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reconstruction de son local de la Grand’Place. Deux plans ont été-
soumis à la commission par deux architectes, MM. Luffm ct\\ ilbrant.
Qn écrit de Bruges, 6 janvier :
Dans le mois de décembre qui vient de s’écouler, les naissances
ont encore une fois excédé les décès en cette ville. On a enregistré
149 naissances, savoir : 74 du sexe masculin et 73 du sexe féminin,
et 138 décès, dont 39 hommes et 79 femmes. _C’est donc un excedant
de 11 naissances. — 18 mariages ont été célébrés.
On écrit de Mous, G janvier : .
Un fort incendie s'est déclaré ce malin à Havre, dans la maison du
sieur Augustin Randoux, menuisier. Le manque d’eau, résultant de-
là gelée des puits et des étangs, a fait qu’on n’a pu jusqu'ici* neuf
heures du matin, se rendre maître du feu, qui a atteint deux granges
et la maison d’habitation du sieur Randoux. .
— Un journal de Munich dit que la police de cette ville vient de
saisir et d’expédier à Augsbourg, uncuriêtiA industriel, savoir celui
dur a„ft’f’t-0t;cüpë 8t excité toute la ville d'Augsbourg par l’adresse
fl l’impudence avec lesquelles, il coupait les cheveux des jeunes
filles, — toutefois, paraît-il, sans faire usage de soporifiques At sans
S’armer d’un pistolet. Comme son identité n'est pas encore parfai-
tement établie, on tait son nom pour ne pas blesser l’honneur d'un
innocent peut-être. — Le 3 janvier, le soir, une jeune fille a eu les
cheveux coupés par un inconnu dans une rue deMunich. Tombée
sans connaissance, elle n’est revenue à elle que quand le malfaiteur
lui a par mégarde marché sur le pied.
La douane anglaise vient d'adopter une mesure qui sera
Sgcüèillie avec une grande faveur par les nombreux*voyageurs qui
font le trajet entre Paris et Londres. Elle a décidé qu’à partir du 1er
janvier 1838, les bagages et les marchandises transportées par les
convois express ne seraient plus examinés qu'à Londres, lorsque les
voyageurs le désireraient. De cette manière, les voyageurs ne seront
plus forcés, en descendant du paquebot et lorsqu’ils sont souvent
encore sous l’iniluence du mal de mer, de s’arrêter à Douvres ou à
FoFRestorie, pour attendre que l’on ait visité leurs malles; mais il
serait à désirer que cette faveur ne fût pas limitée aux trains express
et à une seule compagnie, et que la mesure fut appliquée à tous les
autres ports de la Grande-Bretagne. t ,
— Un correspondant du Neopumlite, journal de l’Inde, rend
compte de la défaite subie par un détachement de l’armée anglaise
qu’aucun journal n’a encore lait connaître, _ .
~ # Je dois avouer avec honte, dit ce correspondant, que le 9e régi*
ment de lanciers de la reine vient d’être mis eu déroute par l’ennemi
qni-dttendait sa sortie du camp le 4 décembre. A peine 1 avant-garde
de ce régiment eut-elle quitté le camp, que nous la vîmes revenir au
grand galop se réfugier parmi nous, poursuivie par l’ennemi, qui
rentra en même temps, pêle-mêle avec les lanciers, et chassant tout
devant lui. Artilleurs, grenadiers et surtout les braves highlanders
aux courts jupons, se réfugièrent en masse sous, les tentes, sans
même songer k‘ faire face à leurs redoutables assaillants qui, après
quelque temps, se sont retirés paisiblement et en bon ordre, laissant
un très petit nombre des leurs sur le champ de bataille.L’imprudence
d'un des lanciers à qui il prit fantaisie de fourrer sa lance dans une'
ruche d’abeilles sauvages avait mis tout l’essaim aux trousses des
soldats et causé une confusion mêlée l'hilarité, dont le souvenir
servira à égayer les ennuis d'Alumbagh pendant longtemps. »
— Iranistan, la maison de campagne du fameux Barnuul, située
près de Bridgeport (Connecticut), a été entièrement détruite par les
hammes dans la nuit de jeudi dernier. C’était une campagne unique
dans son genre, où Barnum avait réuni des curiosités de toute nature
et entre autres un tro p au d’éiépbans apprivoisés. Elle avait été
abandonnée depuis les embarras financiers du fameux cornac ; mais
celui-ci s'occupait de la faire remettre en état pour l’habiter de nou-
veau. Ou croit que le sinistre est dû à la maîveillan o.
(New-York HeraUl.)
— Depuis nombre d’années vivait près d'Easton (en Peusylvanie)
une famille, allemande jouissant de la meilleure réputation. Elle
habitait une ferme située presque au sommet d’une montagne élevée,
à 7 milles environ de la ville. Le père Jacob Mathias, chasseur expé-
rimenté, était un de ces vieillards gais et dispos qu’on aime à ren-
contrer ; ses deux tils cultivaient quelques pièces de terre environnant
la ferme, et en hiver ils accompagnaient leur père à la chasse.
Chaque année, le vieux Mathias envoyait à Philadelphie ou à New-
York une dixaine de chevreuils et unnombreconsidèrable de lièvres,
coqs de bruyères, etc., abattus par son fusil. L’aisance régnait par
Conséquent dans le ménage et souvent les chasseurs pensylvaniens,
attardés sur ces hauteurs, trouvaient sous le toit du vieux Nemrod
une hospitalité cordiale et généreuse.
. Mais la solitude vint bientôt attrister cet intérieur patriarcal. La
ipère Mathias mourut l’année dernière, et les deux fils, s'étant
mariés, s’en allèrent vivre dans la plaine. Le vieillard demeura donc
complètement seul. Sa petite maisonnette et ses habitudes lui étaient
trop chères pour qu’il pût se décider à les abandonner : ce n’est pas
à quatre-vingts ans qu’on change facilement de genre de vie. L’ennui
commença pourtant bientôt à le gagner. Aussi, un isdividu d’appa-
rence assez honnête étant venu un jour lui conter ses misères, le
vieux chasseur lui proposa-t-il aussitôt de passer l’hiver avec lui.
Un des fils Mathias vint à quelque temps de là visiter son père, qui
se loua fort des soins de l’étranger et de son talent à égayer leur
solitude. .
Quinze jours plus tard, le bruit de la disparition de Jacob Mathias
commença à courir. Les deux fils se rendirent aussitôt à la ferme
pour s'assurer du fait. Us n’y trouvèrent pas leur père, et l’étranger
ne put donner que des explications vagues sur cette absence mysté-
rieuse. Suivant lui, le vieillard était parti pour l’ouest, après l’avoir
chargé de garder sa maison.
Les jeunes gens n’ajoutèrent que peu de foi à ces paroles, et cornu e
tout l’argent et les objets quelque peu précieux avaient disparu, ils
commencèrent à concevoir des soupçons. Néanmoins, après de nom-
breuses recherches, ne trouvant aucun indice qui pût les mettre sur
la trace d’un crime, les deux frères durent prendre le parti c'e
retourner à Eastou faire part de leurs conjectures aux magistrats de
cette ville
Immédiatement, le coroner se rendit à la ferme avec plusieurs
jurés et un médecin. On procéda aux perquisitions les plus minu-
tieuses. L’étranger fut surveillé de près pendant deux jours entiers,
sans que la justice parvint à découvrir aucun indice certain.
