Full text |
il écrit, avec une harmonie grave, sonore, pleine
Antithèses, meublée pour les yeux qu elle étonne, pour
l’fianrit au’elle éprouve, pour l'âme qu’elle émeut. Onsent
Ans le choix, dans la djsposition.dans la mise en scène de
At intérieur pittoresque le produit nécessaire d une ima-
gination qui ne voit jamais l’idée sans l’image, qui sculpte,
pour ainsi dire ses seniiments. et dont la puissance créa-
trice ne se satisfait pas de l’impalpable.
je viens d’écrire un mot qui résuma tout Victor Hugo,
la puissance. Tempérament énergique, volonté indéraci-
nable. le poète aime la force et la communique a tout ce
tiu’il fait L’énorme, le profond, le splendide, l’éclatant,
c’est-à-dire la force dans la lumière et dans la couleur
comme la force dans le dessin et dans la silhouette, voilà,
non pas seulement ce qu’il choisit, mais ce qu’il cherche
d’instinct, naïvement, dans ses drames, dans ses vers, dans
gaprose, dans sa vie. , , . 4.4 ,
On discute ia solidité des sutets qui! met. en œuvre, des
péripéties qu’il dénoue. L’effroyable école des Paturots lui
en veut, comme elle on voudrait à Shakespeare, de la pué-
! rilité du prétexte qui amène une grande explosion dans ses
pièces. Mais une chose innbble et indiscutable pour tous,
! c’est là commotion que donne une page, une strophe de
lui tant le coup est fort ; c’est le reflet opiniâtre quo laisse
dans l’esprit l’image qu’on a vu3 passer, tant l’image était
fortement colorée ; c est l'élargissement des proportions
nus l’esprit communique aux choses, après que Victor
Hugo les a traversées, tant son raisonnement vêtu d’une
forte armure, fait une trouée puissante.
Son éc"itura rapide, écrasée pourtant, sa signature,.
massivecommeuneinscriptiongothique.oubienqu’il cloue,
comme les deux ailes d un grand oiseau, au bas de ses
nages : sa façon de po émique qui vise aux grands coups,
qui assomme au lieu d’égratigner ; ses moyens d’émouvoir,
qui vont jusqu’à l’extrême ; sa gaieté formidable qui remue
les entrailles avant le cerveau, comme le rire de Rabelais;
son lyrisme, à la fois ivresse et travail ; son érudition sa-
B vamment désordonnée : tout en lui, hors de lui, révèle un
tempérament qui s’épanouit, une force qui violento la grâce
sans l’anéantir.
On le croit brutal, ettoutàcoup l’énormité devient trans-
parente, s’iri«e aux rayons du soleil, s’évapora comme une
bulle dans l’air. Le granit s’ouvre pour laisser passer une
fleur qui embaume: la Bouche d’ombre sourit et apaise
les échos retentissants pour murmurer f
Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encore pleine.
Les contrastes, les antithèses qu’il cherche naïvement
dans ses œuvres par un besoin de nature, il les a dans son
génie. * ,
Il est dans la vie extrêmement solennel, et tout a coup
adorablement familier. Il aime les héros et en fait des co-
losses ; mais il aime les enfants et les chante mieux que per-
sonne. Gavroche sera aussi fort que Jean Val.jean, le gamin
que le géant, ou plutôt, il y a toujours du géant ramassé,
môme dans le petit. L’excès des mièvreries est encore une
surabondance.
Quand il ne soulève pas des montagnes, il remue des
nuées plus invisibles que celles d’Ossian. Rappelez-vous
certains passages des Travailleurs de la mer sur les tem-
pêtes^ dans lesquelles il raffine l’infini.
L’Océan est le voisinage le meilleur pour son cabinet de
travail. Cette immensité lé délia : il ne peut l’étreindre,
mais il la fait boire par un de ses héros, et Gilliatt s’im-
mobilise dans la mort, bouche béante, devant cette coupe
pleine.
La première fois que je lus Notre-Dame de Paris, je
restai frappé d’un épisode qui ne m’étonne plusaujourd hui.
Quasimodo, ce géant aocroupi dans un nain, prend un
homme par !e pied et l’écrase, en le faisant tourbillonner
comme une fronde, contre les murailles de l’église.
Ce que fait Quasimodo me paraît maintenant bien simple;
c’est ce que fait, au moral et parfois au physique Jeau Val-
jean, c’est ce que recommence Gilliatt dans les Travail-
leurs de la mer, c’est la force humaine poussée à son
paroxysme et luttant contre une force aveugle ou provi-
dentielle.
Un poète chétif, un travailleur malingre, un homme
malsain naubait pas de ces visions-là,au moins â l’état con-
tinu -
Mais, en accumulant la vie dans ses héros, Victor Hugo
veut en dégager l’idéal. U semblerait que son tempérament
dût se satisfaire de réalisme ; non. S’il ne recule ni devant
le mot précis, ni devant- ia chose réelle, il a une âme d’ar-
tiste pour se mêler à tous les appéuts de sa nature, et
l’union est tellement indissoluble du sens artistique avec
les sens physiques qu’on peut accuser l’écrivain d'exagéra-
tion, de violence, de monstruosité, de tout ce q"e l'on vou
dra, exeepté de platitude, de vulgarité II charmera tou-
jours, même quand il cessera de plaire, et il y aura tou-
jours dans ce qu’il écrira un détail pittoresque pour faire
excuser aux yeux des puristes un manque de goût dans la
conception.
L’originalité de Victor Hugo tient donc à sa sincérité.
Ses œuvres sont des arborescences de lui-même; il les
porte, comme le bon roi David, porte toute sa postérité,
dans les vieux vitraux d’église, sur un arbre couleur de
chair qui loi sort du flanc et qui montre à chaque branchage
un héritier levant les mains et chantant un psaume,
L’homme qui, dans sa jeunesse, dans ses débuts, à l’âge
où l’on veut sincèrement suivre sa voie, où l’on n’a pas
encore subi la pression des événements, disait de Mira-
beau : “ C’est une chose qui fait son bruit propre; c’est
une nature qui accomplit sa loi. » Cet homme là donnait
d’avance par un instinct du désir, par un appétit de voca-
tion. iafo-’inule de sou talent.
Parmi les mots dont on abuse, celui de maître est de-
venu banal. Je crois qu’il faut le réserver pour les grands
écrivains et les grands artistes qui s’attestent par l’origi-
nalité de l’inspiration plus que par la. psrfaction du pro-
cédé, et qu en bonne logique on doit appeler maîtres ceux
là. seulement qui ne peuvent avoir d’élèves. V'etor Hugo,
comme Delacroix,comme Balzac, s'affirme par des qualités
et par des défauts très en dehors, il semble facile d'imiter
ce pi toresqné provoquant ; mais il reste le secret, c’est-à-
dire l’expression étroite de l'individualité du maître. Voilà
pourquoi ces génies excentriques ont des admirateurs et
n’ont pas de copistes. C’est là l’honneur de leur talent et la
dignité de leurs amis.
