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Le magistrat. — Il importe de bien constater si ces
balles ne proviendraient pas des pisiolels que portait
le duc, c’est un bruit généralement accrédité qu’il au-
rait voulu attenter à scs jours. Je ne me prononce pas ;
mais il pourrait y avoir eu accident et les pistolets au-
raient pu partir.
M. Brown, chirurgien, déclare avoir vu les pistolets
charges sur la table du salon.
be magistrat. — Dès lors il est évident que l’attentat
a été commis par une main étrangère.
Après quelques considérations sur la cause,le magis-
tral déclare exiger du prévenu lui-même une caution
de 100 I. st. et deux autres cautions de 50 liv. chaque,
Boussell comparaîtra samedi prochain pour entendre
lecture des dépositions.
cite acquisition RUINEUSE. — Un jeune pasteur ossa-
lois vient de renouveler le problème attribué à l’inven-
teur du jeu d’échecs. Il a vendu son troupeau, composé
de 80 brebis, à un riche négociant de la ville d’OIoron,
sous la condition formellement acceptée par celui-ci, en
présence de plusieurs témoins, que la première brebis
lui serait payée un liard ; la 2e, 2 liards ; la 5°, 4 liards;
la 4e, 8 liards, et ainsi de suite en doublant toujours le
nombre des liards. 1,’acheteur a été bien désappointé
en apprenant qu’il devrait donner 15 sextillionsde francs
pour tout le troupeau, que pour les porter il faudrait
plus de 500 quatrillions de mulets, et que celle somme
formerait une pile de pièces de 5 fr. qui arriverait de la
ierre à la planète la plus éloignée de notre'globe, et la
dépasserait de plusieurs milliers de lieues. Le berger
exige que son co-contraclant lui donne tous ses biens
en paiement, et l'affaire, dit-on, sera déférée aux tribu-
naux.
BISMOSBAFHIS.
Cours de mathématiques pures, par M. H. Guillery,
principal du collège de Liège lro et 2e parties. —
Arithmétique, Algèbre, Géométrie et Trigonométrie.
Tout le monde semble s’accorder en ce point que par
suite de l’extension donnée à chaque branche des ma-
thématiques par les travaux des savants de notre épo-
que, il n’est donné maintenant qu’à bien peu d’élèves
d’avoir pa voir en entier cette partie si essentielle des étu-
des de nos classes ,et le moyen pourtant d’abréger un
enseignement où tant de nécessité se lie et s’enchaîne !
Ce travail qui aurait arrêté toute autre personne, un
père de famille, professeur au reste des plus distingués,
i’avaitdepuisquelques années entrepris pour ses enfants,
ayant appelé à son aide son esprit méditatif et sa longue
expérience, il s’était uniquement attaché dans chaque
partie d’une élude devenue si immense aux propositions
essentielles, sont simples pour la plupart ; et ayant
trouvé moyen de les débarrasser de la loule des autres,
qui en effet n’en sont que les corollaires, il était arri-
vé par là à une netteté d’ensemble qui avait répandu
sur le plan qu’il s’était tracé la plus vive lumière.
Ainsi par exemple, il supprimait en arithmétique ce
qui peut être immédiatement remplacé par les métho-
des plus expéditives de l’algcbre; en algèbre ce que le
calcul différentiel supplée avec avantage; enfin il ne
conservait dans chaque partieque ce qui lui est propre,
que ce qu'une autre ne saurait pas ou ne saurait mieux
faire.
Ce qu'il voulait surtout, c’est que ses enfants possé-
dassent l’esprit de la science et ses méthodes, qu’ils fus-
sent familiarisés avec l’instrument, que le jeu leur erifùt
devenu facile, lorsqueplustard, ce qu’il regardait même
comme une nécessité, iis auraient voulu connaître la
science tout entière.
De bons esprits frappés des avantages que présente
cette innovation, qui satisfait àunvéritable besoiudaus
• état actuel des sciences et de l’enseignement, ont for-
Icmenl engagé l’auteur, Al. le professeur II. Guillery, à
ec pas restreindre au foyer paternel un plan d’études
mathématiques qui doit porter les plus heureux fruits
dans les établissements qui l’adopteront.
Le brillant accueil que le public a fait tout récemment
a la première partie de l’ouvrage, a fait prévoir le
succès qu’oblieut en ce moment la seconde.
