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ON 8’AQONNB . A P/ÿr"
ace da la Bourse ; A LOlfL
ff v e j, Finch, Lana. Co$*M’A**ii06 Havac
Uw M. aug. A!\f!HüL, lilgdavieö
T. 5 a STRASBOURG
* 5 rue Brûlée
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Prik.du numériqu;
.29, 9.10
(Les'raanaacrita ne
14/20 kis-
20/25
25/23
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mmm. < 20/23..
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■ _ . é. Vente* '
RÉSUMÉ
CHEM. DE FER DE!
7.29, S. 10 E arrêt </
pr Brux. et Paris curres
£. ,9.14 (10.17 E. corr.
par Boom; 9.58, 3.39,
5.05, 6.29, - — - -
vain 5.05, 5
10.17 E. -
12.28,3.39, 6.43 E. — Pc
Os tende (par Mal.) 9.53,
4.20, 4.37. — Pour Cour
12.2è, 6.43 E. - Tiriemo
6.43 E., 10.17 E. - Lai
12.28, 1.10 E., 4.20 E.
Pour Boom5.43,6.58,
12.16.3.20, 6.37,9.06.-U Ws (Sudl à B ............. . ...
Retour: 4.36,6.21,7.55,11,2.31,4.32, 7.26. — D’Anvers à Eeokeron, Cappellen, Calmpthout,
Esschen et Roosendaal 61,.47, 10.10, 2 32, 4.52,6.37. 8.U. — Pour Esschen ,Roosend al, Rot-
terdam. La Haye et AouUni 6.08, 7.35 E., 10.36 E., 3.38 E., 4 52, 6.37. -Knmitrpour
Rotterdam 8.14 soir.
De bruxeli.es pour Ai s 5 27,6.27 E., 6.37 E. 1* et 2* cl. (corrosp. directe de Paris), 7.22,
.......... ” ------- 1,12.07 E., 12.49, 2.40 B., 3.43, 4.49, '5.15 E. 'mercredi seulement),
B.. 12.17.
1T. — D’Anv. pour Malines 5.40,3.39,4.20 s. — Pour Brux. 5.05,6.29,
icn (Est), 9.53,10.45 E. m., men.iodi seulement;, 10.50 E., 11.44 E.
Y.: 12.28. 1.10 E., 3.07 E., 4.20. 4.37, 5.25 E., 5.52, 6.43 E.. 3.25
Ions et Paris). Pr Termonde 6î uand . .42,6.58, 8.29,120,4.46,7.18
par Mal. - Pour Alost (par Term.) 9.53, 3.39. 4.20 (pat Brux.),
■.53. 10.50 E., 12.28,1.10 £.,8.07 £.. 4.20, 5.54, 6.43 E. - Pour Lou-
40 £., 8.50 l .10 £., 9.53, 11.42 E. par Brux., 1.10 E., 3.39, 4.37, 6.43 £., 9.13,
Pour Ninovt aïmnbnt, Lessines et Aili (par Brux. AUni) 5.05» 9.10 E., 10.ri) E.,
" " " " lerént. et Turnh. pai Conticii 6.23, 10.57,5.45, 7.25.— Pour Bruges,
; (par Brune.) 5J5,6.29, 7.29, 9.53, 10.50 E., 12.22.1.10 E., 3.07£.,
Mmiscron, Tournai. Lille 5.05, 9.53, 12.28, 4.37. — Calais 9.10£’.,
jége et Verriers 5.05, 9.10 E., 12.28, 1.10 £.,3.89, 4.37, 5.05,5.54,
05, 9,53. 12.28, 4.37, 5.52, 6.48 E. — Pour Sua 5.05, 9.1 E., 9.52,
ir Allemagne 5 05, 5.40 E., 9.J0 F-, 9.50,12.28, 4.37, 10.17 E. -
05,1.80, îsôO. 4.46, 7.18, 10.20. Retour 4.58, 7.42, 9.23, 12.11
‘ ' S 4S * ' ~ * "
CHEMIN DE FER GRAND CENTRAL BELGE. - D’anvers pour Lierre 6.13, 7.12,9.30,
. — Aerschot, Louvain, 7.12,9.30, 1.35, 5.36,7.08. — Oîtiguies,
P. L DELA iONTÂGM
.45 7 02, 10.04, ll.se, 4.17. 5.55. 7.12, 8.15. ■
Ùx de mai j
83 pour te L
Le premier jour de FalJ^J L
de témoignages pacifique^ Rango^. v,4ccompague
Fauteur ne déga
mentsdonf il s’é
responsabilité à
fois de Paris et de BerlinJl1|£5|’^rvenu âïà i LUle que lecito.
H ÜÜ Iti......."
ration très nette et tra.Bstiaiie,%nIiu la décte »! meui‘le ‘name ri
da cabinet français. JjlRtcatit,'^' blief actuellèiji.en
apporte le texte, d’iui&^fsi ‘le tïraelle nous matière politiq
prince impérial à l’emfjmande k aIsée par i„ : “J ’----------
mandants er gébpu$les- u ppJ.e des corn- 1
prince a commence pdi —. t.e Imar-de. Le
l’Allemagne a passas . AS J années que
direction intelligent <Om.II ,. . çrIa . ala
imprimée à l’armée, a i
Oî&ECTITOK-aÉRÀ NT.
L VB DI l’ÂM i an 1, RT
du Musas, Anvers.
10.52, 1.35, 3.09, 5.36,6.36. 7.1
Fleuras, Lodelinsart, Charleroi 7.12, 9.30, 1.35,5.36. — Benzee. Walcourc, Marieab., Viraux,
7.12,1.35. Diest, Hasselt, Maastricht. Aix-la-CbapeUo 7.12, 9.3), 1.35, 5.3o.
LIGNE D’ANVERS-GLADBACH. — D’anvers pour Ghaal, Moll, Neerpait, Ruiamonde,
Gladhach, 6.13, 10.52, 3.09. 6.36.
LIGNE D’ANVERS A CONTICH. - D’ANVea9 (Sud) pour Ho Doken, Wilryck, Vieux-Dieu,
Contich et Lierre, 4.53,8.12, 9.80 matin, 3.18 jusqu'à Contich;, 7.20 soir.
PAYS DE WAES. - D'anvers pour Gand 6.15,7 12, ».22 E.. 11.55,2.03,3.4) !..5.10,6.24,
8.07 h. - Da «AND pour Anvers 4.50, 7.05, 8, 1.15 E., 10.50, 12, 2.21.4.32 «., 7.45 7.19.8.37
heures, jusqu'à St-NicolassauLeoient. — Le train da 12 h. n'a lieu une las Dimancha^ et jours
fériés
'"SOCIETE ANONYME DE NAVIGATION ESC.4L UT at RUPST. 4 TAMISE. - Service des
•à>à le novembre et décembre 1846 et j vivier 1837. - D’avvüxs ,»i? Ciuna 3 *. . >ù >a
TtvK'îE il. v.ivars 7.15 a. a»cin.— L h Oinittcuas et jours la fats : D’Anvers pane Tamise
10 h. m. et 3.39 h. soir. — Da Tamise pour Anvers 7.3) h. n»tia at 12.31 n. soir.