Franc-Comtois, Victor-Hugo appartient à cette race d’en-
têtés qui ne sait ni feindre, ni se modifier, ni reculer. Ses
colères récentes ne le font même pas repentir de ses ado-
rations dangereuses. L’homme qui a chanté le retour des
cendres, l’Arc-ie Triomphe et ia colonne, garde son culte
qui devient, l'antithèse indispensable à son opposiiion pré-
sente D’ailleurs, il est bon de se souvenir qu’à une époque
où rien ne faisait présager les événements de 1848 et ceux
de 1851, en pleine Académie, le jour de sa réception,Victor
Hugo proclamait son admiration pour les six penseurs res-
tés debout en face de l’Empire d^ns l’univers agenouillé.
» Que représentaient, disait-il avec enthousiasme, ces six
esprit» révoltés contre un géDie, ces six renommées indi-
gnées contreun héros? Ils représentaient en Europe,la seule
chose qui manquât alors à l’Europe, l’iDdépendânce ; ils
représentaient en France la seule chose qui manquât alors
à la France, la liberté! » .
Dans la suite de son discours. Victor Hugo revient sur la
légitimité de cette résistance des poètes, des penseurs au
prestige des conquérants, à la force. Ne pourra-t-on pas
un jour débiter de nouveau ces paroles devant l’Académie,
quand on aura à étudier l’attitude politique du solitaire de
Guernesey?
Victor Hugo, le poète, l’écrivain, l’artiste, l’orateur politi-
que est donc absolument semblable à l’homme du foyer, au
père de famille, â l’ami. Cette nature robuste ne. se divise
pas. De la, dans l’intimité, un afflux de sentiments cor-
diaux, une expansion pleine de rires sonores, de conversa-
tions hautes, de discours écoutés à table.
M. Sainte Beuve, qui a été l’ami de la vingtième année,
le camarade des premiers combats, et qui, à la grande soi-
rée à'Hernani, a la première, avait son rôle et son porte
(qu’il eût bien repris, par parenthèse, à la fête de juin der-
nier). M. Saint Beuve, à propos de cette puissante organi-
sation. de ce tempérament de Victor Hugo, me racontait
ce qui suit :
Quand il écrivait Notre-Dame de Paris, le poète ne se
lassait pas d’aller visiter avec ses amis ia vieiileéglise ; il
en prenait possession tous les soirs On descendait, en été,
après le dîner, de la rue Noire Dame-des-Champs : on dé-
sortait en rebelles romantiques le vieux Montparnasse, et
on se hâtait d’arriver à ia cathédrale avant le coucher
du soleil. Ceux qui no faisaient pas la roman trouvaient
bien que ces visites étaient un peu trop fréquentes, et,
comme il fallait, tous les soirs, monter au haut ii’une des
tours, ils soupiraient bien intérieurement en s’engageant
dans la cage de l’escalier. .
Mais Victor Hugo, leste, ingambe, avait hâte d’atteindre
au sommet; il les entraînait après lui. Quand on était
ià-haut, si près du ciel, si loin des hommes, il y avait un
dégonflement de toutes les poitrines, nne extase générale,
en face du soleil couchant. On oubliait ses fatigues, on
s’épanchait en prose, en vers : on tendait les bras à l’ave-
nir; on se croyait déjà célèbre, parce qu’on dominait
Paris. Victor Hugo s’accoudait et regardait ; il aspirait
l’âme de la vieille cité. Les hirondelles voletaient sur le
front de ces poètes, qui ne descendaient qu'q la nuit close.
Où sont aujourd’hui les néophytes? Sur quelle tour vont-
ils regarder venir l’inspiration.
Un soir, et je ne cite ces ascensions que pour arriver à
ce détail, Victor Hugo se tourna du côté de l'Arsenal, et
dit â ses amis :
— Je vois Charles Nodier qui se met à son balcon ; il
n’est pas seul, il a avec lui deux personnes, deux dames.
L’une est sa fille ; je ne connais pas l’autre
Malgré leur confiance dans le poète qui les faisait monter
si haut à la même échelle, tous les soirs, malgré leur ad-
miration pour l’excellence d.; ses facultés physiques, ses
amis sourirent avec incrédulité. Mais, une heure après,
quand ils entraient dans est aimable salon de l’Arsenal qui
appartient à l'histoire littéraire de 1830, ils obtenaient la
preuve que Victor Hugo avait bien vu, ses petits yeux
infaillibles ne l’avaient pas trompé.
Faut-il ajouter à ce tour de fores un renseignement sin-
gulier? Le poète, qui porte aujourd’hui toute sa barbe
grise, mettait de la coquetterie autrefois â ne pas carder
sa barbe noire : or, son barbier prétendait, en le rasant,
trouver plus de besogne que sur un autre visage et assu-
rait quo chaque bulbe pileux contenait trois poils au lieu
d’un, ce qui ébréchait les rasoirs.
Cette anecdote fera sourire; mais je la confie aux cri-
tique» modernes qui associent l’analyse littéraire à la phy-
siologie et qui veulent tout conuaitre de la nature maté-
rielle d’un poète pour mieux connaître sa nature idéale.
Victor Hugo aime l'exercice comme il aime ls travail.
L’hygiène a une par' énorme dans sa vie ; il seut bien qu’il
abdiquerait en souffrant et que la santé est pour lui, plus
que pour tout autre, la condition du talent. De là, des
habitudes régulières, une nourriture forte, nulle veille
inutile : il se couche de bonne heure, mais il est ltvé avec
ou avant l’aurore. Balzac a fait de son labeur un suicide ;
Victor Hugo doit au sien la vie pleine, la sève abondante,
la frondaison de ce commencement d’automne qui n’est
encore que la fin d’un été.
Il a l’hospitalité chaude, l’étreinte de la main robuste :
on se sent un homme avant de se souvenir qu’on est chez
un grand homme.
Je n’ai garde de manquer un prétexte pour aller le voir,
et quand je n’en ai point d’accidentel, j’en trouve un per-
manent : mon vif désir, ma fidèle amitié.
. - LOUIS ULBACII.
BULLETIN TELEGRAPHIQUE.
Londres, 6 janvier.
On croit que le chef fenian, M. Deasy, qui avait été
délivré à Manchester en septembre dernier, avec vio-
lence, a été arrêté au pont de Londres, à bord d’un
bâtiment venant de Palerme.
Les précautions continuent à Dublin et à Cork.
Berlin, 6 janvier.
La Gazette de la Croix annoncô que M. de Goitz
retournera à Paris demain matin.
Ratzbourg, 6 janvier.
Un arrêté royal ordonne dans le duché de Lauen-
bourg l’introduction des lois du Zollverein.
Florence, 6 janvier.
Les nouveaux ministres ont prêté serment entre les
mams du Roi.
Shanghai, 7 décembre.
Une révolution politique a eu lieu au Japon. Le
Taïcoun a résigné ses fonctions. En résumé, les rela-
tions étrangères ne sont pas affectées par ce chan-
gement.
L’ouverture des nouveaux ports sera probablement
ajournée de quelques mois.
New-York, 26 décembre.
Un télégramme de Washington dit que le bruit rela-
tif à uu8 réduction de l’armée est dénué de fonde-
ment.
Le général Grant n’a pas cru devoir recommander
cette mesure.
Le ministre du Chili à Washington aurait reçu
l’ordre de se rendre en Angleterre pour y remplir une
mission importante.
Le steamer Raleigh, parti de New-York il y a quel-
ques jours, a été incendié hier près de Charleston;
treize personnes ont péri, vingt-quatre manquent
encore. -
Elles ont été vues plus tard sur des débris du
steamer.
DERNIÈRES NOUVELLES.
Bureau télégraphique Havaa-Bullier.