La troisième et dernière partie, qui va bientôt paraî-
bc, comprendra l’application de l’algèbre à la géométrie.
I* calcul différentiel et le calcul intégral.
pour deux heures du jour, les seules pendant lesquelles on ne
reçoit personne.
il y a fort peu de différence à faire entre la robe de cham-
bre et la camisole de nuit ; les unes et les autres sont fixées
selon la fortune ou l'élégance de la femme qui les porte.
C’est donc une grande faute d'imaginer que I on peut con-
server comme parure du matin la robe de chambre, fut-elle
de brocart : c’est même un manque de tact.
Certaines robesjsont faites avec une certaine prétention
à l’ajustement, et passent en apparence sous le nom de pei-
gnoir. Celles-là n’exigent pas les pantoufles, et au besoii*
peuvent être conservées jusqu au soir. A peine leur accorde-
t-on d'être aussi commodes a porter que les autres ; c’est le
terme moyen entre la robe de ville et la robe de chambre.
Exemples.
Matin. — Robes de chambre en brocart Pompadour, fond
noir à Heurs, cordelière pour ceinture, bonnet de batiste gar-
ni de Valenciennes, pantoufles de velours rouge brodées d’or,
robe de dessous formant jupon garni, collerette au bord du
corsage en point de Paris, tombant; manches intérieures.
Robe de chambre en flanelle unie bleu de roi, doublée d’a-
maranlhe ; cordelière de soie bleu uni ; bonnet de batiste
garni de dents piales et bordées de Valenciennes ; robe de des-
sous formant jupon ; collerette plissée, manches intérieures ;
pantoufles de tapisserie.
Midi. — Peignoir en satin façonné ou en brocart soie et
Ifine taille ajustée col à châle. Bonnet de mousseline ou tulle,
garni de dentelles, avec ou sans rubaus. Souliers de velours
ou de lafTelas piqué.
Peignoir en mousseline de laine ou en taffetas belge glacé.
Bonnet de mousseline ou de tulle garni de dentelle avec ou
sans rubans. Souliers de velours ou de taffetas piqué.
Comme on le voit, la différence des deux toilettes n’est pos-
sible ici que pour l'appréciation. En me servant des mêmes
termes, j’ai voulu indiquer cette ressemblance, en rue réser-
vant défaire remarquer qu’une différence existe toujours iné-
vitable, prononcée ; c'est celle de l’objet en lui-même. Avec
le peignoir de satin, le bonnet sera peut-être d'Angleterre ou
de point ; avec celui de laine, il sera tout au plus en point de
Paris moderne.
, Négligés do ville.
A pied. — Redingotes de soie, peu voyantes ; robes à vo-
lants en étoffe simples ; fichus demi ouverts ; châles de ve-
lours, de pluche ou do satin, garnis de fourrure, de chenilles
ou de franges en cachemire ; chapeaux en velours noir ou de
couleur forcée, velours épinglé poussière , bleu Haïti, garni
de dentelie et ornés de plumes ; souliers de maroquin noirs à
guêtres de soie ou de laine ; manchon.
Ici encore il est essentiel de détailler le choix des étoffes et
des nuances. Ce qu’il importe d'établir, c’est que le négligé
de ville est cette année presque uniforme. Les plumes , les
dentelles, n’ont aucune prétention ; elles n'ont que de l’élé-
gance permises à toutes.
L’observance au contraire touche les femmes riches; ce sont
elles qui ont une limite à garder. 8ous peine d’être confon-
dues, comme il leur serait fort triste de l'être, elles doivent
observer une certaine simplicité d'apparence ou d'aspect ;
garder leur chapeau de velours rose pour la voiture, et leurs
robes nacrées, étincelantes au soleil, même par le plus beau
jour d’été.
Il faut donc se défendre d’une recherche hors de propos,
et craindre l’abus de cette coquetterie, physionomie princi-
pale des modes du moment.
