Full text |
Le Denier des Ecoles.
2* LISTE.
Montant précédent
f>*« iW<»e Mannen dn café Drii Docks 02» versem'i 10 — complètement couverts pat les eaux. Dans les maisons
Des Vi ooge Mannen au caie unj uocns u~ versem ) îv. , des ruelles aVoisinantes, l’eau s’est élevee de 60 à 80 centi-
tion étaient loin de faire des ravages aussi considérables. euper, et pressé par le besoin, il s’était vu forcé de revenir
Dans les environs de la Porte-St-Liéyin, on compte sept en Belgique. Il a été écroué à la disposition de M. le pro-
fabriques qui, par suite de l’inondation, ont dù cesser leurs ! cureur du'roi. » (Jàïtrnal dé GMa.)
travaux et subissent de rudes dommages. | meurtre. — On nous écrit de Beeringen, Us 16 décembre
La Pêcherie et le Boulevard Lousbergs ont été presque courant :
gg"'-'*----«--------*- — ----s ri— '--------;----1 Un meurtre a été commis mardi en çjein jour, vers
Fr. 928.73
Assemblée génerale des adhérents, dimanche pro-
chain, 22 décembre, à 12 L2 heures, an local Salle de
Ventes, Courte rue des Claires.
Ordre du jour : 1° Rapport du comité provisoire ;
Mesures et moyens d’exécution.
Fédération libérale.
Sous-comité de la 5e section. — Réunion au local
habituel aujourd'hui vendredi, 20 c*, à 9 heures du soir.
Demain samedi, à 8 heures du soir, conférences par
MM. Mouls et Opsomer dans la Salle de vénte des
Laines.
Sujets : 1°L’abstinence du Vendredi; 2°Les couvents
en général.
GARDE CIVIQUE. INSCRIPTION DES HABITANTS NES EN
1851. — Le collége des Bourgmestre et Echevins croit
devoir rappeler au public que, conformément à l’art.
9 de la loi du 8 Mai 1848, tous les habitants nés dans
le courant de l’année 1851, et qui par conséquent
auront accompli au lar Janvier prochain leur 21me
année, doivent se faire inscrire pour le service de la
Garde Civique du larau 31 Décembre courant.
Les inscriptions sont reçues au 2me Bureau de l’Ad-
rninistration Communale tous les jours, Dimanches
et Pètes exceptés, de midi à 2 heures de relevée.
Les habitants qui auront négligé de se faire inscrire,
seront recherches et poursuivis en justice, en confor-
mité de la loi. ,
Au sujet du fait divers que nous avons reproduit
hier d’après la Poil Mail Gazette, on nous adresse la
spirituelle observation suivante :
-■ La Patt Mail Gazette parle d’une comète disparue et
de la possibilité de sa transformation eu étoiles filantes. Il
plaisante à propos de l’inquiétude que cela peut causer
aux astrologues. Qu’il soit tranquille. Ceux-ci dorment
depuis des siècles dans lé sein de la terre. Quant aux chan-
gements d.e la comète, cela peut être au point de vue de la
recherche des lois encore inconnues de la météorologie
très sérieux, mais ce qui est risible, c’est de voir un
journal qui a la prétention d’être un des premiers, jour-
naux de l’Angleterre, en être encore à confondre les
nécromânciens avec les astronomes. -
Un train de marchandises, parti ce matin de notre
station pour Bruxelles a pris, à lahauteur de la station
de Bercnem, la voie du Grand Central. Le machiniste
ayant renversé aussitôt la vapeur et le train s’étant
rnis à marcher à reculons, deux waggons ont déraillé
au raccordement de la route pour Bruxelles.
Aucun malheur n’a été à déplorer,
— Ce matin, dès l’aube, uu évènement douloureux
a mis en émoi la rue des Tanneurs, lîn jeune homme
de vingt-deux ans, malade, et en proie sans doute à
une attaque de congestion cérébrale, a saisi un cou-
teau et s'est élancé sur sa mère qu’il a blessée à la
gorge. Après cet acte de folie furieuse, le malheureux
a couru vers la fenêtre et, du haut de l’étage, s’est
précipité sur le pavé.
On l a relevé dans un état pitoyable, mais respi-
rant encore. Il avait bras et jambes cassés.
P. S. A l’heure oti nous mettons sous presse, on
nous apprend que l’état de la mère insftire les plus
vives inquiétudes. Quant au jeûne homme, il serait
également à tonte extrémité.
— Un autre malheur est arrivé aux abords de la
gare de Heyst-op-den-Berg. Le préposé des douanes
Bacchus, d Anvers, convoyant le train de Lanaken
à Anvers, s’aventurant sur le marche-pied duxvagon-
â-bagages pour satisfaire à un besoin naturel, a perdu
l’équilibre et est roulé sous le train qui, tout entier,lui
a passé sur le corps. Le malheureux a été littérale-
ment broyé.
Il n’était âgé que de 30 ans.
— Hier, vers 6 heures du soir, un matelot du stea-
mer de Buenos-Ayres est tombé à l’Escaut et s’éSt
noyé.
— Voici les prix des denrées alimentaires des diffé-
rents marchés :
Place de Meir : Beurre, fr. 1-25 à 1-55 le 1/2 kilog.,-
pommes de terre, fr. 7 â 7-90 par 100 kilog.; œufs, les
25, fr. 2-00 à 2-30.
Canal des Récollets : Beurre, fr. 1-60 à 1-70 le 1/2
kil.; id., en cuvettes, fr. 2-70 à 2-90 par kil.; pommes de
terre, fr. 7 à 7-50 par 100 k.; œufs les 25, fr. 3.
— Société de musiqùe. — Samedi 21 c‘, à 8 heures
du soir, répétition.
Vendredi 27 e*, à 8 h. du soir, répétition générale.
Samedi 28 courant, séance musicale.
Livres pour Etrennes.
Il est incontestable qu’un beau livre, un livre utile,
sérieux, qui traite d’art ou d’histoire, l’emporte de beau-
coup sur les mille objets de fantaisie que l’industrie invente
pour les cadeaux et étrennes de Nouvel-An.
Le beau choix d’ouvrages provenant de la liquidation de
ta maison Armengaud, de Paris, et que nous nous sommes
appropriés pour nos abonnés, répond à ce besoin.
En vertu d’arrangements conclus avec cet éditeur, nous
sommes en mesure d’offrir en prime à nos abonnés les
principaux livres de cette riche collection, bien au-dessous
de leur valeur réelle.
Nous venons d’augmenter notre collection de plusieurs
nouveautés qui fixeront l’attention des amateurs.
Dans la liste que nous avons fait parvenir à n s abonnés,
nous signalerons surtout l'Album de l’Inde ançaise et
Le vieux Paris, album pittoresque fait d’apr. ies dessins
originaux et authentiques, avec notices explicatives. On y
retrouve le Paris d’autrefois, le Paris des Trois Mousque-
taires., le Paris de Notre-Dame de Paris, le Paris des
Huguenots, le Paris du Pré-aux-Clercs, et de tant d’autres
créations littéraires, basées sur des souvenirs historiques.
