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1860.— N. 260.
ANVERS, Dimanche 16 Septembre.
Vingt-Cinquième Année
AGENTS:
BRUXELLES, VOffice de Publient,
Montagne de la Cour, pour les
annonces de cette ville.
ROTTERDAM, M. H.NyCH, pour
toutes annonces des Pays-Bas.
■m u n ie «urn
Supplément au PRÉCURSEUR du 15 Septembre.
REVUE DU MARCHÉ D’ANVERS
DU 7 AU 14 SEPTEMBRE.
ROts d'èbémsterih. — Depuis la vente publique et les quelques
affaires traitées de gré à gré dont nous avons rendu compte, les bois
d'ébéuisteriesont retombés dans leur calme habituel, c’est-à-dire que
les transactions se bornent au détail pour satisfaire aux stricts besoins
de la consommation.
25 blocs bois de cèdre sont arrivés par voie d’Angleterre. On cote :
Boisd’acajou fr. 0.40 à '2, par 2 p. pour bois uni et ronce d’apres
mérite; palissandre fr. 22 à 33 ; Erable de fr. 5 à 16; cèdre pour
meubles de fr. 22 à 23; ébène fr. 8 à 10; buis do ir. 14 U 18;
• Gayac do fr. 8 à 11, le tout par 50 kil.
BOIS de TEiKTURE. — Le campêche devient très rare sur place,
notamment le St-Domingue que est recherché en ce moment, aussi
les cours ont subi une nouvelle amélioration depuis notre precedente
revue.
Les affaires ont dù se borner à 20,000 kil. de cette sorte, dont
10,000 kil. payés fl. 3 3/8 et 10,000 dito 11. 3 1/2. 11 reste acheteur
pour partie à ce dernier prix.
Les bois jaunes et autres sortes no présentent rien de saillant.
CACAO. —Cet article est resté stationnaire ; il ne s’est traité que
quelques lots insignifiants en Para et St-Domingue, aux coins du
jour, pour la consommation.
La cote reste assez bien tenue aux prix suivants : Guayaquil 45 à
4(1 c. ; Trinidad 441 iï à 45 ; Maragnan et Para 45 à 4(1 ; St-Domingue
30 à 37 c., le tout par 1/2 kil., acq.
CAKES. — Le marché s’est parfaitement soutenu pour les cafés
et les affaires ont été plus suivies que la semaine passée, la demande
pour la consommation s’étant montrée plus active. Toutefois les
transactions n’ont pas présenté beaucoup d'importance dans l’attente
où l’on estdu résultat des grandes enchères hollandaises qui auront
lieu le '20 courant. ’
En St-Domingue 2700 balles à livrer par Rena, ont été traitées à
42 cents acq. En seconde main, 2000 balles ont trouvé preneurs de
42 à 42 1/2 cents.
Les Rio ont eu le placement d’un millier de balles aux prix do la
cote. Elu Java, environ 800 balles ont été prises do 44 1/4 à45 cents
acquitté, pour les besoins immédiats ; les provisions en sont presque
épuisées.
Nous n’avons eu cette semaine aucun arrivage direct. 870 balles
sontarrivées par voie d’Angleterre et 1349 balles dito par les eaux
intérieures de la Hollande. •
Sauf une majoration de 1/2 cents sur les belles qualités de Santos,,
notre cote de la semaine dernière n’a pas varié.
Java doré et brun, 51 à 56 c., dito jaune, 48 à 49 c., d» jaunâtre
48 1/2 à 47. d» blanchâtre 451/4 à 451/2, ditoord. h régulier, 443/4
à 45 c., Brésil beau vert et blanc 41 1/2 a 42 c., d» lin ord.
401/24 41 c., bon ordinaire 39 1/2 à 401 /ic., bas ord. à ord. 38
à 39 c., Santos 39 à 42 1/2 c., Ilahia manque, Saint-Domingue
•rég. à supérieur 42 1/2 à 43 c., d-ord. h lion ord. 42 à 42 1/4 c.,
bas ordin. 41 3/4 c., Laguayra manque, staracaïbo, manque.
ckriîales. — Nous avons ou pendant tout le courant do cette
semaine un marché calme, cependant les prix pour les froments
vieux sont bien soutenus ; le froment roux nouveau indigène rencon-
tre beaucoup do demande, mais il s’eu présente encore peu, les prix
qu’on paie dénotent quelque amélioration sur ceux dül ya huit jours.
En seigle nous avons quelques arrivages, circonstance qui exerce
son inllucnce sur Ja situation du marché qui était déjà très-faible,
nous avons une nouvelle baisse de env. 1/4 de 11.
Pour l’orge la demande est presque nulle, ou ne fait que des baga-
telles pour les besoins les plus pressants, les prix sont légèrement
en baisse. — Avoine avec quelques affaires tant en marchandise dis-
ponible qu’à livrer. *
Les ventes de la huitaine se composent de :
600 hect. Froment roux indig. nouv. de 11. 13 — à 131/8 pi-80 k.
» » » d’Amérique . » » 141/8 » 145/8 »
» » » de la Baltique » » 141/4» 143/4’ »
» » blanc de Dantzig. . » » 141/4 » 141/2 »
» Seigle du Dancmarc échauffé » » 61/2 »--------------Ep'70k.