Enfin, le soir du second jour, au moment où le coroner allait
donner le signal du départ, son attention fut attirée par les hurle-
nt mis plaintifs d’un chien qui tournait avec frénésie autour d’un
puits placé à côté de la grange.
Ce chien appartenait au vieux chasseur, et, sous le prétexte qu’il
était malade, l’étranger l’avait tenu à l’attache depuis la veille; mais
quand l’intelligent animal s'aperçut que les visiteurs allaient s’éloi-
gner, il fit des bonds si furieux,qu’un anneau desa chaîne se rompit.
La nuit était déjà venue: néanmoins on se mit en devoir de sonder
Je puits à l’aide de longues perches. Cette première tentative fut
vaine; mais le coroner, qui avait déjà remarqué l’angoisse qui te
peignait sur la figure de 1 étranger à la vue de ces recherches, jugea
nécessaire de les continuer.
L'eau fut entièrement épuisée, et quand l’œil put plonger libre-
ment, on découvrit enfin le cadavre du malheureux Mathias. U.avait
le cou tordu ; une grosse pierre, attachée au corps de la victime par
une corde, le maintenait au fond du puits.
Le meurtre était écrit sur la figure livide de l'étranger et le coroner
ordonna qu’on s’en rendit maître sur-le-champ. Cet individu, Alle-
mand de naissance, a déclaré se nommer tV. Muller. On a lieu de
croire que ce n’est pas le premier crime dont il s’est rendu coupable.
Necrologie.
Le général uoutte Radelzky.de Radetz, qui vient de mourir, avait quatre-
vitigp-onze ans. Il était né à Trezebenitz, en Bohême, él dé bonne heure il
était entré dans l’année. Dès 1788, nous le trouvons avec les grades de lieu-
tenant, et de lieutenant supérieur, dans le corps d’armée qui combat contre
les tares. Ko 1793, l’Autriche est en pleine lutte avec la France, et Radelzky
vient commencer sur nos frontières l’apprentissage de celte grande guerre
quêtant d’autres n’apprirent, comme lui, qu’en se faisant vaincre par elle.
’ En 1793, pendant la campagne des Pays-Bas, il obtenait le grade de ritt-
tneistcr. Les années suivants, il prenait part à ia campagne d’Italie, comme
adjudant, du général on chef Beaulieu ; puis successivement il devenait adju-
dant-général, colonel d'un régiment de cuirassiers. En 1806, il commande,
comme brigadier, à Vienne ; en 1809, il est à Wagram, et sa belle conduite
lui mérite le grade de lieutenant feld-maréehal et la croix de l’Ordre de
Marie-Thérèse. Pendant les dernières guerres de l’Empire, il eut des com-
mandemens en Bohême et en Hongrie.
Le n'est qu’eu 1831 qu’il revint en Italie, bien différent de ce qu’il était
lorsqu'il avait partagé le sort des vaincus de Mareugo. Il y arrivait connue
commandant général du royaume lombard-vénitien. Cinq'ans après, le titre
de feld-maréchal mit le conible à ses honneurs, les plus grands dont fui
alors investi un général autrichien. •
On sait ce qui signala la linde sa vie, toujours enchaînée aux destins de
l’Autriche en Italie. En 1818, il en suivit les vicissitudes fatales ; mais plus
qn’aucun, en 1819, il aida à les rétablir. Comme caract. re et force
physique, c’était un homme de fer, inflexible pour les autres, mais impi-
toyable pour lui-même. 11 y a deux ans, avant d’avoir abandonné son com-
mandement de l'itaiiejl se faisait attacher sur son cheval, plutôt que de
manquer à paraître dans une revue.
Conseil feittniunttl.
Le Conseil communal se réunira samedi 9 janvier, à G heures du soir’
ORDRE DU JOIS. — PUBLICITÉ OBLIGATOIRE.
I» Installation de MM. les échevins, nommés par arrêté royal du 31 dé-
cembre dernier, ainsi que de deux membres du Conseil non-présents à la
dernière séance. •
3" Procès-verbal de ia vérification de la caisse communale ;
3° Octroi 3' section 1736.— Rôle supplémentaire, approbation définitive ;
i-‘ Taxe des chiens 1837. — ie rôle supplémentaire définitive ;
S» Exécution de l’art. 48 du règlement d’ordre.
PUBLICITÉ TACUI.TATTTK.
1” Exécution de l’art. 54 du règlement d’ordre.
Théâtre National.
Le public était assez, nombreux à la représentation au bénéfice de
M‘m Vcrstraeten. Rappelée plusieurs fois dans le cours de la soirée,
la bénéficiaire a été applaudie et acclamée avec enthousiasme. On
lui a jeté des bouquets et des couronnes, puis M. Destan berg est venu
lire une pièce de vers à l’adresse de l’excellente actrice et le bracelet
en or, souvenir de MM. les abonnés, lui a été offert.Lu représentation
a, du reste, marché parfaitement.
A là seconde représentation du F?7* de la nuit, qui a eu lieu di-
manche dernier, lasalle était comble. M. Coryn fait toujours grand
plaisir dans le rôle de Ben~Leil, qu’il joue d’urie façon réellement
remarquable, il est bien secondé par les dames de Terre, Heilbron
et Verstrâeten. Quant à la corvette, entièrement restaurée,repeinte et
redorée, elle marche à ravir, c’est à dire mieux encore que l’année
dernière, grâce à M. Lemaire, entrepreneur en notre ville et qui a
trouvé le moyen de diriger ce navire sur la scène avec une facilité
étonnante. C’est M. Lemaire qui a doté plusieurs théâtres hollandais,
où se joue le Ci G de ta nuit, entre autres ceux de La Ilaye et de Rot-
terdam, d’une corvette marchant d’après le système' de celle du
Théâtre des Variétés, qui diffère essentiellement des systèmes suivis
ailleurs pour faire mouvoir ce lourd véhicule.
Dimanche dernier plusieurs abonnés ont redemandé le drame
Fuuldès. On le jouera probablement dimanche prochain.
Sciences «, LeHres et Arts.
Lu de nos concitoyens, M. Jos. Cauwenbergh, annonce la publi-
cation d’un recueil cl'Esquisses liitéraires, sous le titre assez original
de Tabakwolkjes. L’ouvrage formera un petit volume de 120 pages
et sera iivré aux souscripteurs au prix de 1 franc. On souscrit chez
tous les Ubraires. v •
Aetes officiels.
Tfiraimi. de prerikke instance. — nominations. — Par arrêté royal
du 3 janvier 1838, le sieur D. Grenier, avocat et juge suppléant au tribunal
de première instance de Mons, est nommé.juge au même tribunal, en rem-
placement du sieur Scautllaire, appelé à d'autres fonctions.
— Par arrêté royal de la même date, sont nommés huissier près le tribu-
nal de première instance, séant à Charleroi, les sieurs :
1° N. Deltour, candidat huissier à Charleroi ;
2° G. nouveaux’, candidat huissier à Beaumont ;
5° A. Legendre, candidat huissier à Binehé.
TiUBiixAii dk première instance. — Par arrêté royal du 3 janvier
1838, le sieur F. Gillis, avocat à Nivelles, est nommé avoué près le tribunal
de première instance séant en cette ville, en remplacement du sieur Fievet,
appelé à d’autres fonctions.