Album. de l'Inde française nous représente, lui, toutes
les particularités d’existence et de culte des étranges
peuples indous, habitant les possessions françaises de
l’Inde. C’est un livre que le savant et l’homme du monde
r^uvent consulter avec intérêt et nous ajouterons : avec
finit.
Le Livre d’or de la peinture et les Galeries publiques
d’Angleterre acquièrent tous les jours une valeur plus
grande à mesure que les derniers exemplaires s’épuisent.
Les livres offerts à prix réduits en prime à nos abonnés
peuvent être examinés dans nos bureaux.
ooe -n ! mètres.
Dans le quartier St-Sauveur la baisse des eaux a déjà
mis à sec les trottoirs de plusieurs rues. La rue gtîês
Rémouleurs, entr’iuures, est â peu près complètement,
dégagée. La rue St-Sauveur n’est encore qu’en partié
délivrée de l'inondation. Quant aux ruelles et aux eqclos,
qui ont été cotii'pîétemêïif-ifous eatf/leur frraâtîflTff rfieSt pas
sensiblement améliorée.
L’écoulement avec portes ouvertes à Neuzen a commencé
dès le 22 novembre: seulement coüqme l’affluence d’eau
n’était pas encore trop coôsftfei’àblë, ièsmanœûvresétaient
réglées au Sas de Gand de manière à ce que la navigation
y fût possible une fois par jour pour les navires d’un fort
tonnage et dans les conditions régulières ordinaires pour
les bateaux et navires d’un moindre enfoncement.
Du 22 novembre au 6 décembre l’oüverture des portes
d’écluses à Neuzen, pendant une marée descendante sur
deux, Satisfait, à l’évacuation des eaux fournies par l’écluse
de décharge du Tolhuis, à Gand ; mais dès cette date, tout
passage de navires fut suspendu et l’écoulement des eaux
ne souffrit plus le moindre retard. Pour preuve que la na-
vigation a été complètement sacrifiée à l'intérêt de l’écou-
lement, il y a des centaines de navires à voiles, steamers
et bâteaux d’intérieur qui se trouvent arrêtés dans les
deux biefs du canal. •
L’administration néerlandaise du canal a fait tout ce qui
était possible pour activer la décharge de nos eaux. Pas
une poutrelle, pas une vanne, pas une ventelle. n’est restés
fermée. » (Bien public.)
Correspondance locale.
Après les explications catégoriques de M. Aug. Mi-
çhiels au sujet de l’incident de la. conférence du Wil-
Icuis-fonds. explications que nous avons ^publiées
hier, la vérité étant contjue de tout le monde, nous
insérons la lettre suivante sans commentaire pour ne
pas occuper plus longtemps le public d'un monsieur
qui se donné une importance qu’il n’a pas :
Anvers, 20 décembre 1872.
Monsieur le rédacteur du Précurseur,
Monsieur,
Je viens de lire, dans votre numéro d’hier, une lettre
dans laquelle AL Aug. Michiels, touten constatant que les
commissaires de la section anversoise du Willems-fonds
ont daigné ne pas me mettre A la porte, maintient cepen-
dant les autres faits allégués dans votre numéro du lé
dernier.
Je ne puis qu’opposer un dementi formel et catégorique
aux dires de votre correspondant.
Ce n’est qu’à mon entrée dans ta salle, et non à la porte
de la rue, qu’un employé, commissaire ou portier, m’a poli-
ment prié de ne pas fumer, prière à laquelle j’ai immédia-
tement satisfait, comme je vous l’écrivais avant-hier, et
quoique mes voisins, que je ne connais pas, aient continué
a fumer.
Pour le surplus, personne ue m’a invité à me taire et ce
pour lë bon motif que je me suis borné à écouter en silence
les dissertations plus ou moins scientifiques du conféren-
cier. , .
Il s’en suit que personne ne m’a menacé de me mettre à
la porte.
vous voyez, Monsieur le Rédacteur, qu’entre mes dires
et ceux de vos correspan lants il n’y a que la nuance qui
sépare la vérité dn mensonge.
Quant à la méchanceté que M. Aug. Michiels lance à
l’adresse de mes amis politiques, je meborne à lui répondre
que mes amis politiques valent au moins les siens comme
honorabilité et savoir-vivre.
J’arrête là ma réponse, non seulement aux attaques pré-
sentes, mais aussi auxattaques futures que M. Aug. Michiels
et ses amis politiques trouveront à propos de diriger contre
moi.
Vous priant d’insérer cette lettre dans votre prochain
numéro, je vous prëeente, Monsieur le Rédacteur, mes
civilités empressées.
LA», VAN RY8WYCK.
deux heures, dans un estaminet, sur la Chaussée de Has-
selt, à dix minutes de la Commune.
» La victiml é&t un jeune homme de Heusifen, village
voisin, et le présumé meurtrier un jeune horamp do Bee-
ringen.; ee dernier n'a pas tardé g être arrête par là gen-
darmerie locale, qui ai agi avec .une énergique promp-
titude
farmé qui'àS’éfvi à commettre le crime" est un grand
couteau de cuisine: il a été plongé jusqu’au manche, pa-
rait-il,dans lapartie supérieure interne de la cuisse gauche
de la victime, qui ést tombée comme foudroyée, sans pro-
férer ni une parole, ni un cri.
» Aujourd’hui de bon matin, le tribunal de Hasselt est
arrivé Sur le lieu du crime et y est.resté jusqu’au soir.
» Le prévenu a été conduit à la maison d’anét de Has-
selt,
» Ce meurtre a jeté la consternation dansnotre contrée.
C’est, si je ne me trompe, le sixième qui a été commis cette
année dans le Limbourg. »
Théâtre Royal.
FAITS DIVERS.
Inondations.
en Belgique. — A G and : Malgré les pluies abondantes
delà lournée d’hier, les eaux commencent à baisser mais
fort lentement jusqu’à présent.
H faut "remonter à trente ans pour se rappeler des
s trophes analogues, et à cette époque, bien que le canal
privation de Sèhipdouck ne fût pas creusé, les inonda-
Représentation donnée, mercredi, au profit de la Société
philanthropique. Ruy-Blas, par la troupe du Théâtre
du Parc, de Bruxelles.
. Il y a trente-quatre ans, un poète, écrivant la préface
d’un drame, disait ceci : » La foule est une grande chose
dans laquelle on trouve tout : l’instinct du beau, comme le
goût du médiocre, l’amour de l’idéal, comme l'appétit du
commun. »
Ce poète avait nom Victor Hugo, et le drame s’appelait
Ruy-Blas.
On sait que l’idée qui a présidé à la conception de cette
pièce, sort du cadre ordinaire des drames réputés classi-
ques. En créant ses personnages, l’auteur a voulu person-
nifier en eux les trois grandes branches de la société espa-
gnole qui, vers la fia du dix-septiômn siècle, assistaient
à l’écroulement du vaste empire de Charles-Quint : la no-
blesse courtisanesque, cupide et ambitieuse ; la noblesse
déchue, ruinée, bohémienne, ne vivant plus qu’au jour le
jour ; et enfin le peuple , asservi, valet des grands
seigneurs et aspirant désespérément à la délivrance.