» » de Königsberg. . . » » 61/2 »-----»
» Orge de Frise...........» » 71/8» 71/4p>62kü;
» » de Memel ....»» ^ 1/2 » —^ — »
» Avoine étrangère. .... » fr.21 — » 21 1/2p.100k.
» » indig. hterme. . . » » 16Ï/2 » 163/4 »
Il a été importé cette semaine6615 hect. froment, 22,910 dito seigle
et 3393 dito orge, le tout de la Russie.
CRAiAKS Oléagineuses. — Depuis notre dernière revue notre
marché a été plus calme pour la graine de linet les prix sont en baisse
de 1/8 à 1/4 do fl.— En graine de eolzu nous n’avons rien de nouveau.
— La graine de navettes de Hongrie, delà nouvelle récolte, est sèche
et de belle qualitp, on a écoulé quelques petites parties pour la con-
sommation, à prix soutenu.
Les ventes consistent en : •
1500hect.Graine de lind’Odessa . . . de (1. 13 1/4 à--p'hect.
» » Berdiansk. s/v. » » 13 3/8 » — — »
» » deTaganrok. . » » 131/8 » 12 7/8 »
» » de Memel ...» » I l 1/4 »--------»
de colza de Zélande . » » 15 3/4 »----»
de navettes Hongrie. . » » 15 — »--->,
de ravison.......... » » 81/4»--------»
Nous avons reçu cette semaine 7054 hect. graine do lin de Tagan-
rog et 3069 hect. graine de navettes do Hambourg.
COTON. — Notre marché aux cotons est enfin sorti de l’état de
marasme dans lequel nous avons vécu depliis deux ou trois mois.
Nous avons eu pendant cette huitaine des transactions suivies avec
une amélioration de 1/2 à 1 cent sur les anciens cours.
Les ventes comprennent 1730 balles comme suit :
450 balles Mobile, par Si. Sherman ;
600 » Louisiane, par City of Yatcs, Mary et autres navires.
260 » Géorgie, par James Gray ; , ’
70 » Texas, par Hickx ;
350 » Surate Oomrawata, par.'Saint-Vincent;
1730 balles.
CLASSIFICATION CONTINENTALE.
1509
3000
1000
2000
1500
1500
500
2000
5000
rogaures deci lits. — A l'exception d’un petit lot do 7 balles
rognures sèches, récemment importées do Rio-Grande par Nina,
traitées aux cours du jour, cet article est demeuré stationnaire.
CRIA’. — On a seulement cité la vente de 3 balles crin mélangé
de BUenos-Ayres, ancienne importation, à prix secret.
EPICES. — Depuis la vente de cannelle citée dans notre dernière
revue, on n’a rien fait do nouveau dans cette épice. Le poivre et le
piment sont calmes et ne se traitcntque par bagatelles pour satisfaire
aux besoins courants'. .
fruits. — Affaires nhlios. On a vendu publiquement hier après
midi, 100 barils corinthes, dont partie en consommation de fr. 17
1/2 à 24 1/2 et partie en entrepôt de fr. 10 à 12 par 50 kilog.
Les corinthes do Cephalonie restent cotées de fr. 19 1/2 à 21 et celles
de Morée de fr. 16 à 17.
garance de zélande. — L’article a eu par continuation beau-
coup de demande pendant la huitaine écoulée et divers lots de 1858
et 1859 ont étéachotës pour la consommation, aux prix précédents'
Quelques barriques de la nouvelle récolte ont été vues, mais pour
asseoir un jugement certain sur la qualité de cette récolte ainsi que
sur la valeur et la quantité, il faut encore attendre un mois à six
semaines. Les racines jusqu’ici ont |été achetées sur les prix de
houblon. — Le mouvement a été beaucoup moins actif que la
huitaine précédente. Vers les premiers jours, les prix ont fléchi tout
ii coup et l’on a vu réaliser d’assez fortes parties d’Alost, 1859 il fr.
135à 136, mais depuis les cours se sont relevés. On a payé d’abord
ir.138, puis140; prixauquél nous restons aujourd’hui sans'acheteurs.
Le hoybion de même provenance, 1857, s’est vendu à raison de fr.
75, et hier une partie, sans marque, récolte de 1859 a été pavée fr.
130. Le marché s’estclôs calme.
. I
huiles et graisses. — Les huiles d’olive à fabrique sont plus
fermes, mais les acheteurs refusent d’allouer les prix demandés dans
l’espoir, vu l'élévation de notre stock, do pouvoir acheter plus tard iv
de plus bas prix.
Nous n’avons eu à noter que 8 pipes do .Malaga, pour l’exportation,
h fr. 143 solde de ce qui existait sur place en cette sorte.On a fait aussi
11 pipes huile de .Messine do fr. 140 à 142 le tout par 100 kil. en
entrepôt. Cette dernière sorte est tenue ferme à fr. 142. L'huile do
Tunis est cotée de fr. 120 a 136 et celle do Gallipoli fr. 144, aussi par
100 kil. en entrepôt.
