284 584339 67236
138616 734346 582201
Suivent les numéros remboursables par 500 fr.
Le remboursement sera effectué contra •
des titres à partir du lr février prochain.
Lots de Milan à IV. -44» de
Les 79 séries suivantes, de 50 pièces chacune, sc
sorties au 8lmo tirage au sort qui a eu lieu le 3 ja: v
5513 1981 5560 1711 7716 2422 418 5004
3753 5152 1483 5967 7569 7051 3249
6344 2517 3199 7875 199 4531 6144 586Ï
7481 1027 4847 4309 7823
215 2982
337 7434
5804 5593
6460 4090
7835 3596 203 890
Les primes sont échu -s aux numéros suivants
Série 1981 N° 47.............Fr. 500u)
» 2982 . 3............ - 1000
» 2982 » 43............. » 1000
» 6363 « 30............. » 1000
» 5967 : 33... ....... » 400
976 6286 4UÔ
1006 1471 2017
3484 1317 6081
6914 397 2315
5324 111 4613
78-
7250 7190 4020 Ojü
126 2401 7418 3131
3258 3572 1864 2.J)
452 6363 '473 2T3
1393 4249 232 5946
L’EAU parfume et assouplit la peau sans la graisser,
r i pi ipnlui donne un .velouté natu rel et fait disparaître
wARLiL K Grevasses, Gerçure 3. ïüftle et Irritations.
ANVERS : Dépôt chez M.Camvenberg, coiffeur, rue des
Menuisiers.
» » » M.Debeul, pharm.. l'r. Neuve
Gros : Weoerbergh, à Bruxelles. 71
Aux convalescents, aux enfants lymphatiques, aux
personnes débiles, le Vin de Coca de J. Bain, que l’on
trouve dans toutes les Pharmacies, rendra prompte-
r.ent les forces perdues. 61
î
Les funéraiLes de dame Adélaïde Wiuzeu,
épouse de .... Jean ««climitz, de- dót- à An.- rs,
Avenue De K-y ser, 39 le 5 janvier, à l’âge de 56 ans,
__ auront lieu le samedi 8 crt, à 10 h. du matin',' ôn l’égli.-e
paroissiale de 8t-Joseph. •
Les amis et connaissances qm, par oubli, n’aiiraienï pa’
reçu de lettre do faire pa t, sont priés de considérer le pr»
sent avis eomme en tenant lien
183 Jos. 3. F. De la Montagne, dir. de fun., Av. M,"fetus,9.
NAISSANCES,
Sexe masc.. 10 < T.
e fémin. Il <
DÉCÉR.
Sexe masc.. 5 ,
Sexe fémin. 10 >
Bulletin de lu Bourse
AVVEHR, O janv. - * 114 heures.
La Bourse n’offre que de variations insignifiantes. Le
Mark Buenos-Ayres et l’Argentin 1886 sont un peu plus
faible, probablement en vue du nojivel emprunt argen-
tin, dont la souscription est ouverte jusqu’au samedi.
Le Turc se fait 14 1/8 5/161 Egypte 380. Espagnole
«8 -1/4. - - ■ Y . -
Les Belges reprennent une légère fraction.
Dépêches lél< graphiques.
BRUXELLES, 6 janv.
Métalliques
Espagnol 4 0/0.. 66 9/16
Turcs nouv— I 14 76
PARIS, janv
82 62
41/20/0.. ~
Banq. de Paris.
Emprunt nouv.
Crédit mob. fr.
Egypte 7 0/0...
Lombard ......
Alfa..........
Espagnol 4 0/07
Hongr. 4 0/0, or
Italie rente 5 0/0
Suez, recettes 230,000 fr.
LONDRES, 4 janv
Coiis&lid. angl, IQ07/S
Turgs nouv....
— Cours d'ouverture
I Lots Turcs....\ 35 —
Belge 3 0/0...........
. 40/O....I------
Cours d’ouverture.
Turcs, nouv....
Lots Turcs....
Mobilier Esp...
Ch. deferAutr.
» Nord Esp.
Saragosse.....
Crédit foncier..
Rio-Tinto.....
Panama........