CHEMIN DE FER VICINAL ANVSRS-HOOGSTRASTEN-TURNHOUT (Service d’hiver). -
Départs d’ANVERS-zuUKNBoaG 7.45, 10, m.; 12.50, 4.15. 6.37 s. — Départs da aooairaiETEN
(ville) 10.04,11.57 m.; 3.03, 6.34,9.01 s. - Départs le rUftNKUUC (station 8.07, 10, 11.58 ni.;
3.03,6.33, 8.55.
Las lu parts d’Anvers-porte da Turnhout ont lieu huit à dix minutes après les départs de
Zurenborg.
Les annonces et réclames sont reçues aux P- et,ur
bureaux de *. louis legros, rue ia l’Amman, L;d,. mais
ouverts, de 9 heures du matir à 6 heures du soit éloigné.
'Pour les annonças de l’étranger on peut égale- de ven-
ment s’adresser :
A paris, à l’Agence Havas, place de la Bourse â P.ri^
mm. g l. DAUBE etc», 816is, rue du Faubourf partie à
Montmarr.re.
a LONDRES, «hes MM, DAVIBS et C», 1, Finch, seconds
Dana, C trnhill et A. Maurice, 13, Tavistock Revr, livrer à
Covent Garden.
Pour UHOLLANOBàMM.NuanecVANorrMAB) activité
Pourl’iLLEMAGNe.àM.RUD. MossEàCologne, depuis
A Bruxelles, à MM. LtskGUS it C», tirocî ’UX 34 â
t«""s de l’Oiflae do Pub»mits et 4 l’Agence Havari ,s > Cal-
59, Marché aux Herhe^. >6s. 6d.,
LVSËRTIONI
Récta aas 'Su du journal) ia’Ûgâé’.!!!
La patita ligne
-cia nas 'Sa di
Faits-divers, la lige
Ruhriqua Au vers, [a ligne...........; . g;^.
Réparation juliaiaira, U ligne.......... ■ 3.—
,,'b. laril a’eit pas applicable aux annonces
d émission et de souscription.
y-sa fass
navire,
sa Cal-
Cap et
8^ Tm anaoncet son! MR__________
mètre. - Ut titret se paient d’après i’espaet
qui U occupent On ne peut garantir Us dates
winsértion.
it la responsabilité des insl.ru- [ tinuera à être couronnée de succès, et que le j don de Voire Majesté Futilité qu'il y aurait pour le
servi qu’à la condition que sa , conflit dont on n’envisage la perspective i commerce de voir régler, dans les divers pays, pur
auteur, fut effective. C’est de qu’avec horreur n’éclatera pas encore de sitôt. ; i1®8 dispositions uniformes, certains points usuels de
« ^ 1 i législation ; 1 idée se poursuit, elle finira par aboutir.
| flairons. Sire, dans l’armée nouvelle avec l’espoir
qufe l’activité nationale ne tardera pas à se réveiller.
Puisseni nos concitoyens se mettre résolument à
Prusse, en vertu duqJJ'^j - suer
qu'un, est devenu le cq^’®’r „
offre le gage le pl^fe^S
répondu avec une gra i printemps
Srtllir.iîï^n V r. il i ! I;20 K I’£? ■, fl)
la
née ne font
ta nation et
temps douloureux où UsSa “Xfi'îpîSÏ le
y a quatre-vingts ans, b l’année, ii
des temps meilleurs. Latant 44 00 ,.iv f|,,nS
Büaucé ce «lljrtft
nos armes Puis, Emps) disP. u ïlsknurtés oar
impérial et le feld ma— ift prin,,e
spécialement remercié qc.-stati ye qn*i. a
qu’il a rendu» au pays. Cotte - - 1 ’
N-,
é-7,Imparables
1
On observe toujours iir "" 1440a
terre. Tandis que les c cn A„,,3-
mécontents des démarche^ 3 iù mm.ireut
auprès du marquis de ii... isssooo Lg..^,,,
est en train de rapprocher., t L; p^-al
nément brisés. M J -Un M.. wüüo î^nomenta-
entre M. GHadstone, M. r •> 36000 ...
divisés par la. question ■8?)u0 ^ u-.e- a ^x.
liatiou se fait, le rainistê Eiÿ: 17W0P é ^
avec l’appui de lord Hai :sJv |
ne sera pas tenable ; et jP
gereuse extrémité, trom • 2297000 21« —
élections générales. '■ '
C’est la perspecu ve l^rj •
car il n’y a pas de raisol ■
tington revienne sur non | •
Le Dirülo vient de puWj^or^iaiMJ
Ce journal consacre trois imarqué.
toonde savoir R.,au cas .ae g ■ ,■ ,p‘„
1 Allemagne, 1 Italie devraittomer^- vjöUl ,pt.u,tó e»
France. A'.u'oo, h>ua■..'
Le Dtritlo estime que I L.; '
son concours aux ennemis dé. >nf j donner
les Taisons, qui se résument, .ai,,,,
écrasée et réduite à l’impu«^Mla Fm
meme
paru,
i rîan-
' /elles
2297000
1108,00 1051
401000 3g,
43 ooo m
215000 lift
S a
9000 ?!ord Har-
506000 491
merc-rdes empires allemandes. — Pétm
d’elle ce qui lear plairait, et Fs rnai^v,H„, PX1 r
raient. Ce ne seraient pas, à:ÿ0rk ■ i *
libérales. s.... mOL ,^es
Le UiHlto ajouta que Ijooo
peuple italien est canlraiij,inent. 11000
France, r 1 2Ldé^
une.... 280000
II paraît que l’on s’esfiÉ^re. 13*W0
Vienne de l’éventualité du ifîüïilosoooo
de Batten berg en Bulgal
verrait,-elle cetie éventual
kvbil du
l e'c la
Russie
i.Ml '
plaisir, mais elle D’en est pr
prince de Ban en berg n’a plu^0RTLA,?ID "N ,i,i
contre lui, mai aussi (aTurqf '^Cro^W-
cause pour le candidat du CzaVflirondack i)
repartis séû
Poat-scrin Londres. ’’
, Familions Hd.a)
M. Oosclien, la libéral diéscaroo, MunBanlier
parcage toutes les vues de qui
également reçu des ouverture^,
Saluoury. Il les a repoussées,returials, dm (j,; ,,v tl
Hartington qui a annoncé à lcT’reParti H®i,
de M. Oosckeii, eu même temp^*0^ 7| le tfüs
" ' . Wond* l'HPre-
uw H.-llauc*
QMOUTU, 31*
Iverlands, Hui |
S PSiMSBV.3 ’ <m !
■lester is), Gr*rp.,<t|r>. ).