Reuter.
Washington, 6 janvier (par câble).
Le Congrès a voté des résolutions remerciant le
général Sheridan et blâmant le président Johnson de
l’avoir congédié. .
Une autre résolution ordonne à la commission des
affaires étrangères d’intervenir immédiatement dans
le cas où des citoyens américains, seraient maltraités
par les autorités britanniques en Irlande.
Alexandrie, 6 janvier.
Une conflagration terrible a eu lieu à Hongkong.
Les pertes sont estimées à 800,000 dollars. Les affai-
res commerciales sont très restreintes.
Berlin, 7 janvier.
Les Chambres se sont réunies à 11 1/2 heures, ce
matin.
Liverpool, 7 janvier.
Le steamer Chrysotite, qui a quitté Fernambuco le
13 décembre, St-Vincent le 23 décembre, vient d’ar-
river. Il a souffert beaucoup du mauvais temps. Le
steamer Seine n’était pas encore arrivé à St-Vincent
au départ du Chrysalite. .
SaUetin des Bosrses,
AMSTERDAM, 5 Janv. — Société d’effets de 3 à 4 h. — Fonds
holl. dotte activa 2 S/2 0/0 52 9/16. 11/10 ; obfg. Port. 1853 37 5/8,
dito 1867 37 ; oblig. Russes 1864 à Amsterdam 5 0/0 82 1/2. mét.
autr. (mai: 1865 61 1/2 ; oblig. Turques dette générale 5 010 30 1/8 ;
Amér. 1882 6 0 0 76 3/8.
Dans les fonds américains seuls, sous l’influence des cours
défavorables de l’or, les affaires ont été passablement actives
à des cours en baisse.
paris. 6 janv. — Les cours se sont sensiblement améliorés
aujourd'hui. La rente, cotee au début à 68 55, finit à 68-777/2,
en hausse de 30 centimes.
Le mob. gagne 2-50 â 165 et l’Italien 57 1/2 centimes à 44-671/2,
après 44-17 1/2 au début.
loodres,6 janv. — Les fonds anglais sont fermes aux cours
antérieurs. Les Consolidés 921/4 à3/8 au compt. et à terme.Les
3 0/0 nouv. ont été faits de 92 à 3/c et réduits 92 à i/4.
Les fonds étrangers «ont calmas, mais fermes- Les Turcs 5 0/0
ont été recherchés et vendus de 3>- 5/8 à 33 ; Ru.-ses (1886) 87 1/4
à 88, Péruviens (1865) 67 1,2 à 3/4 et Brésiliens (1865/ 75 3/8 à 3/4.
Uépêebes télégraphiques.
BRUXELLES, 7 Janv * VIENNE, 7 janv.
(Cours d'ouverture.) | (Cour* d’ouverture.)
Métalliques .......1 47 1/8 ,Crédit mob. Autr.l 184 30
Nouv. métalliques; 461/2 |Lotadel860.1 84 30
Boas Amér. 1882.. ‘ 741,2 ! N nucléon d'or.. .1 967
LONDRES, 7 Janv. — (Cour* d’oaverturei.
Consolidés aagi...
Créd.fonc.intern
N. emp. Brés. 1865.
5/20 b. Amér. 1S82.
C-.de.fG!' ILUn.Aot..
» Erio »
Oonsoi.Tures 5 ü/0.
Domanial........
5 0/0 Mexicains ...
5 a/n er-M. i «94/25.
921/4 â 923/8j5 0/0 Grecs Coup..
----.------15 0/0 Russes 1862..
• 76 — ÎEsoagnol, passive.
• 721/4.5 0/0 Italiens..
• £91/2 / Chemin de fer :
Samb. et Meuse..
Rotterd.-Anvers..
Namur-Liége.....
Luxembourg .. -..
75 —
72
881,2
301/4 - 301/2
1538
12 -
15/8
121,2! Lom hards.
24 5'8 <
413/4
61/2
87/8
à - -
* 247/8.
42 —
7 -
91/8
133/4 - 137,8
FRANCFORT, 7 Janv. — (Cour* d'ouverture.) Ferme.
Emprunt national.1
Nouv. métalliques
Smp. Anglo-Âutr.
Lofa d’Autr. 1860..
531/8©
4î 1/8
705/8
(Lots d Autr. 1864..
Empr. Vénitien...
Gréa, mobil. Autr.
5/SOhnna Amér. 1882
751/2
18 ’ il
761/2
ANVERS, 7 Janv
Amsterdam.
Berlin.....
Cologne ....
Francfort..,
Gênes .....
Sambotu'g..
Londres
COURTS JOURS.
211
367 75
367 75
210 25 à 210 75
186 25
25 15
J___ _____| COURTS TOURS.
A Parfa.....
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Vienne.....1205 •-
Bruxelles...
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Gand ,
Liège.
99 871/2
ESCOMPTE........2 0/0*3 0/0 A
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Amsterdam—c/j.) 211 —
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25 171/2
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PARIS, 6 Janv.
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* 25 14
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2 P-
GSNB3, 4 janv — Amsterdam 60/J. 239 1/2 A. ; Londres e/j.
29-00 A.. 90/1. 28-85 A.; Paris 30/j. 115 1/8 A.. 80/j. 09000/ A.
milan, 2 janv. — Londres 3/m. 28 53 à 28-60.
sira, 29 déc. — Londres 32-70 à 0000/, France 1-29 1/2 a0-00.
smysrne, 27 déc.—Londres 1251,2a 127i/2,Mais.2011/2à£021,2.
TiuRS fR, 3 janv - Londres 3/m. 121-50F , Paris 3/m. 48-Ï0F..
Amsterdam Am. 101-35 F . Hambourg 3/m. 89-50 A
ESCOMPTES :
Belgique (banque nationale) ï 1/S â3 0/0, Ameterdajs 31,2, Pari*
2 1/2, Londres 2 0/0, Berlin 40/0, Vf ' ‘ ~ ............~ '
[Renne 4 0/0, Trieste 41/4 à 4 3 4,
Hambourg 2 3 4 â 3 1,4, Francfort 3 0/0 A., érfime 31/2, Lei
4 0/0, Munich ’ '
5 0/0, Copenhague 4 à 41/8, Florence 5 0/0, Gênes 8 0/U,
Madrid 5ü/0. Liabonn» 71/S. 80/0. Cmutantla. 14 Q'O
Lots de Hesse à fl. SSO de 18*55.
Les principaux prix suivants sont sortis au tirage des
primes qui a eu lieu le 2 janvier à Darmstadt :
N°27901.. fl.50000 "
40728..
66961..
18238..
19819..
20492..
21639..
24984..
55980..
10000
5000
1000
1000
1000
îooo
1000
1000
N° 62528.. fl.
100712..
110476..
127458..
1126..
18769..
19002..
25142..
29404..
1000
1000
1000
1000
400
400
400
400
400
N» 35086..
38105..
61234..
69305..
88424.. .
98447.. .
101315.. .
107522.. .
122292..
Série 717 N» 1.
» 2278 » 92.
» 1363 » 12.
» 1363 » 95.
n 2238 » 84.
» 951 - 6.
» 2236 » 98.
fl. 250000
40000
20000
5000
5000
2500
2500
e©ïae©5r®,a» ©t,©.
théâtre royal »’Anvers. — Mardi 7 .janvier. — La com-
mode de Victorine, vaudeville en 1 acte. — Si j’étais Rot ! opéra
comique en 3 actes.