Dans le drame de Victor Hugo, cos trois groupes
sont représentés par les typés énergiquement accusés de
Don Salluste, de Don César et de Ruy Blas. Don Sallùsîe,
1 homme de cour, avide de dominer, de profiter des der-
niers débris, d’une monarchie chancelante et, pour réussir,
ne reculant pas devant les plus sombres intrigues et les
plus effrayants projets. Don César, le ruiné, le débraillé,
l incarnation du hidalgo castillan vivant de rapines et
étalant ses loques au soleil avec la môme fierté qu’un
mayordome du palais. Ruy Blas,le laquais,l’échine courbée,
le cœur rongée d’humiliation mais le cerveau gonflé de
grandes idées et de puissantes tentatives ; le laquais au
service de Don Salluste, c’est-à-dire le peuple espagnol
d'alors aux prises, dans sa servitude, avec des maîtres
implacables.
Telle est la triple base sur laquelle repose cette œuvre,
et si nous ajoutons que le poète, inspiré par la grandeur
du sujet, a donné à chacun de ses personnages un langage
digne de l’épopée qu’ils représentent chacun dans sa sphère
d’action, c’est assez dire que Ruy Blas est un des plus
beaux drames de la scène moderne et qüé la Sôciété-phi
lanthropique anversoise à bien mérité de l’àrt en nous pro-
curant 1 occasion de la revoir.
Pourtant, et abstraction faite même du but éminemment
charitable de la soirée, un assez grand nombre d’habitués
de nos fêtes philanthropiques n’ont pas cru devoir se dé-
ranger pour profiter de ce qu’en matière d’art dramatique
nous appellerions volontiers une bonne fortune. A quoi
cela a-t-il tenu ? Notre public anversois est cependant très
sympathique au théâtre, II lui faut souvent bien peu de
chose pour faire une chambrée complète. Aux beaux jours
des opérettes de Monsieur Offcnbach nous l’avons vu rem-
plir là salle jusqu’aux combles et s’étouffer dansles cou-
loirs. Pourquoi mercredi avait-il eu peur de peupler les
premières loges? A cause de la pièce même ? Mais, et ceci
soit dit sans offenser les fournisseurs ordinaires du
maestro des Bouffes-Parisiens, les vers de Ruy Blas peu-
vent. bien, à notre humble avis, soutenir la comparaison
avec la hante poésie qui distingue Orphée aux Enfers, la
Belle Hélène, lu Vie Parisienne et autres merveilles de
« 1 art » moderne. Comme mets varié, le drame de Victor
Hugo était un excellent hors d’œuvre pour l’appétit tou-
jours éveillé de nos habitués. Mais ne tranchons pas la
question, bornons-nous à renvoyer les absents aux lignes
mêmes du poète qui ouvrent cet article et laissons-leur
en prendre la part qiii leur revient.
En dehors de ces absences que nous constatons avec re-
gret, la salle était très-bien garnie et les cinq actes de
Ruy Blas ont été écoutés et admirés comme ils le mé-
ritent. •
M. Lafontaine, de la Comédie française, remplissait le
maître-rôle. Cet artiste s’était rendu responsable de la suc-
cession deFrédérick Lemaître.« Rêveur et profond au pre-
mier acte, mélancolique au deuxième, grand, passionné
et sublime au troisième, Frederick, écrit l’auteur, s’élevait
au cinquième acte à l’un de ces prodigieux effets tragiques
du haut desquçls facteur rayonnant domine tous les sou-
venirs de son art. » M. Lafontaine, en créant un Ituy-
Blas à son tour, croit-il avoir égalé en originalité son célè-
bre prédécesseur ? Nous inclinonçaiour la négative.Certes,
M. Lafontaine est un artiste extrêmement consciencieux,
très à son aise dans les détails qui cisèlent uft rôle et
surtout homme de ressources et d'expérience. Mais
quant à la vraie conception du caractère et aux élans
intimes qui sont l'apanage des véritables grands ar-
tistes , M. Lafontaine n’est pas toujours heureux. Il
pèche par des écarts de fougue et, en mainte situation,
son emportement le trahit et le jette dans des excès mélo-
dramatiques qui ont quelque chose de charlatanesque et
impressionnent désagréablement le public instruit. C’est
ainsi que dans ce rôle si profondément concentré de Ruy
Blas, ii a eu des explosions qui, toutes énergiques et toutes
j “ empoignantes » qu’elle3 fussent, ont — passez-nous l’ex-
I pression — complètement raté . Notre public anver-
sois, tout flamand qu’il est, et peut-être bien à cause
i de cela, est très-observateur et très à même de juger une
■ œuvre scénique française en harmonie avec la pensée de
faux prince. — Nos lecteurs se rappellent encore ie l’auteur. Si, dans la scène du lor acte avec Don César, dans
à rnrnvii,La «PT.1™? l'T celle des ministres au V et dans celle qui remplit ler/ avec
anglais?en vlrtu du traité d’extradition Intre la Be’lgfque Lafontaine avait un peu moins exploité
et l’Angleterre. 64 le vers â effet et écarté le clinquant de la forme pour 1 ad-
Sarnedi le héros de cette aventure. Zacharie Basilius Arable valeur du fond, des applaudissements unanimes
Zackaroff, un Grec, âgé de 22 ans, exerçant la profession et continus eussent prouvé au sociétaire de la Comédie
de négociant, et qui s’était fait passer pour un prince Gort- française que le public an versois ne demandait pas mieux
chakoff, a comparu devant le lord-maire, au Mansion- quedesaluer en lui un grand artiste de plus. Cette réserve
House, accusé d avoir vole 250,000 fr. à un négociant et ; franchement faite, nous Reconnaissons que M. Lafontaine
ISîfi&jïrgsïïS?; ! *—*>*«
estfort. intelligent, et parle sept ou huit langues; pendant i roles asa taille et à son temperament,
quelques années, il a rempli.à Londres les fonctions d’in- ! M. Monrose jouait don Salluste. « Don Salluste, dit tou-
terprète. Au mois de juin dernier, il offrit à M. Heph«s- ‘ jours l’auteur, c’est Satan ; mais c’est Satan grand d’Espa-
tides, se trouvant alors à Constantinople, d’être son agent gne de première classe; l’orgueil du démon sous la fierté
en marchandises à Londres, où il allait se rendre, et lui i du marquis; du bronze sous de l’or; un personnage poli
grande confiance,consentit. j du monde, avec des éclairs infernaux. Il fauta 1 acteur qui
Lejeune Grec, arrivé à Londres,vendit ces marchandises aborde ce rôle une manière tranquille, sinistre et grande,
comme lui appartenant à un certain M. Bluhm, retourna avec deux explosions terribles, l’une au commencement,
en septembre à Constantinople, et malgré les demandes l’autre à la fin. - En d’autres termes, un rôle formidable et
réitérées de M. Hephestides, il ne se pressa pas de lui ren- qui demande des épaules d’athlète. M. Monrose en a fait,
dre compte de ces marchandises ; mais un beau jour, il ce qu’il a pu. Que ses rivaux, qui ne sont pas coupables, lui
s enfuit en Angleterre emportant fie l’argent et des valeurs iettent la première pierre t
phSfdesau moyen:d’une doublVcl^.^Parisoù üA . Nousavof I"^Doïcési?'SSfaïiT* ^
passer pour un prince russe, il épousa une jeune Anglaise; du joyeux et effronté Don César, surtout a la scène qu il a
le mariage fut de nouveau célébré en Angleterre, et l’an- avec Lon Guntan au 49 acte. Ce dernier nom venant
nonce ronflante qui en parut dans les journaux anglais sous notre plume, associons M. Stroheker au succès de M.