-enge (si, SvH j
■LH, 31 déc. 1° 1816
« tei-k r
osa Mary is;, '
ce J'HjvVCAS'l'LE. fi . li •
déc. Warkvvl p;ls , \
aSG>iv,31
Lettre de
Correspondance partie
Bru:
Le.citoyen Alfred D<
nouveau Catéchismé du
—■ s’est dérobé aux pourstjo en
devant la Cour d’assises di
pondu à rappel du min
tranquiliemont u Nice ot
dans uùe villa ensoleillé
aises d« l’existence. 1;
commode de lais.- •’
ce les impin
à sr ; pu» : J -, , ,
las;ifece d«
titiv deglo!r<. ,ÎL,
Leurs Altesses Royales Monseigneur ieComte
et Madame la Comtesse de Flandre ètle Prince
Detuisseaux a envoyé à l’impri-
é .sa brochure ; ce citoyen est
-. it ti’y a pas d’extradition en
f citoyen Defuisseaux pourrait
monder le pays ïii’iis incendiaires ; l’impunité leur
serait assurée, i suffisait tout en demeura" t à
l'étranger -d’êtrœcnt a titre (Je doink-iie sur tes
registres de puin ion d’ope commune belge. La j
responsabilité ilnali-.empêcherait de poursuivre Baudouin ont reçu successivement le Corps
les éditeurs e' llnpi-imeui-s. Le moyen serait a la ■ diplomatique, les députations du Sénat et de
portée de tout llbncie. Ii n'y a plus ua écrit délie la Chambre des représentants, la Cour decas-
tueux qui'trouvait, un répondant Ce serai) ie ' satiofi, [a Cour des comptes, la Cour d’appel,
-triomphe de ijttlomnie et da la diffamation. la Cour militaire, le Conseil des mines, l'Aca-
Le même cran Itefuisseaux est appelé de nou- j demie royale des sciences, des lettres et des
veau à coroplireeti Cour d’assises. Celte fois c’eSt ! beaux-arts, 1 Académie de médecine, les fonc-
devanr. la CoiFïis.s-ises dé la provinced'Auverequ’t1 tionuaii es supérieurs des ministè es des af-
eet. asrfgné, Aiie de la cassation de l’arrêt qui a , foires étrangères, de la justice, de l’intérieur
et* rendu au I;.-? de juin de cette année à propas du i et de 11 struction publique, des finances, de
premiercaiérlme du peuple. Devant la Cour d’as- ; l’agriculture, de l’industrie et des travaux
sises du Brabi Defuisseaux était présent. On se i publics, et des chemins de fer, postes ettélé-
rappelle la c«dte qu’il-a jouée en invoquant la * graphes, le gouverneur et les directeurs de la
maladie D sajkune . : par quels stratagèmes il a . Banque Nationale, le gouverneur et les direc-
ee.li appé aux j o r- ju liciair ■; mis à ses trousftes leurs de la SociétéGénéralepourfavoriser l’iu-
Devaut U Ud't’as s: ses du Brabant i’:in;-n u-'ur j dnstrie nationale, le gouverneurdu Brabant, la
avait été mis b de cause parce qu’à céue é«oque députation permaneate de la province et le
Defuisseaux é| domicilié n Belgique. Toute la j commissaire d arrondissement, le tribunal de
procédure a é annulée depuis l'arrêt de renvoi première instance, le collège échevinal et le
■1 • « onseii communal de Bruxelles, le tribunal de
commerce, le clergé catholique de B uxelles,
le consistoire israélite, le conseil général
d’administration des hospices et secours de
Bruxelles,le conseil d'administration de l’Uni-
versité libre de Bruxelles, la commission
médicale du Brabant, la Société royale de
Philanthropie, les états-majors et les officiers
de la garde civique et de l’armée.
Les personnes présentées ont été reçues
ensuite.
MM. les ministres et les grands officiers de
la maison royale, les Officiers des maisons de
Leurs Altesses royales étaient présents à.la
réception
Réception dn premier jour do Tarn
TT , „ . , . , j l'œuvre, bien pénétrés de cette vérité maintes fois
Hier, a i occasion du renouvellement de ; proclamée par Votre Majesté/que c’est de l’extension
levant la Goujassises; La procédure reprend tout
i-riLère à part le l’arrêt de renvoi. Il eh résulte que
i imprimeur efeigné h nouveau et que la question
d’auteur devr^re reposée au jury. L’imprimeu
avait bénéficiai vaut la Cour d’assises du Braban *
de la question jbmfive faite par le jury en ce qtô
Defuisseaux ; iffiiit été mis hors de cause parce que
l’auteur réspoide était au procès. Le v- rdict du
jury ne le triait pas direcierneut ; le nom
de l’imprirneurtv était même pas cité; A a été éli-
miné du procèJr voie de conséquence. Mais si la
réponse du jui|ur la question d'auteur est néga-
tive. l’imprim&sera retenu au procès et g! côa-
daauiation il y k sera à la charge de Fimprimeu .
Il y avait, d&t la cour d'a -sises du Brabant
dans la dermèïAffaire un M. Severin PJapied, qui j Discours de M le comte de Mérode-Wesierloo,
comparaissait, cqne éditeur: Ce Plapied est ua an- j président du Sénat.
eien ami de Def-seaux qui avait" accepté de jouer
le rôle
’hommd; paille. 11 rie tient par aucun lien
président du ■
Sire, Madame,
h la politique. ( t un ancien négociant qui est à la I Pe &enai saisit toujours, avec empressement, i oç-
recherche d’uJpsition sociale. Il a trouvé celle f pour lui, aurenouvel ement de
... , jL, I lannee, do renérer à Vos Majestés ses seniimeuts de
*üütn no ue FdlP1 , ‘ profond attachement à la Dynastie nationale et les
I • • 1 vœux qu il forme pour son bonheur.
La Flandre hrile demandequei estlePvssonier j La crise industrielle et agricole qui pèse sur FEu-
qui a feu le legjlix hospices de Bruxelles dna* ropeae s’est point atténuée dans notre pays durant
bui. de recherchait de réhabiliter les victimes lies * année qui vient de finir etdoni lecoursaété attristé
erreurs ju-iieiatekt’après les remeignemenls que i,ar ^ douloureux évènements Le gouvernement
r H ! devait rechercher les moyens d en prévenir le re-
j ai pu itç,u dhjia^yssowet se .au tn avocat qui lour . u „.a point failli à J devoir. Le Sénat prêtera
aventures no t la justice a son concours, avec un loyal patriotisme, à toutes les
Ijiraas donner des détails. La mort mesures qui auront pour but d’amélirer la situation
aehr1 ' .■ ,■ - - • - ’ *-- ' :
avc.it eu de tor1
dû s’occuper. Jlgtifais donner des détails. La mort
est venue. PaiMgaRombe.
L’ox-chanoin|?fl^:’ai’ s'est ri
lise. Dans ce Jdelà cela finit
L’
glise.
désavoué le c^u
longues antiéei
désiméressemeftA quelles conditions la réconcilia
tion s’est-elle ftw II est facile de le deviner ; on
sait qu’avec le §| il est toujours dès aepemmode-
nieats.
i’éconeilié avec l’E-
i toujours ainsi. Il a
qui l’avait assisté pendant, de
eJ»c autant ùe dévouement que de
iefAb
L’année 18«est mieux terminée que les
événements q«s sont, déroulés dans les Bal
kans né l’araiMjm instant fait prévoir. Lu
question reste wert-e, il est vrai, et les causes
qui ont failli sfttk-r un confit ne sont pas
près de dispar*\ y ..s les adversai . s«
sont mesurés dliii ird et ils - ■ '. :-..u-
sement trouvés Bp puissant-' pour la j.-< r
dans une aven» redoutabir La violmt-’.'
des compétuioBlont pire ottoruan est
’ôbj* t est sa «( garde. Les deux grands
qui cp et . mon se tiennent
pur Jp-nctère dèinesttré de leur®
que s'ils s'entendaient.