— Par arrêté du 5 janvier 1838, le sieur E. Cox, avocat et candidat no-
taire à Hasselt, est nommé avoué près le tribunal de première instance,
séant en celte ville, en remplacement du sieur Ponet, démissionnaire.
justice de paix. — Par arrêté royal du 3 janvier 1838, le sieur R. De-
groote, commis greffier a la justice de paix du canton de Dixmude, est
nommé greffier de la mémo justice de paix, en remplacement du sieur De-
lacy, décédé. -
— Par arrêté royal du 3 janvier 1838, le Sieur N. Beauprez, commis gref-
fier à la justice de paix du canton de Spa, est nommé greffier de ia même
justice de paix, en remplacement du sieur Fagard, appelé à d’autres fonc-
tions.
notariat. — Par arrêté royal du 3 janvier 1858, le sieur G. Calcwaert,
candidat notaire à Oiiysbaqtem, est nommé notaire à la résidence de cette
commune, en remplacement de son père, démissionnaire. .
Uheinins de fer d’Anvers à RoHenlam,
Par suite de l’interruption delà navigation par les glaces, le service se fait
par terre entre Moerdyk, Dordrecht et Rotterdam.
Départ d’Anvers 7 h. 45 matin,
id. de Rotterdam 10 h. id. .
id. de Bréda G h. 39 id.
Les autres trains n’ont pas de correspondances entre Moerdyk et
Rotterdam.
Illat-tlvll «l’Anvern.
DAlarations des décès du 30 décembre pu 5 janvier.
SEXE MASCULIN.
P. Van tien Broeek 58 ans, décédé 3 Wilmarsdonck le 30 sept. 1837; A.
Truvens 60 ans, décédé à Ghcel le 26 juin 1837 ; J. Massip, vannier, 58 ans,
décédé à Garni le 7 oct. 1837 ; L. Lams, second du navire belge Marie Amélie,
26 ans, décédé à Buhia le 18avril 1837 : J. Audrtesens, commis, 29 ans, dé-
cédé à s’Gravemvezel le 8 novembre 1837; J. Gyscls, soldat, 23 ans, décédé
Hcmixem le 10 juillet 1837; K. Goossens, 17 ans, décédé k Tirlemont le 12
ïinv. 1857 ; J. Michiels, 27 ans, infirmier, décédé à Tournai le 12 oct. 1837;
C.Baert,journalier,79ans,épouxSL Van Berghe.décédéàlloogstracttm le 21 oct.
Is57 ; G. Lucas, tailleur de pierres. Si ans, décédé à Borgerhout le 21 nov.
1857 ; C.’Posters, 18 ans, décédé en mer le 22 août 1837; L. Hensbergen,
journalier, 25 ans, décédé à Halle le il déc. J837 ; 2. Engels, cordonnier 60
ans, veuf do A.Doms et de A. Ooruclstecn, décédé à Hoogstractcn le 16 déc.
1837 ; F. Baetens, soldat, 48 ans, décédé à Huy le 17 déc. 1837 ; L. Verbcy-
den,cordonnier, 20 ans; J. Romedenne, soldât34 ans; J. Cools, charpen-
tier 39 ans; F. Sels, boutiquier, 69 ans, veut de .1. Yanden Bosch et de A.
Schellacrts; G. üpdebeeck, 13 ans; A. Cambier, 13 ans; A. Tempelers, ma-
çon, 41 ans ; J. Van Ormelingen, charpentier, 34 ans,époux de A. De Clerck;
H. Routiers, journalier,72 ans,époux de J. De M solder ; J. j)e Groof, porte-
faix, veuille P. Cassiers.
9 enfants au-dessous de 7 ans et. 1 mort-né.
SEXE FÉMININ.
J. Neuekens, ÎOO ans, veuve Van Hove, décédée à Contich, le 23 nov.
1857 ; S. Lenoir.33 ans, épouse Claes, décédée k Cambrou, St-Vincent, le 26
octobre 1857 ; 11. Rodants, 17 ans, décédée à Melsene, le 6 juillet 1S57 ;
J. Batkin, rentière, 64 ans, veuve J. Schilders, décédée à IVcstmalle, le 21
novembre 1837; H. Hermans, servante, 57 ans: M. Lavoy, 70 ans, veuve
G. Arnou; E. Froons garde-couche, 70 ans, veuve P. Verhelst; J. Van Sprang
32 ans, veuve Dobbeleers; A. Hendrickx 70 ans, veuve Gevers; G. Van Lup-
pen 32 ans, veuve Lemmens; A. Goeleven 36 ans, épouse Syrido; J. Guppens
73 ans, veuve Keersmackeis; A. Larickx 66 ans, épouse’Covcns; A. Van
Mcehelen 30 ans, épouse Mertens; J. Apcre 63 ans, veuve Van Heurck; J.
Sluyts.7Lans, veuve De Naeyer ; T. Van Camp 4i ans, épouse De Herdt.
lb enfants au-dessous de 7 ans.
DECES.
Sexe masculin . .
» féminin . .
34
29
63
NAISSANCES.
Sexe masculin . . .
» féminin . . .
10
24
Boulangerie économique.
' Le pétrin mécanique, le tour à air chaud et à sôle tournante de la Société
de panification Rolland, assurent aux acquéreurs de brevet de très grands
avantages. Le pain d’une qualité supérieure n’est pas souillé de cendre ni de
charbon comme par la méthode ordinaire et n’en porte pas l’odeur désa-
gréable, le foyer étant placé au-dessous de la sôle mobile sur laquelle re-
pose le pain èt dont la chaleur enveloppe le four. Le pétrissage est admi-
rable ; la farine et l’eau étant introduites dans la caisse, le travail commence
entre les grandes et petites lâmes qui étirent et allongent la pâte sans ia
briser en se remplissant d’air ce qui donneau pain une légèreté que l’ancien
svstème ne procure pas. Les biscuits de mer fabriqués par ces appareils sont
tellement recherchés pour leurs qualités qu’un acquéreur de brevet M. De
Conniuk, propriétaire d’unè biscuiterie au Havre a exprimé sa satisfaction
à la Compagnie d’une manière toute particulière sur les brillants résultats
qu’il obtenait. Par ce mode do travail on obtient : très grande économie,
qualité supérieure, propreté et bénéfice double.
S'adresser pour voir le modèle et renseignemens à M. Bertrand, Hôtel de
l’Etoile, rue des Peignes, à Anvers. La même personne désire trouver près
du port.un grand local propre à y établir une boulangerie et une biscuiterie.
Avis.
Dentiers élastiques genre américain sans crochets ni ligatures. — ». m
bi.itz, chirurgien-tien liste à Londres, 22, Liste Street, Lcicester square,
informe le public qu’il est arrivé en celte ville pour mettre à jour le nouveau
système de dents sans crochets ni ligatures qui permet de broyer les substan-
ces alimentaires les plus dures sans donner aucune pression douloureuse
aux gencives imitant parfaitement les dents naturelles et n’exigeant aucune
extraction de racines.
New stopping. Invention anglaise pour empêcher la carie des dents et en
prévenir l’extraction. On peut consulter M. Blitz. tous ies jours depuis
10 heures du matin jusqu'à 3 heures du soir, Place île Meir, 17, k Anvers,
jusqu'au 20 janvier )838.
Nota Bene. — Mr Blitz invite le publie k se métier des personnes qui se
présenteraient en son nom,car il ne se rend k domicile que sur la demande
qui lui en sera faite.
Théâtre royal.— Jeudi 7, relâche pour les répét itions générales
de lampa et du Père de ta Débutante.