éveilla l’attention et les soupçons de M. Hephestides, à la Bondois et constatons que jamais nous n’avons vu typer
recherche de son voleur. Sur ces entrefaites,le faux prince, ! mieux Hn hidalgo petit-fils de Don Quichotte comme dans
sa^ftonme à Bru^elfeafoü?eS*d^!^tivenHjnfôn;^Mmi dkn '« ^ & ‘0I,gUement a"*
mandat d’arrêt émanant du lord maire l’arrêta dans l'hôtel , ^ j, y a‘, dit.encore l’auteur -une pure et lumi-
On trouva sur lui uu revolver à six coups chargé, et sa ! neiise créature, une femme, une reine, penchée vers ceux
femme dit au détective qu’il était fort heureux pour lui ! qui sont au-dessous d’elle par pitié royale et par instinct
qu’il se fût fait accompagner de nombreux agents, sinon il i de femme aussi peut-être, et regardant en bas pendant que
eût certes reçu un coup de feu de la part du Grec. On a Ruy Blas, le peuple, regarde en haut. Cette reine est un
retrouve en sa possession une foule de titres volés. i an(fe. Au cinquième acte, Marie de Neubourg repousse le
votcomraîs^à Constantiuopfe, mais'ü^peut sUtue'r surla îons"* fa”te
vente des marchandises appartenant à M. Hephestides, et elle redevient femme devant 1 expiration. » Nous ne serons
que le prévenu a effectuée frauduleusement pour son contredit par personne quand nous dirons que Mme Mal-
comptea Londres. Elles ont une valeur de 25,000 francs. | hardié nous a réalisé cette création du poète avec une
L’affaire étant remise à vendredi, l'avocat du prévenu a distinction et un talent qui ont fait de la pièce le charme
demand é qu’on le mit en liberté sous caution pendant de la soirée. Rappelée au dernier - - - .
On écrit du Limbourg, sous la date du 17 décembre :
- L’inondation exerce de grands ravages dans les can-
tons de Mechelen et de Maeseyck. La Meuse s’y étend sur
une largeur de deux à trois kilométrés, et tous les Vil-
lages situés sur les parcours du fieuve sont sous l’eau.
C’est une mer fùrieuse, plantée d’arbres, semée d’ilots, et
où les meules de froment, de seigle, etc., flottent comme
des bouées, à la grande douleur de nos cultivateurs qui
voient ainsi anéanti en quelques instants le fruit de leurs
durs et patients travaux.
» Quelques disciples de saint Hubert, poussant l’amour
du métier jusqu'aux plus extrêmes conséquences, ont
imaginé de monter en barquette et de faire une vraie
guerre de piratesau gibier qui, chassé de son gîte par
les eaux, se réfugie tout éperdu sur les mamelons, d’où on
lé fusille à outrance. Mais ce plaisir cynégétique ne laisse
pas que.d’avoir ses inconvénients et d’occasionner de dou-
loureux accidents : Ainsi lundi soir, deux jeunes gens de
Dilsen, qui étaient venus s’amuser de la sorte à Stokheim,
sont tombés à l’eau et, malgré tous les efforts tentés pour
les sauver, ils y ont trouvé la mort. ><
On écrit de Tournai, 18 décembre :<• Le temps se main-
tient, hélas ! c’est-à-dire que le vent et la pluie font rage
et la nuit et ie jour. L’Escaut, qui avait baissé d’uné ligne
en a repris deux et inévitablement son niveau va encore
remonter par suite des averses de la nuit dernière. Depuis
Condé jusqu’à Gand, le fleuve n’a plus dé rivés. Le bas de
Câlonnes est envahi ; à Chercq, l’eau a fait abandonner les
maisons qui longent l’Escaut. Une sucrerie est inondée ;
deux immenses stocks de betteraves forment deux iles au
milieu d’un véritable lac.Entre Chercq et Tournai,il y a des
endroits où le fleuve a une largeur de200 mètres. Des cha-
riots abandonnés sur les accotements ont de l’eau jusqu’au
moyeu des roues. L’école de natation s'étend jusqu’à la
carrière voisine. La maison Dorchy a dû être abandonnée
par ses locataires.
» Sur le luchet d’Antoing l’eau touche aux maisons, de
grosses pierres ont été placées ça et là pour permettre
le passage aux piétons. Et la pluieTombe toujours ! »
En France. — Les journaux qui nous parviennent de
Paris publient également des renseignements moins rassu-
rants. C’est surtout du côté de Bercy etd’Alfort que l’inon-
dation prend des proportions, colossales.
En aval da Paris, l'inondation a fait des progrès très-
rapides. .
Sur le chemin de fer de l’Est, l’inondation a également
exercé ses ravages.
La Loire supérieure, l’Ailier et la Vienne sont en décrois-
sance marquée. Le Cher baisse moins rapidement, mais
il baisse; la Maine décroît aussi. En conséquence, le mouve-
ment de retraite des eaux, qui a commencé dimanche ma-
tin à Nantes, continuera sans interruption. Les crues de
la Sôvre et de l’Erdre, et le vent d’ouest qui règne con-
stamment,retarderont le mouvement de décroissance, mais
né l’interrompront pas.
bulletin sanitaire (novembre 1872). — En dépit des
bourrasques et des pluies diluviennes qui, quelque temps,
ont asssilii la Belgique, ainsi que la plupart des autres
régions de l’Europe, l’état sanitaire continue d’être excel-
lent, A Bruxelles, les bronchites et quelques rhumatismes
articulaires sont les seules affections aiguës que Ton ait à
constater. On n’observe guère dans les hôpitaux de la capi-
tale et des autres villes du royaume, que des maladies
chroniques ; et c’est à peine si de loin se montrent quel-
ques fièvres éruptives. Aussi, dépuis quelques mois le
chiffre des décès est-il descendu de beaucoup au-dessous
de celui des naissances, au point que la mortalité moyenne
n’équivaut plus à Bruxelles qu’à 21 ou 16 par 1,000 habi-
tants.
Quelques cas disséminés de rougeole et de scarlatine se
sont montrés à Liège, ainsi qu’à Verviers, où les coquelu-
ches bénignes ont été assez fréquentes pendant les moins
précédents.
solstice d’hiver. — L’hiver, d’après l’annuaire astrono-
Eclipses. — Il y aura, en 1873, deux éclipses de soleil et
deux de lune, savoir: Le 11-12 mai, éclipse totale de lune
invisible à Bruxelles ; le 25 du même mois, éclipse par-
tielle de soleil, visible à Bruxelles (commencement à 1 h.
9 m., fin à 2 h. 32 m.); le 4 novembre, éclipsé totale de lune,
en partie visible à Bruxelles (commencement à 1 h. 17 m.,
fin â 6 h. 43 m.; le 19 novembre, éclipsé partielle de soleil,
invisible à Bruxelles.
tromotions. — On attend pour le 26 de ce mois de nom-
breuse» promotions dans l’armée ; outre les deux généraux
d’infanterie démisionnaires, il y aura à pourvoir au rem-
placement de quatre colonels de cavalerie, ce qui va ame-
ner de nombreuses mutations dans les gra des supérieurs
de ces deux armes. !