■ la Turquie pourrait
, .aBoUviÈ’is I'’ \] s:i dern» heure arrivée.
*teof Penns,j ■ - n: - \. o ne peut ('•■tire que les rapports entia
s. Buono ,s, I , ■ i..;-.,,-e et l'.ABi.iagne soient empreints d<
'*1' ?'■-/ ’ • •'! ‘-v c* ns frauche *dialilu.Deà'désastres comme
• ' • ’ j , ’e ;>• . duide 18J0 neBit passif ceux qui s’oublient.;
que les rappor
oient empreints
Des désastrescouimt
eBitpasdeceux qui
pr - 'si, comme ou e* tonné l’hypothèse, l’Aile
peoon- Ynagne se trouvBtout ,à;coup engagée dans
e fan un j.me guerre ave®, Russie, il est certain que
°f it frappé, a France ne «serait- pas échapper cette
L...» u ha içcasion de revmquer par les armes l’Alsace
la Lorraine, ■qile s’abstenait ’
et les ,h»nés politique:
Jetaient les
. tort au pltde vue du principe,
i paille. Il est resp • l^^?lubïndamner \ dite hypothèse Wi’tée.la Fraueenedésireq
ia responsabilité pèse sur mura Lnemn g^rvu que , hUixet les déolaiions de ses gouvernants,
• Là- iAn.ioi.An «n-lx nr-As-à... • he, Htesà d’autreslconstaricesqui ontété spe
æês,ne laissenlan de" doute à cet égard.
Vnlpmagne n’aftjijssé un cri d’alarme que
fyr Vaire passeris projets militaires qui ne
%«lque des ccftlîcations lointaines et in-
wrminées. Mtfj elle a si sérieusement
rôle qu
s ue’u.-- - . : [p ij-s s, V-.«ar il ue ^casionde revftiquer par iesarmes l’Alsace
ambt'tou . . .eut q ri “nlec’e-t ^a t la Lorraine, «elle s’abstenait, les strate
.ose '-. p* • - urtyr à unKip^;*), fcyr Je la jfetes et les .hftnes politiques allemands
c’«ss'r<t- — ' tombe pa»uo ci,, i _ toutefois, «chantés en faneraient les premiers à lu.
plutôt j le rôpondrèdesesacïsfef m..mùay lète. Et * timer-tort an pit(le vue du principe. Mais,
V nommas de paille. Il est resÿ m,7>‘|>®tubi1:iuamncr ( cfte hvpothèsoIlrtéeJaFratjeenedésireauc
l’un cou-
ï, y a ni
hara (s), GibbB,-
La législation sur la presJj .
pable. Lorsqu’une infraction ef.
co-auteur, Di complice; le je lfrake(sj, |
établi une espèce de casca<»f.1nifGwt»r‘>urLu."oSe a
Faui.sur d’abord à répondre dls.eEfo/.,! (SJj tbiLité; à
répondre seul ; à défaut d’auiaî'OniNoXtm loi .i’t-n
l’éditeur «st engagée; celle JueuiHead todité de
qu’au troisième' ligne. Il nefcepéutwmE, 3i d^lne vient
dés i g n »r un autour quelconqjtH qJ j^nt de
sonne désignée comme auteulen t#’«-(s), Fernand, la pev-
et qie de plus elle soil (lomi*giq|ji, 3l dée. ifiement
celle conditiën aeulotatan, *oa;<*p‘erre '•>* Pll« O'est à
fective peut s’exercer. (Avon (s). Cam«rôrhté ef-
L* citoyeu Defuisseaux îjA- Hélène ot ûeorij
son domicile en Belgique. ûbiedon (s), Jar i encore
de la dé’ïnss. Defuisseaux feg'1. au banc
population de la communeT
d'Ath, r’a pas cessé d’avJ
cette c nmuiie. Sa femme Ij
c’est 1? qu'il a son_wiwJ
jamais maüifestê»ï=v^utli^|
Vérité il est absent du paMi
luiplait pas d« se soumettjL
de-isorp» qui, a ôté déaenflj
autre raison. Quant àlufw
c’est sa seule ambition jjf ÎSS (jina Mercedes foutoe, car
peuple; mais il y a à SP ^'on pour le
. du parti ouvrier ; ie citôjl h repique (s;, Dura^jj g .uéral
«ou cas et le conseil généjf- i
aux termes de laquelle ie7 ' ’ Insultatioa
eause du peuple exige qu" h ^Î^HatnauF^ la
Nice. Mais cette circonstp ,'u . Aaverléau ciel
toon; il est absent pour uf g s ^snï-chauen j
volonté; il subit l’avis dififus ïdé®.^a‘'.’U“e .Janle de sa
vrier; il n'en a pas moinM'p Mosko’^à (s;, r*u l,arli00:
^ n a pu croire un instant
q;Jéli songeait ^prévenir les événements,
n\ojbant sur lfjrance avant que l’entente
dot na parlé eje cette puissance et ia
Ru A Ait nu devAr un fait accompli.
AvÂVd hui on «|senfrassöré. Une pareille
srait un /le de folie; le vainqueur
_____m______L Jtre-s de la
jle:l ’ j environs
yÇ Levi G’ Dur«fégal dans
*teeiungia (sj, Laudcm urent;
feraua.^obert/?nr-iVi’ii
1.1 aiemba (s, Hei-butfe. A ia
ii', SanÀntouio, p>e qu’il ne
fylarles, Lediscoéf; dli prise-
de DAji’aurait l'cnne excuse â invoquer
devantaur0pe, et t réprobation univ6rsellw
que sAyerait tu agression aussi injuste
tourne» tôt nu h [ contra son auteur.
En a%entant s effectif et en perfection-
nant soVuemsn' l’Allemagne fait preuve
deprév4Ce; les ivalités aiguës de l’Au-
tnche ena Rus; lui foui un devoir de se
--------1
morale et matérielle du pays,
Puisse la Belgique, fidèle au} institutions que lui a
léguées le Congrès national, recouvrer, avec l’aide
d* la Provideru:-, le calme et la prospérité dont elle
a eu le bonheur de jouir, durant/plus d’uu demi-
siècle, sous Votre règne, Sire, et sfous celui de Votre
auguste Père. / .
Madame,
La Reine coïfhalt les sentiments que le Sénat Lui
a voués et. Elle daignera en agréer aujourd’hui le res-
pectueux hommage.
Monseigneur, Madame,
Le Sénat confond les vœux qu’il forme en ce jour
u)ur Vos Altesses Royales avec ceux qu’il offre au
Roi et à la Reine.
Discours de M. De Lantsheet'e, président de la
Chambre des représentants.