Vendredi 8, (3 t/2 h.) —Abonn. courant. — Au bénéfice de M. Pemiok :
En Pension chez son Groom, vaudeville en 1 -acte ; lampa, ou la Fiancée de
Marbre, opéra-comique en 5 actes ; Danse : ta Lituana et un Pas Styriea;
le Pire de ta Débutante, vaudeville en 3 actes.
Avis. — MM. les membres de la Commission directrice, de la grande fête
de nuit, du 20 janvier, sont priés de retourner, signée, leur liste de souscrip-
tions d'ici au 19 courant, k l'adresse de M. Prague, délégué de l'association.
U
ï*ïaee d’Anvers, du î janvier.
CAFES. — On a réalisé 309 -balles Brésil par llydaspes et 600 balles Sl.-
Domingue.
CEREALES. — Marché calme mais 1; s prix restent bien sontemus.
Graines oléagineuses en bonne tendance et pour quelqueseenlaines d'hec-
tolitres graine de fin d'Odessa et de Bcrdianski on a payé fl. 14 t/4.
UITLES. — On a encore vendu 2390 kilos huile de lin Anglaise.
SUCRES BRUTS. — Cet article t este par continuation dans une bonne
position; les transactions de ce jour se composent de 334 caisses Havane
solde par Globe, 36 caisses solde par Vriendschap-, 117 caisses par Berdiansk
Pack.el et 91 bqs Cuba par Marianne Noltebohm. En sucre cle betterave on
a fait 23,099 kit. k fr. 40 pour n° 12.
VENTE PUBLIQUE DU 7 JANVIER.
SUCRE BRUT. — On a écoulé aux enchères, pour cause d’avaries, 201 e/s
sucre Havane, par Plencia, do fr. 31 3/4 k 37, et 16! d° d», par Enrequcto
Hamel, de fr. 33 k 43 1/4,'par 30 klg.
MARCHES.
Bt'Hx.eïIei», G janvier. —
Huile de colza cpt fi. .08 — -
» décembre. . . . >-------
5> janvier.........68 1/2 -
» février.........69 —
» mars.......... 69-------
ï„oUcre»i, 6 janvier. —
vente lente.
Par sac 106 litres.
Froment . . il. 11.10 k 12 10
Seigle. .... 6 10 » 6 13
Sarrasin. ... 9 00 » 10 13
Orge . ... 7.12 » 8 00
I?ej nae, 6 janvier. — Mat
Froment bl.,Th., fr. 19 00 b.
Id. roux ... 18 39 h.
Seigle..............43 CO b.
SarhüHn.............ÔO flô b.
Le marché aux huiles eu hausse.
Huile de fin compt . 38 —----------
» de chanvre . .-----------------
Tourteaux de colza.-------------—
» de fin. . . ------------------
Graine de colza ...-------------—
Petite provision à cause du jour mi-férié ;
Sols, i
b. 0 I
b. 0 i
h. 3
h. » j
•ché si
0 00
0 00
0 00
P 00
Par sac cl demi. Sols.
Avoine . fi. 7 10 k 8.10 h.4
Graine de trèfle par fit
de Garni. . 0.00 1/4 k 0.67 0/0 b. 1/4
ationnairc.
Avoine, 1/2 l’heel fr
Orge tardive. . .
Gr. de colza . - • ■
Pom. de terré, 100 k
14 00 b. 0 00
00 00 b. 0 00
00 00 b. 0 00
5 oq j , p OU*
Avoine .................
Pommes de terre-le sac
Beurre..................
70 ’
30
29 i
fiiest, 3 janvier.
Froment, T’hect . . . fr. 18 90
Seigle................. il 55
Sarrasin....................1350
Orge........................13 60
Alnove, 3 janvier.
Froment, l’heet. . fr. 18 00 à 19 00
Seigle............» 12 00 » 13 00
Avoine............» 10 00 » 11 00
Moulera, 5 janvier. — céréales : 11 y avait, au marché de ce
jour, 360 heet. de froment,143 id. seigle, 34 id. avoine, 16 id. fèves et 2000
kil. pommes de terre. — En voici la cote
Marché bien approvisionné, vente rapide.
Gr.de colza, l’bect. fr. 00 06 k 00 00
pm-s (j,, terre, 100k. » 6 00 » 7 oo
Beurre Je kil. . . » 2 13 » 2 33
Frouuk s.h.l 1/2. 00 00 k 00 00 b. 0 00
id, blanc. . . 28 00 k 30 00 h. 0 30
Id: roux . . . 26 00 » 28 00 b. 0 00
Seigle i . . . . 17 00 » 18 00 1». 0 39
Avoine.......12 00 » 13 00 b. 2 00
Wu iTiiimc. 5 janvier.
Froment, les 104k fr. 23 30 b. 0 00
Seigle.. . . 95» » 16 00 b. 0 00
Masselt, 3 janvier.
Froment, 100 k. fr. 21 40 b. 0 00
Seigle....... 16 30 b. 0 00
Orge...............12 10 b. 0 00
Üaint-Trond, 3 janvier.
Froment, 100 k . . . . fr. 22 81
Seigle................. . 19 28
Fèves.......... 23 00 à 25 00 b. 0 00
pni-i ,ic (ire iOOk. 4 50 » 5 25 b. 0 00
Beurre, par kil 2 43 » 2 63 b. 0 00
H'"deco!za,96 lit. 55 10 » 00 00 h. 1 90
» de lin. . . . 43 10 » 00 00 h. 2 09
Prix sans changement.
Avoine . . 12ik fr. 23 00 b. 0 00
Pom.dcterre, 100» » 00 00 b. 0 00
Sarrasin 100 k.
Avoine . . .
Genièvre. . .
Avoine . . .
Orge ....
09 00 lu 0 00
7 40 b. 0 20
66 00 b. 2 00
. . .fr. 17 30
.... 19 41
Londres, (i janvier. — SUCRES : Aujourd’hui on a fait de bonnes
affaires ; toutes ies bonnes qualités se vendent aux pleins prix, mais les
sortes inférieures sont lourdes. En sucres des Indes-Occidentales on a fait
394 bqs. — Par contrat privé on a vendu 3 à 400 c/s Havane blond k 42s. 6d.
pour 11 1/2, droits 13s. lOd. — 5985 sacs Madras moyen à bon gipiiné pour
l'épicerieopt eu preneurs de 44s. 6d. k 48s., droits 13s. iOd. — 1012 bqs,
218 barils Porto-Uico ont passé en majeure partie ; les quai, fines en hausse*
sur hier ; brun et bas blond, droits 12s. 8d. à 13s. I0d., 38s. Od. k 40s. 6d.,
bas moyen k bon pour l’épicerie, droits 15s. 10d., 41s. k 46s’, tin 46s. 6d. k
47s. Gd.’— 862 bqs, 223 bar. Moscovades étrangers ont passé, en partie, très
bas et bon mou brun 34s k 33s. 6d., moyen brun et basgris, droits ,12s. 8d.,
36s. k 37s. 6d., bas et moyen gris, droits 13s. iOd., 39s. 6d. k 38s. 6d., bas k
bon pour l’épicerie38s. 6d. k 43s.
Raffinés : En hausse, lumps bruns 57s. 6d. k 38s. — MELASSES : Lourds;
744 b/q ont été retirées en majeure partie k Ils. pour Caba et 13s. 6d. pour
St-Yjncent. — RHUM : Fermé; 60k 70 pipes Demerara vendues a 2s. 3d. par
prooi'gallon. — CAFE : Ccylan des plantations en légère liAtsse: 471 b’q.
