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<p>je ne suis plus comme si je ne Favais connu (blz. 13) ». Deze tekst fundeert de verantwoordelijkheid van den schrijver; Gide ziet deze dan ook in, met de scherpste luciditeit; ze schrikt hem niet af; hij draagt ze integendeel met een onverstoord gemoed. « La responsabihté des grands hommes ; pour leur plus grande gloire, il faut la croire méme la plus lourde, la plus effrayante possible... ils font tout autour d'eux, que Fon s'en doute ou non, une consommation de vie formidable (ibid. blz. 32) »; en, ter volgende bladzijde : « L'artiste... ne se suffit pas á lui-méme. La conscience qu'il a de l'irnportance de Fidée qu'il porte le tourmente. Il en est responsable, il le sent... il influence ; d'autres vivront et joueront pour lui ses idées ; risqueront le danger de les expérimenter á sa place... ». Men lette hier vooral op het gidiaansch opzet : anderen mee te lokken naar de branding, om ze daar aan hun lot over te laten.</p>
<p>Een kijk op Gide's ziel levert dit kiekje van een door hem ontredderd intérieur : « Parfois, invisible de nuit, je suis resté penché vers une vitre, à longtemps regarder la coutume d'une maison. Le père était là, près de la lampe ; la mere cousait ; la place dun aïeul restait vide; un enfant, pres du père, étudiait ; et mon cceur se gonfla du désir de l'emmener avec moi sur les routes.</p>
<p>Le lendemain je le revis, comme il sortait de Vécole ; le surlendemain je lui parlai ; quatre jours après ii quitta tout pour me suivre. Je lui ouvris les yeux devant la splendeur de la plaine ; ii comprit était ouverte pour lui. renseignai donc son áme devenir plus vagabonde, joyeuse enfin puis á se détacher méme de moi, â connaitre sa solitude. (Les Nourritures terrestres, Parijs, '27, blz. 76-77) ».</p>
<p>Gide eischt voor zich de rol op van een levenshervormer; hoofdzaak bij hem is dan ook : onrust te wekken. uje veux inquiéter », beweert hij in « Paludes » ('95), en in « journal des</p>
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