Sire, Madame,
La Chambre des représentants se félicite d’appor-
ter à Vos Majestés l’expression des vœux que forme
la nation puur le bonheur de la Famille royale.
L'année qui vient de s’écouler ne comptera pas au
nombre des années heureuses !
Voire Majesté me permettra de signaler, sans
m’arrêter aux dates néfastes, le généreux élan qui,
sur l’initiative du gouvernement, réunit dans une
commune entente les hommes le moins habitués à
combattre pour la même cause, tous animés d’un
ardent amour du bien, tous recherchant avec une
égale émulation et un admirable désintéressement
quelles mesures pourront relever les courages,
ranimer la coufiance,ouvrir les sources nouvelles où
le pays retrempera scs forces et retrouvera la pros-
périté. Us ont dressé les cahiers du travail national.
La Chambre des représentants se fera un devoir
d’associer ses efforts à ceux du gouvernement, pour
rendre fêconds.en le» Tevêtant de l’autorité de la loi,
de si vastes et si intelligents labeurs.
Votre Majesté nous a devancés dans cette voie. La
Belg'ijue sait et elle comprend mieux chaque jour
les hautes pensées qui ont inspiré le Promoteur le la
grande œuvre africaine. Elle sait quelle large part y
prend la préoccupation de ses propres destinées et
n’assiste pas indifférente au spectacle d’un si persévé-
rant dévouement er de si généreux sacrifices.
A Dieu seul appartient le secret des biens et des
maux que nous réserve l’année nouvelle. Puisse-t-il
protéger la Belgique et d nner à Vos Majestés la
joie de la voir sortir plus forte et plus prospère d’une
épreuve qui aura rendu plus indissoluble l’union du
pays «t de la Dynastie.
Monseigneur, Madame,
La Chambre as-ocie vos Altesses Royales à tous
les vœux qu’elle adresse à Leurs Majestés.
Discours de M. De Longé, premier président
de la cour de cassation.
Sire, Madame,
La Cour de cassation a l’honneur de renouveler
respectueusement à Vos Majestés, ainsi qu’à la
l7âinil!o Privalû c<40 llA-Mnirionr.-u» fin. T-/-.M1V IA 11/-» net
: par
Je la patrie !
Discours de M. Dassesse, président de la cour
des comptes.
Sire, Madame,
La cour des comptes obéit aux sentiments qui l’a-
niment en venant offrir au Roi, avec ses vœux de
félicité, pour l’année dans laquelle nous entrons,
l'assurance de son dévouement et de sa respectueuse
affection.
Sire,
L’ordre et la régularité dans la comptabilité d’un
pays sont la base de sa prospérité ; c’est Voire
Majesté elle-même qui se plaît à le répéter souvent
quand nous avons l’honneur de nous trouver réunis
devant Elle. Aussi, èst-ce guidés par cette vérité que
nous, nous appliquons a remplir la mission qui nous
est dévolue par la Constitution, persuadas, d’ailleurs,
qu’en agissant ainsi, nous donnons satisfaction aux
aésirs du Roi, comme à ceux du pays entier.
Madame,
La cour des comptes prie Voire Majeslé d’accueillir,
avec sa bonté habituelle, les vœux bien sincères
qu’elle forme pour le bonheur de la Reine.
La cour se fait un devoir d’ex {rimer les mêmes
sentiments er, félicitations à Leurs Altesses Royales
le comte et la comtesse de Flandre.
Discours de M. Eechman, président à la Cour
d'appel, remplaçant M. le pr emier président
Jamar, indisposé.
Sire, Madame,
Reconnaissante envers le Roi, dont la sollicitude
s’étend sur tous les îutérêts de la nation, la Cour
d’appel de Bruxelles saisit avec empressement l’oc-
casion du jour de l’an pour prier Vos Majestés
d'agréer la nouvelle expression de son respect, de
son dévouement et-les vœux qu’elle forme pour le
bonheur du Roi, de la R'-tne et de la Famille royale.
Ces vœux sont d’autant plus ardents, que la Cour
couijjrend combien la destinée de la Famille royale
est liée étroitement au bonheur et à la prospérité du
pays, auquel vous avez. Sire, voué toute votre exis-
tence.
Cette prospérité subit, malheureusement des
atteintes graves; mais le pays espère que les effets
pourront en être conjurés, grâra a la vigilance du
Roi et aux préoccupations constantes de Votre
Majesté pour assurer le développement du nouvel
Etat destiné à procurer à l’industrie belge en souf-
france une partie des débouchés dont elle a un im-
périeux besoin.
Puisse le succès, ' tout en améliorant la situation
des classes laborieuses, en les moralisant et en leur
inspirant le respect de la loi, resserrer encore les
liens qui unissent la nation et le trône 1
Appréciant les bienfaits d’une législation vérita-
blement nationale, le Congrès a déclaré par, l’article
t39 de ia Constituiton qu’il était nécessaire de pour-
voir à la révision des codes.
Déjà la Belgique est doiée d'un nouvean Code
forestier, d’un nouveau Code pénal et d’ùn nouveau
Code rural ; d’autres codes sont en pari ie révisés.
La-magistrature est heureuse ue prêter son con-
cours à l’élaboration de cette grande œuvre ; elle
examinera avec soin les controverses inséparables de
toute législatiorrnouvelle.
Nos lois améliorées seront pour le pays une source
féconde de réformes économiques et sociales, fer-
tiles en progrès de tous genres.
Sire, Madame,
La couTdÀppel espère'-voir exaucer les vœux
qu’elle forme, pour la félicite de Vos Majestés et de
la Famille royale.
Discours de M. Schey ven. président de la cour
militaire.
Sire, Madame,
Nous sommes heureux'de présenter à Vos Majestés
et à Leurs Altesses Royales nos respectueux hom-
mages et l’expression de nos vœux.
Le cour militaire së rattache à ia fois à l’armée et
à la justice', deux grandes institutions, également
chères à Voire Majesté, également nécessaires à
t'existence de la patrie,
Aussi, dans l’accomplissement de nos fonctions,
cherchons nous toujours à concilier les nécessités
impérieuS'-s d*une fone discipline avec les principes
supérieurs de l’équité et du droit. .
Nous sommes heureux d’attester, une fois dé plus,
que nos arrêts sont promptement rendus, les affaires
soumises à la cour étanrjugées au fur et à mesure
de four arrivée, sans autre retard que celui causé par
les délais prescrits et par les nécessités de l’instruc-
tion.
Ce résultat est dû, en partie, à cette circonstance
que Je nombre des appels n’a pas subi d’augmentation
sensible. C’est un indice favorable que la criminalité
pas augmenté dans notre armée, dont la mora-
lisai ton préoccupe vivement, le pays et intéresse à un
si haut degré l’avenir de la Belgique.
Sire,
Investis d’un* mission toute de conciliation, les
officiers du corps des mines ne se sont jamais désinté-
ressés de l’étude des questions relatives au sort des
nombreux ouvriers placés sous leur tutelle. Ils ont
prêté le concours ie plus puissant à l’organisation et
à l’administration des caisses de prévoyance; 43 mil-
lions distribués en pansions et en secours, depuis
l’origine, suffisent pour faire apprécier le développe-
ment de ces grandes et utiles institutions dont la
Belgique a le droit de s’enorgueillir.