Au premier jour: Le Voyage en Chine. — Incessament : Le
Prophète.
Bureaux à 6 1,2 h.; rideau à 7 h.
NATIONAAL TOONEEL VAN ANTWERPEN (Théâtre des Va-
riétés. — Woensdag 8 januarij, buitengewoons vertooning ten
voordeele van de heer Lenaerts, met de medewerking van den
heer Victor Driessens. — De Alt de l’Epée, geschiedkundig
toonealspel in 5 bedrijven. — Luibrechts en Spiegels, blijspei
in 4 bedrijven.
Opening der bureelen 5 3/4, begin ten 6 1/2 ure.
CAFÉ concert de la sodalité. — Direction de M. Moens.
— Mardi 7 janvier, première représentation de Mlle Aimée, des
concerts de Paris et de Mad. Buziau, chanteuse comique genre
Thérésa.
prestidigitation. — M. Bamberg, prestidigitateur, don-
nera aujourd’hui mardi une soirée, de 9 à 10 heures, au Robinet,
Plaine deMalines.
Logements militaires.
SOUSCRIPTION pour 1868.
Les bourgmestre et échevins informent les habitants qu,
désirent se libérer de logement militaire à domicile, dorant
l’année 1868, qu’ils seront admis à souscrire pour cet objet
au 2me bureau fferhôtel-de-ville, àdaterdece jour jusqu’au
lr février prochain. .
La rétribution, fixée à 15 francs par deux hommes, sera
payable moitié avant la fin de février, moitié avant la fin
d’Avril de l’année courante..
Adjudications. .
— Le 15 janvier,/) midi, à la station du Nord,à Bruxelles,
entreprise de la fourniture d’objets de matériel d’incendie,
nécessaires au service des chemins de fer de l’Etat..
— Le 15 janvier, à midi, à la station du Nord, à Bruxelles,
entreprise, en 10 lots, de la fourniture de 6000 pièces oha-
cnn, de 60,000 billes de chêne, à déposai par moitié dans les
chantiers d’Ânvers et de Gand pour l’entretisn du railway
en 1869.
— Le 15 janvier, à la station du Nord, à Bruxelles,
entreprise des travaux et fournitures d’ameublement et
autres â exécuter à l’hôtel des postes, rua de Nirny, à
Mons.
— Le 16 janvier, a 9 h , à la maison communale delaBou-
verie, entreprise des travaux ua construction et d’appro-
priation des bâtiments d’école, et de la fourniture du mobi-
lier classique; — estimation fr. 18,627.
— Le 20 janv., à midi, au gouvernement provincial, à
Liège, entreprise des travaux pour établissement de murs
de quai sur la rive droite de ia dérivation de la Meuse aux
abords du pont d’Amercœur à Liège.
— Le 22 janvier, à midi, à la station du Nord, à Bruxel-
les entreprise, en 5 lots, de la fourniture d’objets divers
destinés au service de lignes télégraphiques de l’Etat.
— Le 10 janvier, à midi, au gouvernement provincial à
Anvers, entreprise des travaux de pavage à exécuter en
vue de l’amélioration de la grande voirie, à Anvers, dans
la rue Carnot; à Lierre, dans la rue de Bois-le-Duc.
— Le 15 janvier, a midi, â la station du Nord, à Bruxel-
les, entreprise de la fourniture d’objets de matériel d’incen-
die. nécessaires au service des chemins de fer de l’Etat.-
— Le 22 janv., à midi, à la station du Nord, à Bruxelles,
entreprise en5 lots d’objets divers destinés au service des
lignes télégraphiques de l’Etat.
— Le 22 jap vier, à midi, à la station du Nord, à Bruxelles,
entreprise en 33 lots de la fourniture de drap pour dili-
gences, peaux de Chèvre maroquinées, mérinos, tô le à
voile de 60 centimètres, galons, ressort de choo et de trac-
tion, tendeurs, pupitres, nécessaires au service des che-
mins de fer de l’Etat.
— Le 22 janvier, à midi, à la station du Nord, à Bruxel-
lès, entreprise en 2 lots de la fourniture de 30,000 lcilog.
d’huile de boghead, pure et sans mélange, propre au grais-
sage les locomotives, tenders, voitures, etc. nécessaires au
service des chemins de fer de l’Etat.
— Le 29 janvier, a midi, à la station du Nord, à Bruxelles,
entreprise en 10 lots de la fourniture de 4900 pièces de bois
de chêne pour exentriques, plaques tournantes, croise-
ments et traversées de voies, necessaires au railway de
l’Etat en 1868.
— Le 30 janvier, à fl h., au gouvernement provincial à
Arlon, entreprise des travaux de construction de la pre-
mière section de la route de Houffalize à la frontière de
Prusse par Taverneux, Sommerain, Chérain, Sterpigny, la
station de Gouvy du chemin de fer concédé de Spa, à
Luxembourg et par le village de Beho. -
— Le 9 janvier,à 11 h. à la Station de Courtrai,entreprise
des travaux de construction d’un dalot en maçonnerie et
d’établissement de perrés à proximité de la station de
Blandain.
— Le 9 janvier, à il heures, au gouvernement provincial
à Arlon, entreprise des travauxà exécuter pour remplacer,
par un pavage neuf, l’empierrement d’une partie de la route
d’Arlon vers Longwy. comprise entre l’extrémité du pavage
à Arlon et la bifurcation de la route provinciale, vers
Mersch. — Estimation : fr. 5,850 ; cautionnement fr. 300.
fl. 400
» 400
» 400
» 400
» 400
» 400
» 400
» 400
» 400
Lots d’Autriche à fl. ÎOO de 1SÎ5S.
Les 14 séries suivantes, de 100 pièces chacune, sont sorties
au tirage qui a eu lieu le 2 janvier â Vienne :
147 717 920 1253 1383 2255 3036
260 740 951 1363 2236 2278 3452
Au tirage des primes fait immédiatement après, les prin-
cipaux prix ont été gagnés par les numéros suivants :
Série 3452 N» 93.....fl. 1500
920 » 79..... » 1500
1253 » 58..... » 1500
717 » 97..... » 1000
1383 » 80..... » 1000
260 » 19..... » 1000
PARTIE COMMERCIALE
Place d’Anvers du If Janvier.
BOIS DE (TEINTURES. — Marché sans changements.
On a vendu ces jours derniers, en diverses parues de la
cave, 15,000 kilos campêche Saint-Domingue et 20,000 kil.
bois jaunes de diverses qualités.
CAFES. — Sans affaires de gréa gré aujourd’hui, toute-
fois le marché reste très ferme.
Eu vente publique, on a exposé cette après-midi, 1350 sacs
café Bahia avarié et 2361 sacs café Haïti sain et avarié, pro-
venant de diverses importations en droiture. Nous donne-
rons demain le résultat de cette enchère.
CEREALES — Le marché pour froment reste par con-
tinuation ferme, toutefois les affaires sont entravées par la
ténacité des détenteurs.
La seigle de Marianople a été payé fr. 31 entrepôt par 100
kilos.
En orges et avoines, nous p’avons de nouveau pas eu
connaissance d’affaires aujourd’hui.