104 barils, 270 sacs ont passé aux enchères; bas moyen à moyen bolas
gris 58 k 63s., moyeu k bon bold coloré 63s. 6d, k 07s. 6d\, lin tin órd. k bas.
moyen gr s Demerara 33s. 6d. à 57s.
CACAO : Marché lourd; de 223 balles Trinidad, quelques lots moyen k fin
rouge ont passé de 84s. k 89s. elle restant retiré de 70 à 82s. pour basa
hou rouge.— THES : Avec de bonnes affaires en Congou commun k 13 !/4 d.
— RIZ : Marché ferme. On a fait 3090 sacs Bengale blanc de 8s. SW. à lüs.
et 1000 Bailatn à 8s. k 3 mois. — SAGOU : Calme, 300 c/s perlé de New-York,
ont été en majeure partie retirées, ord. k moyen petit gris 22 k 23s., un lot
vendu k 22s. — CaSSIA uignea : En haussé de 2s. 6d., de petits lots bonne
première pile ont passé k 112s. 6d compt.
POIVRE : Singapore tenu k prix plus élevés; 229 bal. bon, un peu terreux
ont été retirées à 4 L;2d., on 'a offert I L'fd. — MACIS : Ferme, lOpaq. ont
passé moyen à bon foncé rouge 1s. id.—- NOIX de muscade : Irréguliers;
38 c/s partie ont passé très bas Shriviiied brunes tld. ord. petites à moyen-
nes fair sortes pour l’exportation 1s. 6d. k is. IOd., moyennes k bonnes
moyennes brunes.2s.6d» k 3s.2d.,2 e/s doux tins Rotang ont passé k 12 I/2J.
— COTON : Marché ferme, ventes 300 bal. — SALPETRE : Ferme, 229 sacs
Bengale 7 1/2/6 ont passé k 38s. et hier tard 25 ton.Bengale 11 i/2Æ ont passé
au comptant k 3is.
SH EU, AC : En baisse. 70 c. moyen foncé gamel ont passé de 57 k 38s.6d.
et un lot bon k 73s. ; 650 balles SUMAC de Païenne ont été retirées k 12s.
0(1. — 18 ton. BOIS DE SAPAN Sium ont passé de £ 9.17.6 k 10.2.6.—JUTE
plutôt en baisse ; 1822 bal. d’Amérique ont passé AWJ 1.12, LO £ 13.10 k
13.13. — 103bal. CHANVRE Suiin de Newyork ont passé k ;£ 15.13 par
ton.— FER d’Ecosse en gueuses35k 33 s, 6d., soit en hausse de 2 s.
ZINC et ETAIN sans affaires. — HUILES do lin plus ferme. Sur place 29s.
3d., Huil 28s. De navets avec plus d’affaires, brune 41s., anglaise 40s., épurée
43s., 3 k 400 ton huile de coco ont passé, Ceylon line 40s. compt.,42s.prompt
et Cochfii 42s. Od. k 43s. Gd. De palme fermé, fine 40s. 100 bques huile de
sperme ont passé à £ 70, ce qui est en hausse. — SUIF : Ferme; PVC sur
place au printemps 31s. 6d. et mars 55s.
CEREALES : Les arrivages sont modérés, et la hausse signalée lundi sur
tous les grains et sur les farines s’est maintenue avec nue grand fermeté k la
halle d’aujourd’hui. Sur les fèves et sur les pois il est impossible de signaler
une hausse légère même sur les prix de lundi. La cote officielle des arri-
vages k Londres du 1 au 6 janvier, ne signale que les quantités suivantes :
Blés. . . 710 quarters d’Angleterre 7780 quarters de l’étranger.
Orges
Avoines
Farines
110
1620
I3i0
1170
3010
1090
On signale également 800 quarters d'avoines provenant d’Irlande.
HOOBLON : Le marché est ferme, et ii s'e fait un peu plus d’affaires à li-
vrer, nolamrticul sur les produits de 1833 et 1836 dont les prix actuels sont
bien inférieurs au prix du coût.
lilverpool, 3 janvier. — — COTON : Le marché reste actif, mais le
choix est si minime que les affaires en sont entravées et les prix continuent
en tendance k la hausse. Ventes 6 k 7003 balles dont 1000 par spéculation
et pour l'exportation. Elles comprennent' 80 Fernamboitc de 7 k 7 14 d.;
200 Bahia k6 1/2 d.; 20 Maranham k 7 1/2U.; 100 Egypte de 7 1/2 k 9 1/2 d.;
300 Surate de 3 1/4 k 4 1/2 d.
SUCRES : Restent en bonne demande et l’avance obtenue hier est pleine-
ment soutenue ; les affaires comprennent 700 bqs Antigua h 42s.; 400 sacs
Date de 35 à 36s. et 830 sacs Ceara en cnt. k 23s. 6d. —CAFE : Aux enchères
420 sacs Ceara ont obtenu 42s. 6d. a 48s. 6d.; 323 sacs Rio bas ord. k 33s.;
300 sacs Manille de 54s. 6d, k 33s, et 30 tierçons Jamaïque de 60 à82s. —
RIZ : On a fait aujourd’hui 1500 sacs Nécransie vieux de 7s. 6d. k 7$. Od.;
1000 sacs nouveau à 9s. et 300 sacs Laropg nouveau k 7s. 3d. — SALPETRE :
Ou a traité 700 sacs de38 k 42s. pour 7 1/2 k 3 0/0 réfraction. — POIVRE : A
eu la vente de 200 sacs blanc de 7 1/4 k 7 3,8d.et 1000 sacs piment ont trouvé
preneurs k 3 l,8d. par E.
ïSm 6. — {Par télégraphe.)— COTON : Marché ferme. Ventes 8000 balles
dont 1000 par spéculation et pour l’exportation. Elles comprennent 2300
Surate de 3 1/2 à 5 i/8d., 400 Egypte de 7 1/4 k 9d„ 300 Bahia de 6 1/2 k
6 3/4d., 50 Maranham à 7 l/2d.
Tflanclteftter, V» janvier — TISSUS ET FIEES : Marché plus calme'
Les ventes de coton d’hier out été plus grandes,et !a hausse dans lus prix es
maintenant d’env. Id. par livre; cette avance a provoqué naturellement une
hausse égale surlcs fils et ies tissusde cotons ctles manufacturiers demandent
3d. deplus par pièce,pour leslongclolhs, les T cloths, les Madapollatns et
leslndian shirtings. Les tilateurs demandent l/4d. de plus par livre de fil.
Quelques manufacturiers qui out des stochs accumulés trop considérables,
se montrait cependant plus coulants et il ne fait des affaires importantes
en fils et en tissusjiux taux de la semaine dernière.
tille, 5/«nu. — HUILES
Colza brute, 100 k. fr. 93 30
id. épurée pr quinq.
Etrangère. . . .
OEilleUe rousse . .
I,(i. bon goût . . .
Lin du pays. . . .
id. étrangère. . .
Caméline .... — —
Chanvre . . • . . .--------
Graines : Goiza i'h . 23 —
Id. œillette. . . 55 —
l’hect.
99 30
86 30
86 30
87
87
28 50
33 30
GRAINES : parhect.
Lin grasse du pays. 25 —
id. » étrangère 22 —
Caméline .... 19 —
Chanvre...................