La disposition de l’arrêté royal du 28 avril 1884
fixant à 14 ans pour les filles, à 12 ans pour les gar-
çons, l’âge de descente dan • les mines, n’a pas tardé
à porter ses fruits. Dans les deux dernières années,
le nombre des enfouis employés aux travaux souter-
rains a subi une notable diminution : 40 p. c. pour les
filles. La femme, peut-on dire, a disparu des travaux
miniers des provinces de Liège et de Namur.
Les dangers et les difficultés de l’exploitation
croissent avec la profondeur des puits, et cependant,
alors que certains chantiers sont, dès maintenant,
établis à plus de 900 mètres sous le sol, les accidents
semblent diminuer en nombre et en gravité. Le
conseil, Sire, y voit un résultat des sages prescrip-
tions du règlement de 1884 ; il y voit encore une
oonséquence naturelle des sacrifices que nos exploi-
tants ont su s'imposer pour assurer la sécurité de
leurs travaux.
Le bassia .du Kainaut,- si dangereux par la nature
grisouteuse de ses couches, peut, aujourd’hui, être
cité comme étant, au point de vue de l’aérage, le
plus puissamment outillé de tous ceux du continent.
Il y a là un ensemble «Je faits que le conseil, con-
naissant tout l’intérêt que Vos Majestés portent à la
classe des travailleurs, est heureux de mettre »ous
les yeux du Roi et de la Reine.
Discours de M. le président de l'Académie royale
des sciences, des lettres et des beaux-arts de
Belgique. -
Sire,
L'Académie royale des sciences, des lettres et des
beaux-arts saisit l’occasion du renouvellement de
l’année pour offrir au Roi ses félicitations et ses
vœux.
Nous renfermant dans les limites de nos travaux
habituels, notre pensée se reporte vers cettemoble.
tendance d’encouragement que Votre Majesté a si
énergiquement manifestée en instituant le prix de
25,000 francs, et en l’attribuant aux œuvres du plus
haut i itérât. Çe prix n’est pas décerné chaque année
et cela se conçoit : le prix est magnifique et l'œuvre
qui en est digne doit approcher autant qu’il est pos-
sible de la perfection : le contrôle du jury doit donc
être sèvèreet se maintenir à la hauteur où il a éié
placé par son royal Fondateur.
Nous nous plaisons a faire remonter à l’influence,
du Roi toutes les améliorations que son gouverne-
ment introduit dans l’administration des arts, des
sciences et des lettres. Les cercle des matières des
concours quinquennaux a été élargi ; Fan dernier,
on a décerné, par la première fois, le prix de l’his-
toire générale ; cette année, le concours est ouvert,
également pour la première fois, aux sciences so-
ciales, sujet o’une opportunité saisissante.
L’institut supérieur (l'Anvers promet à l'enseigne-
ment des arts un développement, depuis longtemps
désiré; l’agrandissement de nos musées des beaux-
arts et des sciences nalurelles sera un événement
honorant le règne de Votre Majesté.
Notre gracieuse Souveraine et Lrars Altesses
donne chaque jour des marques de sympathie à nos
établissements artistiques; le goût éclairé de la
Reine pour le granl art musical est du meilleur
exemple et d’un puissant encouragement : c’est donc
à bon droit que nous associons toute la Famille
royale à nos félicitations et à nos vœux.
Discours de M. Galles, premier vice-président
de lAcadémie royale de médecine.
Sire, Madame,
C’est, toujours avec bonheur que l’Académie royale
de médecine, au renouvellement de l'année* trouve
l’occasion d’offrir, à'Vos Majestés, l’expression de son
inaltérable déyou -meut et ses vœux sincères pour
votre bonhenrét celui tir là Famille royale.
Elle apprécie, avec-la plu3 vive reconnaissance,
l’intérêt que le Roi jforte à ses travaux. Des progrès
considérables, fiasés sur de3 découvertes retemis-
santes, ont été réalisés dans ces dernières années et
ont profondément modifié les doctrines médicales.
Fidèje à son but, se renfermant strictement dans la
sphère ~quî'. hfi est assignée,4’Académie royale de
nié Jecine-Se garde soigneusement de ratifier des
principes non irrévocablement établis, comme aussi
d’en encourager les applications téméraires que
peuvent entraîner dés déductions irréfléchies.
Eminemment soucieuse de tout ce qui peur, dans
la limite de ses attributions, contribuer au bien-être
des classes laborieuses, elle s’esi empressée d’appuyer,
de tome son autorité, fe projet que lui a soumis
Votre gouvernement, d’organiser un ‘-ystôma de
secours immédiats à donner aux ouvriers blessés
dans les travaux des mines.
Discours de M. Alex. Jamar, gouverneur de la
Banque Nationale. .
Sire,
Le conseil d’administration de là Banque Nationale
saisit toujours avec bonheur l’occasion d’offrir au
Postes, — Avis.
Le départ du steamer Porluense, de la Red
Cross Line, d’Anvers à Ceara, Maranham et Para indfS
est fixé a la n it du 3 au 4 janvier. f_u
La dernière levée delà boîte au bureau cer,trrAt.-u.-'
Place Verte, aura lieu le 3, à 10 heures du soir ,
clu â
---- rare ;
Banqne d’Anvers.
SITUATION AU 31 DÉCEMBRE 50°
ACTIF. 53 â
Famille royale, ses hommages et ses vœux. Elle est
heureuse d’avoir l’occasion de féliciter Son Altesse
Royale le Prince Baudouin da son initiation à la
vie pub ique. Ils sont astreints à de grands devoirs
ceux qui . ont placés au premier rang, mais notre
jeune-Prince a la bonne fortune d’avoir, autour de
lui, des modèles qu’il voudra tenir à honneur d’étu-
dier et d'imiter.
tonir nr&i , ----- ......— " ”1 i L’aimée qui vient de finir a été profondément
r* . D F* ‘-00 i vouement; en mettant j troublée. Dans quelques centres industriels des excès
Toutes ie*ses ai iis,il faut qu’elle puisse hautement répréhensibles ont été commis. La justice
répondre jn g^c té. Mais il n’y a aucune !, a dû les réprimer. A force de répéter que so mettre
raison de %eqi^ 9 songe à sortir de la î en grève est un droit, on semble oublier que les faits
réserve btiçsani qu’elle s’est imposée. Sa 1 fi111 or‘1' accompagné les grèves sont des délits, que
vraie, sa g% t;! ,e consiste à maintenir *e P*fia6e61 ^ dévastation sont deâ crimes.
l’Autriche <v R, 1 « dans de itistes hornes ' Aujourd’hui que l’ordre public a reçu satisfaction,
â^ntenir^ uiSsl^àSSfeilS- 'il importe de scruter les causes et de seconder les
partialemeDfrqJp.ïï,® On n^distomi le ■ îffons S0,nt tentés de l(0U,0Par P0UJ «mélmrer
H ^ «ArnhienacJto1 • ¥i--2r?? a,SSIn*a,e : la situation; il importe surtout de répandre a proftt-
‘Uv.o+’woo b re est difficile..»! garder; sîon la lumière afio que la population ouvrière soit
ce nest pi terrait/ uni qu’iT s’agit - rendue capable d’apprécier lés questions qui s’agitent
d opérer, m j («Ig g^fde raidé.' Comment 1 et qu’elle sache résister aux uéclamations des mo-
««enmiArriA* a iousàla Russie sans mé- leurs qui l’égarent.