Visites. — Tous les jolis satins glacés, les levantines, les
pékins. les pékinels,les popelines rosées, toutes ces délicieuses
et fraîches étoffes, qui ne doivent quitter le tapis de l’appar-
tement que pour franchir le marchepied de la voiture. Les
châles de velours . de peluche, de satin velouté ; les burnous
hiaucs ou poussière ; les mantelets en velours noir ou de cou-
leur foncée, garnis de fourrure, sans taille, sans manches: les
chapeaux en velours plain ou en velours épinglé, rose, bleu,
citron, avec des dentelles , des plumes, des Heurs de velours ;
collerettes ou cols en mousseline brodée ou en dentelle riche,
angletèrre ou guipure.
La fantaisie, qui se refuse à paraître dans la ville, confon-
due sans distinction, ne craint pas de compléter ces négligés
de visite presque comme des négligés du soir, dont nous ne
nous occuperons pas aujourd’hui, mais bien dans notre pro-
chaine revue.
Aujourd’hui je ne dirai qu’un mot sur les toilettes du soir,
important et profond qu’il me parait.C’est que les volants de
dentelles vont être posés à plat, ne formant d’autres plis que
ceux de la robe ; l’excessive hauteur de quelques magnifiques
dentelles anciennes a amené cette mode, que je ne saurais
comparer, pour en donner une idée, qu'aux basquines Espag-
noles.
La guipure étant une dentelle très épaisse, il n’est pas mal
vu, du reste, d’en restreindre le volume.
Constance Aubert.
modes de PAIU8. — ENSEMBLES DE TOILETTE.
Dernièremett on voulut bien, dans un salon où se trou-
aient réunies plusieurs femmes de très bon goût, me poser
différentes questions qui me donnèrent l'idée de mon travail
d'aujourd'hui.
i 11 s'agissait d'établir ce qui convient au négligé d'intérieur,
•a négligé de ville.au négligé de visites; de déterminer où
* arrête l'élégance recherchée et où le simple pose ses limites
yn se perd dans les théories, mais on résume par l’exemple.
Je résuma.
Chez soi, le matin, les robes de chambre proprement dites
“ont qu'un moment, celui du déjeuner. Si elles sont très bel-
les. nous ne devons les voir qu'aux femmes trè$ élégantes,
farce qu'étant envisagées comme une spécialité de grand né-
Sltaé. peu de femmes sont en mesure de faire cette dépense
68 SERIES DE LOTS DE BADE.
Sorties pendant l'année 1858.
26 103 122 125 163 165 186 190 219 223 260 263 267
298 300 308 325 329 31» 358 364 360 377 400 Ait 427
434 444 455 456 464 4SÜ 502 518 525 548 551 554
564 575 584 586 591 616 628 643 652 661 687 699 723
729 738 757 769 795 796 822 833 874 880 906 907 937
943 955 977 989.
1er EMPRUNT PROVINCIAL DE 500,000 FRANCS.
AMORTISSEMENT.
Le gouverneur de la province d Anvers fait connaître que
le i 8 du courant, à midi, il sera procédé A l'hôtel du gouver-
nement à Anvers, en séance de la députation . au tirage au
sort des cinquante obligations de 500 francs chocune, de l'em-
prunt provincial de 500.000 francs, autorisé par arrêté royal
du 21 novembre 1836 . qui doivent être remboursées aupre-
mierjanvier 1839. — Anvers, le 11 décembre 1838.
Le gouverueur, Cu. Rogier.
VILLE D’ANVERS.
ANNIVERSAIRE DE LA NAISSANCE DE S. M. LE ROI.
Les bourgmestre et échevins portent à la connaissance de
leurs concitoyens . que la fêle anniversaire de la naissance
du roi aura lieu dimanche 16 de ce mois.
La grosse cloche de la cathédrale et le carillon se feront en
tendre la veille. de 7 à 8 heures du soir, pour annoncer cette
solen ni té.
Même sonnerie accompagnée du carillon aura Heu le 16, de
7 à 8 heures du matin , de 11 1[2 à midi et demi et de 7 à 8
heures du soir.
Le jour île la fclc, à midi et demi, il sera chanté à l’église
de Moire Dame un Te Venin solennel, auquel assisteront les
autorités civiles et militaires.
La façade de l’hôtel-de-ville et celles des édifices publics
seront illuminées le 16, et la retraite lie sera pas sonuCe.
(Suivent tes signatures.)
COMME HlCE.
Place sî’Aïsvsïis , du 12 décembre.