TOURTEAUX.
Colza par cent . . i3 30
œillette .... 16 —
Lin............... 22 30
Etrangers .... 20 —
Caméline. .... 13 30
Chanvre . , . . ---------
27 30
27 —
25 —
13 —
25 30
23 —
15 —
SPIRITUEUX : Généralement on est peu aux affaires on ce moment. Hier
il n’y a pas eu décote officielle : aujourd’hui elle a été fixée k 63 fr. pour ie
3/6 de betterave tin disp.— Commercialement voici nos cours : 3,6 betterave
lin disp. 66 fr., 1 premiers mois 70,3 prochains 72, 4 mois du milieu 75 fr.
Arras, 6 janvier.
Blé blanc, i’heet. fr. 18 00 k 20 00
» roux. ,
Seigle. . v
Escourgeon.
Avoine . .
OEiilette. .
Colza. . .
Lin. . . .
Pamelle. .
Caméline .
18 30
12 09
15 90
9 40
14 00 »
I i 00 »
12 00 »
8 00 »
35 00 » 36 30
27 00 » 28 00
24 00 » 26 00
CO 00 » 00 00
21 00 » 23 00
WouRi, 3 janvier. -
000 00 k 000 00
000 00 » 000 09
000 00 » 000 00
95 00 » 91 00
9Î- 50 » 000 00
100 00 » 000 00
00 00 » 000 00
17 50 » 00 00
00 00 » 000 00
00 00 » 00 00
oo oo » oao oo
la graine manque. Presque toutes les usines sont en chômage.—Huile eoizt
disp. 93 fr., épurée 101. — Huile soutirée 142, surfine 143; huile de lit
86.30 ; de camelote 86 fr. — GRAINES : De colza d’hiver 27 k 29.30 ; de ht
du pays sans affaires ; d'œillette 32 à 35 ; de cmnoline 22 k 2! .39.— TC
TKAUX : De colza 13 à 15.30 ; de fin graine du pays 24 k 21.30; d’étra
Huil.œil.surfine fr
» k froid. .
» rousse . .
» colza brute.
» k clair . .
» [!r qulnques
» iin . . .
Tourt. œil., 104 k
» colza. . .
« lin. . . .
» caméline. .
HUILES : Nos huiles sont recherchées aux cours,
—Huile colza
in
colza d’hiver 27 k 29.30 ; de lut
OUR
ange
re 24 fr.
Paris 6 j(uw. — FARINES : Las affaires en farines de commerce con-
servent ia même physionomie. Les transaction sont toujours peu actives, et
néanmoins les prix se maintiennent en bonne voie ; on cote le courant du
mois 51.30. Les trois mois de février de 52 fr. k 52.50 Les quatre mois de
mars de 32.50 k 53 fr. Là meunerie fkit moins d’offres qu’il y a huit jours.
Le froid, qui se généralise, a contribué a ralentir la fabrication, elle tient
t fr. de plus qu'il y a huit jours. On cote les marques hors ligna k 33 fr. les
prem. marques de Boaucc, de Sarthe ou de Brio 30.50 k 51.30; les farines
de Lorraine et de Picardie de 49 k 50 fr. le sac de 137 kil.; niais k ces prix
ia boulangerie montre peu de disposition aux achats. Les ventes par facteurs
s’élèvent k 2 638 qx. Le restant disponible k ia halle est aujourd’hui de 7,72!
qx. Le cours moyen k la halle est de 31.31. Le cours de taxé à la caisse
de ia boulangerie est de 31.50 le quint., en hausse de 2 c. sur le cours
précédent. - ,
BLES : Soit k cause du froid, soit k cause des fêtes, les offres de fit part
du commerce et dé la culture sont s^ns importance. Les échantillons en blés
de Montereau et d'autres provenances sont tenus k I fr.de plus que mer-
credi dernier; mats on ne vend pas. Les affaires sont languissantes, et la
meunerie ne consentirait volontiers k acheter qu’k la condition de payer les
mêmes prixqu'ilya huit jours. Les fermiers sout également peu nombreux
k la balle et, comme le commerce, ils tiennent ies prix plus élevés sans réus-
sir k engager les affaires. Les avis de Lille venus par voie télégraphique et
annonçant, delà hausse, ont déterminé un peu plus d’activité dans les tran-
sactions; sans que les prix des blés aient acquis plus de fermeté. On reste
aux mêmes prix qu’ily a huit, jours. Les blés de choix (fi' 29 k 28.3:), poids
naturel de 120 kil. et au-dessus réglé k 120 ki!.; les bons blés de 148 kil. de
27.30 k 28 : les blés de 114 à 116 kii. de 2î.59327 fr. Les blés de Montereau
27 à 27.50. Les blés de Champagne de 26.308 27.30 suivant le poids naturel.
Le tout réglé k 120 kil.
SEIGLES : La vente de cette céréale ne présente toujours que peu d’inté-
rêt, les affaires sont absolnmentnulles elles cours nominaux de 17 k i7.39
les H3 kil. réglés. —ORGES : On constate peu d’affaires surlcs orges ; les
belles qualités auraient acheteurs de 47 U 17.30les 100 kil., ii y a par con-
tinuation des offres en qualités inférieures de 13.39 k 18.50 le quintal. Les
escourgeons sc soutiennent de 20 k 20.50 les 100 kil..— AVOINES: l.es
avoines conservent une bonne position, sans hausse néanmoins^enregis-
trer. La vente est facile aux cours ci-après : Choix de Bcauce 3 ; avoine
marchande même provenance 50 k 30.50, réglé k 150 k., avoines noires de
Picardie, Champagne ou Bourgogne, de 28.30 k 29.39 les 159 k., suivant
qualité; petites avoines grises ou blanches de tout paysde 26 à 27 fr. les 150 k.
GRAINES fourragères : Les trèfles violets* sans donner fieu à des affaires
importantes, sont mieux tenus. II v a de ia demande d’Angleterre aux prix
de 123 k 130 fr. la balle de 100 kil. La luzerne de Provence est également
jilus ferme. Les marchés du Midi sont k peu près dégarnis, ct ^ la marchan-
dise en mains du commerce, est tenue assez ferme de 133 k 145 fr. la balle.
Les luzernes de Poitou sont dans la même situation, de 83k 90 fr. les 100 k.
avec peu de vendeurs k ces prix. La minette participe également k la meil-
leure tenue des cours des trèfles èttuïeriïes,etse placerait de 42 k 45 fr. les
100 kii., s'il se présentait des vendeurs ?n belle marchandise. Quant aux
Sainfoins, ils sont toujours très calmes, et loè’t porte k croire que, lorsque
le moment sera venu, cet article prospérera aussi ; cours sont nominaux
de 15.50 k 16 fr. l’hcct. et demi. , .