GRAINE DE LIN.—A semer de Riga, sans changements
dans les prix et en demande régulière pour la consomma-
tion. On a payé aujourd’hui fr. 45 1/2 à 46 par baril pour la
graine ordinaire et jusque fr. 53 pour les puych,
CUIRS,—On a vendu aujourd'hui les quantités suivantes:
CUIRS SALÉS SECS DU BRESIL.
— ..... 201 Maceie, 11 k., p. st. Lisboa, à 25 c.
CUIRS SALÉS DB MONTE-VIDEO.
Solde n8 374 357 v/s, 22 7/8 k., p. Egret, à 28 1/2 c.
LAINES. — La demande pour cet article continue bonne
à des prix soutenus. K s’est encore ainsi vendu aujourd’hui
119 balles laine de la Piata et 44 balles laine du Cap de
Bonne-Espérance.
On a exposé en vente publique, hier après-midi, 81 bal-
les laine avariée de Buenos-Ayres.et dont 11 b. de la nou-
velle tonte, provenant toutes de récente importation indi-
recte par le steamer Harwïch. Les prix d’adjudication ont
roulé de fr. 1-45 à 1-65 par 1/2 kilo, suivant qualité et de-
gré d’avarie.
PETROLE. — Le marché pour pétrole raffiné d’Amé-
jique, a de nouveau été calme aujourd’hui.
Le disponible demi-blanc a valu fr. 44et|blanc,depuis fr. 45
jusque 48 suivant nuance. On cote actuellement le demi-
blanc fr. 44 ; le blanc type fr. 45 1/2; te beau blanc fr. 46 à
46 1/2 et le blme eau fr. 47 à 48 par 100 kilos.
Sur livraison courant de ce mois, on a payé fr. 45 et ce
prix reste encore demandé.
Sur février il y a vendeurs à fr. 46 par 100 kilos.
SAINDOUX. — Marché ferme. En diverses petites par-
ties, on a vendu depuis hier, à la consommation,55 Gerçons
saindoux Wilcox disponibles, à des prix très fermes.
SUIFS. - Nous avons appris les ventes, faites ces jours
derniers, de 100/2 pipes suif de moutons, par Orion et de
100 2 pipes suifde bœufs et de mouton, par Rosario.
TABACS. — N on s apprenons la vente, de première main,
de 67 bouc, tabac Kentucky, à prix très fermes.
DÉPÊCHES COIHERGIALES.
Service de. P agence havasbullieh-relteh.
S°aris, 7 janv. — FARINES 6 marq. (1.159 k.esc, 1/J 0,0.
6 janv. 7 janv
Disponible et courant du mois. 90 50 90 75
Janvier-février.......... 90.50 90.75
4 premiers mois.......... 90.75 90 75
FARINES type-Paris (les 100 kil. nets.)
Disponible et courant du mois, 54.75 55. —
4 premiers mois........... 65 — 55.25
HUILE de colza (les 100 kil. (esc. 10/0).
Disponible et courant du mois. 93 — 92.75
Avril.................... — — —
4 premiers mois.......... 94. — 94 —
4 mo.s de milieu......... 94.50 96.50
HUlL • de lin (les 100 kil. esc. 2 0/0).
Disponibl et courant du mois. 95.— 95 —
4 prem ers mois.......... 95.50 96.50
SUCRES bruts (100 kil. bonne 4» n° 12).
Disponible et courant du mois. 56.50 56.50
ESPRIT 8/6 Nord fin (l’hecî. 90 degrés. Esc. 1 C/0.)
Disponible et courant du mois. 64 — 64.50
4 mois d’été.......... ——.—
4 premiers mois.......... 6s 50 69 —
Liverpool, 7 janv. — Cours d’ouvert. — COTONS :
Ventes probables 8,000 balles. Marché calme.
Le paiement des gains se fera le U juillet prochain.
Kew-York, 6 janv. (soir.) - ’ ar câble transatt
COTON : Middlmg Upiand 161/2 cents.
PETROLE : Brut — cents ; raffiné 24 1/2 cents,
Chature : Sur Londres 11Ö.-— Cours de l’OR 135 3/8.
Fonds publics : Bonds amér. 5-20 (1882) 108 1/8.
À cl. fin chemin de fer Illinois 132 1/2 ; 6° Rrio 73.
essmwscS particbuer,
Adossa, 4 janvier. — CEREALES : La tendance du
marché est meilleure et les prix sont fermes.
On cote : Froment Ghirca, le tsch. de 10 puds, 13-75
Rs. — Seigle. 9 puds, 9-50 Rs.— Orge, 7 puds, 6 Rs.
— Avoine 5 puds 4-75 Rs.
GRAINE de lin : 8 puds 13-12 Rs.
Changes : Sur Londres 724 1/2; s/Marseille fr. —.
Frets: Pour l’Angleterre 47 l/2s.; pour Marseille
fr. 3.
Rfew-York, 5 janvier. — COTONS ; Les recettes
télégraphiques de la semaine, dans tous les ports de
l’Union, s’élèvent à 104,000 balies, contre 98,000 balles
la semaine précédente. — Il a été exporté, pendant le
même temps, pour l’Angleterre, 26,< C0 balles contre
50.000 bal. la semaine précédente ; pour le Continent
8.000 b. contre 7,000 b. et pour d’autres pays 14,000 b.
contre 16,000 b. — Stock dans tous les ports de l’Union
356.000 bail,, contre 334,000 b. la semaine précédente.
On cote aujourd'hui le middling, sur place, 15 1/2
cts ; à Mobile 13 1/2 cents et à New-Orléans 14 1/2 cts.
TEL33GRAMM ES ET AVIS PARTICULIERS.
MSruaceStes, 6 janv. — SUIF : Le suif en branche s’est
vendu de fr. 0-82 à 0-88, le kilo, soit en baisse de 6 c.
Grasnmont, 6 janv. — Voici les prix du marché :
Pommes da torrs tt. 13 85 h.
0 85
1 fiO
1 C0
0 05
D 00
froment. .1C0k.fi. 34 'JO b. 0 50
HéSs‘1.......» 87 00 b, 0 50 Graine do coïr.a . . 39 00 h
Seigle.........j 25 00 b. 0 50 » de lin ... 38 60 h.
Avoine ..... » ?l C0 b. 0 6) Beurre, la kil, . . 2 *o h.
Tèveroleî , ...» 28 00 h. 0 C0 CKufs, les 25 . , . 8 26 b.
LIN brut : On cote fr. 1-62 par kilo.
TOILES : Pièces exposées en vente 24. vendnes 16.
TABAC : 1" quai. fr. 70, 28 fr. 48, 3* fr. 32, les 50 kil.
6 janvier. — Voici les prix du marché : .
Froment, 100 kil. fr. 4') — A 41 — ( Bpèautre . . . . fr. 2f> — à “6 —
Seigle , ...» 28 — > 29 — 1 Escourgeon...» 29 — » 39 —
Avoine . SI — » 22 — I Orge.....- » 27 — » —---
Amsterdam, ôjanv.—CEREALES : Froment et seigle
disponibles sans affaires. Seigle sur terme faible; s/mars
fl. 202 à 203 ;sur mai fl. 306 à 305; sur juin fl. 303.
GRAINE de colza plus faible ; sur avril 67 1/2 L argent,
68Lpap.;sur oct. 68L.
HUILE de colza faible; disp. fl. 36 1/2 ; sur l1' mai fl.36;
sur automne fl. 37. Huile de lin en baisse ; disp. fi. 34 3/4 ;
sur printemps fl. 35 1/2.