CAFÉ. — Sauf quelques lots de Batavia, d’ensemble 300
balles à 32 cents, l’article n’a pas offert de changement.
COTON.—Une centaine déballés de Surate a été réalisée
hier à prix qu’on ne décline point.
CÜIRS. — Il s'est traité environ 2500 Maragnan salés secs
importés récemment par l’uclavie à prix tenu secret.
SALPETRE.—On a vendu 125 barils raffiné à f. 19 3(4
par 50 kilog. consommation,
Les autres articles n’ont pas présenté d'affare marquante.
MAKCHÉS.
LOUVAIN, 10 décembre. — Grains et graines: Le
marché de grains était abondamment fourni, les prix ont lé-
gèrement fléchi, mais tout s’est écoulé lestement. Cours par
halster dont les 5 font un hectolitre 1)2: Froment, 4 04 à
4 07, seigle, 2 08 à 2 10, orge, 2 à 2 04, avoine. 1 03 à 1 05.
sarrasin. 1 15à 1 17, graine de Colza vieille,5, graine de colza
d été. 3 15.
AMSTERD AM, 9 décembre. (Hernie de la semaine.) —
Cafés : Les transactions, durant la huitaine écoulée, ont été
plus vives que de coutume; les prix montraient aussi quelque
fermeté, de sorte qu’on devrait payer l'ordinaire sans noir
30 c. Les acheteurs sont rares, aussi notre approvisionnement
est-ii minime. Les bonnes qualités étaient mieux demandées
et se payaient de 31 à 31 l[2c. Environ 1200 balles ont été
importées de Curaçao.
Tabac: Depuis notre dernière revue, cette feuille est res-
tée calme, toutefois les prix se sont maintenus; il ne s’est rien
fait en Maryland en secondes mains; nous n’avons également
rien à annonceren Virginie ni Kentucky, à cause du manque
de parties disponibles. Nous avons reçu d’Alexandrie 758
bouc. Maryland; les autres sortes, tellesque : Varinas, Por-
to-Rico et Cuba,restant en premières mains, sont tenues à de
hauts prix.
Coton : Ce lainage resle demandé, mais les ventes ne sont
pas d’miporlance, à cause du manque de cet article. Hormis
l'achat des 300 paquets Surate et 172 idem Valentina, 200
paquets Amérique trouvèrent encore acheteurs. Le Niekerie
a également joui d’une assez bonne demande elles 70 paquets
qui en restaient au marché se sont réalisés dans les prix de
48 t|2 à 49 l|2 c.
Sucre raffiné. — Nonobstant la saison déjà avancée,
plusieurs achats ont eu lieu en cette douceur depuis la der-
nière huitaine. Voici le détail de la cote ; Mélis lre qté de f.
50 à 52, fine sec, de f. 40 à 41; belle de f 38 à 39 ; bonne de
f. 37 à 37 1)2. 3" et ord, 2d« de f. 35 I(2 à 36. lumps de f. 34
à 35; vergeois de f. 26 à 45; candi blanc de f. 90 à 95; demi
blanc de f. 75 à 85; blanc de f. 53 à 70; jaune de T. 43 à 50;
brun pâle de f. 39 â 41; brun moyen de f. 37 à 38; brun de
f. 34 à 37; sirop f. 27.
Sucre brut : Les affaires depuis notre dernière revue s»
sont bornées à quelques petites parties Surinam , qui se sont
faites à des prix plus ou moins bas. Ou cote actuellement
cette sorte de f. 26 à 33 ; le Havane blanc de f. 43 à 56 ; les
Moscovades de f. 35 à 42 ; Brésil blanc de f. 33 à 45 ; Indes-
Orientales de 25 à 40.
Potasse : Le peu de parties perlasse d’Amérique qui se
trouvaient au marché ont été enlevées ; au reste, il se fait peu
de choses eu cet alcali, quoique les prix'se maintiennent,
surtout les sortes américaines ; celles de 1838 à f 18 1|4 et
de 1837 à f. 17 114 en entrepôt Toscane f. 16 etSl-Péters-
bourgdef. 15 l|4 à 16 conssmmation.
LIVEUPOOL, 7 décembre. — Coton : Les ventes de ce
jour se sont élevées à 10,000 balles toutes sortes; les impor-
tations de la semaine se composent de 7,261 balles et les tran-
sactions comportent 60,750 balles.