HUILES : Le froid qui sévit depuis deux jours n':l p.as eficore produit un
grand effet sur les huiles de colza. On cote la marchandise /''spontblaeu
107 et gelé 100; !e livrable courant du mois 10W'
: les 4 mois
janvier 103 fr. On ne cite aucune affaire sur les autres époques, •-,ul e*..<??
fin plus fermes de 93 k 97 fr.; huiles d’œillette rousses de 142 k 113 fr.,
depavôt de l’Inde 127 k 128 fr. dito de sésame de 128 k 148 fr., suivant i*’
qualité ; de cbenevis preneurs de 101 k 102 fr. Le tout par 100 luiog., ont,
Les huiles d’œillette surfine lre marque d’Arras, 140 et 130 lec 01 k., sktts
variation. — /SPIRITUEUX : Les 5/6 du Languedoc sont toujours très calmes
de 123 k 128 fr. l’heet. en disponible. Les alcools du Nord sont mieux tenus
et ont tendance k reprendre faveur. On cote disponible 72 k 73 S} ; lu livra-
ble sur les 4, mots de janvier 74 k 73 fr. ; pour les 4 mois chauds la cote est c
tenue k 78 fr. — SUIF ; Rien de fait k 5 heures. Les fondeurs demsSüerit 15
"'■La consommation n’offre que fr. 128 k 129; Suif de Russie 130 fr. Ees
100 kil. hors barrière. •
Havre, S janv. — Sous l'influence des avis favorables d’Angleterfd
notre marché aux COTONS s’est maintenu assez animé hier, jusqu'au soir
avec des prix en voie de nouvelle hausse. Les ventes totales du jour eh
disponible se sont élevées ainsi k 1,800 balles. — Aujourd'hui, malgré lai
réserve et les hautes prétentions des détenteurs, la demande est encore biert
suivie, et, k trois heures, on note déjà environ 950 balles réalisées dans 1»
parité de fr. 93 pour le bas New-Orléans. A livrer, il s’est traité en outre,
entre hier soir et ce matin, environ 1,000 à 1200 balles, successivement sur
la base de fr. 91, 92 cl 93 pour le iniddting New-Orléans, tel quel.
_ En CAFES : On ne cite aujourd’hui que 473 sacs Haïti, disp., k fr. 52 des
50 kil., ent., et 150 sacs dito Conaïves, au prix fermement tenu de fr. 531
mais d’autres parties sont encore marchandées. Les CUIRS ont donné lieu
k deux affaires, soit un bloc de 3,966 Pernambuco salés verts, k fr. 53.30
des 50 kil., aeq., et 332 Irlande dito, k fr. 40. —Quelques parties peaux de.
chevaux ont en outre passé aux enchères. Les RIZ Caroline ont eu la vente
d’une soixantaine de tierçons réalisés depuis plusieurs jours, en divers lots,
ah prix uniforme de fr. 52.50 les 30 kii. acq. Dans les SUIFS, il a été traité,
hier 60 fûts Russie dispon. k fr. 64: mais aujourd’hui l’on tient, dit-on, plus
cher.
Les SAINDOUX se raisonnent en baisse ; une partie de 64 tierç. d’Améri-
(juc, entamée i! y a quelques jours, k fr. ,77.50 des 30 kiiog., acq., a été sol-
dée hier à fr. 73.50. — Un grenier de 2900 CORNES Maragnan et une partie
de 4000 kiiog. onglons de bétail, ont. été traités : les cornes k fr. 20 des 104
et ies onglons k fr. 14 les 100 kiiog. — Les BOIS df. campÈghe ont eu hier la
vente de 150 ton. Haïti à livrer, du Port-au-Prince et Jacmel, au prix uni-
forme de fr. 6.23 les 30 kiiog.
t’aen, 4 janv. — Les affaires sont au grand calme. On croit k une re-
prise, car Tépuration a fait quelques ventes, et Fort ne peut obtenir de grai-
nes ii bon marché, les cultivateurs voudraient vendre 28 fr. l’hect., on ne
prend qu’k 27.30 les huiles colza disp, et courant du mois; brutes 101 fr.; à
livrer pas de vendeurs. On écrivait de Rouen qu’il n’y avait ni huile ni graine.
51 cela est vrai, c’est un motif do hausse, car toutes les places sont ’a peu
près comme celle de Rouen.
Dax, S janv. — ESSENCE de térébenthine en hausse de 2 fr.; '
k 83 !r. les 100 kil. — Goudron de gaz. 34 fr. ia barrique, d0 commun 30 fr.
-t- Gaüipot sans logement 2Q fr. les 100 kil.
Rouen, il janv. — HUILES : De colza disp, en barriques les 100 kil.
disp. 101, 100; courant du mois 101, 100. — Lin disponible 92 fr.— Arachi-
des 101, 102.
Péxénus. 5 janv. — SPIRITUEUX : Quelques affaires se sont traitées
dans la qemaine dans ies prix de k 34 k 53 fr. La banlieue fait moins cher/
car elle cède à 35 fr. Nul acheteur étranger n'y paru dans nos environs, et
le commerce de la ville est sur la réserve. Un seul ccmmisionnairc achète-
rait quelques barriques k 39 fr.
Bardeaux, 5 janv. — SPIRITUEUX : Eau-de-vie Armagnw SfSt» 1 !3;
5/0 Languedoc 86° 123; 3/0 fin Ie qté 90° 85; 3/6 extra-lin 90° 93; À/6 augt
90» 120 à 130; 3/6 allemand 90° 80 k 73; tafia 63 à 80.
Cologne? V janvier. — METAUX: Les prix n’ont pas subi do change-
ment marquant dans ces derniers temps, mais le ton du marché est ferme.
Les affaires qui déjà étaient languissantes sont tombées dans un calme plat
par suite de ia fermeture de la navigation et les transactions se bornent aux
besoins de nos proches consommateurs. Fer de fonte d’Ecosse en gueuses
n» 1 th. 18; d» k puddler 17 th.; d» pour 2e fusion 17 1/2 k 19, d" d'Allemagne
au bois 24 k 27 th., fer en barres (dimensions ord.) 44 k 50 th. par 100
Plomb tendre raff. Stolberg 7 th., d» dur 7 15 k 1/2 th.— Zinc brut 8 1/2, d.
laminé 10 k 11 th. — Cuivre de Russie 42 k 43 th.; d° anglais 36 1/2 th.; dó
k rosettes 35 k 36 lit. par 100 % — Etain 52k 11 -1/4 sgr; régule d’antimoine
6 5/4 sgr. par S.
StetîlH, 3 janvier. — CEREALES: Froment payé, en hausse, mais
clôt plus calme ; roux disp, par 90_ ® 60 k 62 1/2 rth.‘ payé; 89/90 janv.-
fév. 61 rth. payé, s/prinlemps 88/90 ® roux ont été faits hier à 64 rth. payé;
89/90 fb roux 65 rth payé et pap. — Seigle, ouvert en hausse, mais lourd à
ia clôture; 82 Tb janv',/fév. 37 5/4, 38 rth’. payé et pap„ fév./mars 58 1/2 rth.;
s/printemps 41 1/2 rth. payé et pap.; 41 i/i rth. arg.; mai Juin 42 rth. payé
et pap.; juin/juillet 43 rth. arg. — HUILES : De colza très ferme, disponible
12 1/2 rth. pavé. 12 1/3 rth. arg.; avril/mai 13 1/4 rth. payé et arg. 13 1/3 pap.
— SPIRITUEUX : Fermes k l’ouverture, et lourds k la fin du marché; disp,
sans fut 20 3/4, k 1/2 0/0 payé; avec fut disp. 20 0/0 payé; s/jauv. et janv./fév,
20 0/0payé; fév./mars -19 14 0/0 payé et pap.; s/printemps 17 7/8, 3/4 0/0 payé
17 5/4 0/0 pap.