Banq. ottomane
14 80
343/4
135 -
525 -
380 -
336 -
1430 -
418 -
525
2060 -
Cours d'ouvertu
Hongr. 4 P'0, or
Pérou 1870...
Autr. 4 0,0, or..
3 0/0Ru§:e 1870.
Egypt., unifiée.
Urugu
1412
66 -
931/8
82 -
153/4
SQ -
943/4
743/4
47 ~
Mexicain 1851..
Brésil, 1883___
Argentin 1882..
B.-Ayres 1883..
Chiliens 187777
Portugais 3 0/Ó.
Banque ottom
Action Suez....
Varna..........
Centrai Pacific.
4 0/0 Amène»'n 1291/4
BERLIN, 6 janv. — Çoqrs d’ouverture.
275/8
903/4
1011/2
95 -
ICI 1/2
543 4
107/8
81 -
51/4
43 2H
Créd. mob. aut.
• National.
4 0/0 Hongr., or
Russe 1880,4 0/0
68 20
Or.Russe,2°ém.
Ch. de fer autr.
Soc. eommand.
. Turcs nouv..,.
82 80 I Lots Turcs....,
VIENNE, 5 janv. — Çuyvs d’ouverture.
æs&àijfa •*•**“■....................161,0
40/0 Hongr., or| 103 £0
Napoléons..
58 50
413
•<06 50
14
80-
9 95
D’après le calcul du capitaine Cloudman, il
trouverait jamais, jusqu’à son arrivée au no de
l’Ecosse à plus de 80 milles au la- ge des cotes. L Ofng
____; ---..n r* l/\ rriiirlnn r\ n MûT.I-Vr*T*lr , ftpll 1,-1 ,
Hydrophobie. — Les personnes de Mons qui se sont
rendues à Paris à la suite de morsures d’un chien en-
ragé vont très bien. L’inoculation opérée à l’institut
Pasteur suit sa marche régulière, sans accident. M. 8 r-----— ——y--riri
Avermaet et son jeune neveu seront de retour à Mons | naviguera sous le guidon du New- /orv. t acbt-C 0
dès le commencement de la semaine prochaine. g - •
AWrinne est Dârfaitëment installé éti des maux d’estomae donsje souffrais depuis qn c pm
nr ctnuît’nombre d'ouvriers sont occupés de tbiis* les 9 tenaps, par l'usagé des .excellentesi Puffies su M
Un autre blesse, moua u. . incliné quand côtés à la fois.
S°VoïhL les conversations qui se tenaient en ce moment
rrôe de ce puits béant qui. le 2octobre 1885, avait encore
Sté témoin d’une catastrophe du même genre , un coup
de grisou causant la mort de la ouvriers.
wt nnw op fait il v a eu des condamnations a
i amende. Un des conrtamrés, un porion, est victime de
l’acc'rteut d’hier
.0-3 qui travaillaient dans les trois couches
,-ia ia fosse de ï’Escoufflaux m’ont expliqué comment ils
M «ont aüerçim du « malheur. » Quelques-uns ont en-
't-dde v'-* "explosion-; d’autrés ont senti lecjm-
fVpd’fo qm 7.-7 Ï rodait à chaque coup de grisou. Tous,
w hélas v : alqojireo.z qui se tfuuy.a:eai dans ?»
ainsi qvfiîs aprelleut la trille ou.
Il n’est nullement question, comme on l’avait an-
noncé, de construire un chemin de fer provisoire.
La glace. — La Meuse a commencé à charrier avant-
hier de nombreux glaçons. Les barrages, qui étaient
déjà en partie relevés, ont dû être immédiatement
abaissés été nouveau. , , .
L’Ourthe charrie des glaçons d une forte dimension.
Un enterré vivant. — Dans la commune de Distié,
près Saumur. nn jeune homme étant mort, croyait-on.
du charbon, il fut porté en terre quelques heures après g
la constatation du décès. . 9
Dans le trajet de l’église au cimetière, les porteurs
crurent entendre de légers coups venant du cercueil;
mais croyant à une erreur et redoutant la panique
qu’une semblable idée ne pouvait manquer de provo-
quer, ils continuèrent leur route.