Du8 : 2,0Üü balb s Amérique et 1,000 Maranham, ont en-
core été faites hier soir, mais jusqu'à présent nous n’en con-
naissons pas le détail au juste. Une grande quantité de colon
a changé aujourd'hui de mains. 5,000 balles ont été prises
pour la spéculation; le total des ventes s’élève à 8,000 balles
pour lesquelles de bons prix ont été obtenus.
HAVRE, 8 décembre. [Jievue de lu semaine). Cafés ; Il
s’est fait quelques affaires cette semaine, mais à des prix un
peu plus bas que précédemment.
Les Haiti sont peu demandés en ce moment pour la con-
sommation ; les achats n’ont eu lieu que pour l’exportation,
et les prix ont été oblenus en réductionde 1(8 à l|4.
Il s’est fait 1,060 sacs, bon ordinaire, en revente, de fr. 51
7|8 à 52 l|2 ; 350 sacs, ordinaire à bon ordinaire, aussi en re-
vente. à fr. 50 5(8 ; 1420 sacs, ordinaire, a fr. 50 5|8, et 286
sacs d» en revente, à fr. 56 ; le tout en entrepôt français, et
dont la majeure partie a été prise pour la Belgique.
Nous avons reçu 1365 sacs du Porl-au Prince, par le St.-
Jucques. Le Tourville, venant du même lieu pour notre port,
est de relâche en Angleterre, avec environ 1500 sacs.
Les Havane se maintiennent mieux, mais la demande reste
limitée. On a pris 99 sacs, bon à fin ordinaire, en revente, à
fr. 65 eut. fr., pour la consommation. Nous attendons le
Yucatecho de la Havane.
En Rio, onnecilcque 20 sacs, ordinaire à bon ordinaire,
écoulés àfr. 50, ent. fr. L’Amitié, venant de Rio au HaTre,
est de relâche en Angleterre, avec 16 ou 1700 sacs.
Les autres sortes sont restées sans affaires.
Quarante-sept quarts sont arrivés de la Martinique, 50
balles de Rotterdam et 100 bailles de Bordeaux.
Sucres : Les détenteurs, en Venant plus fermes leurs pré-
tentions, ont fini par forcer les acheteurs à payer quelques
parties au-dessus des derniers cours. Il s’est fait environ 400
barriques brut, de fr. 49 50 pour la 4e ordinaire à fr. 55 50
pour la belle et fine 4°. Ou a payé la bonne 4" sur la base de
fr. 53 à 53 25 ; ce dernier cours pour les bons sucres.
Trois navires sont arrivés de nos colonies : la Rose, de la
Martinique, et la Fanoy-Minerve, de la Guadeloupe, intro-
duisant 1106 barriques, 1 tierçon 4 quarts sucre brut.
Indigos — Cette teinture maintient parfaitement la posi-
tion quelle a acquise, par suite des derniers avis reçus de
l inde et les nouvelles favorables du marché de Londres, où
les prix, ain<i que sur notre place, sont également en hausse.
Il s’est fait, en ventes et reventes cette semaine.240 caisse»
Bengale, payées de fr. 11 65 à 13 40 acq. Nos dernières cote»
sont très fermes et même en voie nouvelle de hausse, pour
peu que la consommation y contribue de son côté.
Or a traité en outre a livrer 60 caisses Bengale, attendue»
par la Tbérence, à régler sur prix de faeture, la roupie étant
établie à 4 fr. c’est une belle vente.
7 caisses sont arrivées voie de Rotterdam.
PARTIE MARITIME.
(EXTRAIT DES REGISTRES DU LLOYD-BELGE. )
NlMsTKKS.
FALMOUTH, 6 déc. — Entré en relâche forcée: Un na-
vire norvégien, nom inconnu, ail. d’Amsterdam à Surinam,
avec une partie de sa màlure de cassée, voie d'eau et perte
de voiles, ayant une de ses chaînes sous le navire en forme de
sangle; 8 jours de mer.
PLYMUUTH. 7 décembre. — Entrés en relâche forcée !