Il n’y a rien de nouveau à indiquer pour les autres sortes d’huile.
L’iissExcii nu TKRBBBXTIIIXB a eu la vente d’environ 100 barils dispo-
nibles, dans les prix de 11. 19 h 19 1/4 et de 50 dilo a livrer par Hem.
à prix secret. On cote actuellement de fl. 19 i 4 à 19 1/2 par 50 kilog.
Le Rapide, de Charleston en a importe 200 barils. '
Le sriF étranger est recherche par continuation. 50 barriques de
Iluenos-Ayres, attendues par Cnrvirto, ont été traitées à livrer, ainsi
que 25 dito de Russie par Je prochain steamer. Les prix de ces tran-
sactions n’ont pas été déclinés. Le suif de Buenos-Av res se cote il. 30
et celui de Russie 11. 30 1/2.
La vente en site indigène est beaucoup plus lento depuis quelque
temps. On n’a fait, cette huitaine que 3 à 4000 kil. dans les prix de
f. 29 1/2 à 30 1/2 suivant qualité, ressortant avec la cote du jour.
Le saixdoux d’Amérique est plus forme;on cote f. 35 1/2 poul-
ie mangeable. Toutefois les transactions sont fort peu insigniliantes.
Le navire Mary Elconor de Bristol, vient d'importer 139 barriques
luiile de palme. Nous avons aussi reçu 248 tonnes huile de foie do
morue, pur Henriette, de Bergen.
nun.es indigènes. — Huile de lin en baisse et la demande est faible ;
a II. 50 I/i et 50 1/2(fr. 91-15 ii 91-30) il y a acheteurs et vendeurs
les 137 216 litres ou 127 1/2 k.miv. Colle de chanvre se maintient a
II. 56 (fr. 101-59). Pour l’huile de colza du pays plusieurs détenteurs
so sont retirés aux prix actuels du _marché, lu consommation a pave
(1. 65 (fr. 117-19) ; dito dito épurée il. 08 1/2 (fr. 12i-25] les 137 2 5
litres en 12£ kil. environ.
tourteaux. —De colza, les belles qualités ont obtenu II. 100
(fr. 181-40). Les tourteaux de lin sont moins voulus avec plus de
marchandise en vente, on cote 11. 150 à 100 (fr. 272-10 à 290-2i-) les
1215 kil.
• Vu 1 approche de la vente publique annoncée pour
le 19 de ce mois, les ventes, dans le courant d ; la pctnaîne, ont été
limitées à quelques petits lots de iiucnos-Ayros et de Russie ordi-
naire, a paix soutenus.
^ La vente publique sera composéedc : ,
Erv. 2500bal. laine de H.-Ayreset Monta ensuint mi-suint cl lavée.
» 620 » » du Gap de Honne-Esperauee, en suint et lavée.
» tOO » » de Russie mérinos en suint.
» 100 » » de Vàlaehie et autres espèces.
miel. — Les affaires sont très-limitées pour cet article dont la
hausse s est tout-à-coup arrêtée. Il ne s’est Lut que quelques lots
insignifiants dans les prix de t. 19 1/4 à 19 1/2 selon qualité, pour
la consommation.
MÉTAUX. — Nous nous référons à nos derniers avis sur les mé-
taux en généra'; il n’est survenu rien de nouveau cette semaine
Le plomb doux du pays, première qualité, resta colé nominalement
au prix de fr. 50 par 100 kilngr.
nitrate DE soude — Une part'c do 20,000 kit. nitrate do. soud
de la Cargaison du navire Trio, a trouvé preneur a n. 8 3/4 prix
auquel il reste vendeurs.
Notre stock se réduit à 550 sacs.
potasses. —On n’a rien fait surplace et les expéditions à l’in-
térieur ont etc insignifiantes pendant cette dernière huitaine.
Les cours n’ont point présenté de variation.
Potasse de New-York, le sorte, fi. 16 34 ; d» d» 2o d" fi 14 1 «
fl l/2: d° d° 3<!’ d°'fl'13 1/"5 d° de Montf(Sal 11• ’n -15 Perlasse
La potasse de Russie se cote f. 16 1/2 à 16 3/4.
résine. — La position de cet article est très-ca'me bien que les
prix de la cote restent soutenus. La seule affaire citée celte seuiPiuo
consiste en 500 barils résine brune d’Amérique, à livrer par Genua
attendu de iNgn\ 01 k. Le prix alloué no nous est pas connu cxne-
toment. — 17u0 barils résine nous sont parvenus par Rapide do
Charleston. ' ’
riz. — Ce grain c-st dcnieuré sans changement quant aux prix
et les ventes se sont bornées,aux besoins de la consommation cou-
rante, toit 800 balles Arracan pelé, 400 d" Moulmain d" et 400 ilito
Rangoon do a des prix ressortant avec la cote de ce jour qui s'éta-
blit comme ci-après, en entrepôt :
mrolic°l!!.'-1n tr5*13 1 Î Arracan uneleaned 6 3/4à 7 : dito
P®J« f V,2 a,9i Rangoon uneleaned D.61/2 h 6 3/4 ; dito pelé 11. 8
1/2 a 83/4;Moulmain uneleaned il. 6 1/4 à 6 3/4; ditoVoorlooDll. 10 •
Java de table II. Il 1/4 à 11 3/4, le tout par 50 kil.
salaisons. — Ainsi que nous le disions dons notre précédente
revue, le lard sale sec s’écoule couramment parpotites parties pour
la consommation de l’intérieur. Le prix reste fixé a fr liBparôü
kil. et nos provisions sont sensiblement réduites.
sucre r.nuT.— Les affaires en sucre brut restent fort limitées
mais toutefois les prixsont bien tenus. ’
Les ventes de la huitaine se résument en -449 c/s Havane blond
dont le détail suit :
2060
2500
1000
700
r4000
'1000
Louisiane, Texas
et Mobile.