Berlin, A janv. — LAINES: La longue stagnation qui a régné en coj.
article a été interrompue dans le courant de décembre, par des achats pour
compte de maisons anglaises et françaises. Un ou deux fabricants des com-
tés de l’Ouest en Angleterre ont enlevé de notre marché un lot d’au-delà les
2000 ctr fine moyenne et fine, en grande partie de provenance de la Prusse
Orientale et Occidentale, les 600 ctr achetés pour compte de spéculateurs
français, portent surdos laines lavées en fabrique.russesct des laines car-
dées de Meekiembourg ; comme nos détenteurs sont très-disposés k vendre,
et que nous possédons k la fin de l’année un stock de si belles qualités eu
tous genres, qui s’élève k jfius de 35,000 ctr, aucun marché ne peut espérer
des affaires aussi avantageuses que le nôtre. Pourle 12 janvier 1000 ctr.
consistant en laines coloniales et fines de Prusse k dos, sont annoncées aux
enchères.
Du 6.-— CEREALES : Seigle lourd; courant du mois39 1/4 payé ; avril-
mai 40 5/4 payé. — HUILES : De colza calme ; disp. 43 1/2 arg.; avril-mai
12 7/8 payé. — SPIRITUEUX : Faible, disp, sans fût 18 1/4 payé ; s janv. 18
1/2 payé ; fév.-mars 18 5/6 payé ; avril-mai20 1/4 payé.
Breslat», H janvier. — SPIRITUEUX: Par rnuidde 40 quart k 80 0,0
trafics 6 5/6 th. arg. — CEREALES : Froment blanc 33 k 69 sgr.; d° roux 52
k 63. — Seigle 40 k 44 sgr. — Orge54 k 4L — 'Avoine 28 k 55sgr.
üst 4. — GRAINES GRASSES : En graine de trèfle ies apports n’étaient
nas grands, k cause de la gelée, et comme on s’attendait k voir le marché
bien fourni les acheteurs se sont retirés. On cote : Graine blanche, 14 1/2 k
ISth.jTouge 43 U 13 th. — HUILES : Decolza 12 1/2 th. payé; courant du
mais 12 payé et arg.; janv.-fév. et fév.mars 12 1/6 pap. avril-mai 12 1/3
payé et pap. — METAUX : Samedi os a encore transité 1000 ctr disp.'ap-
portés par le chemin de fer de Silésie k 6 ctr. 17 sgr.; et quelques parties
a 6 S/4 th. — Aujourd’hui il n’y a pas d’offres; les détenteurs pou iraient oIjt
tenir 6 th. 17 sgr.
Crefeld. 3 janv. — LIQUEURS: Eau-de-vie par muid k 47 0/0(sans
courtage) 11 2/3 k 41 4/2 th. -
Magdebourg, 3 janv.— CEREALES : La demande reste bonne pour
qualités de choix, les prix se cotent comme suit : Froment 90/94® 56à 60
tu.; seigle86/90® 4t k 47 th.; orge 74/76 ® 59it41 th.: avoine83/53® 34 k 53 Ut.
— SPIRITUEUX : Extrait do pommes de terre disp, par 14,400 0/0 tralies
24 2/3 th.
Hambourg, 3 janvier. — CAFE: Les petits,apports, qui arrivent,
journellement, donnent lieu k chaque marché k des exportations, dont le
résultat a été que le Laguayra ns s’obtient plus si facilement., ni aune
époque trcs-rapprochée. Le Brésil et. le Sl-Domirigue sont sans variation
marquante. Les affaires depuis samedi soir s’élèvent k 2000 ou 2500 sacs.- -
CEREALES : Depuis le commencement de l'année l’aspect du marché s'est
amélioré d’une manière visible. {On vend le disponible m poids nouveauS
Froment disp, en hausse de 5 k 6 rth; 159/31—132® Meekiemb, de 138 k 144
lit)., 131/32—13-2/35 % Hoisteiu de 140 k 4 S2 rth. et 130/131® mark. 144 h 143
rth. par cvt. par 5400 tl> pap. fait. En froment étranger on cite 130; 131 tft
s.printemps 105k 110 rth. bco par last. — Seigle disp. 4 k5 rth. en avance;
125/127 Meckl. et Oberland de 90 à 93 rth. crt. pat' 5400 ® pap. fait; de Prusse
124 23 ® livrable au printemps ont été offertes à 63 rth. bco par last et les
acheteurs se montraient plus disposés k opérer.— Orge; disp a obtenu une
améiioratioinle 3 k 4rth; 107/108’® llolstein ont atteint jusqu’à 87 rth. en
par 4890® pap. fait; de l’étranger 108/109, 110/1 11 ffi ont été citéeode 36 à
61 rth bco par last.—Avoine disp, aussi on hausse de3 à 4 rth, de Suède- et
Meejj!. de 68 k 76 rth. crt. par 5800 ® pap. fait; dito éîryng. 80/81 % livrable
au printemps 48à 50 rth bco par last.— HUILES : De colza disp, (poids nou-
veau) 24 5/4 mk; s/mai (vieux poids) 24 7/8 mk.,
RIZ : Les importations de l’année 1857 consistent en 2200 tonnes.
Importations. Stock.
1853 1858 1837 1833
Caroline...........env. T. 709 4000 2200 130
I-Orient, et autres sortes S.194000 237000 216000 42000
'mportations.
1836 18,31
300 -itH»
136000 131000
Stock.
Caroline. . . . .
» brisé . . .
Java.................
» brisé . . .
Patna................
» brisé . . .
Bengale..............
Ballant..............
Madras...............
Arraean..............
» brisé . . .
Rangoon .............
Mouimain . . , .
Diverses sortes. . .
2087/1 i l'2 T.
S. env. .400/1 ï.
0/3
7S :07
18311
3861
3350
36985
47604
28329
1480
100
23309
600
1609
500
6600
2500
1200
44900
900
41200
23600
Total. . 2087,1 14/2T. 213922-S. env.400/1T. 151000’S.
Dnutxig, 4 janv. — (Avis de M. F. E. ’Gbothe).— CEREALES : Marché
faible et peu approvisionné; acheteurs très-raies. Les ventes de samedi et
aujourd'hui comprennent, environ 69 lasls froment, payés da is la parité
suivante : 127/28 ® ord. bigarré 369 fl.; 131.32 ® bigarré 430 à 453tL; 139®
haut bigarré 430 il.; '34 '53 ® foncé 455 fl.; 153 53 & fin haut bigarré 470 k
471 fl. — Seigle, obtenabie assez, facilement aux prix suivants : 120 fi 246 fl.;
130® 247 1/5 k 232 fi.— Orge i 13 il ont changé de mains k 238 fl. — SPIRI-
TUEUX : Beaucoup d’acheteurs k 13 1/3 rth. ”
NOUVELLES D’AUSTR^ÜE.
(Par dépêches télégraphiques.) — Viâ Marseille.
iydney, U nov. — Affaires calmes. LAINES : En baisse. — .SUIF:
Négligé. On cote la FARINE £ 22 k 25 par ton. ,
Change : Londres' 00 j. 1 1/2 0,0 prime.
!Welbourne> 14 nov. — Affaires déprimées. — LAINE se cote Is. t’d.
k Is. 10 I/2d. par ® pour quai, moyenne et 1s. U<1. k 2s. 2d. j o ir sujsér.
— Le SUIF provoque une bonne demande. — FARINE en baisse.
Change ; Londres 09 j. I 1/20/0 prime. — Frets : Londres 3 i à Id. pour
lainee; or. par navires à. voiles 4 2 (MA |