On arriva ainsi au cimetière, et le .corps fjuv despendq
^apendan!S«u'e l’on ietait sur le cercueil les premières
pelletées de terre, de nouveaux coups se firent en-
tendre.
j’autorise volontiers M. Pôlérin, pharmacien, 12,
l’Ecuyer â Bruxelles, à publier mon attestatio Ad.
Lemaire. Signature légalisée par M. le Bourgiftro
, 5 -fanv- — 4 0/0 Espagnol intérieur 66.50 t
40/0 Espagnol extérieur 66.70.
NEW-YORK, 5 janv. — La Bourse aux fonds a débuté
faible et eu baisse, maie plus tard le marché a été génércle-
tres frès- fecme. En clôtura prix soutenus.
4 janv 5 lariv.
Funded Loan 187L 4 0/0........ 127 3/8 1271/4
N.-Y. Lake Erie Wst. sharos____ 33 — 331/-’
Canada Pacific bonds ord............... . _
Wab. St-Louiset Paç. bonds priv. 33 IM 31J/2
Missouri Kansas Texasshares... 31— 313/4
Union Pacific shares....595/8 591/2
Central Raclfic shares......... 41 — 42 3/8
Caitâdiàn . > 671/8 667/8
New-York Central schares....... 1113/4 1113/4
Illinois Central............... 1331/2 1321/2
St-Louis et S. Franc, act. priv.. B‘
Lake Shore shares.....
Chicago Nqrtb Ijjeal priv.......
Oiqiâaa South shares.
Lornsviflè et NashviRp Railièad.
uqicàgô Milw i et St-f '
GiironiquR ) udiciaiir«.
TRIBUNAL CORRECTIONNEL D’ANVE
(2B<? Chambre.)
Présidence de M Liebrechts, vjce-présii t.
LA CARTOMANCIÈRE-BANQUIER 1>E BORGERÏ?]
affaire marie aerts, dite Mieken l’Ingi
prévention d’escroqueries.
Audience du 5 janvier,
IJheure avancée à laquelle l’affaire s’est terJèe, ne
nous a. pas permis hier de donner des dévelóopsntó»
Lés débats ont été fort amusants. Nous y fanons
aujourd’hui.
BLESSURES PAR IMPRUDENCE. — NOUS aVOllS.âU û
mentionner assez souvent, dans ces derniers temps,
des poursuites correctionnelles à la suite d’accidents
oocasionnés par des voitures Généraient nt nous ne
tenons pas compte d’affaires suivies d’acquittement.
Or, les acquittements sont assez fréquepte dqns C'etU
matière, è’il esf prouvé que les coiiducteurs ne sont
pas côüpablës d’imprudence tout élément essentiel de
délit venant à disparaître, le prévenu échappe à toute
répression.
A l’audience du 28 décembre dernier un automédpr
était cité à comparoir en correctionnelle sous Ja pré
ventipn de blessures par imjmudenèe ou défaut d& ]
précauiioïi. L’accident s’était produit à un endroit très j
fréquenté, rue du Change. Une marchande de iégumes,
cofiduisaht sa charrette à bras, obligée de manœuvrer
entre une voiture de la ferme des boues et un fiacre
arrivant en sens inverse, eut sa charrette accrochée
par ce dernier véhicule, elle tomba à la renverse et se
blessa plus ou moins sérieusement. La vigilante avait
poursui vi sa route eomme si de rien n’était.
La veille d« jpnr fixé pour le jugement dé cette affaire,
M“ Haye, conseil de la victime, et chargé à cette date
du soin de ses intérêts, avait cité en responsabilité
civile le sieur W.. patron de l’inculpé.
Ms de Gottal, avocat de ce dernier, a déclaré, au
début de l’audlenee, s’opposer à la recevabilité de cette
citation, celle-oi n’ayant pas été faite dans le délai
régulier, — trois jours. — Après avoir entendu M"
Haye,(concluant à la régularité de la procédure. M. W...
se trouvant présenté l'audience, le tribunal,après avqjr
donné acte de ses réserves à M" de Gottal, a passé outre
au fond. ' -
De l’audition des témoins, l’-avocat de la partie civile
crut pouvoir déduire la responsabilité pénale et civile
de l’incuipè, et demandait une somme assez ronde, â
titre de dommages intérêts, dont 40 fr. de frais j-
médecin, 30 fr. de médicaments, autant pour chômage.