Le trois mâts hollandais Nicolas Wilzen. c. Laing, d’Amster-
dam pour Surinam, avec voie d’eau . perte de voile»et autre»
avaries, souffertes dans les derniers coups de vent ; la cargai-
son doit être mise d terre pour subir les réparations néces-
saires ; Clara, c. Adam, de St.-Thomas à Amsterdam, avee
voie d’eau est perte de voiles.
NEWH AVEN . 9décembre. —Le brick espagnol Oratava,
e Vincenle Arucena , parti de Brème pour Ténériffe, et en
dernier lieu ( l»1 décembre . de Shecrness, vient d'ètre con-
duit ici dans le port à la remorque de trois embarcations; le
navire a été trouvé abandonne de son équipage â environ 20
milles au large de Fairleigh.
— Le navire Frans Wilkens, c De Bocr. de Osterrisoer à
Delfzyl,s’est perdu sous Borkum, d'après des lettres du 8, de ce
dernier port.
— Le cap. Rotnyn, arrivé le 10 courant de Batavia à Hel-
voet, a sauvé la veille de son entrée, l’équipage du koff han.
Stad Lingen, sous le commandement du capitaine Lucas, ail.
de Riga à Rotterdam ; le navire a coulé immédiatement après.
NOUVELLES DE MEK.
OSTENDE, tl décembre. V. N. Bonne brise. — Arriva-
ges ; Le 9. Joséphine Marianne, cap. Otlens, de Riga ; le 10,
Neptune, c. Block, de Londres; Christina Auialia, c. Grubar,
de Riga; Diana, c. Jongebloed, id.
Départs le 9 ; Juffr. Johanna, c. Shumaeker. p. Bordeaux;
Celeritas, c. Jongebloed, p Newport ; Neptune, c. Sharp,
p. l’Angleterre ; Coromandel, c. Griffith, p. Londres ; Pauli-
ne, c. Vandeperre, p. Liverpool ; Eléonore, c Halewyck,
р. Liverpool ; le 10, Spes Nova, c. Pelersen. p Sla th i II.
TEXEL. 10 déc. — Rentré pour vents contraires : Billoxv ,
с. D’Howe. en destination de La Rochelle.
HELVOET, 10 déc. — Tous les navires sortis â la marée,
d'hier, sont au mouillage sur le Pampus.
NEWHAVEN , 9 décembre. — Au large: Héloïse, de
Brême, ail. de New-York; à Rotterdam, et le 3 mats-barque
Hope. ail de Newbedford a Brème : 35 jours de mer.
PORTSMOUTH, 9 décembre. — Arrivage : La goélette
suédoise St.-Olof c. Olsen. de Stockholm.
COWES. 9 décembre — A mis en mer : Dons Maria,
p. Rio-Jaueiro. et Adorateur puur le Havre.
SHEERNESS. 7 déc. V. N. — L'Edmond, c.Dobson,arrivé
aujourd'hui de Québec, a à bord la plus forte mâture qui ait
été importée en Angleterre depuis plus de 3» ans.
DUNGENESS, 6 décem. V. S-O. bruineux. — Au large :
le brick suédois Arfpnnsen, c. A\ ahlgren. ail de Lisbonne à
Gothenbourg ; le 3 mâts américain Thrncian. c Brown, de
Richeinond (Virginie) pour Amsterdam ; ce dernier parait
avoir essuyé beaucoup de mauvais temps durant la traversée.
BREMËR-HA VEN, 4 déc. — Arrivage ; Anna Catbarina,
e. Popken, d’Anvers.
DEAL, 7 déc. — Arrivages ; la Julip, cap. Gele, de New-
Csstle. pour Marseille ; Arve, cap Carruthèns, ail. de Lon-
dres à Bordeaux.
MARSEILLE. 3 déc. — Arrivages : Wismar, c. Krohn,
d’Anvers; Johanna, c. Arends, d Ostende.
— Le brick hambourgeois Eliza. de Port-au-Prince à Ham-
bourg, a été rencontré le 10 novembre en latt. 28» 53' long.
56» 50.
— Le 3 mâts-barque Jrin, de Hambourg à New-York, a
été rencontré le 5 novembre en long. 37».
— On a reçu la nouvelle de l’arrivée à Livourne, du capi-
taine sarde Repeto. de la Pace, venant d'Amsterdam, .sur le-
quel on avait conçu tant d'alarmes.