Aille, 6 janv. -- FARINES : Fr. 56-00, les 100 kilog.
SPIRITUEUX : 3/6 fie de betterave fr. 63-75 à 63-50, de
mêlasse fr. — à —, de grains fr. —, i’hect. 90 degrés.
SUCRES bruts indigène : On cote fr. — à —, la bonne
4m8 : en pain, 6 k., n8 1. tr. 127 à 128.
HUILË8, par hectolitre :
Colza indigène... 83 f0 4-----
» épurée....... 89 50 »------
(Silletts rousse.. — — »------
Lin indigène....--------------
• étrang.....--------» — —
Camélias...............» — —
Chanvre............... »------
GRAINES, psr aeetolftre :
Colza............ 23 - à 25 50
CEillette .. 33 - 43
Lin indigène,..., 87 50 à 30 —
= étrang......20 — » 28 —
Camalins...... 15 — » 20 —
Chanvre........ 14 50 » 15 50
TOURTEAUX, par 100 kiî.:
Colza....... 14 £0 à 13 —
(Eillette.... 16 — » 17 —
Lin indigène .... 27 — » 28 —
» étrang......g3 _ » 35
Camelina ........ 14 — * 14 50
Chanvre 18 - 14
B^ar is, 6 janvier. — FARINES : Les affaires ont eu-peu
d’animation pendant toute la journée; les cour, toutefois
sont bien tenus, pour le livrable principalement. Le cou-
rant de mois est resté à 90-50, avec quelques offres et quel-
ques acheteurs à 90-25. 3 mois de février étaient demandés
a 90 50, et tenus 90 75.
On termine lajournée comme suit : Courant de mois 90-75
à 90 50 ; fév. 90-75 ; mars et avril 90-75.
Le type Paris courant de mois 55 25 ; le livrable jusqu’à
fin avril plutôt demande qu’offert de 55-50 à 55-75.
La farine de consommation est bien tenue de 88 à 93 fr.
le sae de 159 kil., octroi de 2 fr. en plus à la charge des
acheteurs.
Les ventes par facteurs s'élèvent à 160 qlx,parmi lesquels
figurent 39 qtx farines à livrer au prix extrême de 90 fr.
Le cours moyen à lahalle est de 57 fr.
7/BLKS : Les marchés de samedi ont été très-médiocrement
approvisionnés. Il y a en moyenne 50 c. de hausse sur le
blé ; les avoines accusent une tendance un peu plus ferme,
pour les qualités de choix principalement, d’ailleurs assez
peu offertes.
HUILES : Da colza disp 93 fr., courant du mois 93.
février 93-50, 4 premiers 93-50, 4 mois chauds 94, 4 der-
niers 94-50 fr. De lin disp. 95, courant du mois 95 fr.,
février 93-25, 4 premiers mois 95 50. 4 mois chauds 98 fr.,
le tout aux 100 k en tous fûts entrepôt.
SPIRITUEUX : 3/6 du Nord en disponible 63-50 à 64 fr.,
courant du mois 63-50 à 64 fr., 4 premiers mois à 65-50 fr.,
4 mois chauds 68 à 68 50 fr. — 3/6 du Languedoc disponible
94 à 95 fr. — Le tout par hect. en entrepôt.
SUCRES : Les sucres bruts indigènes disponibles 56 50,
courant de mois 56-50 fr., février 57-50 fr., .4 mois de
janvier 58 fr. les 100 kil:, type n. 12, au droit de 42 fr.
Mavre, 6 janv. — Par télégr. — COTONS : Ventes, 800
balles ; demande bonne et régulière. Marché ferme.
BLES : Importations, 5,000 h. d’Odessa.
CAFES : Ventes, 300 sacs Wynard; prix sans changera.
Autres articles calmes.
Marseille, 6 janv. — Par télégr. — BLES : Importa-
tions, 57,000 charges. Les nombreux arrivages arrêtent les
opérations et rendent, le marché calme.
COTONS : Jmnel, 95.105 et 110 fr. les 50 kil. Ventes,U0 b.
Stock général, 12,500 balles. * -
HUILES : Sans changement.
TOURTEAUX : Lins, 20 fr. les 100 kil.; colza 11 fr.; Ra-
vison. 10-25.
Valenciennes, 4 janv. — SUCRES; Les affaires se
maintiennent sans changement dans le cours 55 f. n. 12 non
analysé, 56 à 57 même numéro analysé. L’exportation prend
les sucres de 7 à 9 de 52 à 54 fr.
• Le livrable ne provoque aucune opération, les détenteurs
mettent plutôt en entrepôt et en magasin.
La fabrication arrive â sa fin sur tous les points, la fin du
mois verra probablement le chiffrejde la fabrication; il est
presque certain qu’il se nivellera avec celui delà campagne
dernière.
Mulhouse, 4janv. — TISSUS et FILES : Pas de chan-
gements sur place ; affaires toujours calmes; prix fléchis-
sans.
On cote aujourd’hui :
— pièces 60 portées 16 fils 28 3/4 à — 0/0 cent.
— x — x 16 » — 0/0 » — 0/0
— » — » 18 » 30 J /2 x —, 0/0
— x — » 20 » 31 1/4 » SI 3 4
— » 68 8 20 » 34 1/2 « 36 0/0
— » 70 « 21 » 37 1/2 » 38 1/2
K,ondres,Q janv. — SUCRES : Il a régné peu de de-
mande au jourd hui, toutefois les prix se sont soutenus.
Samedi il s’est traité 150 bqs Barbade, la plupart à 35s. et
300 s/s Jaggery graine à 27s 9d. A livrer un chargement de
2152 c/s Havane n° 10, par Clementina, a été traité à 24s,
pleine assurance, poûr le R -Uni.
Recettes de la semaine 832 tons contre 2475 ; délivraisons
24571. pour la consommation contre 4304, et 396 t. pour
l’exportation contre 90 ; stock à ce jour 64618 tons contre
87695 l’an passé.
RAFFINES • Marché calme à 42s pour communs h— ns.
CAFES : Marché calme par suite des fortes ench es
annoncées pour cette semaine. A livrer on a vendu s, edi
dernier un chargement de 3177 sacs Rio good Ch el,
par Viaandier, pour un port voisin, à prix secret, : me
d’avarie particul. Aujourd’hui on note un chargem ■ de
3500 s/s Rio fair Channel, par Johanna pleine ass. et ; de
3420 s/s Rio good Channel, ass. mélangée. Les prix [ e/és
pour les chargements Rio sont, dit-on, de 388. 6d à 31 6d.
Recettes delà semaine 1066 bques 2364 bar. et sae , dé
livraisons 309 bques 478 bar et sacs pour la sonsommation;
279 bques et 556 bar. et s/s pour l'exportation.
RIZ : Un peu plus recherché et prix fermes ; on a cité la
vente de 4000 sac» Basseinà 12s., a courte échéance. En
nouveau riz de Bengale les ventes faites jusqu’à samedi
comportent 250 tons, si beau riz de table à 15s. 6d. et 15«.
7 l/2d. et si riz de table à 15s.et 15s. 1 l/2d. débarqué En
outre on note 100 tons Askoolie Bengale, nouvelle récolte,
à livrer, à 13s. débarqué.