(4 fr. par jour), autant pour indemnité à cause de
souffrances endurées etc,, etc.
Le ministère public, in ca~u M. Je substitut Ortegat,
tout en admettant la responsabilité pénale, trouvait la
demande dé la partie civile très exagérée — un vrai
compte d’apothicaire, dit-il.
Me de Gottal, défenseur, relevait avec plaisir cette
appréciation de l’organe de la îc:, et plaidait l'acquitte-
ment ou tout au motos des circonstances très largement
atténuantes.
Le tribunal a prononcé aujourd’hui son jugement.
M de Gottal obtient gain de cause sur la question de
droit relative à l’appel en cause du patron. '
rPaul.
K.-V. Ontario et Western......
Denver Rio-Grando.............
Chicago Burl. etQuincy sharos,
Atchison Topeka et Santa Fi..,
St-Paul et M. Manitoba snaras,
Michigan ÇçRiffù shares.
ratés de i’arg. sur fonds do l’Etat
* v autres valeurs...
Chacge sur Londres & 30jours..
» » Paris,par * on or)..
» » Berlin .
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Tirage des emprunts.
Les tirages anticipés des emprunts de
Bruxelles.
(Par télégraphe.) -
Lots de 1872.— Les numéros 97Ó97, 99187, 313478
et 33487 gagnent chacun 25.000 fr.
Les numéros 316975, 189226, 201547 et 78651 gagnent,
chacun >5.000 fr.
Les numéros 64219,992-9 >, 346535, 186206,157576,33949,
353920 et 119,103 gagnent chacun 10,000 fr.
Crédit foiaè
1887. :
bligations foiiçières
eaux
TIRAGE DU, U
Au 38*? tirage trjmesfiu
de -lOff'ft*. r 3 0/9 de l’empriii., J; • i77, les p. ,,
prix ont *</ gagnés par lés numéros salivants
«•208362 . Ft. 100000 I N°3644S2..".. .. Fr. 10000
- V-t 836. , » 50000 I • 257610...... - 16000
" i les 30 n0d remboursables chacun par 1000 fr
2099151 198598 463103 164879 10874 304140
. S02604 ; 495244 ,62705 4597 371673 ,371111
277725 23183; Ï91Ï0 453Ô9 420443 209353
495178 12.G00Ö 238329 406183 274347 33700
348929 11/2469 468919 119118 547952 $7ÎJ9 , :
Suivent les numéro" rôtabourgableê par 400 fr.
Au 43" tirage trjrr.r "rff’J d-rc obligations foncières de
500 fr. à S 0/0 dé l’emprunt de 1S79, les principaux prix
ont été gagnéa par les numéros Ecrivants ; '
N° 950408... Fr. 100000
144894?...
1538101.. .
1130559.. .
1698903.. .
lÙÔOÔO
250QQ;
10C3Ó
1000Ô
U° ^3210......
» 448915.....
» 622770.....
» 1070544.....
» 1259'429.. .. .
Fr. 5000
- .5000
.» 5()00
» 5000
» -5000
Le Journal des. intérêts maritimes et Moniteur des
bois, publie aujourd’hui entr’autres articles intéres-
sants le texte complet du projet dé statuts de la Com-
pagnie du Congo pour le commerce et l’Industrie,
société anonyme ; plus un interessant ré-umé du mou-
vement maritime du port d’Anvers pour 1886; un article
sur l’industrie de la pèche en Belgique et en Hollande;
et plusieurs autres articles sur le commerce et l’indus-
trie de la Belgique.
Nous rappelons à nos lectenrs que lë Journal des
intérêts maritimes s’occupe spécialement de tontes les
aue3tions relatives à la navigation, au commerce et à
l industrie, à l’ordre du jour tant en Belgique qu’à
l’étranger, et donne par conséquent cljaque semaine à
ses lecteurs des renseignements d’une grande utilité.