MOUVEMENT Ol! !>OKT D’ANVEUS.
ARRIVAGES DU 12 DÉCEMBRE.
Le brick ang). Jabez . c. Hirk, d'Odessa, ch. de graine da
lin.
Après-midi. — Le koff han. Jonge Jacob, c. Veslée, d«
Riga, ch de graine de lin.
Lekoffhan. Vr.Aeltje.c. Freeriks de Ditsum ch. d’orge.
DÉPART DU 12 DÉCEMBRE.
Au matin : Le bat. à vap. belge Antwerpen , c. Britton,
pour Londres, ch.
POBTS ETBANGEES.
. HELVOET. renant de
déc. Jacobus, c. Romyn, Batavia
Vertrouwen, c Bakker, Bordeaux
Calharina-Cbarlotta, c. Christen. Riga
BRIEL. renant de
H* Uunkerqnoîs. c. Rozier, Dunkerque
HAMBOURG. V. S. venant rie
* déc. Pomona, c. Hinrichsen. Bilbao
7 Goede Verwngting, c. Tonnen, Amsterdam
MJK L’ELBÈ. renant rie
6 Christian, c Konig. Sl.-Tliom.rs
Johann-Christian, c. Krenckel, Bahia
BREME. venant de
1 3 Gebruder, c. Ulrichs, Arns'crdam
BOLDER A A. allant à
‘ no*. South-Esk, c. Beattie, Rollenhun
„ LONDRES. renant de
* Altwood, c. Major. Rotterdam
■h--Léonard, c. Redwood, Dunkerque
DÉCLARÉS A LA SORTIE, pour
r> r* Llancarly. c. Williams, Rotterdam
* iTnee of Saxe-Cobourg, c. Larid, —
* JBRISTOL. renant do
G real - West e r n ,e. U osk i ns, ( c n 14 j. ) N e w- Y or k
. . allant a
Cucretia. c. Holmes, Bordeaux
, UOWES. ui/nnt u
voue Maria, c. Roman, Rio
Adorateur, c. .Carb^au, Havre
FALMOUTH.
7 Helena, c. Breekwoldt,
GUERNSEY.
4 Sophie, c. Tardif!',
EXPÉDIÉ.
4 Sylph, c. .Manger,
H U LL.
7 Johanna, c. Salin,
7 Arit, c. Uiting,
LEITII.
4 Albion, c Turnbull,
LIVERPOOL.
7 Mettina Johanna,
EN CHARGE,
7 Lucy, c. Sharp,
Isabella.
HAVRE. V. N.
8 déc. Napoléon, c. Benard,
Louis, c. Mellanville,
Joséphine, c. André,
BORDEAUX.
7 St.-Esprit, c. Maillet.
ENTRÉS EN VIRIÈRE,
7 Minerve, c. Durand,
Amélie-Marie, c. .lego,
Hendrika Elisabeth, c
Gères, e. Gnyot,
BATI MORE.
19 nov. Culnare, c. Burabam,
allant à
Trieste
renant du
Hambourg
pour
Rotlerdam
venant de
Riga
allant à
Dunkerque
allant a
Rotterdam
venant de
Amsterdam
pour
Bordeaux
Havre
allant â
Guadeloupe
Sénégal
Guadeloupe
venant de
Dunkerque
venant do
Centre-Amérique
H amhourg
Helmez, Amsterdam
Terre-Neuve
a tin ni «
Rotterdam
NEW-ORLÉANS. venant de
10 nov. Vaillant, c. Bienvenu, Bordeaux
POINTE-A-PITRE. venant de
3 nov. Geneviève, c. Minguet, Nantes
4 Pomone, c. Brontin, Dunkerque
7 Clorinde, c. Collet, —
8 Courrier du Moule, c. Meric, Havre
Bellone. c. Troade, Cherbourg
12 Geneviève, c. Belleire, Nantes
19 Nestor, c. Avril, St.-Pierre-Miquelon
oLiant à
12 Clémentine, c. BregeOD, Marseille
16 Pomone, c.Broutin,Martinique et Dunkerque
>9 Aimable Paulin, c. Noari, Marseille
METEOHCIOOÔÏB.
Thermomètre. — 5.
Baromètre. — Beau-temps.
Etat du ciel. — Nébuleux.
Vent. - S.