Recettes de la semaine 1594 tons contre 100 ; délivraisons
966 tons contre 562 pour la consommation et l’exportation
et stock 17,266 tons contre 29,764 l’an passé.
SALPETRE : Fermement tenu : un lot 5ffi Bengale a été
traité a 19s. 9d. compt. Recettes delasemaine 214 t. contre
65 ; délivraisons 232 tons contre 156 ot stock 8329 t. contre
10,646 l’an passé.
CACHOU de Pôgue avec des affaires modérées au prix de
50sh. .
GRAINE de lin : Ferme ; on a vendu 100 tons Calcutta
disp, à 68s. En graine de navets on a écoulé en partie 3180
qters Calcutta de 43 à 46s., ord. 86s. 3d. à 36s. 6d., bonne qté
retirée à 51s.
METAUX : Zinc ferme ; 75 tons commun disp, vendus à
£ 20-10. Etain calma ; ou note de petites ventes à 87s. Cui-
vre lourd et calme à 52s. 6d. comptant.
HUILES : De lin calme et en baisse ; disp. 34s. 6d à 34s.
9d., à Hull 33s. 6d. à 33s. 9d. Navets calme à 35s., 4 pre-
miers mois â 36s. 6d. Coco et palme sans changements.
D'olive plus lerme ; 50 tons Séville vendus à £.65.
ESSENCE de térébenthine : En meilleure tendance ;
franç. tenue à 28s. 6d. et amér. à 28s. 3d.
PETROLE: Calme da ls. 3 l/2d.à ls.4d.,un chargement
de 1200 barils a été traité au prix de ls. 3 l/2d.
SUIF : Marché en meilleure position; disp.et s/mars 43s.
3d., s/mars 43s. 9d., avril juin 43s. 9d., oct./déc. 44s. 6d.
1S6S 1867 1*68
Sioefc cfl jour............
Déüvr. délassai, dernière.
Dito du 1 juin........
Arrivages de ia toro. dern.
Dito du 1juin.............
Prix du St-Pét. (ce jour)..
D- da ville vendredi dèrn..
Bqa 48 06
» -3203
> 70929
> 1642
» 86602
*7s.6d.iriSs.
49Sid.
46BS4
1606
59 Ml
258
774C0
45s.6d.
4fe'6d.
39138
1472
48834
1210
69311
43s.
41s.Sd.
CEREALES : Le froment anglais était peu offert au mar-
ché et a trouvé un prompt placement à des prix en haï sse
de 3 à 4s. sur les cours de lundi passé. Pour froment il s’est
manifesté aussi plus de demande et un bon courant d’affaires
a été conclu en dernier lieu, notamment dans les belles qua-
lités à une amélioration de 2 à3s. sur les avis d’il y a 8 jours.
— La farine de ville est sans changement, par contre les mar-
ques de campagne ont haussé de 2s en valeur. Les farines
étrangères ont donné lieu à un bondébouché et les prix sont
en hausse de ls. par sac et 6d. par baril. — Pour orge
tant à brasser qu’à moudre il a régné plus de demande à
une amélioration de 6d. â ls. par qter pour les deux sortes.
— En avoines les belles qualités ont été vivement recher-
chées et les prix sont en hausse de 6d. — Fèves sans chan-
gements. — Pois blancs en hausse de 1 à 23. On cote :
GRAINS
FKOMENT.
Sh.p.qtr,
Essex of Keiit blanc nouv.. 78 à 82
D° beau suranné......... 89 » 86
Dorouge nouveau.........71 p 76
D» vieux............... 78 > 80
Norfolk , Lincolnshire et
Yorsh. rouge nouv..... 73 p 75
D» vieux...............76 t 78
ANGLAIS.
AVOINE.
Sh.p.qtr.
Angl. à fourrages........ 28 à 29
D’Ecosse p ............. 32 » 33
D'Irlande » blancB... 26 p 27
» p belle qté 30 p 31
‘ » noire... 25 p 26
FEVES.
Mazagan................. 45 à 46
A pigeons............... 66 p 60
POIS.
Nouv. blancs chiches....50 i
Gris.................... 46 ,
FARINE.
De ville par sac........ 62 k
De campagne............. 6î *
ETRANGERS.
FROMENT. Sh.p.qtr.
Dantzig mélangé.........86 à 87
ORGE.
A brasser................. 40 k 41
A moudre.................. 37 p 38
Chevalier nouv.............46 p 48
A distiller................40 » 42
62
47
64
Oi
haut mélangé.... 88 p 89
p extra.............90 p 91
Königsberg.............. 78 • 79
» extra.............79 p 80
Rostock...................77 p 78
p beau...-.,.,......78 p 79
p extra.............80 p 82
Amérique rouge........ 72 p 75
» blanc.............78 p 80
Pommér., Mocklembourg et
Uckermark rouge........76 p 78
Silésie rouge.............76 p'78
p blanc............ 78 p 80
Danemark et Holstein.... 73 p 75
Russie dur............... 66 p 67
France................... 75 p 76
* ’ blanc............78 p 79
St-Pétersbourg et Riga.... 69 p 72
Rhine et Belg............ 72 p 78
ORGE.
A moudre................. 36 à 37
A distiller.............. 39 • 40
AVOINE.
Sh.p.qtr.
Holl. à brasser etPologne. 28 à 29
Dito à fourrages.........25 > 27
Danemarc et Suède à four. 25 p 28
Stralsund............... 25 p 27
Russie.................. 28 p 30
FÈVES.
Frise et Holstein........45 p 46
Königsberg.............. 44 k 48
Egypte................. 43 p 44
POIS.
A fourrages............. 46 à 47
Bons chiches............ 47 p 48
MAIS.
Blanc................... 50 à 52
Jaune................... 50 » 61
FARINE.
De France par sac........55 h 67
Eepagne p • .............56 p 58
Américain par baril.....33 p 36
p extra............. 37 » 39
La cote officielle des arrivages à Londres, tant
par mer du~~ "
_ . . ar terre que
u 30 déc. au 4 janv., signale les quantités suivantes ;
Froment.........3811 qrt. d’Angleterre, 17910 qtr. de l’étranger.
Orge..............3217 p p . 1160 p , »
Malt.. ....... 17444 » » — p x
Avoine......... . 3495 • p 64856 p p
Fèves ....... — » p — a p
Pois ............... — p p — a p
Fppîr.n . 17169 «ne» - 2847 tm l« 3356 «ne»
HOUBLONS : Il se fait peu d’affaires, toutefois les prix
actuellement très réduits attireront bientôt l’attention des
consommateurs et provoqueront une meilleure demande.
Aiverponl.o janv. — Par télégr. — COTONS - On a
vendu aujourd’hui 10,000 b. dont 15000 par spéculation et
pour l’exportation. Les ventes comprennent 3500 b. Améri-
que de 6 â 8 d.; 1000 Fernamboucde7à 7 3/8d.; 100 Maran-
nam de 7 3/8 à 7 l/2d,; 300 Bahia de 7 à 7 l/4d.; 700 Santos
de 6 3/4 à 7 3/8d. ; 500 Egypte de 7 à 12 l/2d.; 300 Pérou de
6 3/4 à 7 3/4d. et 3650 Surate de 4 1/2 à 6 3/4d. — Importa-
tion! du jour 4648 b.
Nouvelles d’Amérique.
Par steamer union .