A.
descente JUDICIAIRE. — A la suite d’une plainte adres-
sée au parquet par le nouveau collège échevinal de Lae-
ken, M. le procureur du roi, accompagnéde son substitut,
a fait une descente à la maison communale. D’après ce
qu’on nous assure, la vérification des comptes communaux
aurait eu pour résultat la découverte d’un assez grand
nombre dé mandats raturés au moyen de chlorure de chaux
dans un but que la justice aura à rechercher. (Etoile.)
cette artiste faisaient présager un accueil unanime.
U eu a été ainsi. Mu,lï Fursch-Madier a été acceptée 1 , Maat»chai>pi| De vi-iie Kunst. — zaterdag ei
nàr acclamation I december, luisterrijk ONGEMASKERD BAL, in de vereenW,
P flliolikn. van het Théâtre des Variétés. - Gedurende de poos mi
NOUS en félicitons ai tiste et abonnés. I St-Nikolaas alle soorten van lekkerneijen aan de jufvrouw^
schappij, CdmjMge, Teniorsplaats ; in den Boer van Tkiencn
, Mechelsehe Plein, in den Watergeus, Gerardstraat, en in hU
organise Hôtel du chemin de fer, aan den prijs van : fr. 2.00 voor eenen
Lettrés, sciences et Arts
Un pianiste distingue. M. Félix Pardon, ------.... *.w ,ow a«,e,
en ce moment quatre concerts qui auront lieu à heer on jnflW. Des avonds aan bet bureel : fr. 2 voor eenen hoe.
Bruxelles dans la salle de la Société réyafe la
grande Harmonie. Le premier est fixé au 26 courant, j n n Tn" ri ~ irirT1 —. ~ ’
On y entendra la 31° sonfKê de Beethoven, la tlêfWa- I K c Kt fff IÎOMMï!I?r!T À T 1?
nia de Brahms, des morceaax de concert de Schu- 1 ^ A IAI iUilllJ Itu laL 6
hert, de Liszt, de Brassin, de Rubenstein, de Mendel- j i*,uce d’Auve.-* ,l>' **» Décembre,
sohn. M1,e Jeanne De Vries et MM. Warot, Jourdan °hu"mi.miS?hSî^dî^i?.»id!ù.prï trd8,.ferm?A °» »
et Roudil, artistes du Théâtre royal de la Monnaie I ainsi ^
prêteront leur concours a M. Pardon. Cette Serie de , en diverses parties qualités, de secondes mains pour la eonsora
concerts parait donc appelée à un grand succès. .. 4. 4
I GLREALhà. — Marché calme par continuation, toutefois vvi\
fermement soutenus. On traite seulement quelques petites a fiai
res de détail pour les besoins courants de la consommation
SCUIRS. — On a vendu aujourd'hui les quantités suivantes :
CUIRS SECS DE BUKN08-AYRR8.
N°oü2.. 1000 v/s. mat., 25 % est)., d. Galathea. a fr. lfid.
ATELIERS DE CONFECTIONS ET RAYON SPÉCIAL
DE
MÉRINOS, CACHEMIRES ET ÉTOFFES
POUR DEUIL.
AUG. THIÉRY, 18 ET 20 KLAPDORD. 420!
DERNIERES NOUVELLES.
AGENCE BAVAS-BULLJF.RREUTEF.
_ Paris, 20 décembre.
Suivant un avis de M. le ministre des finances, la
taxe des titres de valeurs mobilières étrangères co-
tées à la bourse et émis en France, sera assise sur la
même base que les droits de timbre et de transmission.
En conséquence le nombre de titres, fixé pour la
perception des deux derniers droits, servira pour la
taxe sur le revenu.
, _ New-York, 19 décembre.
Les réclamations de la compagnie de l'Erié contre
M. Gould seront réglées par la restitution de la somme
entière, s’élevant a plus de 9 millions de dollars en
propriétés et en numéraire.
Washington, 20 décembre.
^ M. Grant, répondant, au Comité législatif de la
Louisiane a déclaré qu’il ne peut pas intervenir dans
la décision de la Cour fédérale.
Le Comité doit s’adresser au Congrès pour amener
une enquête.
Bulletin des Bourses.
ftëjiécliCB télégraphique»».
BRUXELLES, 20 décembre. — (Cours d’ouverture;.
Métalliques...| 003/4 [Emprunt 1871...J----
Piastres...... — — | » 1872__ 87 —
Turcs.........!---- lAnnuités.........| 471/2
PARIS, 20 décembre. — (Cours d’ouverture).
Emprunt 1871
» 1872...
Rente 3 0/0 â terme
Crédit mob. franç.
Emprunt italien..
Consol. Turcs 5 0/0
Ch. de fer Autrich.
Ch.de ferLomb...
- I 65
86 95
53 55
68 15
55 47
780 -
435 -
6 0/0 Amér. 1882.
3 0/0 Espag. iritér..
3 0/0 . 18G9...
Morgan...........
Ville de Paris, 1871
Lots Turcs.......
7 0/0 égyptiens__
Prime sur l’or...
MADRID, 19 déc. — 3 0/0 Espagnol intérieur 25.65 ;-30/0 dito
extérieur 30 40.
LONDRES 20 décembre — Cours d’ouverture).
Consolides angl..
5/20 b. Amér. 1882.
Ch.de fer Illin.act.
• Erie •
Empr. Turc 5 0/0.
. Ottom. 1862
Espagnols 3 0/0...
Italiens 50/0..
Emp. franc. 1871.
Emprunt. T872....
VIENNE
Crédit mob. Ant.
Lots de 1860...
54 - . 54 1/8
64 — « 64 1/8
385/8.283/4
661/2 • 663/4
6 - .
23/4 -----
20 décembre.
332 26
102 -
142 50
FRANCFORT, 20 dér
Autr. rente arg..j - —
Loted’Autr.FI&'.'.j - -
Turcs...........i — —
Pérou.........
Rente arg.....
, ” P«P......
v arna........
Chemins de fer
Rotterd. Anvers.! 24 1/2 » 25 —
Namur-Liége_____j .... »-----
Luxembourg......i 19 - *1918
Lombards........1 17 - » 17 1 8
— Cours d’ouverliir e .
! Napoléons d'or... 8 18
Auî. rente pap... 60 O)
Lombards./...... — —
Cours d’ouverture;. Ferme.
iCréd.mobil.Antr.l 35334
Bons Amér. 1882 . 955/8
Ch. dé fer Autr... 354 1.4
Lombards........! 1991,3
L,ots de Milan à IV. 80 (le 1860.
Au 25m« tirage au sort, qui a eu lieu le 16 décembre, les
5 séries suivantes, de 100 pièces chacune, sont sorties :
1672 3579 4916 5958 6537
Les principaux prix sont échus aux numéros suivants
Série 3579N°54;
» 5958 » 85....
» 9958 » 17___
» 3579 » 51....
» 4916 » 4,11'.
» 5958 » 56,80.
.lr. 50000
. » 1000
. » 500
. » 100
. » 100
. » 100
Série 1672N° 2,69,7
» 3579 » 34,94..
