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<p>pas un plaisir, une distraction ; ii constitue une activité des plus élevées ; par lui, la conscience raisonnée passe dans le sentiment. A notre epoque la conception religieuse commune â tous les hommes est celle de la fraternité et du bonheur dans l'union. La véritable science doit indiquer les divers moyens de l'application pratique de cette conception. L'art dot la faire assimiler par le sentiment.</p>
<p>« L'art a une mission considérable :ii dolt â l'aide de la science, guidé par la religion, réaliser la cohabitation paisible des hommes par l'action libre et allègre de tous, et non pas par des moyens exterieurs : les tribunaux, la police, les institutions de bienfaisance, l'inspection des fabriques, usines, ateliers, etc. L'art doit supprimer la violence, et seul il peut le faire. « La mission de l'art á notre epoque est de faire passer du domaine de La raison dans celui du sentiment, cette vérité que le bonheur des hommes est l'union et de faire régner, â la place de la violence, le royaume de Dieu, c'est-à-dire de l'amour, qui est pour nous le but suprème de la vie. « La science découvrira peut-être un jour á l'art un idéal nouveau et plus élevé, et l'art le réalisera. Mais de notre temps la mission de l'art est nette et définie : la réalisation de l'union fraternelle entre les hommes (blz. 319-'2O, '2l-'22). » Met het voorlaatste zinnetje : « La science découvrira... » opende Tolstoj een poortje op de toekomst, langsdaar kon Sovjet-Rusland hem ter anneksatie binnen smokkelen. Tenware Tolstoj's ideaal ook dat der Sovjets +heette?</p>
<p>(2) Parijs, z. d. (1933). Uit het « avant-propos » : «11 y a dans la vie de Paul Verlaine et, ce qui est plus triste, plus grave, dans sa personne humaine, des parties affreuses. Est-il préférable de les taire? Nous ne le pensons pas. » Men kan er daaromtrent een ander meening op nahouden ; er zijn immers bizonderheden uit het intiem leven, die niet nader brengen tot het werk ; en dus mogen verwaarloosd ; er is vooral een voorstellings- of liever uitstallingswijze, die volkomen dient afgewezen. Men kent den afkeer van Paul Bourget, naar 't voorbeeld trouwens van zijn Meester Taine, voor dergelijke onthullingen. Niet zonder reden, vreesde hij, dat om « l'abus de révélations le plus souvent invérifiables, tantOt insignifiantes, tantót scandaleuses », onze tijd eens zou geschandvlekt als « celui des petits papiers » ! Zijn uiterste wil luidt dan ook kategorisch : van mijn brieven en intieme stukken, geen iota gepubliceerd ! Geen wonder, dat Bourget, ondanks vele aandringende vrienden, nooit kon °verhaald tot het aanleggen van gedenkschriften. Houding die eerbied afdwingt maar ons berooft van een dokument van allereerste gehalte.</p>
<p>(3) Parijs, z. •d. (1935), blz. 374. Wat Porché beweert, sluit intusschen niet uit, hetgeen Tolstoj zelf in het slot van zijn verhandeling, over de genesis van zijn werk meedeelt. (4) Geschiedenis van de oud- en middelnederlandsche Letterkunde, '2B, blz. 51 en vlg.</p>
<p>(5) Al beweert men dat de kritiek, met de Renaissance ontstaan, zou</p>
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