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PARFOIS BATTUS,
JAMAIS ABATTUS À
REGARDS SUR DEMAIN,
Liberté et Abus
Nous avons dit, la dernière Le a en moi pee u
majorité . . _—: savat bic elle ne
ictature ce qu’el
le ne out plus: un ne
que.
han sans nous, il est infiniment plus difficile de sa-
voir ce que la majorité des Belges veut, parce qu’en dernière
st Au des Se qu’elle protesse contre
ré, elle n’a guère d'opinion sur un système qu’eile
voudrait voir, mettre à Le place.
Qu'est-ce que cela prouve, sinon que le bon sens ou l'expérience
que d’autre part un luan-
me de la rue d’imagi-
ner ce qu r s et être b
Nous nous sonmés promns de vous aider à réfléchir à -
tème meilleur que deux-là. E là ons d'autre
axabition que de fournir quelques considérations à votre juge-
ent. Nous ne prétendons pas que les idéi expose-
rons soient inédites ou remarquables, ni qu'il LISse
avot lus excellentes.
C les idées, tout simplement; pas des dogmes. Ce son!
pi qu'il
vous est . d'admettre après les avoir
eiles vous semblent vraiment ridi-
Donc, vous en prendrez, ou us en laisserez, peu importe.
L'essentiel, c'est que vous vous onu à vous-même de sérieu-
ses raisons d'assentir ou de césapprouver,
Qu'est-ce de vous ne dans l'Etat de demain?
D'abord, retour de nos libertés. Vous en avez assez
pas pouvoir _. rer chez es la nuit, à l'heure qui vous de
e ne pas ee dire tout haut ce que vous pensez de plus
innocent; de ne pas pou i t
le ne pas ouais lire un journal
vous en avez marre d’un tas
mitant des libertés qui, hier, vous paraissaient assurées à tout
jamais.
Vous avez cent fois raison.
Vous tenez à vos libertés; vous vous rendez compte qu’elles
peuvent courir un grand péril; vous les en appréciez d'autant
plus. nu comprenons cela. Nous sommes comme vi
n’est pas pour cela que nous crions éperdômént; «Vive
la Ti, avec un L majuscule.
Nous avons terriblement peur des mots à majuscules;
sonores, mais creux. Et parfois cri et dangereux.
«Vive la Liberté».
ils sont
On peut tout penser ,tout dire, tout écrire, tout faire.
Halte-là.…
ue tenons à nos libertés a nous ou cel-
8 d'autrui, mais nous ne somm s libertai
Fe ue illimitée, c’est la lici de ce ni maît, ;
La liberte Fu incontrlé, € na la route vers l'anares
s où nous conduit l'étrange confusion d'esprit qui, sous
liberté, ne connait plus aucune morale, aucun res-
Voyon:
prtete de
pec
D i, un homme peut tout penser, et cela regar pe sa RE
sil risquer sa destinée personnelle, qu’il la
ais il ne peut pas tout dire, car il y dm. opinions qui *
ruinent l’ordre social; la presse ne peut se tout propager;
la radio ne peut pas tout diffuser; le droit d'association ne
peut couvrir une organisation de malfaiteurs.
_ ne pensez-vous pas qu'avant I
u loin chez nous, et que sous Tétique
mai, on avait été un
D eat is, qu'un Etat qui a le . de sa conserva-
tion et l’hoaneur de sa dignité sociale, n'aurait pas du tolérer 1
Le pouvait presqu suspecter.
nneur où ternir
rs du pouvoir; lancer d
blique . des oi i
décadence de Rome; on Fi —comble
: ta
“ere pour se préparer à lui tor
re n réagissait moment, et une de plus l'ai
in eunilies était faite la p. sillenimnité à honnêtes gens,
+ de la faiblesse de l’autorité.
di estimer -vous pas
les ie ur de- ï
t s noble,
Le mieux protégé
s mauvaises qui avaient utilisé le
à des fins indignes de lui?
vous, te tout, de cette déclaration d’un hom
porain qui a remis de l’ordre dans son p
et qui a osé affirmer publiquement les réalités transcendantes
elles il n’a pas admis que les libertés mènent leurs
Nous n'avons pas discuté Dieu et la vertu! nous n'avons
«pas diseuté la Patrie et son Histoire; nous n° es dis-
«cuté l'autorité et son prestige; nous n'avons pas discuté la
mille nous n’avons pas is Fr. du
are ein de bie de Cole
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