» 4916 » 5,52..
» 5958 » 7,32..
» 6537 » 91.
. fr. 50
50
Les numéros suivants sont remboursables par 20 fr. :
Série 167-2 N» 39, 54 , 74, 90. — Série 3579 N° 1,79, 85. —
Série 4916 N°2, 20, 40, 54, 69. — Série 5958 N° 10, 11,
98. — Série 6537 N° 73, 74, 86.
Les autres numéros sortis sont remboursables par 10 fr.
Le paiement se fera à partir du 15 juin prochain.
CUIRS SALKS SUCS DE MARAGNON.
N°28-2..... 19 cuirs, av., 13 k., p. Venus, à fr. 104.
" 285 .... 37 » » 14 2/5 k., p. Rallus,ù, fr. 104.
CUIRS SAI.és DK MONTK-VtOEO KT DB 1,’URUGUAY.
— ..... 200Urug., v/s, V>fÿ)k.,y.Mysteri9ns Star,hiT.%.
PEAUX SÈCHBS ET SALÉES DE CHEVAUX.
— ..... 139 B.-À., 7 k., p. G. Cunéo. à fr. 11 l/2piéce.f
N°97....... 3.6 M -V., av., 161/4 k.^p^Sohm, à |fr l23, par
En vente publique, on a adjugé hieraprés-midi les quanti-
tés suivantes :
601 cuirs secs de Buenos-Ayres ;
635 « » de Montevideo ;
94 •• ” de Rio Grande;
81 » salés secs de Maragnon :
42 » » « de Ceara ;
3351 » » de Buenos-Ayres :
742 i* •• de Montevideo et l’Uruguay ;
637 peaux sèches de veaux de B.-A.;
6183 pièces ensemble.
Voici quels ont été les prix payés :
CUIRS SECS DE BUENOS-ATRKS.
Du N’» 314.. 103 b/fs et v/s. 3S 3/10S es»., p.Lola.de fr. 108àl31
Du N’316.. 191 - mat... 15 3/4 k.,p.ir<. Giaurito,fr.!40àl43
— ..... 307 b/fs et v/s, 12 k., par..àfr. 140.
CUIRS SECS DE MONTEVIDEO.
74 v/s et b/fs, 9 ’2fôk..]i.Mysterii,usStar, à fr. 155
561 b/fs et v/s, av.,9 3/4/10 1/8 k.. par Solari
. de fr. 1324143.
CUIRS SECS DE RIO-GRANDE.
94 b/fs et v/s, gara., 10 1/2 k., p. Odin, à fr. 129,
CUIRS SALÉS SECS DE MARAGNON.
i'6 bits et y/s, 131/3 k., par Venus,h fr. 107
55 » » av., 13 1/2 k., p. Kingof the Bel-
guins, à fr. 104.
CUIRS SALÉS SECS DE OEARA.
42 b/fs et v/s, av., 12 3/4 k., p. Grèbe, à fr. 112,
CUIRS SALÉS DK BUENOS-AYRES.
52b/fs,aV.,25/3-2 k.. p. Cunrero. A fr. 89
16 » » 29 1/2 k.. par dito, â fr. 81
161 » mat , 716/10aesp..p.dn'«<Z»«,defr.83à£6
46 » (Riv.). 15.20 k., p. Solari. à fr. 89
378 » » 20/25 k., par dito, de fr. 89 à 90
582 » .. 25/32 k., par dito, de. fr. 84 à 80
100 » » 32/40 k.. par dito, Afr. 87
39 » » av., 15/20 k., par dito, àfr. 88
360 » » » 20/25 k., par dito, de fr. 87 à 88
464 » » » 25/32 k., par dito, de fr. 81 à 82
79 .i » » 32/40 k., par dito, à fr. 82
17 « » » 15/20 k , par dito, à fr. 84
118 » » » 20/25 k., par dito, à fr. 85
104 « » » 25/32 k., par dito, de fr. 81 A «•)>
14 » « 32/40 k., par dito, àfr. 80
46 « » » 15/25 k., par dito, à fr. 79
45 » » » 25/25 k., par dito. à f'r. 77
14/20 k., par dito, à fr. 88
20/26 k.. bar dito, à lr. 90
av., 15/20 k., par dito, à fr. 87
•i 20,26 k., par dito, à fr. 9Ö
— 30/25 k., par Voni, à fr. Pô
- 25/32 k., par dito, de ir. 83
15/20 k., par dito, à fr. 82
■20/28 k.. par dito, de lr. 83 à 84
av..219/1(1 k., par dito. â fr. 81
18-25 k , p. GuUevge. à fr. 89
32/40 k., par Verdi, à fr.82.
CUIRS SALES DE MONTE-VIDEO ET DB L’URUGUAY.
..... 32 Urug., v/s, av., 213/10 k.. p .Mysterieus Star.
à fr. 87
..... 107 » i « 15/20k,, par dito, à fr. 83
..... 281 » » » 20/25 k., par dito, fie fr.83 à 8y
..... 37 « b/fs,247/8 k., par dito, à fr. 88
..... 30 b/fs et v/s,22 k.. p.-Hallus, à fr. 79
..... 83 Urug., b/fs,20/25 k.,p.PrinceofWales.Aïr 87
..... 50 » - 25/32 k., par dito, de fr 85
..... T22 » » 32/40k., par dito, à fr. 83.
PEAUX SÈCHES DE VEAUX.
>13 B.-A., 1 !/4k ,n C. C. Van Horn.fr. 1104117
** 1 k.. p. Guiseppe Verdi.ôa fr. 1.39à !4U.
... . , Marrhé soutenu. On vendu aujourd'hui 54 balles
laine en suint de la Plata.
PEAUX DE MOUTONS — Ou a de nouveau vendu aufour-
d’hui le n. 134 soit52 ballas peaux de B.-A., par Hiwarciimk
fr. 175 par 100 kilos. *
N°313.
N-312......
N13 396....
.. 397....
Du N» 398.
N» 400.....
» 40!.....
» 402.....
» 403.....
- 404.....
» 405.....
» 406.....
» 407...'..
» 408.....
» 409.....
- 410.....
- 411.....
->412.....
- 413.....
- 4(4.....
» 415.....
- 416 ...
•i 417....
» 419.....
- 42o 42!
- 422.....
- 423.....
» 424.....
39 v/s,
30 »
03 •
149 » -
19 » »
àlb/Kav.,
21 una»
N»69...
•I 100
PLAINES.
Décembre
Janvier 1873.
i Février...
Mars......
| Avril.....
j Mut.......
|_ i Jnin......
I,ota dMnsbacli à 11. T de 18»». ! AoiU.4'.'.".'.'
Au tirage dos primes qui a eu lieu le 15 décembre, les ‘ Septembre.,
principaux prix ont été gagnés par les numéros suivants ; ' Octobre
PETROLE RAFFINE,
Disponible blanc.............. 51
Selonnuancs ot quantité.
Paté.
- à 52
51 — » 52 —
51 - . 521/2
52 — » 521/2
Vendeurs,
52-753-
521/2 « --
53 - .------
53 - »------
Série 1681 N°20....fl. 8000
» 1668 * 47...... » 1000
» 4515 » 23.... » 500
» 415-39..... ». 100
Série 1131 N”27.
