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<p>Over « Gide et l'Ame moderne » verscheen (Amsterdam, z. d.) een studie van S. Braak. Daar heet het : « ses livres nous racontent l'histoire de Ia délivrance d'une áme... l'histoire de l'áme moderne ».</p>
<p>(10) Daar wordt ook het probleem van den « zuivere roman » gesteld, en, zooals naar gewoonte, in volkomen-negatieven zin opgelost. Cfr. mijn Litteratuur en Leven », blz. 50 en vlg.</p>
<p>(11) Zie : « Duhamel, Gide, Malraux, Mauriac, Morand, Romain, Unamuno vus par un écricain de l'U. R. S. S. », Parijs, '34, blz. 213-'l4.</p>
<p>(12) In zijn « Dostoïevsky » komen o.m. voor de beruchte zetten : « C'est avec les beaux sentiments que ron fait la mauvaise littérature », en <II n'y a pas d'oeuvre d'art sans la collaboration du démon... Le sainr ce n'est pas l'Angelico, c'est Francois d'Assise. 11 n'y a pas d'artistes parmi les saints ; II n'y a pas de saints parmi les artistes. » Om deze... demonische bewering te staven, herinnert Gide aan een gezegde van Lacordaire. Toen men hem, na een prachtig sermoen, geluk wenschte, antwoordde hij : « Le diable me l'avait dit avant vous ». « Le diable, vervolgt Gide, ne lui aurait point dit que son sermon était beau, il n'aurait pas eu du tout â le lui dire, s'il n'avait lui-méme collaboré au sermon (blz. 254-'55). » Hierbij teekent Du Bos aan : « Qui ne voit qu'il s'agit ici tout simplement d'un souhisme et que je ne puis ici denommer sophisme de bonne foi qu'en postulant chez Gide une éclipse momentanée, mais totale de réflexion. Car enfin (et c'est ce qui la rend si belle, si humaine et si touchante) la reponse de Lacordaire correspond exactement et sans plus â ce sentiment d'humilité et oresque d'effroi qu'un grand prédicateur chrétien (dans la mesure méme oû il est chrétien) éprouve devant la puissance de son éloquence et qui fait qu'après coup il recule devant elle : les émotions qu'il a éveillées, provoquées, refluent sur lui, contagieuses, enivrantes : il est comme pris â son propre piège : hurnilité et effroi naissent ici de la crainte de se complaire en soi-méme et en ses dons : c'est la docilité â cette pente de la complaisance que le diable lui souffle et non point du tout son sermon. (Le Dialogue avec André Gide, Parijs, '29, blz. 304-'5). »</p>
<p>(13) Bij den dood van 7ijn moeder, getuigt Gide, « je sent;s s'abimer tout mon être dans un g,otrf fre d'amour, de détresse et de liberté (« Si le Gain... » blz. 368). »</p>
<p>(14) Bij Erich Ranch, « Zum Freundschaftsproblem im Leben und Werk André Gide's », Jena, '33, blz. 30. In Duitschland blijkt Gide zeer bekend vooral om dit... Freundschaftsproblem ! Freundsehaft : een mooie vlag die een uiterst-bedenkelijke lading dekt !</p>
<p>(15) De formule komt voor, zooals men weet, in de inleiding tot Renan's « Vie de Jesus ».</p>
<p>(16) Ook deze bewering klinkt niet nieuw : van Prévost, over Rousseau, tot Sand, is ze bijna niet van de romantische lucht : God wordt de medeplichtige van hun passioneele dwaling. Em. Seillière bouwt daarop Zijn « mysticisme naturiste ».</p>
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