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caudataires du César à moustaches.
il te vous broie les flancs
re Que PAe petite voix vous sur
et vous serre la
s devinait suant la peu
Monsieur Figeys, omme
devant Léa noire ae mil ne
L r, première puaiton des lâches : car il y en aura une
Hier celle que la Patrie ré-
on, ne vous > point; vous avez mal com-
pris. Votre précieuse vie n'est pas en SAnses ES pro se
A ‘exécution ges pas fait pour les Le judas à la petit
maine. On ne vous rangera pe ose ne + de Du
volée. Ce sin se re honneur ne a pas réservé.
Pour vous, pour la ere. 4 a son, pour la
naille sans diohe-à à laquelle vous en rtenez, pas dents
qui vous ennoblirait : le pilori suffira.
Le ce du 8 décembre
upant a fait le silence sur les bombardements d'Ixelles
1
que, depuis lors, les yeux se sont ouverts. Chacun
tenant qu'il s'agissait ien
destiné à terroriser la ROUE et à la monter contre la
R.A.F. Le coup, il est vrai, a ra!
TEMOINS OCULAIRES
La VOIX DES BELGES a eu la bonne fortune d'interro-
ger un ii oculaire des bombardements. Voici ce qu'il
nous a s clar
it-là, je nue à ide Ja gare du Nor
Ji fait n de une: me je dé a
bran s la place Ste- és jure
ron Dre un avion qui se rapprochait d
pee toutes po plusieurs explosions. Poussé par
la curiosité, je remontai en hâte la rue de la Brasserie. Au
Hi Germoir, je pus m Re compte aussitôt de ce qui
s'était pass. es bombes, rneésé e en chapelet, as tom-
bées sur le talus, près de la voie de chemin de fer, en endom-
mageant vitres et toitures. Une seule victime : un . de
sept ans, qu dormait, au rez-de-chaussée d'une maison de
l'avenue Nouvelle.
omme à me disposais à regagner ma maison — par le
u: je p!
er une locomotive haut-le-pied. Dans le
rô 'étaient, à coup sû
Leur ronflement n'a rien du vrombisse-
es. Soudain — il était 50
lement d'un moteur qui s'éloi-
premi ion, donc vers
la Couronne, rue de l'Orge et
Telles sont ie déclrations que nous a faites un témoin
oculaire et qui sont confirmées par dre personnes habi-
tant le quartier. de mécanicien aviateur qui se
Le les se rafales, aux environs du pon
e n'ai entendu que le
da art une Éae HE e-pied, aucun convoi
sur la voie à ce
ne circulait
Ajoutons que no notre possession un éclat de
foie sur et fe ue) de ne « Krupp » est
poinçonnée et nettement lisible. La p est péremptoire.
on BOCHES
Les Boches ont donné, à la prétendue on britanni-
que, diverses explications. Ils ont dit notami
5
° La RAF visait un train de munitions circulant entre Ot-
Me et Brux
tants du des sont formels à ce sujet.
que cela fût v ne bee a ne jamais songé à attaquer
ce train en pleine agglom
illeurs, e fimecoi es bombes est perpendiculaire
2° D'a
à la voie de chemin de fer. Il est évident que l'aviateur qui
cherche à t ie un convoi doit voler dans le sens
non en « coupant » ce auquel cas il réduirait
considérablement ses chances de réussite.
se. attier, de ÉD bureaux d'Etats
. On ne compte, dans ces parages, que
n oches s qui
leurs malades et tout le quartier à un accide:
séquences seraient terribles, n'hésite es pas à mettre Ets
munitions à l'abri de la croix de Gen!
NCLUSIONS
t
s fantaisies Fute nous a Ce son
Il it, tout près di , des objectifs autre-
intéressants : les casernes, que les Anglais ne pouvaient
rater, surtout par un temps aussi clair. Or, les casernes n'ont
été ni visées, ni atteint: on connaît l'adresse des pilotes
de la RAF. Rappelons-nous l'usine de la rue de Birmingham,
frappée en plein, bien qu’ fût située au c d'un glo-
mération très se. D'ailleurs, po atteindre l'Hôpital, les
avions de la RAF n'auraient pas, reprises, suivi l'itiné-
raire place Ste- Chile SE Antoine, formellement indiqué
ar les témoins.
SE réalité, les avions boches ont visé un son absolu-
v
1° tenir en haleine les ois et É3 et monter
la population contre la ande- a oment où
e nazisme se
ulation bruxelloise des. agressions, actes
on! n victimes les
Éonbarde dent Ribbentr
ques jours auparavant, que toute agi-
matée en un clin
d'œil es stukas et les mitrailleuses
° procurer un alibi aux innombrables embusqués boches
qui, loin du t de Russie, auront eu l'occasion de pondre,
à l'intention de Berlin, de laborieux rapports soulignant la
nécessité de défendre Bruxelles et d'y maintenir une garni-
son permanente de parasites.
Le bombardement du 8 mbre est un nouveau
d décembr cri
tif de l'Allenagre nazie. Elle payera ce fi
mps que les autres. Et ce sera plus tôt qu'elle
le croit. F
Trahison, Trahison!
La Belgique compte cent cinquante traîtres de plus. Il s’a-
git de cent cinquante ee de l’active, qui, en vue d'obtenir
leur Hesse ont souscrit aux statuts du CERCLE LIEU-
TENANT DEWIN
0
au re ns S. S. là pu-
ns pas au dé-
statuts accep-
& en
blicité
sir à jeter dans la po
ne cent cinquante D étticios félons.
Li bee
e Le, inde est né de la grande misère GRACE
des “fs ns en exil.
s membres restent fidèles à leur serment de fidélité au
Nous allons voir immédiatement comment ces messieurs
comprennent leur devoir de fidélité.
es membres considèrent la Weermacht (cest la nouvelle
die tion du mot Armée) comme re du peuple et
sont d'avis que l'abime entre la Weermacht et le peuple doit
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