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<p>quelques-unes, c'est d'avoir résisté tant d'autres... (blz 119-'2O) ». Taine heette den mensch « un théorème ambulant» ; met het oog op Gide kan gewaagd van « une contradiction ambulante». Op blz. 37 een loochening van Kristus' goddelijkheid besloten in deze wartaal : « C'est en renoncant á sa divinité que le Christ vraiment devient Dieu. Et réciproquement, en se renoncant dans le Christ Dieu se crée. », enkele bladz. verder, dit gebed tot Kristus : «Je reviens â vous, Seigneur Christ, comme á Dieu dont vous étes la forme vivante. je suis las de mentir á mon cceur. C'est vous que je retrouve partout, alors que je croyais vous fuir, ami divin de mon enfance. Je crois bien qu'il n'y a plus que vous dont mon cceur exigeant se contente. Le demon seul en moi nie que votre enseignement soit parfait, puisque, dans le renoncement â tout, je vous retrouve (blz. 52). Daarop volgt een kantiekin-verzen á la Louis Racine (want hier is Verlaine, die meespreekt in andere versjes uit dezen bundel, stom gebleven) met deze slotstroof :</p>
<p>0 trop claire luimière Transperce mes paupières ! Ta vérité, Seigneur, M'a blessé jusqu'au cceur.</p>
<p>Over het kornmunisme nog deze beschouwingen : «Et ce qui me paralt une erreur, c'est d'exiger de celui qui possède la distribution de ses •biens ; mais quelle chimère que d'attendre, de celui qui possède, un renoncement volontaire á des biens auxquels son áme reste attachee. Pour mai j'ai pris en aversion toute possession exclusive ; c'est de don qu'est fait mon bonheur, et la mort ne me retirera des 'nains pas grand'ohose. Ce dont elle me privera le plus c'est des biens épars, naturels, échappant á la prise et communs tous • d'eux surtout je me suis softie. Quant au reste, je préfère le repas d'auberge á la table la mieux servie, le jardin public au plus beau parc enclos de murs, le livre que je ne crains pas d'emmener en promenade á l'édition Ja plus rare, et, si je devais être seul á pouvoir contempler une ceuvre d'art, plus elle serait belle et plus l'emporterait sur la joie ma tristesse. Mon bontreur est d'augmenter celui des autres. J'ai besoin du bonheur de tous pour être heureux (blz. 61-62) ». Moest nu, een of ander kommunist, de meening toegedaan zijn, dat Gide, met het uitdeelen van zijn fortuin, niet alleen eigen geluk, maar ook dat van anderen verhevigen zou, wat dan?</p>
<p>(6) Uitgegeven door Marc Slonim en George Reavey, Parijs, '35, (7) Cfr. André Gide et notre temps, Parijs, '35, blz. 27. (8) In « Les Années Tournantes», Parijs, '32, blz. 199.</p>
<p>(9) In « Jagements » 11, Parijs, '24 bespreekt Henri Massis den verderfelijken invloed van Gide op de jongste litteratuur : vooral op Martin du Gard, Gilbert de Voisins, Mauriac, Chadourne, de Lacretelle, de Montherlant e a. ; cfr. Annexes, blz. 108 en vlg. Men kon de lijst, thans, met nog andere namen aanvullen; ook nederlandsohe zouden daarin voorkomen. Ook aan een du Perron, een Menno ter Braak, een Greshoff is een luchtje van gidiaansch cynisme. Onlangs werd « l'lmmoraliste» door Marsman vertaald.</p>
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