» 3152 » 19.
» 3442 » 41.
» 4216 » 2.
Le paiement aura lieu le 15 juin prochain.
Etat-Civil d’Anvers.
Déclarations de décès du M au 18 décembre 1872
SEXE masculin. V,
J. Heylen, journalier, 39 ans. veuf de T. Laureyssens,_époux
de A. Embrechts, Petite Montagne aux Corneilles. — J. Roose-
maryh, journalier, 29 ans, époux de E. Jaspers, rue du Faucon.
— P. Verdonok, journalier, î4 ans, époux de J. Wiels, rue du
Steen. — L. De Buck, commis, 22ans, rué de la Loi. — J-Jan
Lommeren. 64 ans, veuf de T. Nelles et de M. Van Hoo£jjjj?
Dambrugge — J. Ferrée, littérateur,63 ans, rue des Peignes. —
J. Denoodt, journalier, 53 ans, époux de M. Rosseels, Place St-
Nicolas. — G. Hens, terrassier, 28 ans, 4 Nylen.
4 enfants au-dessous de 7 ans, 1 mort-ne.
SEXE FÉMININ.
J. Assenberghs, 67 ans, veuve de C. Willems, rue Albert. — J.
Lefebvre, 37 ans. veuve de J. Lamiral et de E. Renard, épouse,
de G. Gyz, rue De Moey. A. Miller. 76 ans. rue Dambrugge.
— J. Schram, 55 ans, veuve de G. De Vry, rue JLozane, — J. Beo-
quevort. 48 ans. épouse de G. Geert», rue de la Princesse. — M
Deeou,76 ans, veuve de L. Cappron, Longue rue Neuve.
3 enfants au-dessôtls de 7 ans, 0 mort-nées.
DECES. | NAISSANCES.
Sexe masculin.. 13 l T-.„, I Sexe masculin.. 25 jT . , ..
• féminin.... 10 (Total . féminin.... 16 1 rot&1 41
mariages.
E. Verhuist, avec M. Wiggera. — B. Levi avec A. Moerel. —
tLe service funèbre de Mile IMargiiei-l toi- Marie .tulle ,
Snrali Joséphine Ile ItobnuK I>e Saninoj-, !
décédée à Anvers, rué du Pélican, 92, le 19 décembre, a l'âge ,
de 11 ans, 4 mois ut 21 jours, aura lieu dimanche 22 courant, '
à 10 heures dû math, à l'église paroissiale de St Joseph.
Les amis et connaissances qni, par oubli, n'auraient pas reçu i
de carte de faire part, sont priés de considérer le présent avis ;
comme en tenant lieu. - 4304 j
Dr s. brown siGis.Mt.ND, dentiste américain, demeurant.,
15, rue du Luxembourg, à Bruxelles, sera visible tous les
jeudis de 10 à 4 heures. Hôtel fit-Antoine, à Anvers. 4172
Les personnes asthmatiques sont engagées à faire l’essai des
cigarettes Indienne», au canabis /wd/ea HeOrimault et C«.
Ce nouveau moyen, préconisé parles médecin, donne d'excellents
résultats ; 2 fr. l’étui.
A Paris, à la pharmacie, 7, rue de la Feuillade ; à Anvers, chez.
M. DEBEUL, pharmacien. Longue rue Neuve, 57, et à la PHAR-
MACIE-DROGUERIE, rue Klapdorp, 49. 4069
THEATRES, CONCERTS, ETC.
Théâtre roynl il’Anvers. — Vendredi 2C décembre. —
Représentation de M. Michot. — La Muette de Portici, grand
opéra en 5 actes.
Bureaux à 7 h. ; rideau 47 1/2 h.
Nntlonnal Tooneel von Antwerpen (Bestuur E.
Lemaire). — Zondag 22 december. — De Martelaar der Kunst,
drama in 5 bedrijven, door J. Bruylants.- Ik ben vader, blijspel
in 1 hedrijf.
Begin ten 7 nre. ,
Maandag 23december. — Magda'ena, drama ui 5 bedrijven. —
Tobeor notto be, blijspel inl bedrijf.
Begin ten 7 ure.
,. qu'on le mit en liberté sous caution pendant de la soirée. Rappelée au dernier acte avec M. Lafontaine Société royale d’Harmnnlc d’Anvers. - Di-
| intervalle, mais le lord maire a péremptoirement refusé. ja vaillante artiste peut revendiquer pour elle la plus manche 22décembre, A midi et demi, deuxième matinée musi-
faux monnaveurs.— Une capture très-importante a été grande partie des bravos qui éclataient de toutes parts. ™ , °r m nî? „rix^d^tfiano^ifconservatoire
faite avant-hier par la police locale de Gand. Le nommé , Le reste des interprètes n’arien gâté, sauf petttfe*c5F- ï^aï^B^uS SSÏÏ?BraVsPn‘X de P * °"°
Jean Dobbelare, âgé de 21 ans, mouleur, derneurantau ; taine duègne du 4e aete qui s’était, grimée un peu trop « la PROGRAMME : 1. Die TausenA und eine Nacht (les Mille et
faubourg de la ci-devant porte de Bruges, a été arreté du , . .. M = , chicanons nas sur son air V 1 «ne Nuit) ouverture de concert (Wilhelm Tauhert) - 2. Concerto,
chef de fabrication et d émission de fausse monnaie. On l’a tettre• Mals ne la emcanons pas sur son air rle Henselt (1» partie), avec accompagnement, |d orliestre, exécuté
trouvé porteur de deux pièces fausses de 5 fr. et d’une D’affreuse compagnon»® par M. Franz Rummel. — 3. Grand air des Dragons de Villars,
pièce fausse de 50 centimes, à l’effigie de Léopold II, mil- Dont la barbe fleurit et dont le nez trognonne... chanté par Mme Rety Faivre (A. Maillai t). — 4. Lohengrtn, fan-
Iésime 1870. Uue visite faite au domicile du prévenu a fait i „ . , . , , taisie-ponr orchestre, par Joseph Opmoh' (Richard Wagner) -
découvrir les objets qui avaient servi à la fabrication de la f.lle s était pe»t-etre arrangée de la sorte par esprit de sa- 5. LlsH) -6 Ato^s $£»“''df vïgaro Z nuit
fausse monnaie. | tire contrelevers le plus anti-académique que Victor Hugo C^pteto dl la coupe del’oflraÆ-
vnnFST VTIONS - I e nomme L M ancien caissier de I alt-)aH»ais commis. Si telle a ete en effet l’intention de ia thee, chantés par Mme Rety Faivre (V. Massé) - 7. Valse des
1 n/wiété'tort toAi-o Gantoîse oui sVaÛ’furt vement miittl duègne en question, nous ne lui en voudrions pas. Bien au Diamants, extraite de la Chatte Blanche (Max. Graziam).
la Société la Linôie Gantoise, qui avau lui tivementquitie * - , 1 , , L’orchestre sera dirigé par M. Alph. Lemaire,
la ville le2 novembre dernier, en laissant, dans sa caisse ! _
un. déficit de 20,000 ir., s’est constitué prisonnier hier matin .... . , . . . . » «aile d® concert «lu Théâtre de» Variétés
entre les mains de M. le commissaire en chef de poiiee. | les abonnes du théâtre-royal onlf eu à se pro- (entréepar la me des Escrmc'irrt — Tou; lesjours. de 10 4 3 1',
» En quittant, Gand, L.M. s’était rendu directement dans noncer nier sur l’admission de Mms Fursch-Madier, ouverture de l’Exposition dos Tableaux scuipto-Peinturo en bois
le midi de la France, où il avait vainement cherché à s’oc- • forte première chanteuse. Les débuts excellents de de liège (KurckscEudèrijenT,exécutés parM. Conrad Hoek.