IVew-Vork, 26 déc. — ALCALIS: Le marché reste
calme,toutefois les prix ont peu varié. On a payé la potassa
8-25 à 8-50 S- Perlasse nominale et sans affaires.
COTONS : Pendant la première moitié de ia semaine
sous revue, il a régné une active demande, toutefois de
fortes recettes nous étant parvenues depuis, en même
temps q je nous recevions des dépêches faibles de Liverpool,
nos prix reculèrent de 1/2 cts. On a vendu cette semaine
14602 b., dont 9149 b. pour l’exportation, 697 b. par spécu-
lation et 4846 b. pour 1a consommation. Le middl. Upiand
clôture à 15 1/4 cts.
FARINES: Marché calme, toutefois prix sans variations
Les exportateurs se tiennent complètement en dehors du
marché et les petites recettes actuel les suffisent donc am-
plement aux besoins. La fartnede seigle est en legére
hausse.
CEREALES ; Le froment est très faible et malgré que
les cours soient encore tenus sans changements toutefois,
la tendance du marché est à la baisse. Le seigle est peu
voulu et nominalement sans variations.
CACAOS : Sans affaires dignes de mention et prix nomi-
naux.
CAFES : Les belles qtés de café Rio continuent à jouir
d une bonne demande a des prix fermes on présence sur-
tout de la réduction du stock. Les qtés ord. n’ont, par con-
tre, pas pi trouver acheteurs même à une réduction de
1/2 c. à laquelle se sont soumis les détenteurs. Les autres
dénominations sont peu demandés, à l’exception toutefois
des cafés Java qui étant très rares, sont avidement recher-
chés.
BOIS de teintures : Le marché est en position faible et
aucune affaire digne de mention n’est parvenue à conclu-
sion.
CUIRS: Le marché est calme et les prix n’ont aucune-
ment varié depuis huit jours.
HOUBLONS : La consommation seule demande quelque
peu et les prix penchent en faveur dos acheteurs.
PETROLE brut calme, toutefois prix fermes de 16 1/4 à
16 1/2 c. Le raffiné est par continuation faible et clôture en
baisse de 1 c. soit à 24 c. Il y a en ce moment en charge
dans notre port 35 navires dont 7 pour Apyèrs à Phila-
delphie, 13 navires dont 4 pour Anvers. ’
SALAISONS : Lard salé est calme,toutefois maintient son
prix ferme. "
SAINDOUX : Caime et sans chargement dans les prix.
SUIF : Sans affaires.
ESSENCE de térébenthine : En baisse,
RESINE : Avec peu d’affaires, toutefois les prix se sou-
tiennent.
CIRE: Avec quelques affaires dans les prixde 38 à 40c.
Changes : Sur Londres 146 à 147 1/2 ; sur Paris fr. 3 90 à
3 85 ; sur Anvers .fr. 3 90 a 3 85, sur Amsterdam 54 à 55.
Cours de l’or 133 1/2 p. c.
Fréta : On cote pour Anvers cotons 1 et; miel 3 c.; essence
de térébenthine 3 1/2 c.; café 32s. 61.; résine 3s. 6d.;grains
en vrac 10d.; dito en sacs 10 l/2d.; pétrole 5 à 5s. 3d.
Wilmington, 24 déc. — ESSENCE de térébenthine:
Ferme et en hausse aujourd’hui de 3 cts, soit jusqu’à 47 1/2
cents.
RESINE: Marché animé et ferme; le n° 2 clôture de 2-12
à 2-25 S.
Memphis. 24 déc — COTONS : Faibles au début de la
semaine, ont faibli hier et clôturent en baisse de 1/2 c.jsoit
de 13 à 13 1/2 c.
Charleston, 17 déc. — COTONS : Affaires actives et
prix en hausse de 1/4 cent pour les qualités inférieures :
middling 15 cts. Ventes du jour, 1,100 b., eontro 1300 b.
de recettes.
Dm I®. — COTONS : Les acheteurs se tiennent sur la
réserve, et les cours ont rétrogradé do 1/4 c. : middling 14
3/4 cts ; ventes du jour 220 b., contre 1,440 b. de recettes.
Bu 1®. — COTONS : Affaires actives et prix en hausse
de 1/4 c.: middling, 15 c. Ventes du jour, 800 b., contre
1,630 balles de recettes.
S»u â®. — COTONS : Affaires actives et prix soutenus :
middling,. 15 cents. Ventes du jour 850 b., contre 1,800b. de
recettes.
Savanuah, 17 déc. — COTONS : Calmes, mais bien
tenus : middl. 14 8/4 cents. Ventes du jour, 1000 b., contre
2,727 b. de recettes.
Dm 1® déc. — COTONS : Fermes : middling, 14 3/4
cenis. Ventes du jour. 1,392 b., contre 2,508 b. de recettes.
Du 1 — COTONS : Calmes, mais fermes : middling
14 3/4 cenis. Ventes du jour, 1,000 b.; recettes dito 5,500 ;
exportauonsdito, 5,305 b. Recettes de la semaine,22.336 b.;
exportations dito, 3,973 b. pour Liverpool, 4,152 b pour
France, et 7,488 par cabotage ; stock,10,609 b.
Dm S®. — COTONS: Calmes. Ventes du jour 536 b.,
contre 3,450 b. de recettes.
Mobile, 17 déc. — COTONS : Demande active et prix
fermes; middling 14 cts. Ventes du jour, 4,000 b.; recettes
dito 5,204 b.; exportaiions dito, 5,264 b.
Dm 1®. — COTONS : Calme3 et faibles: middling, 14
cents. Ventes du jour, 1,000 b.; recettes dito, 1,364 b.
Dm ï 9. — COTONS : Middling 14 1/4 cts; ventes du jour
3,700 b.; recettes diio, 4,429 b.
B)u St®. — COTONS : Calmes ; middling 14 à 14 1/2 cts.
Ventes du jour 1.200 balles ; recettes dito 2,842 b. Ventes
de la semaine 14,600 b.; recettes dito 23,860 b.; exportations
dito, 17,574 b. pour l’étranger et 3,140 b. par cabotage.
Stock, 62,867 b.
Xew Orléans, 17 déc. — COTONS : En hausse ; mid-
dling 15 cents ; ventes du jour 4,C00 b., recettes dito 1,157
b. ; exportations dito-, 759 b. A
Change : Sur Londres, traites commerciales, 144 1/2 a 145
0/0: dito, traites de Banques, nominales, à 147
du 1®. — COTONS: Fermes, et ont tendance à la
hausse ; middl. 15 cts. Ventes du jour 4.000 b.; recettes
dito 2,225 balles ; exportations dito 6,473 b.
Change : Sur Loadres, nominal, de 143 à 146 1/2 0/0.
Dm 19. — COTONS : Affaires actives ; middling, 15 1/4
cents. Ventes du jour 5,300 b. ; recettes dito 5,448 b,; expor
talions dito 369 b.
Change : Sur Londres, nominal, de 143 à 147 0/0.
Dm S2®. — COTONS : Affaires natives ; raid lling.15 1/4
cents. Ventes du jour,5,500 b.;reee<Æfi dito, 9,712 b ; expor-
tations dito, 956 b. Ventes de la sg^Câne, 32,5 0 b. ; exporta-
tions dito 2A388 b. pour l'étran^r et 2,818 par cabotage.
Stock 102,520 b.
Chanÿe : Sur Londres, nominal, de 143 à 147 0/0.
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