Dans quelle mesure l’AI- Sire,
tiser avec la Russie sans | cour prend le plus vif intérêt à la révision de
Vn'jKia. Lest la le sïeoret f b05 lois civiles: le travail étant aux mains d’une
l • liepi.tgne a roussi, par 1 commission habite, il est permis de s'attendre à ce
matte, à reculer la date nu’tt soit mené à bonne flu dans un délai rapproché.
' ue son intervention con-1 Déjà nous avons eu l’honntur de signaler à Fatten-
gique et dès lors c’est suf-1
peser la-responsabilité d|
Ce système a eu le S(f1 Su >jj. Kjoge, Pie,
. A. r%_..T_____4- inilftCOD. Jacobse
>al en Bel
«t Lippa (s„ KuuÇj'i que doit
d’assises du Brabant l
loi iifwioD, Jacobsen, jqa Cour
t Liantes, 29 déc décidé que
^ Jramis. Cliartai, ^
c/ jETTE, 25 déc.
flu « a l-waruea.Lu.w ren-i
jlivi-JOHUKAUX, ’CJ déC
X»«4C ’
.ng-a, Jakobsen,
accorder des sa
contenter 1
lemagne pe e
Uéner?
■IM’
desprodigt le
depuis longtemps la révision des lois sur ladminis-
tration de la just ice militaire et aussi les réformes
législatives dont l’expérience a démontré la nécessité
dans la nature et le degré des peines à appliquer.
Sire, Madame,
Le personnel de notre Cour subit des modifica-
tions incessantes ; mais toujours l’on y trouve i«
même dévouement, la même fidélité au trône et à
l’auguste dynastie qui l’occupe si noblement.
Discours de M. Dm Pont, conseiller faisant fonc-
tions di président du conseil des mines.
Sire, Madame,
Le conseil des mines est heureux de pouvoir, en ce
jour, renouveler à Vos Majestés l’hommage de son
dévouement et l’expression des vœux qu’il forme
pour le bonheur de la Famille royale.
Sire, .
La Belgique, terre de travail et de production,
doit chercher au dehors l’éc' ulement de ses produits.
Nos industriels apprécient de plus en plus les efforts
eL les sacrifices faits par Votre Majesté pour leur
assurer de nouveaux débouchés. Ils ont applaudi à la
formation, en Belgique, de la compagnie du Congo
pour le commerce et l’industrie, comme aussi à la
constitution de la Société du concours international
des sciences et de l’industrie en 1888..
Les causes de la crise industrielle sont trop mul-
tiples et surtout trop universelles pour qu’on puisse y
trouver un allégement dans des revendications soil
économiques, sou politiques.
Le conseil fai; des vœux pour qu’une reprise sé-
ri-use vienne bientôt meure fin à la stagnation des
affaires qui pèse si lourdement sur toutes les classes
de la société et calmer Fèxaltaticn stérile à laquelle
s’est malheureusement laissé entraîner une partie de
nos populations ouvrières.
La commission du travail, au cours de ses enquêtes,
Cempte actionnaires à verger..............
Encaisse..................................
Rentes belges....................... ” ’ ‘
Portefeuille d’effet»..........
« • de warrants..............
Mobilier..................................
üouiptes courants sar place, avances'.".’. '.’,’.
* » eorresp. belges et étraüg.
„ , » • d acceptations............
Prêts sur effets publics..................
Dépôts de garantie (titres)........ . . . . '.
» volontaires » ............’’ ’
Comptes divers......................
Kr. 9,7Û?,lfô.—*puiS
* PXVIl.'i.r.l.usse
» 6,773,6H.5:iabar
» 2,067 57i.r6 agos
» 2,609.9(6.11
* 12 5:73 13 ions
* 4,916,181.711
« 9,344 413.22 lent
» JO,25),682.80 mm
» t,N'5.415.77
-» 5,08 UlO.® mé-
* ' 339,866,— ’aut
* 785,282.33 i- à
Total...............
PASSIF.
Capital versé............................
» à verser...........................
Fouds do réserve....... •.............’, ’
Promesses- warrants...............
Effets à payer.........................
comptes courants sur place, dépôts.. .
correap. belges et éirang.
Fr. 62,659,402.® |6nt
8.6#
Fr. 10 290.875.— s de
- 9 709,125.— 7.65
» 2 426,634.07 ;•
• 2,269 Ö00____-P-,
• 14.91'J 796.08 par
• 7,308,223.07 rg.,
» 8,79',451. $4 ’
« 5,420 516.50 Ule
» 1,515,339.17
te
..... Fr. 62,659.462.03 bai
L Admmi*trat«r,
A. HAVENITH. JT>
— glè
qté
Le prestige indispensable à nos décisions réclame Roi l’expres»ion de ses vœux et l'hommage de son
. , ----—- ■ dévouement. Depuis longtemps Votre Majesté a
droit à ce tribut et, chaque jour, Elle acquieri de
nouveaux titres à la reconnaissance du pays.
Sire,
L’année qui vient de s’écouler s'annonçait sous
d’aussi fâcheux auspices que celle qui l’avait précé-
dée. Pendant les six premiers mois, le commerce et
l’industrie continuaient à subir la trisie influence
d’une crise dont la durée avait ébranlé les plus
robustes espérances. Dans ces derniers temps, au
contraire, un ensemble de faits est venu réveiller
la confiance dans un avenir meilleur.
Malgré les funestes eutraves apportées à la liberté
des échanges dans les pays voisins, l’accroissemeut
des recettes de nos chemins de fer et la hausse de
quelques produits témoignent d’une activité plus
grande dans le monde des affaires.
Dans certains centres Industriels, les stocks s’épui-
sent, les prix des métaux sont plus rémunérateurs
et le travail, plus abondant, promet aux classes
laborieuses le salaire nécessaire à leur existence.
Puissions-nous bientôt saluer l’aurore d'une ère
non vile de prospérité dont nous entrevoyons les
premières lueurs !
Sire,
La Banque s’est efforcée d’aider à ce mouvement de
reprise. Elle a fait tous ses efforts pour ne point
modifier les conditions du crédit. Elle a pu maintenir
son taux d’escompte a un chiffre inférieur à celui de
toutes les grandes banques d’émission. Ce sera pour
le commerce et l'industrie la preuve nouvelle que,
dans les conseils de la Banque, le souci de l’intérêt
public est ia considération qui domine toutes les
autres.
C’est
Madame,
une tâche douce et facile que d’apporter aux
URUGUAY.