On s’abonne'au Journal des intérêts maritimes à la
librairie Legros, 35, vieille Bourse, à Anvers,, et dans
t; us les bureaux de Poste d* la Belgique. .
Le Scheldegalm. d’Anvers publie tous les jours un
bulletin politique, les nouvelles politiques du pays, la
compte-rendu de la Chambre, du Sénat, du Conseil
communal, une chronique complète de la ville et ds
l’intérieur, une chronique judiciaire, une revue litté
raire. un roman intéressant teus les tirages, la situa-
tion du port d’Anvers : arrivées et départs, les cours de
clôture de toutes les Bourses, la cote officielle et non
officielle de la Bourse d’Anvers, tous les marchés de
'intérieur, ouverture des marchés de New-York.et d«
Chicago, etc., etc. — Le journal parait à 6 heures du
aoir. — On s’abonne à la uostu
En vente à la Librairie Louis LEGROS, Vieilli
Bourse, 35, à Anvers ;
La Vie en Afrique ou trois ans dans l’Afrlqat
centrale, par Jérome Becker, lieutenant du 5* régiment
d’artillerie de Belgique, avec préface du comte Goblet
d’Alviella, président de la Société royale belge de géo-
graphie, et appendices, comprenant les résumés des
conférences données sur la région du Tanganika, par
les capitaines Cambier et '-torms. Deux beaux et forts
volumes enr.chis d’un frontispice de J. Dillens. d’un
portrait à l’eau-forte par G. Vanaise, d’une photogr a-
vure d’après un portrait de L. Herbo, d’une carte itiné-
raire dressée par ie capitaine L. Van de Velde et de 15#
dessins originaux.
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ments mensuels de 5 fr.
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tions introduites de 1814 à 1884, 5' édition annoté»
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Nord et d’Amérique. Prix fr. 3. .,
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Congo. Prix fr. 3.
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traits des explorateurs belges, vues des principale:
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Théâtres, Concerte, etc.
Ttiéüti-e Royal. — Direction Ycitus Van Samme -
Jeudi 6 jani'., à 0 h. — Par indisposition de M. Maillard,
changement de spectacle : La Mascotte, çpéra, comique
3 actes. - - —- ■.=•
Vendredi 7 janv., à 7 1/2 h, La Juive, grand-opéra et 5
actes.
Dimanche Jjanv. — Les Huguenots et Les Deux Timides.
Prochainement, représentation au bénéfice de M. Achard.
Vliiamschi- schouwburg,best.Van Doeseiaer.-
Donderdag 6 jan tan 7 1/2 ure. - Buitengewone ver-
tooning, buiten abonnement, ter gelegenheid ven het 25Jari;
jubelfeest van den Heer H Dè Somme. — Michel, Strogoif,
spektakelstuk in 8 tafereelen.
Cirii fSeiieuwbèrg- — Vereenigde Tooneellisten -
Zond-g 9, maandag 10, dinsdag 11, woensdag 12 èh donder-
dag 13 januari, ten 7 1/2 ure. — He Brussehche. Straat
zanger-, groot drama in 6 bedrijven of7 tafereelen door J-
Hoste, muziek van 3. De Mol.
De jonge juffer Maria Hens zal de titelrol vervullen.
Dit stuk werq moer dan 100 maal te Krasse, opgevoerd.
Verhuurbqreel dagelijks open van 10 tot 3 ure
ILunill Kijanv., à 8 1/4 h., dans la petite salie <TH«r-
monie, 2“>» Séance de Musique de Chambre de MM. CoWJ
et Jacobs, avec le concours de M®« Fait- iaiehlig. 1M
Eldorado. — Tous les aoirs, «rand spee.-acle-concert.
Orchestre de 28 rnusiç'et^ sous ia (iire.wipn de M. Bastin.
Tous les samedis, nouveau:' débuts ,
Mercredi 12 janvier 1887, représentation extraoréto»’*
au bénéfice deM. Ch. Dumont, contrôleur en chef do 1
blissement. Tombola gratuite ffira cheval vivant'
l-'rix d'entréq : Un franc, .
On commencera a 8 b dimanches et jours de fêtes àTlV» |