Georoie, Florides
ET ALARAMA.
26
29
31
34
36
38
à 28
» 30
» 32
» 35
« 37
» 39
et.
»
Ordinary...............26 à 28
Good ordinary ...... 29, » 30
Low middling.......... . 32 » 33
Middling.................36 » 37
Good middling..........38 » 39
Middling fair. ...... 40 » 42
Surate.................23 »,25 . „
St-Domingne.'..........26 » 27 » — » _ '»
chanvre. — Affaires nulles par continuation. Quelques petits
lots de chanvre du Nord et de Manille, ont été expédiés directe-
ment à la fabrique.
cire.— Cet article est par continuation sans affaires. Les cours
ne présentent point de changement.
CUIRS. — Les ventes delà semaine comprennent : env. 2000 B.-4.
et M.-V. secs, 11,400 dito dito salés, 1850 R.-G. salés, 500 N.-H."
salés, 400 chevaux salés. La demande est soutenue mais les prix
sans variation.
Les importations directes se sont bornées relie semaine a 6069
cuirs sales et 184 peaux de veaux. Par contre nous avons reçu do
Londres 5259 cuirs salés et de la Hollande par l’intérieur, 2060 dito
dito et 2806 dito dito secs.
cornes. - On a traité versla fui de la semaine dernière une pe-
titc partie (le 13.000 pièces cornes de Buenos-Ayros, qualité médiocre
du poids de 34 kil. à fr. 20 par 104 pièces, et dans le courant de
celle-ci env. 28,000B.-.V, 30 kil. quai, médiocres a f. 17.
Une partie de 11,741 pièces nous est arrivée de Rio-Grande, parle
pavire Herman Albert, ’ *
Le navire Jovcn Eu-slac/uia, vient d’importer 290 caisses sucre. De
la Hollande par l’intérieur, nuus avons reçu 91 caisses dito et 336
canastres dito.
Nous restons avec 2450 caiss. llavancblond et 319 dito blanc.
cette hui-
aux prix du jour.
sucre raffine. — Nous n’avons ou à noter pendant
laine que SU.OOo kd.pilés GF et 30,000 dito L el S, aux pri
Los cours sont bien tonus par continuation.
Les allalrcs en candi sont tras-calmes ; on n’a fait que quelques
petits lots pour les besoins de la consommation.
soufre. — Sans affaires et prix sans variation. Suivant ce qui
nous a été rapporté les 4530 cantares soufre brut, importés la se-
maine dernière, par Isabella llay, de Girgeiiti passent à la consom-
mation.
tarac. — dette feuille a éprouvé une demande très suivie par
suite des avis défavorables aux récoltes aussi bien aux Etats-Unis
qu aux autres lieux de production en Europe. Il en est résulté uu
mieux sensible dans les cours, et la consommation de l’inlérteur
de même que la spéculation ont immédiatement passé des ordres
On estime les transactione de la huitaine à environ 600 boucauls
Kentucky, à prix très fermes.
Il vient d’ètre importé 263 balles et 18 c/s tabac, parjurai Eus-
taquia, de la Havane; 50 boueauts dito sont en outre arrives de la
Hollande par l'intérieur.
CHANGES du U septembre. — Amsterdam, c/j. 1 0/0 av •
!ir rlîo5/j. >37.?,rA; 90|°SI1C c/j. 37G A ; Francfort c/j .214 1/2 ,• Hambourg
ÿj. 188 -I,*, 3/4 ; Londres., c/j. 25.02 1/2 A 25.05 P; Paris c/j. 1/2 n!
A, 3/8p. P.; Rotterdam c/j. 1 0/0 av. ; Bruxelles, Gand, Liège c/j
PRIMES D’ASSURANCE.
Norwége.
Gothcmb..
Archangel.
Golfe Botii.
Golfe Fini.
Baltique...
lies danois*
Hambourg
Brém.Lnul.
Gron. Frise
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d'Egypte..
Constantin.
P.du Dan.
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Taganr. et
M. d’Azpf.
Québec et
Montréal.
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N.-Orléans
G. Mexique
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R. de Plata
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2 1/2 3-
MOUVEMENT DU PORT D'ANVERS.
ENTRÉS DU LONG-COURS ET DU GRAND CABOTAGE.
Septembre.
7 Goélette holl Herman:Albert, c. Potjewvd, de Rio-Grande.
"7 B'ieksued. Hapid, r. A\berg, de Charleston.