_ Novembre...... ........... ......______________„
fi. 100 2 prem. mois do 1873................................
» 100 3 - - - ........................ 53 - !
» 100 igL e marché, qui était passablement calmeca matin, s’est forte-
» 100 m<?nt reveillé ce midi 4 la bourse, pendantflaquelle il a régné une
bonne demande à des prix en hausse progressive
t- SAINDOUX. — La baisse pour le saindoux d’Amérique a faitde
nouveaux progrès aujourd’hui. En disprmihlo on a vendu, en
diverses petites parties, une centaine de (ierçons Wilcox, dans
les prix de fl. 24 3/8 4 24 1/2, tandis qu’en marchandise a prendre
au débarquement, on a traité nne bloc de 250tierçons Wilcox, i
fi- 241/4 par 50 kilos. A livrer, nous n'avons pas eu connaissance
d affaires
ÏSALAISONS. — Le marché pour le lard salé sec d’Amérique
disp, a de nouveau été calmé aujourd'hui aux environs de prix de
hier. A livrer, par contre, on a traité 200 caisses moitié long et
moitié short middles. embarquement décembre/janvier au prix de
fr 87 entrepôt par 100 kilos. v
SUCRES BRUTS INDIGENES. — On cote :
Sucre à i» degrés, disponible............ fr. g2 — 4 -
« • • sur courant du mois...... . 62 — »____
« » • sur 2 mois de décembre... . 62 — »----
* blanc n« 3, disponible............... •--------.____
Méiawa indigène de betterave ............ . 10 50»--
DÊPÊCHES COMMERCIALES.
P lIUS.SOdéc. - (H.-B.-R.)- FARINES:8 marque»
les 159 k. esc. 1/2 0/0). 19. «O.
Courant du mois................ 74.ro 75 —
4 premiers mois.................. 71.75 71 75
Mars-avril....................... 71.— 71.50
HUILE Je colza les 100 kil. (hors barrière esc. 1 0/-k
Courant........................ 98.75 ?7.75
4 premiers mois............... 100.— 99 —
4 mois d'été.................. 101.— KXL50
4 derniers mois............... 102.50 102. -
HUILE de lin les 100 kil. entrepôt. /Esc. 2 0/ri.
Courant du mois................... C6.— 96- -
4 premiers mois.................. 96.50 SÖ.50
4 mois d’été................... —96.50
ESPRIT : 3/6 Nord Ün (i'heot. 90 degrés, entr. Esc. 1 OArt
i Courant du mois...................... 58.75 58.50
; 4 premiers mois.................. 59.— 58.50
4 mois -l’été.................. 60 50 60.—
SUCRES bruts (les 100 kil. bonne 12;.
Disp, ot courant du mois (88 deg.). 61.25 61.
Blanc 3® disp..................... 72.— 72.-
Raffiné • ,2 prix extrêmes, .. 157/158 157/158
HAVRE, 1» déc - (H.-B.-R.) — Clôture. — COTONS :
Bonne demande aujourd'hui: disponible ferme: marchandise â
terme plus ferme. On a vendu 2900 bailes à fr US pour Louisiane
bon ordinaire surjanv. marset fr. 120 pour avril-juin: le tout
par 50 kil.
CAFES :Ona vendu 500 sacs Rio avariés de fr. 88 4 95:101
sacs Cap. à livrer, â fr 96et2000 sacs Haïti, â livrer, à fr. 92.
LAINES : 236 balles Entre-Rios ont eu acheteurs à fr. 235, plus
60 balles Buenos-Ayres.
LOWDRE8. «O décemb, — sH.-B.-R.i— CEREALES :
Le marché aux grains débute calme. Blés Saxonka 54 4 61s.:
Iiubanska 54 12a 55s. Avoine21s. Seigle d’Odessa38Iji à33s.
Cargaisons de blés arrivées 1.
Cargaisons de blés 4 vendre 13. — Beau temps.
LIVERPOOL, VO déc. — (H.-B.-R.) — (Ouvertursi.
COTONS : Marché sans changement. Ventes probables 12,00)
balles. Importations de ce tour 16,000 bail, dont 2,000 b. d’Amé-
rique et 3,000 d’Egypte. — Temps sombre.
On cote : Middlmg Upland J03/Î6d.: dito Orléans 107/16d.; fair
Bengale 5d.; good fair Bengale 5 5/Srî.: Dholierah 7 l/4d.
-K Les rentes totales de la semaine s'élèvent à 113,000 balles, dont
31,000 bal. par spéculation et 9,000 balles pour i’exportatiou. Les
importations de la semaine s’élèvent à 4(3,000 balles. — Le stock
à ce jour est évalué à 336.000 balles.Flottant 224,C00 balles.
GLASGOW, 19 déc. — FONTES : Le marché a ou-
vert ferme. On a payé 115s compt. pour ensuite fléchir à 113s.
6d. Ou clôture avec vendeurs 4 U3s. 6U. et acheteurs 4113s.
IIAMItOUlîG. 19 déc. — CEREALES : Froment par
20008 Holl. sik bco : 168 1/2 sur décembre ; 167 60/ sur déc.-jæv.
et 102 1/2 s/avril-mai. Seigle par200US Holl. mk bco: 11000/ sur
déc.; 110 00/ surdéc.-ianv. et 111 00/ s/avril-mai.
HUILE -le navets : Disp. 24 3/4 ; sur déc. — 00/; sur mai 24 1/2.
CAFES : Très ferme. On a vendu 4000 b.
ALEXANDRIE, 18 décemb. — COTONS: Marché
en hausse, toutefois les détenteurs vendent volontiers aux prix
da la cote. Fair 10 3/4d.; fnlly fair lid.; good fair 11 1/2 â l2d.:
blanc 111/4 411 1/24.; fully good fair 121/4 4 12 3/4d.; good 13 l/2d:
le tout omit et fret Sur livraison avec peu d affaires; janv. et
fév. 10 7 8d.fr. Abord. Recettes de la semaine 140.000 cantares
contre 75,000 canta res l’an passé pendant la même semaine cor-
respondante. Expéditions de la semaine 17.000 balles.
Changes : Sur Londres à 3/m. de date 95d.
Frets : Pour Londres 30s.
ÀIEW-VORK, 18 déc. — COTONS : A New-Orléans le
middling se cote dans la parité de 10 1/100.; le low-.middling
9 3/4d ; à Mobile, middling 9 I3/16d.; à Galveston, good ordiaary.
95/16-1; à Charleston le midd! 9 l/2d.; a Savannah le middl. 9
(WL; L-tout coût, fret par voilier rendu à Liverpool.
251/16
29 — |