Haute mer. — 1 l|2 b. de l'après-midi.
Basse met. — 8 h. du matin.
Lever du soleil. — 7 b. 54 m. du matin.
Coucher du soleil. — 3 h. 52 m. du soir.
Lever de la lune. — 3 h. 01 m. matin.
Coucher de la lune. — t h. Il m. du soir.
D. Q. le 8 à 11 h. 14 m du soir.
N. L. le 17, à 0 h. 40 m. du matin.
P. Q. le 24, à 3 h. 24 m. du matin.
P. L. le 31 déc. à 0 b. 53 ni. du malin.
PORTES BE XiA VII,ES.
Ouverture ; 5 '/» heures du matin.
Fermeture : 10 — du soir.
— Il i/’ — lesjoursdespectacle.
O UT > IV- J Vit BE 3FER . - UKUSF.S DES DÉPARTS.
de BRUXELLES POUR ANVERS ; à 7 h. 30 in., 9 h.
30 m , 11 h. 30 m. du matin; 1 b. 45 m. et 5 h.
du soir.
Passage â Malines : à 8 h., 10 h..midi, 2 h. 15m.
cl 5 h. 30 m.
de Bruxelles p. ans : 7 h.45 m.du m.et 2h rel.
Passage à Malines : à 8 h 15 m. et 2 b, 30 m.
— à Louvain : à 9 h. et 3 h. 15 m.
— à Tirlemont . 9 h. 45 m.et 4 h.
— à Waremme : 10 h.40 m. et 4 h. 50 m.
DE BRUXELLES p. tiulemont : 5 b. de rel.
PassageàMalines:5h 30m. — ALouvain:6b. 10m.
de Bruxelles p. ostende : 7 h 30 m. du matin.
Passage à Malines : 8 h.
— à Termonde : 8 b. 55m.
— à Garni : 10 b.
— à Bruges ; 11 h. 25 ni.
debruxelles p. gand : 11 h. 30 m. du matin et
4 h. 30 m. du soir.
Passage à Malines : midi et 5 h.
— à Termonde : midi 55 m. et 5 h. 55 m.
D’ANVERS r. BRUXELLES : 7 b. 20,9 h.20 m.,1 !h.
20 m. du matin; I h.45 m.,et 4h. ISm.dusoir.
Passage â Malines : 8 h., 10 b., 12 b., 2 b. 25 m.
et 4 h. 55 m.
(En coïncidence à Malines avec les convoi» par-
tant de Bruxelles.)
d'anyers p.ans : 7 h.20dum. et 1 h. 45 m.de r.
— p. ostende : 7 h. 20 m. du matin.
— p. Louvain et tirlemont ; 4h. 15m. r.
— p. gand : 11 b. 20 m. du matin et 4 h. 1
15 m. du soir.
d'ans p. BRUXELLES ET ANVERS : 8 h. 30 m. du
matin et 2 b. 45 m. de relevée.
Passage â Waremme : 9 h. et 3 b. 15 m.
— à Tirlemont : 9 h. 45 m. et 4 h.
— â Louvain : 10 h. 20 m. et 4 h. 35 m.
DE TIRLEMONT P. BRUXELLES, ANVERS ETOSTRJt»
de : 6 h 45 m. du matin.
Passage à Louvain : 7 h. 10 m.
D’OSTENDE P.BRUXELLESET ANVERS : 8 h. dam.
DE BRUGES P. BRUXELLES ET ANVERS : 8 b. 35 IB.
du matin.
Passages Gand ; 10 h. du malin.
— à Termonde : 10 h. 50 m.
d'ostf.nde p.gand; 11 h. du matin et 8 h.80 de r.
de bruges p. gand : Il h. 35 m durn.et 4 h.Sm.r.
DE GANDP. BRUXELLES ET ANVERS: 8 b. du maltjr
et 3 h. 15 m. dusoir.
Passage â Termonde ; 8 h. 50 m. et 4 h. 06 m*
DR GAND P. TIRLEMONT ET LOUVAIN : Sh.linU F:
— P. BRUGES ETOSTENDE: T h. 15 !D. dB
malin et 4 fi. 15 m. du soir.
DF. BRUGES p. ostend» : 8 b. 30 m. «ta q>. «M h.
30 ni. du soir. |