J Brick sued. Jhtlphin, c. Linde, de Livouriie.
— Barque meokl. Wilhelm inc Wailz v. Esclien, c. Ohlerieh
laganrog. 1
11 Brick .sp, Jovcn Éuslayuia, o. Uriarto. de la Havane
— Brick autr. Anco, c. Giurgevich, d’Odessa.
SORTIS POUR LE LONG-COURS ET POUR LE
GRAND CABOTAGE.
de
Brick anglais Joséphine, c. Potric, pour Rallia
>11ÇX oidenb. Condor, c. Bcinors, pour Kio-Jaiieiro
Goel. csp. San José, c. Lopez, pour la Havane ’
.....^ianus Johannes c. Addens, pour Pernambuco.
i. Ch. A . l ai well, c. AVilliams, pour Ncvv-ürleans.
. Goél. Iioi I
3-m. amér
NAVIRES ATTENDUS A ANVERS.
80 caisses par Chimbo
40
LT0 »
48 »
60 »
28 >,
63 »
449 caisses,
Jcsmafgros grain) . »
. San José. ....
Mercator.. . . .
Nieves (solde)..
. 11 à f.
11
9/10
14
12 1/2
13
16
16 3/4
16 3/4
16 1/2
18 1/2
17 3/4
18 1/4
19 5/8
DE BUENOS-ATRES
J*™? n E1n?t’ plri. Ie2i juin> avec 1070 cuira salés, 3500 dito
secs, 84 balles lame, 2 dito peaux.
Stoe•adrup c. Rotenberg parti le 25 juin, avec 3î7eui« salés, 3838
d i to sec&, oüpipes suif, 2i-2 balles laine.
Sorpresa, sarde, parti le 1 juillet, avec 2386 cuirs salés M 092
peaux de chevaux sèches, 120 barils graisse, 62 balles laine
Launtz Chnslian c Bistrup, partile 7juillet, avec 50 peaux de
chevaux sèches, 235 balles laine. 1
Coninoc. Brcsonelo, parti le 13 juillet,avec 1888 cuirs secs 200
peaux de chevaux secbcs, 52 pipes suif, 3 halles crin, 250 dito laine
Aroostook c. Pagne, parti le 23juillet, avec 4429 cuirs salés 827
peaux de chevaux salées, S99I cuirs socs, 190 peaux de chevaux
bixhes, 1 -iri balles laine, 2 pipes graisse.
Fane cl, c. Fischer, parti le 25 juillet, avec 1200 cuirs salés «70
pe?il'lv/ ? c.hcvaux sa,eesi 9o'l7 cuirs secs, 6 bail. crin. 136 dito laine
Wühdmma, c. Braai, en charge.
Hooile Wicher, c. Klassen, en charge.
Annette, c. How, en charge.
Henriette Alida, c. de Yries, en charge.
' Archimedes, c. Lajana, en charge. ° -
Juhana, c. Oestmann, en Charge.
Maillon Williamson, c. SchatFernorth, en charge.
Immanuel, c. Breckvvold, en charge. “ ’
DE MONTEVIDEO.
Zeebloem, c. Bakker, parti le 14 juillet,avec 3347cuirs salés 2S95
peaux do chevaux dito, 1200 cuirs secs. 78 balles laine et 18 dito crin
bappemeer, c. Van Veen, en charge.
Sl-Vüus, c. Middel, en charge.
DE RIO-.!\I*EïHO.
A nlverpia. c. Banning, en charge.
Ernestine} goélette danoise, en charge.
D’AKYAB.
G. L. Hall,o, Richardson, passé Ste-Héiène le 9 juillet^
- Départs d’Anvers pour Rotterdam et Bréda,
Rotterdam p» Anvers et Bréda 5.30,10,15.3. —
12.35, 4.15 b.
— Départs d’Anvers pour Beveren, StrNicolas,
4.30, 7 h.— De Gand pour Lokeron, SWNicolas,
4.20, 7 h.
ABONNEMENTS :
Dans nos bureaux et chez tocs
les directeurs do poste (fr. déport.
Pour Anvers . . fr. 12.50 p. trim
» la Belgique. » 15.00 »
» » » 28.00 p. sem
» s • 62.00 p. an.
» la Hollande. » 17.00p. trim
» l’Angleterre. » 22.00 »
» la France. . » 22.00 »
» l’Allemagne. » 18.00 »
Paysd’Outre-Mer » 27.50 »
PAIEMENT PAR ANTICIPATION.
TOUR LA VILLE ET LA BANLIEUE.
L’ÉTOILE BELGE, journal du
matin et le PRECURSEUR, journa
du soir, fr. 62.00 par an.
les courtiers, mtstti,,., — --. é
de choisir le capitaine Smit, expert de la réunion,
pour opérer avec M. Pougin, ce qui fut approuvé
avec la réserve toutefois que chacun conserverait
la liberté, quel que fut le résultat de l’enquête, de
signer ou de ne plus signer sur le Moliamcd-Said.
M. Engels assista ii l’enquête pour prouver l’im-
portance que les assureurs attachent à ce que cos in-
vestigations se fassent. C’est encore à la demande des
principaux assureurs que M. Engels proposa à la
Chambra de commerce de solliciter par la suite une
pareille mesure du gouvernement belge.