A propes de l arrivée à Paris de don Maximo *P-
Santos, qui a i écornaient donné sa démission de
Président de le République de l’Uruguay, le Figaro
publie un aperçu de sa carrière politique. Nous en mr
extrayons ce qui suit : iur
na
Le plus grand reproche qu’on ait adressé à M. San-
tos, eest d'avoir trouvé, en 1882, le budget des dé- fut
penses a 8,798.079 pesos (dollars), et de l’aroir laissé ;
en 1885, à U.dtte, .07. Les titres de la dette, dont le sur-
vice absorbe 3,642,t)85 pesos sur an. sont cotés •' ‘
Londres ! Enfin l'immigration, jadis aef- en
aujourd'hui presque complètement 50
Comme taut d’autres, don Maxime ur
des douceurs dans l'exercice tu pou ,r
quitter après quatre ans révolus, il s
ver sans violer la Constitution. Il l'a\ con- j.-
tre Latotre et entendait la respecter. lot
En mars de cette année, il cèd i la place au complai*
saut docteur Vidal dont il avait la démission en pocha hi
et se fit. quant a lui, nommer capitaine général, c’est-
à-dire généralissime de l’armée uruguayenne.
Le mécontentement produit par cet escamotage.dont
les suites étaient aisées à prévoir,provoqua une révolte
assez organisée, du reste, et qui tut facilement étouffée rs
par le general Tajes, un des filèles es
dernier était re.»té tranquillement ; r*
victoire vint le couronner. fe’
La têt,e couverte de lauriers, M. u®
•levant l’Assemblée nationale, qui 1 ra
toyen et créa spécialement pour lui une nouvelle ch 1*
conscription électorale. Elu â l’unanimité, comme on u®
s’y attteudait, le capitaine général se présenta au Sénat
pour y occuper son siège.
Mais le président se leva : fc
— Messieurs, dit-il, ce grand citoyen est pins digne ”
de présider que moi. Je quitte donc la place et vous
prie d’y nommer d’acclamation le capitaine-généi'M
don Maximo Santos. *
Ce fut une ovation. De par la Constitution, le nou-
veau prévident du Sénat devenait le lieutenant du pré-
sident da la République^vec succession le cas échéant. ~
Peu de jours après le docteur Vidal, plus complisant ,*
que jamais, donnait sa démission, et le général Sautes ’
1 ; remplaçait sans que la Constitution eût reçu une “
chiquenaude. -
S’il est vrai que la diciature soit l’écueil obligé de |
toutes les républiques, M. Santos avait simplement 4
obéi à une nécessite historique ou plutôt humaine. Il 3
nsa de son pouvoir humainement aussi 8
Un certain nombre des conjurés défaits par le général \
Tajes étaient restés entre les mains dé l’autorité. Ces g
conjurés étaient passibles des peines les plus sévères, f
Le président leur accorda grâce pleine et entière. Il ne î
s’en faisait pas des amis, it le savait ; mais, en les frap- !
pant, il aurait attire 'contre sa poitrine la pointe de t
mille poignards. -
Cette seconde période avait commencé dans les 1
troubles : elle continua de même. M. Santos avait sur- ]
tout triomphé en s'appuyant sur le parti des Rouges .
avec lesquels ii semblait avoir, fait un pacte. Ceux-ci, i
mécontents de çe. que certaines promesses n’avaient -
pas été tenues, se pl&igiiimit au président. Quato zs -
députés du groupe te firent même- prévenir qu’ils se 1
proposaient de publier me feuille d'opposition.
Le président conipritwa menace et répondit froide-
ment qu’il s’oppose; aitójnème par le couteau, à l'appa-
rition de Ia-femlle. Ce mot de couteau, employé sur* u
ton significatif, fat pour les nouveaux conjurés te
signai du départ pWT’Ûuenos-Avres, Sur la pronraition «
du président, les mandats des fugitifs furent dâeiarôs
vacants,.
Une effervesceneâéômmençant à se faire sentir dans -
le pays. M. Santés proposa à son con-eil des ministres
de fabriquer nue muselière pour la presse Quatre
d’entre eux se prononcèrent contre, un seul pour ■ le
général Tajes. Le président insistant, les quatre ml- •
nistres démissionnèrent. Il se retourna alors vers les
ennemis acharnés de ces derniers, les Constitutionnels,
et leur offrit de composer un ministère dit de concilia-
tion.
Le chef du parti, don Pedro Ramirez, accepta aux
conditions suivantes : 1° Election présid.-niielÉe le
i" mars prochain ;
2° Toux les officiers compromis seront graciés et r*- ,
tablis dans leurs grades. _
Le président accepta. La veille, on voulait le lapider, 5
le lendemain, il était porté aux nues. Il y eut desre-
traites aux flambeaux. La joie tenait du délire.
C’est cet instant psychologique que don Maximo
Santosa choisi pour résigner le pouvoir. Tel qu’un
acteur en renom, il a quitté la scène au milieu des
applaudissements.
Sous ces fleurs, l’ex-président avait senti les épines.
Tout récemment une main criminelle l’avait horrible-
ment blessé au visage. Le terme fatal qui le verrait
redevenir simple citoyen n’était pas éloigné, st les
peuples ne sont généralement pas tendres pour les
puissants de la veille. M. Santos envoya sa démission
au Sénat., qui l'accepta. C’est le général Tajes qui a
hérité de ia succession.
CANADA
D'après des dépêches de source anglaise, publié»
parles journaux de Londres, on signale, dans le
Haut-Canada, des conflits sérieux entre les popula-
tions française et anglo-saxonne ; on procède à d»
armements secrets de pan et d'autre, et l’on croit
que le prochain carnaval ne se passera pas sans
troubles d’une certainegravité.
ALLEMAGNE.
Le septennat militaire.
Les journaux allemands s’occupent dès mainte-
nant de La rentrée du Reichstag, qui aura lieu Je 4,
et de ia reprise de la discussion sur le projet de loi
militaire, pour laquelle la commission présidée par
le comte Ballestrem se réunira le 5. La commision
aura à décider dans cette délibération en deuxième
lecture si elle entend maintenir son premier vote on
se rallier aux propositions premières du centre,
auxquelles le gouvernement ne serait pas loin d’ad-
hérer. Le contre-projet des libéraux qui a éié adopté
en définitive stipulait que le contingent de paix de
1 armée serait de 450,000 hommes pour trois ans ; de
a recueilli de nombreux et précieux renseignements | pieds de Votre Majesté un hommage de respect, de _
qui ont permis au gouvernement de Votre Majes é j dévouement et d’affection. Que Dieu comble nos vœux ! plus, te gouvernement é air autorisé, pôür uni
d’annoncer aux Chambres législatives un ensemble I en donnant à la Reine de longs jours dont la durée i former ^bataillons supplémentaires. Le centre, pt'*
de projets ayant pour but d’améliorer la position j assure le bonheur de la Famille royale et du pays I l'organe de M. de Huene, avait proposé d’accorder
tout entier ! éV,n , 518 bataillons pour trois ans et, pour ua an, l’eflecm'
tetntf09 ----]----------------------V. ,l.„ge8.:.. I 27631 32921 37161 3874
4102 3427021 4193 33935271 3963 1 3400945 Tonneaux... | 2398478 2936.62 3137191 30825981
matérielle et morale des classes laborieuses.
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1 3886 3559
>667183 8096892
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