Il était donc parfaitement ex uct,comme le Précurseur
ie soutint, que l'enquête avait eu lieu à la demande du
capitaine Frantzen et des assureurs. D’un autre côté
Use peut parfaitement bien que l'un ou 1 autre assu-
reur n'ait pas été individuellement consulté. Il y en a
Parmi ces messieurs qui se rallient généralement à ce
serieux consiueraieui, «ails l origme, comme ne pou-
vant engendrer que d’amères déceptions. Beaucoup
affirmaient que les opérations du chemin de 1er sol-
daient et solderaient toujours -a des découverts suc-
cessifs dont l’accumulation finirait par compromet-
tre l’équilibre des finances publiques. Le rapport que
je résume ainsi met en évidence cette vérité que les
découverts constatés n’avaient guère l’importance
qu’on leur avait attribuée, qu’ils ne s étaient produits
que parce que le chemin de fer, entreprise essentiel-
lement industrielle, n’avait point été traité comme
telle, ni sous le rapport des intérêts annuels à servir,
ui sous le rapportde la reconstitution,par voie d amor-
tissement, des capitaux engagés dans l’opération.
A. l’heure qu’il est, les immenses bienfaits que
le réseau uationat a répandus sur le pays un
coûtent plus que 8 millious, et l’ou a la perspective,
eial, cenu a Anvers, ie ut».u». v**-»------
qui nous donnent le droit de réclamer tous les avantages qui
seraient accordés dans l’avenir à d'autres villes. Or, comme
il existe des villes dont le contrat expirera sous peu, et que
probablement elles feront à l'expiration de leur contrat
valoir leurs droits, attendons jusque la pour réclamer a
notre tour. , ,
Pour ce qui est de déterminer l'influence de la suppres-
sion de l’octroi des charbons sur la production du gaz, la
question est complexe: la Compagnie a deux établissements
à gaz l'un ir.trcr, l’autre extra muras, oii le droit sur le
charbon n'existait pas. Il faudrait donc préalablement
déterminer la quantité de gaz produiteà l'intérieur et à l’ex-
térieur de la ville. On le voit, la question n’est pas aussi
simple qu’on se l’imagine. Ayons donc confiance dans le
Collège; celui-ci a examiné déjà l'affaire : il s’en occupe
encore, mais avant de rien entreprendre, il croit qu on doit
mûrement examiner quelle différence il existe entre les
caliiers de charges d’Anvers et d'autres villes.
, n’a pas at-
ccuper delà
est liée par
vient , dans
sur ce point,
.roits ou seu-
core faudrait-
er ; or, le peu
is octrois, n’a
grands tnéna-
La Compagnie
Hiers pour un
•eprise comme
unes de terre,
supposez que
baissent, pen-
îution en con-
; les charbons
n'y a rien de
depuis le con-
. augmenté de
cette augmen-
s'occupe de la
le fera.
3n communale
impagnie pour
tonnait pas le
1 serait facile
sas la question
caminée mûre-
ir celle du con-
qu’il est stipulé
ît à être éclairée
(uer les mêmes
(ue des particu-
3 monde,
ie l’examen des
supplémentaire ;
rier dernier jus-
Subside ;
au budget une
n du temple an-
ir porte à la con-
élevés h 6000 fr.;
un subside sup-
allocation de la
de voter pour cet
ipté.
4s. — Rapport.
jort, au nom des
adjointes au Col-
li août dernier le
mier rapport, ten-
ix bassins du Kat-
.issions réunies se
des travaux com-
imment du bassin
lement développé
nsi beaucoup de
mais il a eu aussi
us et sur les quais
„ voir disparaître.
',r ttendyk, les quais
■nt et resteraient
,tion générale,
assez de terrain ii
x anciens bassins,
tous les quartiers
supplémentaires, ce
érables.
vénients, le Collège
x supplémentaires,
lanimité.
, déchargement et à
déchargement des
nches et dépôt pro-
ciel ouvert pour le
re-voie.pour emma-
signation;
avives, dont une par-
pôt des marbres, mé-
is.
ie grand bassin et le
ne de fr. 858,880.
à l’adoption des pro-
immerce a-t-elle été
a cm inutile de con-
corps représentant les
le bassin aux bois ne
Dorné à consulter cette
ns un dossier de cette
rps officiel comme la
existe dans le sein du
je et que celle-ci a été
lartie spéciale du com-
e personne ne fait plus
Chambre de commerce,
er en toute circonstance
ie il s’agissait d’intérêts
iséées directement con-
sulter les marchands de
avoir pour le commerce
liège dans cette circon-
ucr à M. Van Put que la
nnmissionde commerce
c’est donc par hazard
iree est le seul représen-
î elle aurait dû être con-
us possible en consultant
x valu que ceux-ci l’eus-
rce elle-même. Telle est
îs réunies sont mises aux
LTATIVE.
!s glaces. — Rapport,
î ce rapport au nom de la
iis Goethals, pour passer
prompte lorsque pendant
vapeur est interrompu à
.blissement d'un câble en
i fleuve et qui servirait de
:tion particulière dont le
fers formant patins. Ce
5 roulant sur le câble et un
de Rabaisser suivant la
açons ou de nager entre
emier, partant du même
point sur le quai a anveio, —— se reliant a une deuxième
culée établie à la Tête de Flandre, et distante d’environ oOO
mètres de la première,doit servir au retour du canot.
M Goethals demande à la ville un emplacement ayant
environ un mètre carré de superficie pour établir une culée
on fer au sommet de laquelle s'attacheront les cables. Cette
construction aura la forme des supports de nos ponts-levis,
ainsi qu’il est indiqué dans le plan joint a la demande.
La commission des travaux reconnaît que la.traversée
de l’Escaut est très difficile pendant
"■laces et elle apprécie le service que rendiait à 1 tiuma
nité celui qui pourrait améliorer ce passage et le fane
effectuer d’une manière plus régulière et moins dangereuse;
elle croit cependant devoir faire des réserves sur la pratica-
bilité du système proposé dont elle n a pas pu suffisamment
saisir toutes les combinaisons et elle ne peut non préjuger
ilu résultat que l’on obtiendrait, quelle que soit la conviction
rinnt semble être aminé l’auteur du projet.
Elle propose pourtant d’accorder à M. Goethals un endroit
des quais qui lui permette de faire ses expériences parce
qu’il ne faut pas qu'il soit dit que l'administration commu-
nale d’Anvers se refuse à autoriser un travail projeté dans
un but d’humanité et de progrès.Il doit être, toutefois, bien
entendu que cet emplacement ne pourra gêner ni la circu-
lation, ni le service des bateaux et des navires.
Le concessionnaire devra également s’entendre avec
l’administration du chemin de fer du Pays de NVaes qui a un
intérêt matériel dans cette question et dont il devra obtenir
deux emplacements pour établir les piles, ainsi que les
cabestans destinés à tendre les câbles qui relient les deux
rives du fleuve.
M. le bourgmestre déclare que le Collège ne voit au-
cun inconvénient à mettre à la disposition de M. Goethals le
mètre carré de terrain qu’il demande sur les quais. Si l’em-
placement devait être plus grand et gêner la circulation, il
en serait auparavant référé au Conseil. — Adopté.
M. GHEYSENS. La commission n’a envisagé la question
qu’au point de vue de l’humanité : il aurait voulu qu’elle
l’eût examinée aussi au point de vue da la communication de
la province d’Anvers avec les Flandres. Quant à lui
il a toujours déploré cette absence de communication
et au Conseil provincial comme au Conseil communal,
il a demandé qu’un pont fût jeté sur l’Escaut, Cette com-
munication selon l’honorable conseiller, enrichirait le pays
et doublerait en quelques années la population d’Anvers.
Dans les Flandres cette idée a rencontré beaucoup de
sympathie, et la Chambre de commerce de Gand a émis
même un avis favorable sur cet objet et a déclaré qu'un
pont sur l’Escaut était le complément indispensable de la
métropole commerciale. Aussi M. Gheysens espère-t-il que
tôt ou tard le pays sera doté de cette précieuse communi-
cation.
M. van de leemeut. A. propos d'une corde tendue
d’une rive de l’Escaut à l’autre, M. Gheysens vient entretenir
le conseil d’un pont sur l’Escaut. La commission n’a pas
cru devoir étendre autant la question, et elle s’est bornée à
faire rapport sur la demande qui lui était soumise.
M. LE BOURGMESTRE ne croit pas pourvoir laisser sans
réponse les observations présentées par M. Gheysens. La
question soulevée par l’honorable conseiller date de loin :
lorsqu’il en saisit le Conseil communal, il lui fut démontré
qu’il n’était pas de l’intérêt d’Anvers de jeter un pont sur
l’Escaut. Au Conseil provincial, il fut également battu.
L’idée de M. Gheysens est une belle utopie, douce à
caresser, mais ne souffrant pas un examen sérieux.
Quand cette idée d’une ville de l’autre côté de l’Escaut,
reliée par un pont à Anvers, se fit jour, M. le bourgmes-
tre la combattit de tout son pouvoir, et il ne fut pas
seul de son opinion : le Conseil tout entier et la Cham-
bre de Commerce déclarèrent que la réalisation de ce
projet aurait eu pour conséquence de déplacer le commerce
d’Anvers, au lieu d’apporter des avantages à la ville, comme
on le soutenait. Et c’est après avoir vu sa proposition
repoussée au Conseil communal et au Conseil provincial, que
M. Gheysens reproduit incidemment sa proposition, en
1860, au moment où la ville va être agrandie du triple.
Que l’on agite cette question dans une publication
spéciale, mais au Conseil Communal, où l'on ne dispute que
les questions à l’ordre du jour, on peut employer mieux son
temos.
m.gheysens. M. le bourgmestre n’a pas la mémoire tout-
à-fait fidèle.La proposition n’a pas été repoussée au Conseil
provincial : elle y a été seulement examinée etpersonne n'a
parlé contre. Le Conseil provincial n'a pas eu du reste à se
prononcer sur la question. Quant au Conseil Communal,
il s’est prononcé sur le projetdeM. Tarte, et nullement sur
la proposition qui a été introduite incidemment. Il croit donc,
que la question n'a pas été tranchée en dernier ressort et il
en appelle à l’avenir pour la réalisation de cette idée.
M. DELVAU.V, éehevin. La proposition de il. Gheysens a
étélonjruement examinésdairs le temps,débattue etdiscutée;
dans un rapport remarquable, dont les conclusions ont été
adoptées, il a été prouvé qu’un pont sur l’Escaut serait un
grand embairas pour la navigation, lès piles jetées dans
l'Escaut devant faire naître des atterrissements considé-
rables. L’orateur ne dira pas qu’il ne serait pas avanta-
geux de tendre la main aux Flandres; toute communi-
cation nouvelle emporte certains avantages ; mais le pro-
blème ne sera résolu que lorsqu’il se produira un projet
qui n’entravera pas la navigation.D’ici là les choses resteront
forcément dans l’état où elles se trouvent. Quant à la com-
mission, son mandat était restreint à la question de savoir si
au moyen d’un double cable, on pourrait durant les glaces,
faire glisser sur l’Escaut une barquette.
Elle a rempli sa mission et on doit lui rendre cette justice,
elle l’a remplie consciencieusement.
M. GHEYSENS déclare qu’il n’a pas entendu le moins du
monde blâmer la commission.
L’incident n’a pas d'autre suite.
La séance publique est levée à 7 heures trois quarts.
HUIS-CLOS.
Dans sa séance à huis-clos le Conseil a autorisé la fabrique
de l’église de St-YVillebrord a aliéner un terrain de 68 ares,
situé à proximité du cimetière actuel de Borgerhout. Ce
terrain est cédé à la commune de Borgerhout pour y établir
un nouveau cimetière, l’ancien devant être abandonné pour
les travaux de l’enceiute.
Le projet d’arrêté fixant le sort des employés de l’octroi est
renvoyé à la commission des finances.
Le Conseil approuve la nomination de M. Van Roy comme
médecin des pauvres en remplacement de M. Koyen,démis-
sionnaire. _
Il approuve également la nomination de AIM. Grégoire et
F Van Aertselaer comme chirurgiens élèves-internes à
l’hôpital Ste-Elisabeth, en remplacement de MM. Dupont et
Allewaert, démissionnaires.
Le Conseil avait à s'occuper de la nomination du person-
nel enseignant de la nouvelle écolo de St-YVillebrord. Ont
été nommés : M. Van Lippelov, instituteur en chef.
MM. Caers, Yran de Vyver et YVilIems sous-instituteurs.
— (La quatrième place reste encore vacante.)
Mu®» Philips, Silles, Yùm Kieven et YVujyts sous-mai-
tresses pour la classe des filles.
Le Conseil s’occupe encore de divers objets non portés a
l'ordre du jour et lève la séance à U 1/2 heures.
Actes officiels.
MINISTÈRE DES FINANCES. — COMMISSIONS PROVIN-
CIALES DES PENSIONS. — DÉSIGNATION DES MEMBRES.
— Sont désignés pour faire partie des commissions provin-
ciales des pensions, eu vertu de la loi du 17 février 1849 :
Province d'Anvers : L’ingénieur en chef directeur des
ponts et chaussées à Anvers ; le chevalier Pycke, membre
de la députation permanente du conseil provincial.
ENREGISTREMENT ET DOMAINES. — PERSONNEL. —
NOMINATION. — Par arrêté royal du 16 août, le sieur J.
Trouet. garde, général au cantonnement de Saint-Hubert,
est nommé sous-inspecteur des eaux et forêts des provinces
des deux Flandres. 8a résidence est fixée à Gand.
— Par arrêté roval du 31 août, le sieur F. Trouet, briga-
dier des forêts à Thibessart (Luxembourg) est nommé garde
général des eaux et forêts au cantonnement de St-Hubert.
inspection de Marche en remplacement du titulaire actuel
appelé à d’autres fonctions.
CONTRIBUTIONS DIRECTES, DOUANES ET ACCISES. —
NOMINATION. —- Par arrêté royal du 25 août, le sieur
Dumont, commis d'inspection d’arrondissement à Charleroi,
est nommé receveur des contributions directes, douanes et
accises de 7° classe à Beauwelz.
marine. — Par arrête royal du 31 août, 1 écrivain delà
marine Allo, est nommé agent comptable.
ECOLE MOYENNE DE MALINES. — PERSONNEL. — Un
arrêté ministériel, du 15 septembre, accepte la démission
offerte par le sieur Cassiers, de ses fonctions de premier insti-
tuteur dédou blaut à la section préparatoire de l'école moyenne
de Malines.
issocialioii libérale et constitutionnelle.
SOUS-COMITÉ DE LA lr<l SECTION.
MM. les membres habitant la première section sont
instamment priés de se réunir lundi 17 courant, à 8
heures précises du soir, au local le Renard, Grand’
Place.
La séance commencera à heure fixe.
Ordre du jour : Elections communales. Formation
de la liste des candidats, discussion et vote.
RETOUR.
LIEUX
AL LUI).
RETOUR.
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